C'était enfin l'été. Qui dit été dit vacances. Après l'île Belnana et Vaguelone, c'était au tour de l'île Wuhu d'être le lieu de vacances. Cette île était réputée pour accueillir de nombreux événements sportifs tel que les duels de sabre, des courses à vélos ou encore des batailles avec des karts. Cet été, il n'avait pas que les Miis qui allaient faire bronzette ou faire du sport dans cette île.
Faust profita un après-midi sur la plage de cette île assis sur un transat à lire un roman. Il portait uniquement un short gris foncé. Le reste de ses affaires étaient dans son sac. Une chance que cette plage était assez grande que tout le monde pouvait faire ce qu'ils veulent sans nuire l'autre. En plus, l'île fournissait des activités diverses.
Faust interrompit sa lecture quand un frisbee atterrit à quelques mètres où il était. Balayant les lieux du regard, il ferma son livre et se leva péniblement du transat pour ramasser l'objet. Personne ne semblait appeler le bouc à part un chien qui se dirigea vers lui. C'était un chien au pelage noisette avec des formes simples. Une grosse sphère pour la tête, des formes très segmentées, c'était ce que pourrait décrire le chien selon Faust qui lança le disque dans la direction opposée. Puis, il se rassit pour continuer son activité.
Tout était normal. Enfin ... , les hôtesses étaient sexy, le pilote faisait parfaitement son travail, et le ciel était d'un bleu splendide surmonté d'un soleil radieux. Tout était normal dans le vol numéro 666-RIP Brazil - New York où je me trouvais. Je regardais encore quelques documents au sujet de l'élection présidentielle de Peter, je vérifiais quelques détails et j'allais demander un verre d'eau à l'hôtesse la plus proche de moi. Celle-ci me tourna le dos et se pencha, ce qui me permis d'entrevoir certains détails cachés et se retourna pour enfin me tendre mon verre d'eau. CEPENDANT ! au moment même où elle me le donna, il y eu une secousse, un trou d'air sûrement, mais secousse qui fit tomber le verre d'eau sur mon magnifique pantalon qui valait bien plus que l'avion dans lequel je me trouvais. Avant même que j'ai pu dire quelque chose, l'hôtesse toute gênée commença à me sécher le pantalon en frottant d'une certaine façon, sur une certaine zone, ce qui était d'une part très étrange, mais aussi très agréable.
Cela dura cinq minutes, durant lesquelles les trous d'airs se répétaient sans cesse puis vint inattendu une aile de l'avion se détacha de l'appareil, de mon côté ce qui provoqua chez moi une réaction toute à fait normale :
- Dafuq ???
(Regardant l'hôtesse)
- Excusez moi, est ce que c'est ... normal ? Parce que voyez-vous, comment dire, chez moi dans mon pays, les ailes ne se détachent pas normalement donc je me demandez si cela était une sorte de tradition au Brésil de faire ...
J'avais à peine le temps de finir ma phrase que la seconde aile de l'avion se détacha ce qui me confirma que ce n'était pas normal. Ainsi s'ensuit des craquelures qui s'élargissaient au fur et à mesure du temps. Les autres passagers criaient à en mourir mais moi j'étais bien décidé, à ne pas céder à la peur et je décidais de bien m'attacher à mon siège en attendant l'inévitable. Même pas dix secondes plus tard, l'avion se disloqua et je vis que nous étions au dessus d'un océan bleu .... océan. Ma chute comment ça,elle fut longue pour ma part et à ma grande surprise, au moment de tomber dans l'eau, un éclair se fit et je me retrouvais désormais de nouveau dans le ciel et là, je commença à m'affoler lorsque je vis que j'allais atterrir sur une petite île. Ainsi, je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps et me prépara au choc que j'allais subir. Ainsi, au moment de m'écraser sur le sable fin et chaud, je vis une toute dernière image avant de m’évanouir par la force du choc :
Ayant besoin de vacance, j'avais décidé de rejoindre Faust sur cette ile si belle dont tout le monde disait du bien ! "L'île Wuhu" Alors que je m'amusais à construire un chateau fort de sable grandeur nature, Un chien étrange avec un freesbee pénétra dans ma forteresse sablé de 5 mètre de haut. Alors que je montais sur un escalier de sable pour me retrouvé sur une des murailles, le chien commença à s'excité et agité son freesbee, ayant peur qu'il abime mon beau chateau, je lui pris et sans regarder dans quelle direction je le jetais. Le chien se carapata a la poursuite de son précieux jouet évidemment. Je vis du haut de ma muraille que Faust lui redonnais le freesbee, je le hélais :
-HE FAUST ! T'A VU MON CHATEAU !?
Alors que je lui faisait de grand signe avec mon petit bras, j'entendis un bruit venant du ciel :
-HEIN ??!!! UNE CHEVRE ???????????
Et boum ! ce type en costard qui tombais du ciel était tomber en plein sur mon chateau et l'avait renvoyé au stade "gros pâté informe". Agaçé, je sortis le type en costard et le par le col pour le secouer (kb est très fort btw).
L'esprit de Faust commença à saturer. Le bouc arrêta la lecture et eut envie de se baigner pour se rafraîchir. Seulement, ce n'était pas prudent de laisser ses affaires. Faust décida finalement de se désaltérer. Avant de faire cela, son ami Kirby Bros lui cria pour montrer son château gigantesque. Le bélier se demande comment avait-il pu récolter autant de sable et comment avait-il réussi à construire ce bâtiment en si peu de temps. L'animal lança juste un sourire en guise de réponse. Dans le panier congélateur, Faust sortit une bouteille dont la forme ressemblait à celui d'un ballon à fond plat. Il la décapsula puis but son jus d'orange gazeuse.
A peine quelques gorgées, un homme tomba du ciel en criant comme si il voyait pour la première fois une chèvre sur la plage. Pas de chance pour la boule rose. L'inconnu atterrit sur le château provoquant une énorme explosion de sable devant les yeux de Faust. Bizarrement, le bouc pensa à une publicité de la boisson dont il était en train de boire. Il se rappela de la scène où un homme se faisait écraser par un satellite. Plus tard, le texte indiquait que ceux qui buvaient du jus d'orange gazeuse étaient exposés aux gros risques à 0%. Faust aurait ri devant cette publicité. Mais là, il fut abasourdi.
Le plagiste se précipita vers le tas de sable pour voir si Kirby Bros n'avait rien de grave. Il avait paniqué quand il vit son ami coincé dedans. Le bouc se rassura quand il se rendit compte que ce dernier marchait sur le tas avec un homme à ses mains. Cependant, même si l'inconnu fut inconscient, Kirby Bros n'eut pas hésiter à le secouer de rage en songeant qu'il était responsable de la destruction de sa création. Faust grimpa rapidement pour vite calmer le jeu.
-@ Kirby Bros : Calme-toi ! Tu ne vois pas qu'il est sonné en ce moment ?
Après avoir jeté un regard noir à son ami, le bouc se tourna vers l'autre. La chute devrait être dur pour lui. Une chance que ses pouvoirs n'étaient pas en vacances. Faust posa sa main sur le torse de la victime et fit son travail de soigneur avec sa magie. Il tenta de se connecter à l'esprit de l'humain.
La chute avait été tellement rude, que j'en avais perdu connaissance, je me remémorais les derniers instants avant mon crash : la belle hôtesse et ses beaux sous vêtements, le fait que celle-ci m'ait agréablement séché mon pantalon, l'envol des deux ailes de l'avion, une chute et une chèvre ... UNE CHÈVRE ! Enfin je m'en rappelais, j'avais vu avant de m'évanouir une chèvre ! une chèvre !!! Je tentais de remettre de l'ordre dans mon esprit, mais mes efforts furent vains lorsque j'entendis une voix chevrotante me demande :
- Heu... vous allez-bien ?
J'ouvris les yeux quelques secondes, je ne vis rien d'abord à cause du soleil, mais ma vue s'étant habituée, je vis non pas seulement une chèvre parlante, mais une chèvre parlante avec une sorte de boulette rose qui avait l'air mécontente. Assez désappointé, je répondais d'une voix assez hésitante : - Je ... je suppose ... par contre vous êtes ... réellement une chèvre ... parce que je pense pas que je sois sur Terre là ... où suis je ? ^^
Avec un casque sur les oreilles, Link profitait du beau temps et du soleil radieux qui tapait contre l'hublot qui lui laissait apercevoir une plage aux cocotiers parfait et un océan à l'eau turquoise. Un cadre de rêve qui se transforma bientôt en un cauchemar pour l'avion qui volait en face et qui venait de plonger dans l'eau. Heureusement, les passagers à l'intérieur avaient pu s'en tirer vivant. Link, très fatigué, finit par se rendormir, la musique toujours à fond dans ses oreilles. En fait, il pensait que cette vision n'avait pas été réelle et qu'il ne s'agissait là que d'un vieux rêve provoqué par la fatigue du voyage. A la base, celui-ci avait voulu retourner sur cette bonne vieille île Delfino, mais les activités de l'Île Wuhu paraissaient beaucoup plus intéressantes. Et dire que cela faisait bien sept ans qu'il connaissait les habitants aux cheveux en forme de palmier ! L'avion du héros du temps, qui lui, n'avait rencontré aucun soucis lors du voyage, se posa enfin à l'aéroport, et en sortant de ce dernier, Link trouva aussitôt l'hôtel à l'intérieur duquel il allait pouvoir se reposer durant son séjour.
« Heureusement que j'ai gardé quelques ennemis planquées dans une salle secrète du château, sinon je n'aurai jamais pu me payer ces vacances bien mérité...Bon, que les vacances commencent ! »
Mettant son casque autour du cou, le réceptionniste pu entendre à son tour la musique particulièrement...joyeuse que pouvait écouter l'Hylien, était est-ce seulement son style ? Bon de toute façon, tant qu'il était payait, lui il s'en fichait. Acceptant la monnaie de l'Hylien qu'il avait pris le soin de convertir, celui-ci partit s'installer dans sa chambre. Posant les valises au sol, et observant par la fenêtre, Link observa la plage qui s'étendait au loin, jusqu'à une forêt, qui prévoyait son lot de surprises. A noter qu'il ignorait encore la présence de Faust et des autres.
« Je ne sais pas pourquoi...Mais je sens que ça va être inoubliable ! »
Des vacances à la plage, ça faisait longtemps que le Bowser's King n'en avait pas pris ! Comme d'habitude, Bowser était venu avec cinq de ses larbins, un qui portait ses valises, pas trop lourdes et... Quatre qui portaient un trône portatif ou l'énorme cul de Bowser, pesant plus de 800 kilos était assis. Inutile de dire que les gars de son armée, malgré leur apparence frêle, sont vachement costauds.
Le trône fut brutalement posé au sol, Bowser accusant le coup légèrement, mais suffisamment habitué néanmoins pour pas tomber en avant. Bref, il espérait que les vacances soient super chouette comme il y'a deux ans, (en espérant de pas tomber sur cette psychopathe de Liliana... Son cul n'oubliera jamais cette nuit horrible.) et pour commencer, l'hotel avait l'air chic et la bouffe devait être délicieuse et les lits devaient être également bien larges et solide... Enfin, c'est ce que quelques un de sa famille éloignée lui ont dit.
J'ai hate de m'allonger dans mon lit en dégustant une délicieuse glace !
Une fois que la paperasse administrative fut faite, Bowser découvrit sa chambre, comme d'habitude, une merveilleuse suite de luxe avec un grand lit, un jaccuzzi et un sauna... Hmmm un sauna... Rien de tel pour se détendre après un long voyage... Le Koopa posa sa valise et Bowser ouvrit la fenêtre, qui faisait direction vers la plage. Au dessus, il vit une tête qu'il connaissait bien à l'étage au dessus.
Eeeeeh ! C'ma tête d'elfe préférée ! Y'a aussi un sauna dans ta chambre? T'es en vacance ou en mission s'crète ?
Alors qu'il était en train d'admirer la plage de sable fin qui s'étendait à perte de vue devant lui, Link remarqua une voix qu'il aurait reconnu à des kilomètres. Ce bon vieux Bowser était de retour et le destin avait bien fait les choses (ou mal, c'est selon) : il se trouvait en effet qu'il avait pris la chambre située en dessous. L'Elfe inclina la tête en contrebas pour saluer le reptile qui était en train de le saluer. L'Elfe se souvenait de vacances passés en sa compagnie et avec Faust, qui s'étaient pas très bien passés au final, notamment en raison d'une malheureusement aventure entre le casino et la piscine que Bowser avait vidé, en faisant fuir la plupart des touristes du club de vacance. Cette année, Link avait pris de bonnes résolutions, et éviterait sans doute les lieux que fréquenteraient le Roi des Koopas. Il n'était pas question qu'il lui gâche de quoi pouvoir se reposer et s'amuser !
« Comme c'est drôle, toi aussi tu es ici ? On dirait bien que l'on va passer les vacances ensemble...D'ailleurs, tu as vu cet avion qui est tombé dans l'océan tout à l'heure ? Tu n'y es pour rien j'espère ! Enfin, pour répondre à ta question, je suis ici de ma propre volonté. La garde d'Hyrule ne garde pas dans ses fichiers l'Île Wuhu comme un repère de bandits, encore heureux. »
Hésitant un petit instant, Link se sentait un peu bête de rester ainsi, en hauteur à lui parler. Il savait bien qu'en trainant avec lui, il allait bien s'attirer des problèmes, mais pourtant...Il restait pour lui un fidèle ami qui lui avait sauvé la vie, et ça, il ne devait pas l'oublier. Link déclara alors :
« Bon...Pour fêter nos retrouvailles, ça te dirais que l'on aille boire quelque chose, tous les deux ? »
Voilà un événement que la magicienne attendait avec impatience, et ce depuis bien des semaines, si ce n'est des mois ... Le simple fait de savoir qu'elle pourrait en profiter pour prendre du repos s'avérait être une nouvelle tout à fait satisfaisante. Une situation plaisante, pour celle qui se disait lassée du froid et de ces situations trop éprouvantes ou il lui fallait jouer des rôles en contradiction avec ses propres principes ... Et faire de ces alliés d'autrefois des ennemis non désirés, et puis ... – Elle soupira. Cherchant la réponse à ses interrogations, la demoiselle leva légèrement la tête en direction du ciel. Celui-ci présentait à ses beaux yeux vifs une merveilleuse couleur azurée. Et le soleil, lui, en position dominante, offrait généreusement la chaleur de ses larges rayons, chassant les nuages désireux de lui voler sa place. Ainsi perdue dans le labyrinthe de ses pensées tordues, Yûko avança pas à pas, silencieusement, vers le chemin de la plage, s'emparant de ses écouteurs, arrangeant par la suite ce petit chapeau de paille posé sur sa tête. Un chapeau plutôt particulier, entouré d'un ruban violet aubergine, surmonté de deux petites oreilles de lapin. Un chapeau original, en somme. Un chapeau plutôt mignon, dira t-on. Mignon, comme ce bikini améthyste qui couvrait en partie les zones plus ou moins tabou son corps pâle, épousant parfaitement ses formes. Puis vint le début d'une chanson, qui résonna dans ses oreilles. Un rythme familier, une voix, avec laquelle elle se mit à chanter en echo, continuant son avancée sur le sable chaud. Ses longues mèches bicolores s'agitaient doucement au gré du vent. Un vent léger, chaud et caressant, emportant ces paroles que la chimère murmurait de sa voix délicate.
« Don’t lose your way in your mind We have to be as one Don’t be afraid my sweetheart This is the way to be more strong Harbour my deep secret It makes me so blue Run through this game before my ...
... Huh ? »
Les paroles d'un homme la fit cesser toute action. Yûko fut prise d'un fou rire, la stoppant dans son élan, dans sa marche, dans toutes ses actions. Il était choqué ? Devant uen chèvre ? Une chèvre qui parle ? ... Il était drogué ? Ou encore inhabitué aux différentes espèces de Nintendo World ? Un de ses écouteurs tomba de l'une de ses oreilles, elle tourna la tête ailleurs, pouffant devant la scène qui lui faisait face. Ceci dit, sa question était d'autant plus comique.
- Je ... je suppose ... par contre vous êtes ... réellement une chèvre ... parce que je pense pas que je sois sur Terre là ... où suis je ? ^^
« Non, non, tu n'es pas sur ... Terre, navrée de te décevoir, huh ... Dis moi, c'est quoi ton nom ... ? »
Ses yeux se portaient ensuite sur la chèvre en question. Un rictus moqueur se dessina sur son visage fin. Puis une once d'interrogation s'en alla prendre la place aux railleries de la jeune femme.
Capricorn ... ?
« Tu me rappelles une personne que j'ai croisée il y a quelques temps, j'ai des doutes. Tu lui ressembles beaucoup, faut dire ... E.. Enchantée ! »
Yûko passa sa main derrière sa tête, se mettant à rire nerveusement, son sourire se mêlant à la gêne.
Faust observa l'homme hésitant avant de passer ses yeux à son ami rose d'un air bizarre. Ce n'était pas la première qu'un homme tombait du ciel. Le bouc fut habitué aux personnes qui passaient du temps à combattre avant que le perdant était éjecté du terrain à des milliers de kilomètres. Mais ce qu'intriguait l'animal était le fait qu'il portait un costard. Il n'avait pas une bouille de combatant. Au moment de lui aborder, quelqu'un fut plus rapide pour la réponse. Le bélier jetta un oeil à l'inconnue. Elle portait un chapeau et un maillot de bain mauve Dès qu'elle lui voyait, elle semblait sursauter. Seulement, elle fit un quiproquo.
-@ Yuko : Euh...bonjour. Malheureusement, vous faites bien erreur. Je m'appelle Faust et pas Capricorn. De même, je suis enchanté de vous rencontrer.
Elle semblait assez gêné. Le plagiste lança un sourire pour la rassurer. Au moins, Faust ne se sentait pas seul. Il n'était pour l'instant pas le seul bouc anthropomorphe. L'animal muet rangea ses affaires et prit ses sacs. Il tapota Kirby Bros pour attirer son attention. Le bouc pointa son pouce vers la ville puis fit mime de couper la viande et de la manger. Il espérait que son ami comprenait qu'il allait simplement manger un morceau. C'était dans ce geste que Faust partit de la plage.
C'est une bonne idée, on devrait aller draguer des gonzesses à la plage ! En plus j'ai entendu qu'il y'avait un open bar au bord de la mer ! Enfile ton maillot de bain, on s'y retrouve dans dix minutes !
Dix minutes plus tard.
La plaaaaage...
Un eskimo à la vanille et à la banane de couleur blanche comme du lait à la main. Une goutte coulait le long de sa gueule et jusqu'à son torse légèrement mou se mélangeant à sa transpiration due au soleil qui tapait bien fort. Chacun de ses pas lourd faisaient onduler sensuellement son large postérieur enfermé dans son caleçon de bain, bien visible vu que sa carapace est à l’hôtel. Son ventre rebondit et pelucheux débordait légèrement de son maillot de bain ondulant comme une mer déchainée et mouillé de transpiration à cause de la chaleur...
Bowser avait légèrement déformé les propos de Link puisqu'il s'était empressé d'aller se changer pour finalement foncer en direction de la plage. Il était toujours lancé dans une ferme volonté de conquérir une jeune demoiselle, c'est bien cela ? Décidément, il ne changerait jamais celui là. Link aurait bien voulu le contredire et l'empêcher d'y aller de cette façon mais il avait déjà disparu. Qu'allait il donc faire ? De toute façon, la plage comportait des petits cabanons qui proposait moults rafraichissement, d'ici il pouvait en effet aperçevoir les nombreuses pancartes. Il retourna donc à l'intérieur de ses appartements, et se mit à chercher ce qui pouvait potentiellement ressembler à un maillot à l'intérieur de ses valises.
« Bon eh bien...Allons y ! »
Après quelques minutes, l'Elfe apparut sur le devant de la plage via u ne entrée dont disposait l'hôtel permettant de la rejoindre directement. Impossible de ne pas rater Bowser qui paraissait déjà tout en sueur sans sa carapace. A croire qu'en venant ici, il avait déjà fait de l'exercice comme s'amuser à courir le long de la plage et à faire rebondir ses kilos de graisse pour impressionner les jolies jeune filles. D'ailleurs, il n'allait certainement pas trouver chaussure à son pied puisque la seule fille qu'il pouvait apercevoir pour l'instant était cette...Yûko, que Link n'avait pas revu depuis bien longtemps d'ailleurs. Faust, Kirby Bros et un autre homme qui semblait être celui qui s'était échappé à temps de l'avion semblait être là lui aussi. Après s'être présenté et avoir salué tout le monde, en prenant d'ailleurs le soin de demander à Eli s'il savait ce qu'il s'était passé, Link parti en direction d'un des stands de rafraichissement qui se trouvait non loin de la plage. Il revint avec deux cocktails, remplis de lait de coco et d'autre mélanges locaux, particulièrement savoureux. Il s'empara du premier pour le boire à l'aide d'une petite paille, puis offrit le second à Yûko, tout en s'adossant contre un palmier qui longeait ladite plage. Tout en observant sa boisson, Link entama la discussion.
« Alors ? Comment se porte Trascer ? »
Link fit un rictus nerveux en repensant à Bowser. Haha, si il pensait pouvoir draguer par ici, c'était plutôt raté.
Faust voulait quitter la plage mais pour l'instant, il devrait attendre. Bowser arriva en maillot de bain plutôt... avec "grâce". Le bouc avait l'impression de voir un feuilleton où l'action se déroulait sur la plage. Il imaginait son ami marcher fièrement au ralenti en plus de la musique qui irait avec. Mais là, ce fut le désenchantement. Il vit le Koopa suer à grosses gouttes, le ventre dodu qui bondissait à chaque pas. Le pire était la glace. Non seulement elle fondait, mais la bouche de Bowser en était barbouillée. Faust se demanda si il faisait exprès surtout qu'avec les femmes, elles risqueraient de ne pas apprécier cette métaphore. En plus, quel genre de fille pourrait s'intéresser à ce gros tas de serpillère ? Et encore qu'il n'était pas en slip. L'animal qui fit une grimace fut à fois dégoûté et à la fois amusé par cette image. Au moins, Bowser n'était pas seul.
-@ Bowser et Link : Salut vous deux. Par contre Bowser, je ne te serre pas la main tant que transpires comme une éponge.
Il était venu avec Link qui arriva en retard. Toujours ouvert avec les gens et galant avec les filles. Normalement, le printemps était la saison de l'amour. Apparament, il n'y avait pas de saisons. Faust n'avait toujours pas de petite amie mais il en était fier. En effet, le bouc était du genre ermite. Cela lui étonnerait si il trouvait le grand Amour.
Je faisais du surf sur la plage: enfin plutôt sur une planche de surf, dans la mer. Bref. J'étais très heureux de pouvoir m'offrir des permissions avec les rubis obtenu dans ma caserne (je parles des soldes hein?????), histoire de me changer de mes patrouilles habituelles et de mes tours de garde. Tout en surfant en criant du fait de l'adrénaline montant dans le cerveau d'un type bourrin comme moi, provoquant une euphorie, je disais:
-Waow, j'suis l'seul à pouvoir faire cette figure! J'suis Chuck Norris! [...] Et maintenant le Rouleau! PooooooOOOOOOOWWWWWwwwww!!!!
Tout était classe, je faisais des figures pas si acrobatiques que ça, sauf quand je manquais de me vautrer. Quelques vagues plus tard, je regarde la plage Wuhu. Je revenais à pleine vitesse, debout sur ma planche, allant en haut, en bas, à gauche et à droite, tel un surfeur. J'admirai cette plage au sable fin, jusqu'à ce que je vois un groupe de personne, avec Faust/Métal et... et... -BOWSER AVEC TOUTE CETTE SUEUR? OH WHAT THE FUCK? Cette surprise visuelle et assez flippante me fit déséquilibrer de ma planche, alors que je fonçais vers le groupe. je tentais tant bien que mal de me stabiliser, mais rien y fit, et je me crasha à une vitesse vertigineuse sur le sable au pied de Faust/Métal, de LinkFan et de Bowser, la planche atterrissant juste devant moi, bien ancrée dans la poudre jaune orangée. J'étais sonné, et j'entendais des conversation, mais je ne comprenais absolument rien, la tête encastrée dans le sol.
Alors que Link attendait une réponse de la part de Yûko, Faust vint se présenter à eux et montra qu'il était particulièrement ravi de le revoir. C'était un plaisir partagé, le jeune Hylien appréciait beaucoup le bouc qui l'avait maintes fois aidé à l'aide de divers pouvoirs spéciaux. Aussitôt qu'il fut devant lui, Link n'hésita pas pour lui adresser la parole.
« Je ne pensais pas que je retrouverai tant de personnes ici. Il faut croire qu'à chaque fois, on choisit les même destinations ! Je n'ai pas eu le temps de faire le tour de l'île, tu es peut être un peu plus renseigné que moi : les animations sont elles nombreuses par ici ? »
Puis un grand bruit vint interrompre leur conversation. Une planche de surf vola dans les airs suivit d'une vague qui s'était écrasée avec violence contre la plage. Un bruit ressemblant à une voix humaine venait de retentir sur les lieux. Ne perdant pas temps, l'Elfe se devait d'apporter son aide à la personne qui venait de s'échouer sur la plage, peu importe de qui il pouvait bien s'agir. Il donna son cocktail à Bowser, sans réfléchir au fait qu'il pouvait potentiellement tout ingurgiter, et se dirigea en direction du jeune homme pour l'aider à se relever.
« Hey, ça va ? On dirait que la mer n'est pas trop clémente avec les surfeurs. Je vais t'emmener à l'infirmerie. Je suis passé devant tout à l'heure. Tu peux m'appeler Link. »
Reprennant peu à peu mes esprits, je me rendais compte que je n'avais aucune douleur, alors que je venais littéralement de m'encastrer la tête dans le sable avec une violence terrible, et que je sentais pourtant mon nez blessé, enfin, je ne savais pas s'il était cassé, vu que je n'avais mal nul part. Je compris enfin les discussions autour de moi, d'abords avec une sorte de vibration à chaques mots, puis j'entendis parfaitement :
« Hey, ça va ? On dirait que la mer n'est pas trop clémente avec les surfeurs. Je vais t'emmener à l'infirmerie. Je suis passé devant tout à l'heure. Tu peux m'appeler Link. »
Je regardais en direction de la personne nommée Link. Je ne le voyais pas, je voyais les couleurs qui disparaissaient de ma vue, puis ce fut des nuances de gris que je pouvais voir, puis plus rien. Le Noir complet.
<< Euh... J..Je ne vois rien là... Susurement le choc... m'est d'jà arrivé...>>
J'avais du mal a parler, en me rendant compte que j'avais du sable plein la bouche, et j'avais du mal à le recracher. Je me sentis me faire porter par quelqu'un, mais je ne savais pas qui, je ne voyais rien, j'étais en état de choc: Je ne m'inquiétais par pour mes yeux: cela m'étais déjà arrivé, ça dure cinq minutes. Lorsque enfin, j'ai pu recraché tout ce maudit sable, je disais:
<<Merci Link, Ca pourrait être pire...>>
Cette phrase prononcée, je ne faisais plus rien, j'attendais de recouvrir ma vue, pendant qu'on me dirigeait vers l'infirmerie.
Bowser bu alors le cocktail de Link (de toute façon, il lui devait un verre.) jette celui ci dans le sable et plongea à l'eau, ce qui provoqua une mini vague qui arrosa toutes les chevilles des gens sur la plage. Les gens qui n'avaient rien demandé étaient d'ailleurs pas très contents. Mais bref, en sortant, au moins Bowser ruisselait d'eau et non de sueur.Link lui parti vers l'infirmerie avec le pauvre gars blessé, je me demande ce qui lui est arrivé. Bah, il allait revenir bientôt ! Autant profiter de la flotte, Bowser eu un petit sourire. Un petit sourire qui annonçait tout sauf quelque chose de bon...
En tout cas bande de nuls, j'vais nager jusqu'à la bouée là bas, à 40 m plus loin, car j'ai appris à nager l'année dernière ! Mouha !
Et le Bowser commence à nager... Et à couler quelques pas plus loin.
Après la destruction de mon chateau de sable, j'avais décidé de loué un masque et un tuba pour aller plonger et visiter un peu les fonds marins de l'îles Wuhu. Alors que je m'amusais, à faire des bulles, j'aperçu une très grosse palourde, cela me rappelait une de mes premières aventures avec Faust, nous avions nagé dans la baie du trésor pour retrouvé Ventus et Argaï. Je m'étais battu avec un féroce requin... Que de souvenir. J'attrapais un concombre de mer, que j'agitait, on aurait dit un gros cornichon imbibé d'eau. Je m'apprêtais à remonter pour exhiber ma trouvaille aux autres...
Quand soudain ! je vis une ombre passé au dessus de moi, émerveillé j'avais des étoiles dans les yeux, une baleine à pique ! J'y croyais à peine, alors que je m'approchais de celle-ci par dessous... Je la vis soudain couler !? Une baleine qui coule ! Je me rappelait alors que les baleines avait des poumons et donc besoin d'air pour survivre. Voulant sauver le cétacé, je jetais le concombre de mer, puis, je me plaçait, dessous pour la faire remonter et la poussé en direction de la rive, c'était vraiment lourd j'étais tout rouge.
*Splouff*
Fit le bruit de la baleine jeter de l'eau par mes soins.
-HE LES MECS ! J'AI SAUVE UNE BALEI....Euh Bowser ?... Tu va bien ?
J'étais particulièrement décontenancé... C'était Bowser la baleine ? Arf comment j'avais bien pu confondre une grosse tortue croisé avec un dragon et une baleine à pique... Vraiment zut.
Arborant mes magnifiques pectoraux huilés au soleil de plomb, observant la plage du haut de ma chaise géante blanche et posé a coté de moi, ma planche rouge en forme de kebab, je portais un slip de bain rouge moulant qui ne laissait entrevoir aucun sex appeal qui pourrait former une quelconque bosse. Sous mon masque a gaz je transpirais tel une chèvre d’antarctique dans un four et j'avais du mal a apercevoir les éventuelles personnes en danger a cause de la sueur qui recouvrais mes lunettes teintées, mais voila que je vis au loin, le monstre du lockness flotter au loin en criant de toute ses forces, il voulait sûrement effrayer les baigneurs et je ne pouvais pas laisser cela se passer comme ça. Je pris ma bouée kebab et je couru sur la plage au ralentit, comme dans la série alerte a pyrolibu, sauf que dedans les gens se noyaient dans des flammes d'arc en ciel... Bref, en écrasant quelques personnes qui bronzais et autres gamins bruyants, je me ruais vers le monstre du lockness qui semblait avoir perdu connaissance. Je poussa le chewing-gum qui se trouvais a coté pour l'envoyer vers un gamin qui avait du le jeter sur la plage comme un malpropre et me pencha vers le monstre.
Mfhh... Il ne respire plus, je vais devoir faire du bouche a bouche !
C'est avec cette brillante idée que je colla mon masque sur la bouche béante du dinosaure en soufflant a travers les trous d'aération en voulant le faire respirer tant bien que mal, sans jamais abandonner cette chance de sauver une vie.
Faust regardait un surfeur qui se trouvait devant ses pieds. Apparemment, il avait l'air de chuter de sa planche de surf. Link se précipita sur celui-ci pour l'emmener à l'infirmerie en laissant le cocktail à Bowser. Le bouc aurait pu utiliser ses sorts de soin mais c'était trop tard puisqu'il était déjà parti. Le Koopa finit par se baigner en ignorant le contexte. A vrai dire, Faust se demanda si il ne l'avait pas trop pris au mal. Après tout, une baignade lui ferait du bien. Cela lui enlèverait sa sueur. Toujours à vouloir se vanter. A peine qu'il disait savoir nager jusqu'à la bouée, quelques mètres plus tard, le voilà qu'il se mettait à hurler. Sachant que Link était parti à l'infirmerie, Faust voulut sauver son ami. M'enfin, il voulait. Kirby Bros qui avait oublié l'incident du château de sable s'en était déjà occupé. Pauvre de lui, il avait cru sauvé une baleine. Cette remarque amusa le bouc. Le plus drôle ou plutôt le plus surprenant était à venir. Un homme avec un masque à gaz fit le bouche à bouche avec Bowser. Il semblait être le maître-nageur de cette plage avec son maillot de bain et sa planche.
Faust décida de laisser les autres pour aller voir où en était Link. Suivant l'elfe et le surfeur à l'infirmerie, le bouc constata que ce dernier allait mieux. A part un saignement de nez et peut-être une foulure quelque part, il irait mieux voire en forme pour repartir sur les vagues. Le bélier tapota l'épaule de Link pour qu'il puisse s'arrêter le temps d'ausculter le plagiste. Faust toucha le bras, le dos, les jambes, bref, les parties du corps pour voir si il n'avait pas mal quelque part. De toute manière, un petit sort ne lui ferait pas de mal. Le bouc toucha le front du sportif et partagea son aura apaisante.
-@ Rosstail : Boah ! Juste un peu sonné mais sinon ça va. Tu pourras repartir sur les vagues comme si de rien n'était. Peut-être éventuellement un p'tit bandage par l'infirmier mais tu n'as rien de grave, je crois.
Le souffle de vie envahit le Koopa de l’intérieur, lui rendant la respiration. Bowser se mit à tousser, signe que tout allait bien, puis ouvrit doucement les yeux pour découvrir son sauveur. Ses yeux s'écarquillèrent et se mirent à briller de milles feux...
Vous m'avez... Sauvé?
Une musculature parfaite, bronzée au dessus de lui, ruisselante de crème solaire le visage masqué par un scaphandre, donnant un air si mystérieux à son mystérieux sauveur... Bowser se mit à glousser comme une petite fille. Le regardant avec des grands yeux brillants et rouge comme une pivoine...
Il se mit à imaginer lui et son preux chevalier au scaphandre dégustant une glace ensemble... Courir sur la plage main dans la main... Rouler dans les hautes herbes et tournoyer dans un champs de tournesol...
Son chevalier servant, celui qui lui avait sauver la vie...
Mon coeur et mon âme vous appartiens à jamais, preux chevalier... ♥
Il se redresse et agrippa par le cou pour le serrer contre lui, son preux chevalier rien qu'à lui...
Mes cours de sauvetage en regardant toute les séries en entier d'alerte a Pyrolibu m'aurons enfin servit a quelque chose, seulement avec la sueur qui recouvrait mes lunettes antifeu et mon casque qui m'étouffais, je ne distinguais que peu ce que je voyais et n'entendais pas vraiment ce qui se passait autour de moi, je ne voyais qu'une masse verte et beige ouvrir les yeux, enfin les yeux je crois, mais elle semblait heureuse de me voir , me serrant dans les bras, je serra le monstre du lockness aussi dans mes bras, même si son étreinte restait plus forte que la mienne, mon casque m'étouffais déjà, ce n'était un pas un câlin avec nessy qui changerait quelque chose. Seulement un de ses pics me rentra dans le torse, dégonflant mes pectoraux gonflables de plage, se flétrissant, laissant apparaître une carrure moyenne et peu sportive sur mon torse, avec toujours le plastique dégonflé dessus. Légèrement gêné, je pris quand même la peine de prendre un selfie avec mon mann.co phone avec le monstre du lockness. Allant dans les toilettes les plus proches pour me changer en cachette, je profita du moment pour enlever et nettoyer mon masque puis ensuite enfiler ma combinaison étouffante. Quand je rejoignis le monstre, je vis a la place une charmante tortue géante, dont les bourrelets semblaient attirant, je décida donc de le traîner de force pour nous balader un peu.
Après le sauvetage de la tortue... J'avais été poussé de coté par un type portant un masque à gaz et d'étrange pectoraux gonflable. Je regardais l'hurluberlu soufflé dans son masque a s'en étouffer comme ci il faisait du bouche à bouche à Bowser. J'étais un peu dégoûté de voir ça aussi détournais je le regard.
Je rejoignais donc Faust et les autres. Ricanant je leur montrais du doigt le type au masque et Bowser :
-Z'avez vu ça ! Ils sont hyper drôle ces 2 là, faudrait les filmer. Tient d'ailleurs en parlant de filmer....
Je sortais de mon chapeau qui d'ailleurs se trouvait être très pratique avec ce soleil, un magnetoscope. Je l'allumais et filmais tout le monde.
Son preux chevalier se sauva... Et revint un peu plus tard avec une combinaison. Bowser rougit et gloussa un peu. Il est si mystérieux et adorable son preux chevalier bordel ! Et un peu timide aussi, c'est trop mignooooon !!! >o< Celui ci le tira un peu pour qu'ils aillent se balader un peu sur la plage, au moins, il appreciait sa compagnie et ça c'était un bon point.
Hmm... Ou est ce qu'on va?
Ils pourraient aller manger une grosse glace, les grosses glaces, il adorait ça. Mais peut être qu'une partie de beach volley pourrait être une bonne idée... Il ne savait pas trop.
L'infirmerie...Link n'aimait pas trop cet endroit, cela lui rappelait dans son enfance des heures durant passées à amener ses camarades Kokiri blessées (à cause de jeux trop dangereux) dans ce genre d'endroit. Bon cette fois ci, c'était encore pour la bonne cause, mais il n'espérait quand même pas passer ses vacances à sauver la vie aux pauvres malheureux qui traînaient sur cette plage. Faust finit par le rejoindre accompagné par Bowser. Le bouc osculta le blessé qu'il essaya de rassurer. Devant cette situation, et en constatant qu'elle était finalement maîtrisée, l'Elfe se retourna, d'un air rêveur, et se dirigeant en direction de Kirby Bros qui avait proposé un jeu. Il était temps pour l'Elfe de s'exercer un peu.
« J'ai entendu ta proposition et elle me plait bien. Mais cette fois ci, pas de blessé, entendu ? Je vais rejoindre ton équipe, je sens qu'on va bien s'amuser ! »