Viola. Son nom était Viola. Son corps disait le contraire. Son corps était celui de Ellen. Il restait celui de Ellen même après que son âme ait franchit les fenêtres de l’au delà. Son vrai corps était pas ici. Son vrai corps n'était pas dans ce monde surement. Il devait surement se trouver bien loin. Très loin. Au côté de son père surement. Son père qui l'a tuer en voulant en réalité que la protéger. Son père qui l'acheva elle au lieux de l'âme du monstre habitant dans son vrai corps. Le pauvre, se pauvre père qui était chasseur et avait tuer sa pauvre fille a présent bien loin de lui. Très loin. Il ne voulais pas ça. Viola le savait qu'il ne le voulait pas. Elle savait bien que son père avait pas réussit à la reconnaitre enfermer dans ce corps, corps qui n'est pas le sien.

Dans cette obscure forêt plonger sous un ciel étoilé et sans nuage, apparue une douce lumière blanchâtre autour d'un corps immobile et endormit. Flottant délicatement dans les airs pour se poser au sol, au moment où le corps nettoyer de toute trace de sang toucha terre, cette douce lumière provenant de l'au delà s'enfuie des lieux. De ces lieux qui respiraient la vie malgré l'obscurité qui s'y trouvait pendant cette nuit froide. Il y a peu, une pluie abondante c'était abattue ici. Maintenant la terre et l'herbe verte était humide et des goutes de rosées perlaient sur les feuilles des arbres. Les rayons de la lune dessinait faiblement la foret qui, en son cœur, au pied d'un très au chaine, reposait le corps inerte et endormie d'Ellen. Corps qui en réalité abritait l'âme en peine de Viola.

Une question se posait. Pouvons-nous vraiment mourir, quand on ne meurt pas dans son véritable corps ? Il faut croire que oui. Car après tout c'est ce qu'il lui est arrivé, à cette pauvre innocente. C'était arriver à cause d'un secret, un échange... une trahison. C'était arriver à cause de Ellen. Ellen qui a présent vivait dans le véritable de corps de Viola et se faisait surement passer pour elle devant son père. Viola était donc morte dans le corps de Ellen. Et revenue à la vie dans se même corps mais dans un monde totalement différent et loin de celui où elle avait vécue heureuse avant cet horrible accident. Cette horrible trahison.

Endormit, ce corps épuiser par d'horrible blessures de jadis, réincarner dans un autre monde et réparer, ne remuait pas, ne bougeais pas, rien. Il avait beaucoup changer. Il avait tellement été si bien soigner que plus aucune blessures ayant causer la mort de Viola était visible. Plus de traces des coups de fusils à pompe, plus de cascades de sang sortant de deux trous béant à la place de ces yeux clos, plus de trainer incroyable de liqueur écarlate à la place de ses longues et fine jambes frêles. et plus de sang tout simplement. Juste plus de sang, plus aucune goute de sang et blessure de vissible. Le corps était propre et soigner de toute les atroces blessures qu'il avait subit.

Un signe de vie se fit voir quand le corps endormit semblait s’éveiller au contact d'une goute de roser qui tomba sur les joues pâles de la jeune fille qui peux à peux reprirent de la couleur. Faiblement, sa main droite remua et ses paupières également. Un courant d'air glacé parvient à la faire frémir. Elle eut plusieurs sensation qui ne lui était pas inconnue. Le froid, mais la froideur de la mort était bien pire que cette brise. La sensation de baigner dans du sang, mais ici, elle ne pouvait que baigner dans une simple petite flaque d'eau ou la terre boueuse qui c'était former après la pluie. Ses mouvements semblaient comme épuiser, lourds, lasse. En ouvrant avec peine les yeux, elle ne parvint à distinguer rien d'autres que des formes flou et des couleurs sombres mélanger. Sa voix était comme un murmure imperceptible et impossible à entendre même dans le plus grand des silences, comme si sa voix était inexistante.

Ses mains encore tremblante, en tâtant un peu partout finire par tomber sur les jambes tendre et frêle qu'elle avait à présent. Jambes qui quand elle essaye des les bouger restèrent immobile. Comme si elle y était paralyser. L'apparence avait changer certes. La mort ne rodait plus autour d'elle, tout comme le sang qui la recouvrait. Mais beaucoup de problèmes étaient toujours bien présent. Peut être que cela était normal à près tout que tout ne lui sois pas revenu ? Après tout, elle devait surement déjà s'estimer heureuse d'avoir un cœur qui bas. Heureuse. Oui malgré qu'elle ne distinguait pas grand chose , n'arrivait pas à se lever sur ses jambes et ne pouvait pas dire grand chose non plus, elle était déjà bien contente.

Au pied du grand chaine, qui ressemblait à un géant la protégeant, elle exécuta moult chose qu'elle pue faire avec se corps sans douleur. Avec ses bras, elle agrippa ses jambes et les ramena vers elle, contre sa poitrine et posa sa tête contre celle-ci. Elle ferma les yeux, murmura quelque chose d'impossible à entendre mais dont le simple fait de imiter la prononciation avec ses lèvres fut suffisant à la faire sourire. "Je suis heureuse" Elle sourie oui, chose qu'elle ne pourrais pas faire si elle était poignarder de moult douleur. C'est alors en silence qu'elle resta dans cette position à découvert de quoi et qui que se sois et facilement repérable de loin part sa magnifique robe rouge écarlate.

Elle profitait de chaque chose qui lui fut donner de profiter. Elle profita du silence apaisant de la foret, de la douce brise caressant son visage, de ses jambes frêles, fine et faites de chair et de sang qu'elle pouvait au moins touché, caresser et sentir contre elle. Même à moitié aveugle, muette et paralysés des jambes, Viola avait le sentiment d'avoir fait un pas en avant que tout allait aller bien à présent. Du moins elle l'espérait. Pour le moment elle ne s'attarda pas sur les choses à venir, sur le futur. Non elle profitait de l'instant présent. Pour elle il n'y avait que ça qui importait pour le moment.  

Le chant des oiseaux se faisait entendre dans la forêt. Les premiers rayons de l'aube arrivaient. Viola c'était endormie en silence dans sa position, au pied du grand chêne. Durant son repos elle trembla légèrement se laissant saisir par la brise glacé de l'aube qui approchait. Elle se sentait apaiser, détendue... La tranquillité arrivait à réchauffer son cœur malgré l'air glacé de l'hiver autour d'elle. Alors que l'aube était à présent arriver, la jeune fille au cheveux d'un violet livide se réveilla, un bruit suspect la sortant de son sommeil. Des branches qui se casse et tout un petit raffut dans les arbres et les feuillages...

Viola s’inquiéta alors. Qu'est ce que c'était ? Et si c'était une bête féroce, ou un monstre, ou pire encore... Comment allait-elle faire pour s'en échapper. Viola qui c'était montrer optimiste par le peux qu'elle avait remarqua le danger des inconvénients qu'elle gardait cependant. Elle dirigea son regard aveugle en direction des bruits sans rien distinguer de très net à part quelque chose de sombre. Une sorte de silhouette. Viola recula à l'aide de ses main jusqu'au tronc du chêne, le dos fermement coller contre celui-ci. Viola aurait aimer mieux voir ce qu'il se passait autour d'elle, mais non. Elle ne voyait juste parmi les couleur rosé et orangé de l'aube une chose noire.

Le bruit d'une branche qui se casse retentis dans une autre direction, la faisant encore paniquer encore plus. Sa respiration s'accéléra alors que maintenant elle essayait de distinguer ce qu'il y avait en direction de ce nouveau bruit. Quelque chose de bleu, blanc ou gris. Elle ne savait pas trop quoi en penser. Alors que n'importe qui pouvait la voir, elle, elle ne voyait rien d'autres que des couleurs et des formes trop flou pour qu'elle puisse savoir si cela n'est que partie du décor ou quelque chose de vivant. Tant de bruissement de feuillages soudainement. Tant de sentiment d'insureté. Viola commençait à trembler. Et ce non pas de froid mais de peur. Ne voyant rien elle utilisa les autres sens qui était à sa porter comme le toucher et l'odeur. Alors, elle remarqua que venant du bruit faible d'uen branche qui se brisa, une odeur de loup se faisait sentir. Un loup. Et si il était affamer ? Viola recula alors en laissant trainer ses jambes pour aller à l'opposer. Mais elle tomba cependant par la chose toute noir qu'elle n'arrivait pas à distinguer et finie par poser une main dessus.

C'était chaud. Cela était du tissu. Une cape sans doute. En tâtonnant un peu trop pour fuir ce qu'elle croyait être un loup affamer la traquant, elle finie par toucher le visage de l'homme se trouvant dans cet amas de tissu noir. Un visage lisse, doux et chaud. Viola y retira rapidement sa main suite à cela intimider et regarda de nouveau en direction de là où elle aurait crus voir un loup blanc à cause de couleur griser, bleuté et blanche qu'elle avait aperçue. Même si le corenien était bien à couvert, Viola elle ne voyait pas grand chose de ce qu'il se passait.

Proche de ce qui semblait être un homme inconscient et tomber du ciel tel un ange, Viola le secoua légèrement de sa main au niveau de ce qu'elle aurait pu penser etre l'épaule après avoir identifier où se trouvait son visage. Après tout, elle ne pouvait pas laisser cet homme là si comme elle le croyait il y avait un loup affamer dans le coin ! Elle aurait bien voulue l'appeler pour le réveiller, mais quand elle ésseilla elle réalisa à nouveau que aucun sons sortie de sa bouche.

Se guidant à l'aide du son et de l'odeur, Viola réalisa que la chose qui dégageais une odeur de loup pouvait parler. La malheureuse qui ne s'imaginait pas du tout un loup qui parle, crut alors qu'il s'agissait d'un chasseur, un chasseur... comme son père. Après tout elle sentie bien qu'elle était dans la foret à cause des nombreux bruissement e branches et de feuilles.

La chose qui était à côté d'elle semblait également être un homme, ce il se leva et se mit à parler. Mais visiblement il y avait une confusion, et viola.. au coeur de celle-ci, ne pouvait pas faire grand chose pour l’arrêter à par faire quelques jeste des bras et de la tête pour pas que sa part en combat pour juste 2 fois rien. L'etre vêtue d'une cape seblait prendre l'autre pour un futif qui lui avait fait du mal. Alors que les deux allaient surement se battre, Viola qui était au sol, saisit par reflex la chose qui était au sol et en réalité la cape de celui qui la défendait telle un preux chevalier. Elle tira faiblement dessus pour qu'il arrêter et esseya de parler encore pour dire juste un simple non tout petit innocent, juste ça. Mais elle n'y arriva pas, même avec d'énorme effort. Elle ne parvint juste à lâcher un son très faible et incompréhensible.

-Nnnnnh.....

Bien vite il commença à être facile à remarquer que la jeune fille ne voyait rien , n'arrivait pas à parler ni à bouger des jambes comme si elle était aveugle, muette et paralyser tel un arbre ou.... tel une morte......

Viola se sentait un peu gêner. Oui... visiblement il y avait confusion sur la relation qu'elle avait avec l'inconnu qui était fort sympathique avec elle. Hmm... Peut-être que c'était à cause de son handicape ? Viola n'en savait rien. Mais bref, elle se faisait déjà un mauvais ressentie de celui qu'elle croyait etre un chasseur. Il parlait de manière grossière et riait d'elle et de l'inconnue . Enfin elle estima surtout d'elle, n'arrivant pas à parler celui qu'elle croyait etre un homme utilisa cela comme petit moyen de provocation avant de la saisir dans ses bras. Viola ressentie alors les mains étrangement armurer de métal et très piquante du grossier personnage. Elle sentie également son halène de plus près. Halène pas bien agréable et réalisa bien vite. Qu'il y avait beaucoup trop de poils un peu partout pour que se sois un homme. Non... C'était vraiment un loup qu'elle ressentait au toucher et à l'odeur ! Mais... depuis quand les loups parle ? Puis Viola réalisa que le chat de Ellen parlait bien lui aussi hmm... La jeune fille n'aimait pas ça mais que pouvait-elle faire ? La voila donc sur le dos d'un animal qui parle avec un inconnu qui serait sois disant... tomber du ciel tel un ange. Dans quel monde était-elle tomber ? Et pourquoi faut-il qu'elle y vois rien ! a jeuen fille préfera cependant ne montrer aucun signe de désaccord pensant que cela ne pouvait pas etre pire que de ce faire bouffer par de véritable bête sauvage assoiffer de sang et qui parle pas seule en pleine foret. Puis après elle se demanda ce que c'était un "Arwing". Elle aurait bien voulus le demander mais elle ne pouvait pas le dire. Peut être qu'on étant attentive à la conversation elle le saurais ou en se fiant au autres bruit...

Visiblement, aucun des deux étranger avait remarquer ou retenue dans leurs esprit que Viola arrivait pas à parler. L'inconnu, enfin le loup qui parle lui demanda ou elle voulais aller. Mais que pourrait-elle dire ? Après tout elle ne connait rien de là où elle est et serait sois disant dans un autre monde. De plus ce dernier ne c'était pas présenter. Installer une fois sur un siege à tout hasard, Viola crus comprendre que l'autre étrange n'avait pas suivit leurs trace. Elle écouta alors un momet et entendis le loup sortir. Quelque mnutes plus tard une personne entra mais pas de la même démarche. Oui.. elle entendais dans cette démarche une cape trainer au sol. C'était l'homme que le loup était partit chercher, enfin l'homme ou l'ange ? Viola n'en savait encore rien. Celui-ci était cependant plus polit et se présenta sous le nom de Shimotte. Il demanda suite à cela ne nom de Viola qui était muette. Mais.. que pouvait-ele dire ou faire pour qu'il le sache. Par politesse elle retenta alors sa chance pour parler et au moins dire faiblement son nom au dénommer Shimotte ou Azazel ou bien encore Zazel ou sois zezel... avec tout ces "zel" Viola ne pue se retenir de sourire en pensant tout juste après à "Bretzel", puis elle posa malgré tout sa main sur sa gorge en signe qu'elle n'y arriverais peut-être pas puisque qu'elle est comme muette.

Elle se forca alors, sa gorge se torda, de faible son en sortir. Un V très mal prononcé ce fit entendre, puis un I très aigüe suivit de près par un O tremblant et dure à distinguer et terminer par un la faiblement prononcer ce terminant comme par une petite note de douleur à la voix.

-V..I...O..la..har...

Viola sentait comme du sang monter dans sa gorge qu'elle attrapa avec ses deux mains avant de se courber vers l'avant, metter ses mains devant sa bouche et cracher une faible gerber de sang après cet effort horrible pour elle. Elle pourrait pas tout le temps faire l'effort de parler mais au moins elle avait réussit à dire son nom plus distinctement qu'elle avait réussit à dire "non"... un faible pas vers le progret peut être... Elle se mit à tousser en évitant de salir le lieux où elle était avec sa faible gerber de sang.

Alors que Viola laisser couler de sa bouche de faible gerbe de sang, une main protectrice se posa sur son dos. Ce genre de main protectrice que pourrais donner n'importe quel père à son enfant. Alors que Viola cessait de cracher du sang, un sentiment de nostalgie la saisie. Elle se rappela de son père qui lui aussi, était très protecteur auprès d'elle. Qui n'avait peur de rien pour la protéger. Qui n'aurait même pas peur de... tuer l'inconnue. C'était bien à cause de ça qu'elle était morte... pas peur de tuer. En croyant la protéger il l'avait achever. Elle versa doucement quelque larmes discrète qui emplir ses yeux troubler, les larmes tombèrent goute à goute dans son sangs retenue dans ses frèle mains tremblante. Puis dans ses mains, le sang mélanger au larmes du passé donna naissance à des roses. Plus de sang, juste la beauté des roses dont les tiges gardaient cependant un certains danger, les piquants. Mais aucun de ces derniers ne blessa Viola qui en rouvrant les yeux après avoir versé des larmes, distingua la couleur des roses et des formes flouter et déformer qui semblait comme former une forme plus que attendrissante, un cœur, comme une lueur d'espoir, un signe de promesse au bonheur. Alors que non dans ses mains c'était des roses pas autre chose, mais la signification restait bien la même... Bonheur.

La jeune file cessa de verser des larmes et se redressa après avoir laisser échapper cette gerbe de sang qui c'était changer en rose dans ses mains mélanger à ses larmes. Sa faisait couvrir et protéger du froid par la même personne qui avait poser une main protectrice sur elle, cette personne qui avait fait apparaitre à ses yeux cette lueur d'espoir. Elle tendit, une larme encore au coin de l'oeil les roses magiques né de ce faible instant de tristesse mélanger avec de la joie d'avoir croiser uen personne aussi attentionnée et dont le cœur ne semblait pas être aussi sombre que celle qu'elle croyait être son amie.

(Non c'est pas une déclaration d'amour /PAN/ )