L'Airwing de Wolf O'Donnell avait déposer Shimotte et Viola sur la plage. Malgré que c'était encore le matin, la chaleur était déjà bel et bien présente. Azazel était donc en train de faire rouler le fauteuil roulant comme il pouvait dans le sable. Lorsque Wolf repartait avec son vaisseau, Shimotte se plaça au dessus de la jeune fille afin de la protéger du sable qui pourrait lui arriver dessus en déployant ses ailes. Une fois l'avion parti, l'ange déchu repris la route, se dirigeant prêt du sable. En fixant l'horizon, il pensait un peu aux récents événements qu'il avait vécu. Il venait de rencontrer une mignonne petite fille aveugle, muette et incapable de marcher. Il avait déjà remarquer tout ces aspects étant donné que lorsqu'il regardait Viola, son regard vide et sombre fixait tout droit ou les endroits avec des objets assez visible, de prêt ou de loin. Shimotte en avait fait la conclusion qu'elle était aveugle partiellement, comme si sa vue était brouillée.
<< Quelle perspicacité. >>
<< La ferme, Hojoka ! >>
Azazel venait de se surprendre en train de crier assez fort le nom de son compagnon d'âme. Il s'arrêta net avant de regarder si la jeune fille avait réagis. Ne la voyant pas se retourner ni l'entendre demander qui était Hojoka, il soupira de soulagement avant de s’asseoir à côté après avoir poser Viola par terre. Il n'avait pas grand chose à faire à part ramasser du sable avec ses doigts. Le sable glissait entre ses doigts et il essayait de construire quelques trucs, mais rien de bien intéressant se construisait. Il essayait des châteaux, des tortues mais sans moule, il n'y arrivait pas. Shimotte se releva alors, plantant son épée dans le sol à côté de Viola, accrochant sa cape au manche afin de lui faire de l'ombre.
Viola était perdue dans ses pensées, le regard vide. Elle n'écoutait rien, tellement rien qu'elle n'entendit même pas l'homme à côté d'elle parler tout seule. Elle regarda fixement en face d'elle, une main sous sa joue qui portait sa tête lourde et qui semblait lasse. Elle semblait regarder le soleil se coucher, elle arrivait à deviner que c'était bientot la fin de journée à cause des nombreuse couleur oranger. Elle soupira, d'un iar un peu triste et déçue. Elle vivait mais.. dans un autre sens nom. Elle ne vivait pas. A quoi bon vivre si on reste aveugler, immobile et muet... Une larme perla au coin de ses yeux et elle abissa la tête et regarda la grande surface jaune à ses pieds. Du sable surement conlue t-elle. Ne sachant pas quoi faire elle dessina dans le sable des formes qu'elle n'arrivait pas à voir. Qui sait... peut être que c'ets cerle ressemblait à des patattes. Que les lignes droite à des courbes. Elle n'en savait rien... elle traça un peu de tout et n'importe quoi avec son doigt dans le sable sans trop savoir comment se débrouiller ainsi. Après avoir gribouiller plusieurs dessin sur la sable elle écrivit un mot de quatre lettres : PAPA... Sont père lui manquait et cela se voyait, la larme perlant au coin de ses yeux finie par dégouliner sur sa joue et tomber sur le sable ou était inscrit se faible petit mot mal écrit. Puis les quatres lettres disparururent emporter par l'eau de la mer qui montait et se trouvait plus qu'a quelque centimètre et Viola elle verssait des larmes silencieuse...
Merwen a décidé de me suivre. C'est plutôt cool, mais prévisible. Après avoir passé des semaines en solitaire, à courir comme une beau gosse célibataire (je sais, une mauvaise comparaison...), il ne pouvait pas sauter sur l'occasion de laisser s'échapper ma personne, humble compagnon de voyage et as de la conversation... blanche. Bien entendu, cette blancheur varie avec l'interlocuteur qui m'accompagne. Et, bizarrement, je m'en sors plutôt bien avec Merwen. Il faut dire qu'il est plutôt comme moi : très peu bavard.
Je me sens plutôt bien. On passe nos journées à marcher et rouler - sisi, car je suis en fauteuil - et on tente de parler de tout et de rien. Je ne délie pas ma langue sur mon passé malgré la confiance qui règne, Merwen ayant l'immense qualité de ne pas être trop curieux (et cette qualité manque de nos jours). Je ne le questionne pas non plus sur sa petite enfance, information que je juge trop inutile. Un psychologue en aurait eu besoin pour inspecter son patient mais, voilà, je ne suis pas psychologue. Médecin plutôt.
Nous longeons une route quand la plage que je zappe depuis tout à l'heure suscite mon intérêt. C'est pas tous les jours que les bancs de sable m'attirent : ça bousille vos godasses même quand vos pieds sont inutiles et la surface meuble est difficilement praticable quand on est en fauteuil roulant. Et, très franchement, seul le cadavre d'une baleine aurait pu m'attirer. Mais là...
- La ferme, Hojoka !
Ce cri me fait tourner la tête. Là-bas, sur la plage, j'aperçois une grande silhouette, capuchonnée apparemment, qui semble pousser...
Ciel ! Une gamine en fauteuil roulant ?
- Regarde-moi ça, dis-je à Merwen, tout à fait intrigué.
Je quitte le trottoir et me rue sur la plage. Enfin, j'ai beau me ruer, je n'avance pas beaucoup. Je fais des gestes plus importants pour combler mon manque de vitesse, mais ce n'est pas suffisant. Les tas de bosses qu'il y a sur cette plage me mettent en mode << fais gaffe ou tu t'casses la gueule >>. Je tente d'avancer, me retrouvant coincé à maintes reprises.
- Putain de merdre, je lâche en me prenant un coquillage dans le pied. Putain, il est gros c'ui-là ! ... Eh merdre !
Là je suis à deux doigts de chavirer sur le côté à cause d'une saloperie de trou. C'est qui le con qui a creusé ça là ? Un chien errant ? Je suis le seul chien de la région je pense, même si je suis vert et handicapé, mais merdre, j'ai passé l'âge de creuser des fossés partout ! Je ne comprends pas cette manie. Des études de psychologie m'aurait peut-être apporté beaucoup en fin de compte !
Coincé pour de bon. J'y beau remuer les bras, je n'arrive à rien. Je continue tout de même. Hors de question de me faire aider cette fois. Je refuse même l'assistance de Merwen, le priant gentiment de me laisser me démerder. Les inconnus nous ont remarqués.
(Premier post sur tablette numérique, je vous dit pas le calvaire x( )
Merwen avait effectivement réussi à rattraper Fern et cela faisait maintenant un moment qu'ils se baladaient. Ils ne parlaient pas beaucoup mais c'était mieux que de tenir compagnie à une épée. Il avait discuté de temps en temps avec. Enfin, "discuté", il la dégainait de temps à autre pour s'engueuler avec. Si tu la laissais moisir trop longtemps elle te criait dessus. C'était sympa mais une monotonie commençait à s'installer. Ils marchaient/roulaient à côté d'une plage quand un cri retint l'attention de Merwen, et celle de Fern, par la même occasion.
La ferme, Hojoka !
Regarde-moi ça.
Cela semblait intriguer Fern tout autant que Merwen. Il semblerait que ce soit l'homme qui se soit exprimé ainsi. Il devait parler à l'autre personne qui s'appelait donc logiquement Hojoka.
Putain de merdre !
Merwen regarda Fern tentant tant bien que mal de rouler sur le sable. Il parlait bizarrement, utilisant l'exclamation merdre. Il y avait un r en trop, non ? Bof, ce n'était pas important. Il se retrouva alors bloqué, s'énervant, agitant les bras dans tous les sens pour s'en sortir. Merwen s'approcha pour l'aider mais Fern lui fit comprendre qu'il voulait se démerder. Soit. Merwen le regarda s'acharner quelques secondes, amusé, puis le laissa là pour s'approcher des autres. De toute façon si il voulait de l'aide il pouvait toujours demander. Hojoka (je sais que ce n'est pas son nom, mais du point de vue de mon personnage si, pas de commentaire donc) avait arrêté de dessiner dans le sable. Il y avait un homme étrange avec des mains rouges et une fille en fauteuil roulant. Une épée était plantée dans le sol, et ce qui était probablement la cape de l'homme servait de parasol de fortune. En se rapprochant, Merwen vit que Hojoka pleurait, et que seul l'homme semblait remarquer la présence de Merwen. Pourquoi pleurait-elle ? Cela avait-il un lien avec ce que venait de crier l'homme ? Elle semblait n'avoir aucune réaction avec le monde extérieur et Merwen préféra se tourner vers l'homme. Par contre il se rendit compte qu'il avait juste l'air con. D'accord, il se demandait ce qu'il se passait, mais il n'avait rien à dire. Il s'était précipité et il était maintenant planté comme un abruti devant l'homme. Il aurait pu demander pourquoi il demandait à Hojoka de la fermer mais ça lui paraissait maintenant complétement débile. Ca ne le regardait pas. Bon, pour ne pas trop passer pour un abruti quand même il regarda Hojoka et demanda :
Pourquoi pleure-t-elle ?
Sérieux, c'était tellement nul comme approche... Et puis ça le regardait autant que la raison pour laquelle l'homme avait demandé à Hojoka de la fermer. Mais bon, il était un peu tard pour rebrousser chemin. Il espérait juste que Fern ne mettrait pas trop de temps pour se dégager.
Shimotte regardait l'horizon, ne sachant quoi faire, à part patienter. Il regardait aussi autour de lui, ou ce que faisait Viola. Elle dessiner des choses au sol. Sa cécité ne lui permettait pas de faire des dessins précis, mais elle faisait ce qui ressemblait vaguement à 3 personnes devant une maison, une est sans jambe et finie par être barrée. Azazel écarquillait les yeux, tentant de comprendre ce que ça voulait dire, malgré que ce ne soit pas très explicite. Elle fini par effacer le dessin en passant sa main dessus et écrit 4 lettres tremblantes dans le sable " P A P A ". Une fois le mot terminé, une vague vient emporter le mot. Viola passe ses mains au niveau de son visage, cachant ses larmes. L'ange déchu s'accroupi alors à son niveau, passant sa main dans son dos. Elle devait penser à son père qui lui manque et Shimotte compatissait avec elle, malgré qu'il n'a jamais eu de père.
<< J'ai le pressentiment qu'on va recevoir de la visite. >>
<< [Dans sa tête] Pffrt.. Comme si "Monsieur Hojoka" avait des pouvoirs de prémonitions... >>
Hojoka n'avait pas tord, et pour preuve, Shimotte et Viola pouvait entendre derrière eux les bruits de roues de fauteuil roulant s'affoler, puis une chute dans le sable. Azazel se retourne alors, voyant un chien vert à moitié dans le sable, accompagné d'un homme en armure armé d'une grande épée. Shimotte se relève alors, regardant le soldat s'approcher lentement de lui, laissant l'animal à son sort, ce qui fait glousser l'ange déchu.
<< Pourquoi pleure-t-elle ? >>
<< C'est une très bonne question. >>
Après avoir répondu à Merwen, Shimotte relève complètement son regard vers le casque de l'homme, lui laissant la possibilité de voir sa peau de couleur écarlate. Son regard n'est cependant pas visible, assombri par sa capuche et le soleil dans son dos ne permet pas de l'éclairer. Un vide s'installe alors, bercer par le son des vagues et des jurons du chien vert qui se débat encore, ce qui laisse un sourire moqueur se former sur le visage de Shimotte qui tente de l'effacer.
<< Je crois qu'il attende que tu lui donne plus de détails. >>
(( HRP : Si tu veux Merwen, nos épées peuvent entrée en contact, ou du moins elle peut entendre ce que la mienne dit, et inversement. ))
La fille au cheveux violet resta silencieuse et ne répondait de rien. Pourtant elle entendait bien ce qui sa passait autour d'elle. Elle ne dégnat même pas de regarder autre chose que le sol. Elle se contanta juste de écouter les bruits qui était porter à ses oreilles par le vent. Visiblement personne connaissais la cause de ses larmes et également ils avaient tous remarquer ses goutes perlant sur ses joues. Avec le manche de son chandaille elle essuya se vilain signe de tristesse et de mélancolie qui c'était installer sur ses joues.
Elle tourna doucement la tête sur le côté une fois cela chose faite et tenta de distinguer les forumes eprésentant les personnes qui parlait d'elle dans son dos. Elle eu du mal à distinguer qui était qui mais manqua de confondre la personne vêtue à ses yeux de vert avec un buisson. Le fauteille roulant qu'elle voyait de manière difforme mais en gris lui indiqua cependant que c'était pas un buisson. Quand à la personne en armure, elle ne distingua juste qu'une silhouette dure à définir entière griser et légèrement brillante au soleil.
Elle les regards sans dire un mots, celle-ci ne pouvant pas dire grand chose par ailleurs. Le vent carressait son visage et ses cheveux qui planèrent dans cette douce brise de bord de mer. Et son regard quand à lui, au pupille jaune assombrit par sa mal vue gardait encore les quelques signes un visage en larmes.
(je réalise que joue un perso paralser, aveugle et muet se résume à faire des posts qui fait avancer personne )
- Putain, bon, la récré est finie... Merwen, viens m'aider, cette situation me fait chier.
Ayant été incapable de me dégager tout seul, je finis par solliciter l'aide du chevalier. Il arrive me dégager - quelque chose de super facile pour lui - et me ramener près des inconnus. Sur le chemin, je jappe, ne supportant pas l'air ridicule qui s'est posé.
- Dis un seul mot et je te fais la gueule. Et souris pas ! J'ai beau pas voir ta tronche sous ton casque, c'est pas une raison pour te moquer. J'suis en fauteuil roulant et tu respectes, compris ?
J'ai de quoi imiter un parfait gueuleur inutile. Un bel aristo arriéré. Mais ces phrases n'ont rien de bien méchant. Je suis juste contrarié de ne pas savoir me démerder seul. Bon, au moins, je suis loin de ce trou à la con.
Le mec est terrifiant. Sa cape à la Saint-Michel met bien en évidence ce côté ange déchu. Est-ce le carnaval ? J'vais pas le juger en tout cas. Non. Ma vision se pose plutôt sur la jeune fille aux cheveux violets. Elle est aussi le cul dans le fauteuil que moi.
- Pourquoi pleure-t-elle ? Avait demandé Merwen.
- C'est une très bonne question, a répondu l'ange déchu.
Je regarde la demoiselle. En effet, elle garde la tête baissée, s'essuyant les yeux de sa manche, comme honteuse de ses larmes. Pour quelle raison, ça, je l'ignore. Je l'ai vue au loin tracer quelque chose dans le sable. Mais quoi, je n'en sais pas plus.
Elle pleurait sans faire de bruit. Je l'observe avec plus de précision. L'état de cette petite parait grave malgré les apparences. Je lève les yeux vers l'inconnu.
- Vous trimballez cette gosse avec vous depuis longtemps ? Elle a quoi comme problèmes exactement ?
Voir des gens malades suscitent toujours mon intérêt. Évidemment. Je ne suis pas médecin pour rien.
- C'est elle Hogoka, ou machin truc ? (J'ai pas retenu l'nom) Difficile de dire à une demoiselle pareille de la fermer. A moins qu'ce soit pas elle ? Dans c'cas-là c'est qui ?
Est-ce que j'ai également un schizophrène sur le dos ? Bah bonjour la consultation...
(Shimotte => Mon épée peut juste parler normalement, mais pas quand elle est dans son fourreau, car ça étouffe le son. ... Enfin, c'est l'excuse bidon pour expliquer que je l'oublie toujours. ><)
L'homme répondit que c'était une bonne question. Bon, ça ne l'aidait pas beaucoup mais au moins il ne s'était pas pris un vent. Un silence s'installa, tandis que Fern était toujours en train de pester dans son coin. Merwen eut de nouveau un sourire en coin lorsque Fern l'appela pour solliciter son aide. Il fit deux pas en arrière, en faisant face à l'homme qui avait une peau écarlate. Il se retourna et se dirigea vers Fern, le dégageant et l'amenant vers les autres. Il n'était pas très content et râlait, demandant à Merwen de ne pas se moquer. Bon. Heureusement qu'il ne voyait pas sous le casque. Il s'intéressa immédiatement à la fille en fauteuil roulant, posant de nombreuses questions. Mais elles n'étaient pas dénuées d'intérêt. Après tout c'est vrai, elle a l'air assez silencieuse, si ce n'est pas elle Hojoka, qui est-ce ? Merwen leva les yeux vers l'inconnu, le regardant bizarrement. Il avait toujours son casque, donc ça allait, l'autre ne pouvait pas voir la tête qu'il faisait. Mais peut-être qu'elle était silencieuse et pleurait parce que l'autre lui avait crié dessus. C'est alors qu'un crabe géant bleu apparut. Sérieusement, qu'est-ce qu'on donne à manger aux animaux ici ? Il se rapprochait et sa pince avait probablement la capacité de broyer les membres des personnes présentes. Bon. Merwen sortit son épée et fracassa le crabe avec. Il n'avait qu'à pas faire chier, namého. è_é
Ah non ! C'est quoi ça ? Il est dégueulasse ce crabe ! C'est quoi qui dégouline de partout là ? C'est tout gluant et ça pue, c'est une infection. Pouah ! Sérieux, faut que tu me laves et fissa.
Ca va, je te laisse jamais sale bien longtemps.
C'est ce que tu dis. Moi je me rappelle de la fois où tu as buté une dizaine de saloperies et que tu es resté toute la nuit sur le qui-vive de peur que d'autres arrivent. Leurs entrailles puaient !
J'avais pas le temps. S'ils étaient revenus...
Oui, mais ils ne sont pas revenus. A la fin je n'en pouvais plus, c'était horrible d'avoir ces trucs sur moi !
De toute façon tu t'en fous, t'es qu'une épée, tu n'as ni nez ni bouche alors tais-toi et ne viens pas me parler de puanteur.
Parce que t'es raciste envers les épées maintenant ? Eh bien super, c'est cool ! Si je pouvais, je me casserais.
Et merde. Maintenant c'est son épée qui s'y mettait. Quelle journée pourrie. De toute façon il n'allait pas laisser cette matière visqueuse lui couler dessus non plus. Il partit l'essuyer dans l'herbe, toujours en se disputant. Il finit quand même par se rappeler qu'il n'était pas seul. C'était le genre de situation chiante qui pouvait arriver quand il se laissait emporter avec son épée. Il se tut subitement et releva la tête vers les autres personnes présentes et fit un sourire à la con. C'était stupide car il avait son casque, mais bon.
Hé bin vous avez pas l'air jouasse. Qu'est-ce qu'elle a la petite ? Depuis tout à l'heure elle regarde par terre.
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