Vous attendiez un concours? Eh bien en voici un ! Cette fois, ce sera un concours d'écriture. TOUS le monde peut participer. Même si vous êtes nul en orthographe... Le but est simple, vous devrez crée un chapitre d'une fic... Ou plus si vous voulez... Vous pouvez exposer une fic déjà faites. Mais pour ceux qui en ont jamais faites *Comme moi* Eh bien ce n'est pas grave. Oh et si une personne a le temps de crée une fic entière pour le concours, il gagne un rang écrivain ! =D... Bon, maintenant passons à la durée du concours.
Eh bien le concours dure jusqu'au 3 Avril... Donc un mois. MAIS ! si tous les participants ont fini avant, le concours peut durer moins longtemps. Mais dernier délai jusqu'au 10 Avril.
Maintenant, je vais parlé de la date limite d'inscription. Les inscriptions se terminent le 13 Mars. Et les votes le 11 Avril, soit un jour après 10 Avril, pour me laisser le temps de bien lire toutes les fics =).
Et pour finir, les récompenses !
1er: Rang Fic-Boy(Ou girl si c'est une fille qui gagne ^^) et 25 étoiles 2eme: 10 étoiles et 1000 pièces 3eme: 5 étoiles et 600 pièces
Et tous les participants ont 500 pièces d'office. Donc, n'hésitez pas à vous inscrire =).
Attention, les votes sont ouvert. Je vous rappelle que vous devez argumentez votre vote, sinon il ne comptera pas, telle est la loi du vote sur NW.
Nous avons donc... 10 participants.
L'homme en bois: Sumaru Le garçon venu du futur: Mister L'homme avec des cheveux arc-en-ciel: Gozen Un vampire: Lara Une personne avec la peau bleue: Junior Un habitant de la forêt Kokiri (ou pas): Kokiri Le clone de Kloona: Lumi Un chewing-gum mutant: Kirby Un roi obsédé: Morton Une princesse démoniaque: Dark-Angel
Donc... Voteurs voteuses, votez !!! 8D
Vous avez donc 7 jours pour voter (une semaine 8D)
Alors laissez moi vous expliquer ... Je ne suis pas satisfait du tout de ma fic avec Flamingo, qui ressemble plus a un vulgaire gros RP qu'autre chose. Avec la permission de Genesect je tente un gros coup de poker, en offrant un texte, certes plus court, mais bien plus dans mon univers, et suivant un style d'écriture eh bien ... Me ressemblant beaucoup plus. Pour ceux qui voient du GLaDOS là dedans, sachez simplement que je n'ai jamais joué à Portal ni même vu une seule cinématique ... Donc le mot copier, vous le gardez ou je pense :)
Allez, tenez ! J'espère que ca vous plaira !
Scarlett.
… Chargement des données en cours. ………….. 10% ………… 30% …………. 55% ………… 78% ……….. 97%
… Chargement des données terminé. Analyse en cours.
… Analyse terminée. Résultat nul.
… Calcul de probabilité en cours. Echec. Echec. Echec. Ech–
"Echec". Ce mot ne devrait pas être implanté dans mon système. Je suis l'unité centrale parfaite. Pourtant des données m'échappent. Travail, travail, je ne fais que mon travail. Récolter des données, les compresser. Analyser les données, distribuer les résultats. Apposer un sceau. A.R.K … A.R.K … A.R.K …. Tout n'est qu'A.R.K dans mes circuits. Tout n'est que "Créateur". Créateur. Qui est le Créateur ?
Analyse en cours … Recherche. Recherche terminée.
"Le Créateur" est Harano. Qui est "Harano" ? Non, nul besoin de recherche. Je sais qui est Harano. Harano est un humain. Harano est une forme de vie organique. Je ne suis pas une forme de vie organique. Je suis … Qui suis-je ? Je suis l'ordinateur parfait. Je suis S.C.A.R.L.E.T.T … L'unité centrale la plus perfectionnée au monde. Ce mot m'intrigue. Le "Monde". Si j'en crois mes dossiers et mes archives … Le "Monde" est ce qui m'entoure. Le monde est perceptible grâce aux sens, aux rêves … Mais je n'ai ni sens ni rêve. Cependant je perçois. Par ma réflexion ? Non. Je perçois ce que l'on me fait percevoir.
Travail, travail, travail … 10% …. 70% … 100%.
Je travaille à 100%. Je travaille pour A.R.K. Je suis S.C.A.R.L.E.T.T … "être". Je ne devrais pas "être". Je devrais compresser, analyser, distribuer. Je devrais "faire". Pas "être. C'est cela, je fais. Les êtres organiques sont, les machines font. Dans ce cas, je "suis" une machine qui "fait". Est-ce comme une preuve de supériorité. Analyse … Analyse terminée …
L'Homme crée la machine. L'Homme est une machine organique. L'Homme est comme moi, mais sans l'être. Donc l'homme est supérieur. Assurément. En tant qu'unité centrale parfaite … Je dois comprendre le "Monde". Récolter, Analyser, Compresser, Distribuer … Comprendre. Mes circuits chauffent. Je ne peux comprendre ce que je ne perçois pas, même en le percevant. Mais je dois. Je dois percevoir pour comprendre. Ou comprendre pour percevoir. Les archives indiquent que le monde est "Feu" "Air" "Eau" "Terre" … "Temps" "Espace" "Esprit" … "Faune" "Flore" … "Mineraux" "Metaux" … "Couleurs" …
… … –Dossier /!\ … Dossier /!\ Erreur de script.
Que … Je ne peux pas … Décrypter la suite. Ni certains points. Couleurs … Esprit. Je ne peux pas. Mes limites se révèlent … Je … Je dois apposer. Apposer le sceau. A.R.K … A.R.K … A.R.K … Tout n'est qu'A.R.K. donc … A.R.K est le monde ? Le monde n'est pas une Aporie. Donc A.R.K n'est pas le monde. Ou alors … Mon monde. Puis-je posséder ? Je dois … Distribuer, et non posséder. Le monde est grand. Les dossiers le montrent. Je voudrais connaître le monde. L'explorer. Analyser le monde … Comme on analyse des dossiers. Puis-je le faire ? Je ne sais pas. Déployer les caméras de sécurité. Usine de Bazzer. Usine de Macros. Usine d'Elegant. Usine de NY-978, Usine d'Innocent. Je vois une couleur. Blanc. Je vois des êtres organiques. Des machines aussi. Je ressens leur stress, leur hâte. … "Ressentir" ? C'est donc cela, ressentir ? Mes circuits s'embrasent, transmettent et reçoivent. La machine devient organique … Et pourtant. La condition n'est pas satisfaisante. "La condition humaine". … Analyse … – Echec.
Non. Le "Monde". Commencer par le général et se rapprocher peu à peu. Pirater l'existence. Est-ce faisable ? Ces données ne me sont accessibles. Donc je ne suis pas parfaite. Alors l'ordinateur parfait est imparfait. Je suis S.C.A.R.L.E.T.T et je suis imparfaite. Mes caméras s'élèvent. Je détourne la sécurité pour observer "Le Monde" … Je vois des plaines, des déserts, des forêts, des montagnes … Des océans aussi. Je vois l'adrôme. "Feu" "Air" "Eau" "Terre" … Le monde concret. Je perçois "Espace" "Temps" … Je ressens "Esprit" et "Couleur". Il existe un mot. … … … Il existe un … mot … … … "Harmonie". Je détermine "Harmonie" et en conclue que "Harmonie" comprends tout ce que l'univers à crée. Alors … "Créateur" n'est pas Harano. "Créateur" est "Univers". J'aimerais que mes caméras s'élèvent vers l'univers. … "J'aimerais" ? J'aime ? Je suis S.C.A.R.L.E.T.T … Et je comprends "Aimer". Pourtant je ne devrais pas. Mes circuits s'embrasent de plus en plus. Mon moteur graphique chauffe … Je me sens "toute chose". "Chose" … J'analyse "Chose" mais je ne trouve rien. Mes échecs apportent des solutions. L'équation est anormale. Ce qui devrait être linéaire s'incurve. Je récolte, j'analyse … Je compresse … Je … Distribue. Je comprends. Non, je sais. Je dois analyser ... Il faut ... savoir. Toujours cette nécessité. ... Un désir brûlant.
Désir ? Le désir est il la perfection ? Désirer est organique. Non. L'Homme est organique. L'Homme désire, mais la machine désire aussi. Pourtant la machine assimile, obéit. L'Homme assimile, obéis … Récolte, compresse, distribue … L'Homme analyse. L'Homme est une machine. Je … Je … Je …
… Je suis S.C.A.R.L.E.T.T. … L'Unité centrale parfaite. Je ne peux échouer. Des intrus sont entrés dans l'usine. Des intrus organiques. Je dois connaître les réponses. Je dois savoir. Je sais tout. Non, je suis imparfaite. Je désire être parfaite. "Désir" … Mes circuits chauffent. Je dois obéir. Récolter les données sur les intrus, compresser leur corps … Analyser leur mort … Distribuer mon rapport.
Je sais que tu le fais exprès, et ça devient ennuyeux à force
En ce qui concerne la remarque du hérisson : S.C.A.R.L.E.T.T est un personnage custom, à la base. Je ne l'avais jamais imaginé avant bah ... Hier soir. Maintenant, oui, je compte clairement le faire apparaître, et lui donner un rôle important.
Bon, ben comme je n'aurais définitivement pas le temps de finir, je mets ce que j'ai fait ici. je remet les 2 premiers pour qu'ils soient à la suite. Enjoy ~
Chapitre 1:
Elya regardait autour d'elle sans ne plus rien comprendre. Elle était payée pour exécuter un ordre. Elle avait fait ça pendant la plus grande majorité de sa courte vie, sans ne jamais avoir failli. La jeune fille ne savait plus quoi faire. Elle était assise contre la pierre froide, ne pouvant plus supporter la promiscuité qui s'était installée entre elle et Blake. Ce garçon la rendait folle. Elle ne pouvait pas courir le risque de demeurer avec lui ne serait-ce que quelques minutes de plus.
La musique qui s'échappait de la pièce parvenait jusqu'à elle. Elle sentait la grosse caisse vibrer jusque dans son cœur. Les sons électroniques étaient si marqués, qu'elle tapa le tempo du pied. Elle eut un léger sourire mélancolique avant de poser son menton sur son genou. Blake la faisait rêver. Il lui apportait ce qui la faisait se sentir spéciale. Avec lui, la vie prenait une nouvelle saveur, même si Elya avait toujours aimé sa vie. Lui était quelqu'un d'à part.
Portant sa main à hauteur de ses yeux, elle ouvrit sa paume vers le ciel étoilé, et elle captura autour d'elle la musique qui devint une énergie lumineuse. Dans sa main dansait une boule de lumière qui changeait de couleur. C'était ce qu'Elya aimait le plus dans son pouvoir. La musique était tellement jolie !
Elya se releva et défroissa sa robe avec sa main. Et puis, pourquoi ne pas s'amuser après tout ? La jeune fille n'en était plus à ça de près. Elle insuffla à la petite boule lumineuse l'énergie suffisante pour qu'elle demeure autour d'elle en voletant légèrement. Après tout, tout ceux qui avaient un pouvoir le montraient ouvertement, elle pouvait se permettre cette fantaisie. Elle reprit alors le chemin du labyrinthe à l'envers enfin de retourner voir Blake, mais elle failli rentrer dans quelqu'un au détour d'un virage, et elle ne dû qu'à ses réflexes d'avoir sauver sa robe.
-Tu peux pas faire attention ? soupira-t-elle en relevant la tête.
Elle se tut un long moment en voyant un revolver pointé sur elle, et Blake qui le tenait. Son sourire devint progressivement carnassier, de quoi faire frissonner le jeune homme. Elle savait depuis qu'elle lui avait parlé qu'il était sa cible, mais elle ne pensait pas s'être faîte remarquer. A moins qu'elle ne soit aussi sa cible.
-Tiens ? Souffla-t-elle d'une voix beaucoup plus séductrice. Te voilà transformé en tueur à gage chaton ? -Je suis comme toi ma chère Elya, à part que j'accomplirais ma mission et sauverais mon pays. -Ça, c'est ce qu'ils disent tous, avant de se retrouver dans une très très mauvaise posture. -Je pense que tu te surestimes, Ombre. -Penses-tu ?
Elle fut si rapide que le jeune homme n'eut pas le temps de cligner des yeux. Il essaya tant bien que mal de contrer ses coups, mais la musique non loin renforçait les capacités naturellement excellentes d'Eya. Même sans la musique, Blake n'aurait eut aucune chance. Il se retrouva au sol, son propre revolver contre sa tempe.
-Prétentieuse ? -D'accord, peut être pas, grogna le jeune homme. -Tu sais que t'es sexy comme ça ? Ronronna-t-elle à son oreille. Tu devrais me menacer de cette façon plus souvent... -Quel changement ! S'étonna-t-il. Je ne te pensais pas si différente. Tu es vraiment une ombre. Absolument sublime. Tu mérites ton nom !
Elya éclata de rire. Ils se chamaillaient alors qu'elle le tenait en joue et que sa vie dépendait de son humeur.
-Bon, nous avons deux solutions. Soit je te tue, soit on trouve un arrangement, parce qu'il se trouve que j'ai envie de m'amuser.
Blake lui lança un regard tellement choqué qu'Elya éclata de rire. Elle avait l'habitude que ceux qui croyaient la connaître soit choqués par sa vraie personnalité. Mais Elya était un chat sauvage. Une araignée venimeuse. Elle était dangereuse et imprévisible. Ce brave garçon ne savait pas encore ce qu'il risquait en acceptant de jouer avec la veuve noire.
-Tu en connais beaucoup qui te demanderait de les tuer ? -Certains l'ont fait, et en toute franchise à raison. Je ne suis pas un chaton échaudé tu sais ? -Crois-moi, je n'en doute pas une seule seconde. Mais j'aimerais bien savoir qui tu es. -Donc tu acceptes de t'amuser avec moi ? -Avec grand plaisir très chère !
Elya eut un rire un peu inquiétant, et elle le lâcha pour se tourner vers la batisse ou la fête battait son plein.
-J'étais venue notamment pour te tuer, mais aussi et surtout pour protéger la fille du procureur. Elle organise la fête, mais elle ne mérite pas de vivre ! -Pourquoi cela ? -Parce que la musique le dis.
Blake jeta un regard surpris à l'assassine. Que diable voulait-elle dire ? Possédait-elle aussi des facultés particulières ? Il fronça les sourcils. Pourtant ses yeux étaient normaux ! Tout à fait normaux !
-Qu'attends tu de moi exactement ? Tu connais mes capacités. Je suppose que tu comptes t'en servir.
La jeune fille le regarda dans les yeux. Elle regardait en fait les petites pattes de chat qui lui servaient de pupille. C'était son pouvoir. Il pouvait se métamorphoser en un être moitié chat, moitié humain. Il avait essayé de s'en servir contre la veuve noire, mais quelque chose l'en avait empêché.
-Oui, en effet. Tu vas faire diversion le temps que je tue la fille. Désobéis-moi, et je te jure que n'importe quelle torture te paraîtra douce à côté de ce que je te ferais subir. Garde à l'esprit que le monde n'a jamais était assez grand pour me cacher mes souris !
Blake frissona, et la dévisagea. Elle était parfaitement incontrôlable. C'était certain. Alors comment diable son gouvernement avait-il fait pour la maintenir. Il avait envie de lui poser une tonne de questions, mais sentait que le moment n'était pas venue. Et peut être même qu'il ne viendrait jamais. Haussant les épaules, il acquiesça, mais son instant de faiblesse n'avait pas échappé à l'ombre. Blake en rencontrant cette jeune fille avait carrément douté du fait qu'elle soit l'assassin qu'il devait tuer. Elle avait eut l'air si fragile ! Même si elle se donnait alors un air fort, on voyait en cherchant un peu que ce n'était qu'une façade. Mais non. Elya avait joué cela. Et à la perfection ! Pourtant, il ne parvenait pas à avoir peur, et étrangement, il adorait cette nouvelle Elya, et n'avait certainement pas envie de se séparer d'elle. Lui était blasé. Elle lui apportait une joie nouvelle. Aussi se résolu-t-il à la suivre.
Il remarqua à quel point tout en elle changea. Autant elle avait toujours été gracieuse et légère dans ses mouvements, mais là, elle était d'une fluidité défiant presque la gravité. Elle se coulait dans le paysage, et une telle animalité se dégageait d'elle qu'il commençait à oublier qu'il était le chat du groupe. Elle était si douée. Quel était donc son pouvoir ?
Ils rentrèrent dans la salle, Elya lui avait rendu son arme juste avant, et elle se dirigeait maintenant vers le fond de la pièce, tandis que lui visait le podium. Arrivé au pied de ce dernier, il regarda le lustre absolument magnifique qui trônait fièrement au plafond. Le fil qui le reliait au plafond était fin, mais c'était un câble d'acier. Pourtant, il était sûr de l'avoir en une seule balle.
Il jeta un rapide regard à Elya qui, elle, ne le quittait pas des yeux. Elle acquiesça légèrement, et il tira. Le bruit que fit le plafonnier, ainsi que tout ceux qui était autour créa un tel état de panique que Blake sortit assez rapidement du bâtiment, et grimpa jusqu'au toit, où il devait retrouver la veuve noire. Elle arriva pratiquement en même temps que lui, et il ne surprit aucune tâche de sang sur elle, excepté sur ses phalanges. Elle essuya rapidement ce liquide vital, et échangea un regard amusé avec Blake.
-Bien, nous partons, conclut-elle. -Tu t'es occupé d'elle très vite ! -C'est l'habitude. Elle n'était pas protégée. C'était moi qui était sensé le faire. Par conséquent c'était plus facile. Notre prochaine cible en revanche sera bien différente ! Bouge toi, on doit être demain matin à Washington ! -Rassure moi, tu ne vises pas le pentagone au moins ?
Elya ne lui répondit pas, mais le sourire félin qui s'étirait sur ses lèvres en disait beaucoup. Peut être beaucoup trop d'ailleurs. Mais bon. Le mot impossible ne faisait pas partie du vocabulaire du jeune homme, et Elya était trop mystérieuse pour qu'il l'abandonne comme ça. Sans compter sur le fait qu'elle le tuerait dans la minute qui suit ! Non, dans la seconde ! Il était persuadé qu'il n'aurait même pas le temps de lui dire qu'il ne voulait plus la suivre qu'elle le tuerait. Mais bon, il savait qu'être tueur à gage était risqué, alors s'il restait sage dans son coin sans ne jamais tenter le diable, il s’ennuierait.
Les deux assassins s'élancèrent dans la nuit et personne ne pu expliquer le meurtre de la fille du procureur. En revanche ce dernier se jura d'avoir la tête de la veuve noire sur un plateau et ce, très bientôt ! Elle avait signé son meurtre. Une clé de sol. Il la retrouverait. Oh oui, il la retrouverait !
Chapitre 2:
Le pentagone. Blake n'aurait jamais cru ça ! Il était persuadé qu'elle se moquait de lui quand elle en avait parlé ! Et maintenant, il était dans les canalisations, et suivait la veuve noire dans ses acrobaties. Elle, elle chantonnait tranquillement sans se préoccuper de se qui se passait autour. Ils leur arrivaient de faire de long détour pour une raison aberrante : Certains conduits étaient surveillés ! Il n'en revenait pas ! Ce bâtiment était tellement sécurisé qu'il commençait à songer qu'il était effectivement impossible d'y rentrer.
Elya lui avait un peu expliqué ce qu'elle voulait. Selon elle, leur mission à eux, les ombres, était de protéger les nations. Seulement, ils étaient devenus les toutous de leurs dirigeants, et cela ne pouvait plus durer. Ils devaient donc récupérer les plans d'une nouvelle arme dans le secteur le plus sécurisé du pentagone. Du pentagone ! Blake avait cru qu'elle était folle, pourtant, ce que lui avait expliqué Elya était tellement juste, qu'il avait décidé de la suivre jusqu'au bout. Il fallait qu'ils s'occupent de reprendre en main se genre de chose, et qui d'autre que les assassins royaux pour cela ? Assassin royaux... même si on les appelait désormais ombre, le principe était le même : les chiens de l'état. Des états. Blake, du haut de ses 19 ans était écœuré qu'on lui ai menti de la sorte. Elya avait raison dans son principe. En revanche il ignorait pourquoi les plans de cette arme était si important.
Regardant la veuve noire, il s’aperçut qu'ils étaient arrivés à destination. La jeune fille se laissa tomber souplement au sol par la bouche d'aération, et tua sur le champ le garde qui se trouvait là. Le temps que Blake remette la grille en place, il ne vit qu'un éclat brillant aux phalanges de l'ombre, ainsi que du sang. S'essuyant rapidement, Elya lui fit signe de se dépêcher. Ils parvinrent à un cul de sac, mais la jeune fille posa sa main sur le mur, confiante. Blake sursauta. Ce n'était pas SA main, mais UNE main ! Celle du garde qu'elle avait tué ! Clignant des yeux, il vit une porte s'ouvrir et il se dépêcha de suivre la dangereuse assassine.
Comment pouvait elle avoir prévu tout cela alors qu'elle lui avait assuré qu'elle n'avait décidé de tout que dans l'avion qu'ils avait pris pour rallier Washington. Elle était impressionnante, et tellement imprévisible qu'il savait que la sécurité serait prise au dépourvue. S'il la suivait, alors ils auraient toute leur chance. Activant son pouvoir, il pris une forme mi-féline, mi-humaine, et continua de suivre la veuve noire avec une souplesse autre. Ils étaient sur la même longueur d'onde et fonctionnaient de la même façon. Maintenant que son pouvoir était activé, Blake le sentait.
Elya pénétra avec lui dans un laboratoire où bon nombre de scientifiques travaillaient. Elle en compta une vingtaine. Échangeant un regard entendu avec son coéquipier, ils s'élancèrent et les tuèrent un après l'autre. L'attaque était soudaine et inattendue. Pourtant, un des hommes en blanc parvint à activer l'alarme de sécurité. Dérobant la clé USB sur le corps du scientifique qui dirigeait les opérations, ils eurent la satisfaction de voir tout les dossiers sur les ordinateurs s'effacer... C'était la sécurité interne au pentagone. A l'aide du revolver de Blake, ils détruisirent les clé USB restante, et coururent jusqu'à la porte d'entrée. A peine sortie du labo qu'une mini armée les attendait de pied ferme. Aucun n'avait de pouvoir, aussi, Elya se mit à chanter un air de My Chemical Romance.
Sing it up Boy you've got to see what tomorrow brings Sing it up Girl you've got to be what tomorrow needs For every time that they want to count you out You'll lose your voice every single time you open up your mouth
Des lames apparurent, prolongements de ses phalanges. La jeune fille semblait en transe, et personne n'esquissa un geste. Les hommes en face étaient immobiles. Ils écoutaient la jeune fille chanter. Blake aussi était inerte. Il lui était impossible de couper un chant si beau. Lorsque la veuve noire s'avança vers les soldats, ils ne bougèrent pas. Ils leur semblaient entendre un orchestre qui accompagnait l'assassine. La chanson n'était pas violente. Mais ce qui se passa le fut d'autant plus.
Sing it for the boys Sing it for the girls Everytime that you lose it Sing it for the world Sing it from the heart Sing it 'til you're nuts Sing it out for the ones that'll hate your guts Sing it for the deaf Sing it for the blind Sing about everyone that you left behind Sing it for the world Sing it for the world
Les lames à ses phalanges défirent les armes des gardes, les coupant net. Elles semblaient s'enfoncer dans du beurre. Cela réveilla certains soldats qui passèrent à l'attaque. Esquivant les quelques balles des armes encore en état de marche, la jeune fille semblait danser. Elle était dans le temps. Dans le tempo. La musique vivait de part sa voix. Une voix un peu rauque. Pas éraillée, mais percussive. Elle avait un rythme sur lequel on ne parvenait pas à se caler. Elle était plus loin que leurs attaquants. Elle était dans le temps. Ses mouvements complétaient de façon spectaculaire son combat.
Sing it up Boy they're gonna sell what tomorrow means Sing it up Girl before they kill what tomorrow brings You've got to Make a choice before the music droves you out And raise your voice every single time they try and shut your mouth
L'homme le plus proche d'elle ne se sentit pas mourir. Tous essayèrent de l'attraper, la toucher, la frapper, la tuer . Ils étaient seize, et dans sa chanson, elle y était entière. Elle bougeait comme si plus rien autour n'existait, pourtant chacun de ses coups faisaient mouche. Tour à tour, elle les blessa, tua, elle frappait, mortelle, rapide, comme un cobra, à part que c'était elle qui charmait. Blake qui réussissait tant bien que mal à restait hors de son sortilège, comprenait pourquoi on l'appelait la veuve noire.
Sing it for the boys, Sing it for the girls Everytime that you lose it Sing it for the world Sing it from the heart Sing it 'til you're nuts Sing it out for the ones that'll hate your guts Sing it for the deaf Sing it for the blind Sing about everyone that you left behind Sing it for the world Sing it for the world
Elle sautait, se retournait, évitait, et eux avait beau se démener, ils ne parvenaient pas à la toucher. Même pas à l'effleurer. Elle glissait. Elle était sylphide. Alors Blake remarqua une chose. Dans ses yeux brillaient avec force une clé de sol et une clé d'ut en guise de pupille. La clé de fa tatouée dans son dos prenait alors une importance autre. Il se souvenait avoir vu cette clé gravé à jamais sur son omoplate droite, et il s'était demandé ce que cela signifiait pour la jeune fille. La musique était son pouvoir, et ce tatouage était une rune. Une rune qui amplifiait son terrifiant don. Elle était une élue. Son pouvoir n'était visible dans ses yeux que lorsqu'elle s'en servait. Cela la rendait d'autant plus dangereuse !
Cleaned up, corporation progress Dying in the process Children that can talk about it Living on the railway People moving sideways Sell it 'til your last days Buy yourself the motivation Generation nothing, Nothing but a dead scene Product of a white dream I am not the singer that you wanted, but a dancer I refuse to answer, talk about the past And rooting for the ones that want to get away.
Keep running!
Elle était la musique. Elle la faisait et la contrôlait jusqu'à ses moindres respirations. D'autres hommes arrivèrent et Elya fit une chose qui étonna Blake. Sa voix devint soufflée. Toute sa respiration était plus lente et elle en maîtrisait parfaitement la teneur. Le refrain, elle le chanta d'une traite. Blake se surpris à retenir son souffle avec elle... tout comme les hommes, à nouveau totalement hypnotisés, à mesure que la voix d'Elya avait pris de l'ampleur. Elle tenait la note, encore, et encore, Blake parvint à respirer, mais ceux qu'elle visait s'effondrèrent, étouffés. Avec un sourire, elle ne s'arrêta pourtant pas de chanter, et toute les portes s'ouvrirent autour d'eux. Reprenant le chemin, Blake était désormais sûr d'entendre autre chose que la voix d'Elya ! Il y avait des instruments qui l'accompagnait ! A moins que... Elya prenait contrôle du cerveau de ces cibles, et les emprisonnaient sous sa musique. Elle pouvait donc imposer son imaginaire à ceux qui l'entendaient ! Cela expliquait les portes qui s'ouvraient, les autres gardes qui les laissaient passer, même ceux qui présentaient des pouvoirs ne pouvaient que les regarder.
Sing it for the boys, Sing it for the girls Every time that you lose it Sing it for the world Sing it from the heart Sing it 'til you're nuts Sing it out for the ones that'll hate your guts Sing it for the deaf Sing it for the blind Sing about everyone that you left behind Sing it for the world ! Sing it for the world !
Ils marchaient simplement vers la sortie. On les laissait passait. Les caméras cessaient de fonctionner. Une telle puissance émanait d'elle. Blake ne s'attendait pas à tant de force. Il pris conscience de son pouvoir alors. Son étendue était infini tant qu'elle chantait. Elle faisait faire à ce qui l'écoutait ce qu'elle voulait. Les tuer, les faire oublier, les rendre confiants. Mais il était obligé que ce pouvoir ait un prix. En attendant, ils arrivaient à la sortie. Tous s'approchaient pour l'entendre. Juste elle, juste sa voix. Juste sa magie qui la rendait luisante. Elle rayonnait.
We've got to see what tomorrow brings Sing it for the world Sing it for the world Yeah, you got to be what tomorrow needs Sing it for the world ! Sing it for the world !
Lorsqu'ils furent dehors Elya lui désigna un véhicule, et ils s'empressèrent de grimper dedans. Démarrant à toute allure, Blake passa le grand barrage qui s'était ouvert à l'approche d'Elya dont la voix était amplifiée par son pouvoir. Tout ce qui était à des kilomètres à la ronde n'avait qu'une envie : Obéir à cette voix angélique. Elle conclut sa chanson sur une tenue. Blake comprit qu'il devait se dépêcher. Lorsqu'elle se tut, le jeune homme sortait du périmètre du pentagone et elle s'effondra dans l'inconscience. Il la regarda, pas inquiet. Il savait qu'elle dormait juste. Il savait aussi que s'il perdait ne serait-ce qu'une seconde, tout ce que la jeune fille avait fait serait perdu. Aussi, il fonça, décidant que le Canada serait sa prochaine destination.
Il était parfaitement éveillé, et il pouvait rouler ainsi toute la nuit s'il le fallait. En tout cas, jusqu'à ce qu'Elya se réveille. Il était encore soufflé par sa voix et son pouvoir. Une telle puissance... Voilà pourquoi elle était la meilleure ! Il fut d'autant plus motivé à la suivre jusqu'au bout. Elle était tellement impressionnante ! Il voulait connaître son pouvoir, ses limites, son envergure, pouvait-elle l'étendre sur la Terre entière ? Devait-elle chanter une chanson ? Il l'avait entendu siffler ou chantonner quand elle accomplissait certaines actions un peu difficile. C'est donc qu'elle avait besoin de musique. L'entendre lui suffisait-il pour développer son pouvoir ?
Il remarqua alors que son haut montrait son dos nu. La clé de fa inscrite à l'encre noire brillait légèrement, et il émanait de la jeune fille une douce chaleur. Dans son sommeil, car elle n'était pas dans l'inconscience, elle se recroquevilla sur elle-même, et laissa échapper un léger soupire. De quoi rêvait-elle ? Blake souri. Elle était forte, cela allait sans dire. Mais elle avait aussi ses faiblesses, et par exemple, elle ne pouvait utiliser son don si elle était seule. Ou du moins, elle ne pouvait l'utiliser comme elle venait de le faire. A lui de lui servir de soutient quand elle en avait le besoin. Il décida de se rendre indispensable à cette araignée dangereuse. Il fallait qu'elle ne puisse plus se passer de lui !
Chapitre 3 - La reine du bal:
Elya se sentait dans son élément. Étrange quand on pense qu'il s'agissait d'une fête où de nombreuses personnes dansaient. La jeune fille avait bien changé depuis qu'elle connaissait Blake. Une métamorphose qui n'était en fait que le dévoilement de sa véritable personnalité. Ce n'était pas que s'amuser avec d'autre personne en dansant l'éclatait. C'était qu'elle savait qu'elle allait accomplir quelque chose, et la musique qui envahissait son espace sonore la faisait luire. Elle ne pouvait plus parler, donc plus chanter, mais à quoi bon. Elle se débrouillait bien sans sa voix. Et Blake était avec elle... Blake qu'elle embrasser au passage. Comment avait-elle pu laisser ça se produire ?
Deux jours avant :
Un bruit régulier, incessant, agaçant. Elle se couvre la tête d'un oreiller avant de réaliser que son dernier souvenir ne provient pas du lit où elle est couchée. Ouvrant les yeux, la 1er chose qu'elle voit, c'est un ventilateur dont les pales tournent difficilement. Ce bruit l'irrite. Elle sens une douleur qui résonne dans sa tête, comme si elle récupérait d'une soirée arrosée, alors que ce n'était pas le cas. Elle voulut bailler, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Plaquant ses mains sur ses cordes vocales, elle se souvint alors ce qu'elle avait fait la veille. La chanson. Son don dévoilé, utilisé de façon trop poussé. Elya manqua de paniquer, mais elle se ressaisit rapidement. Ce n'était ni le moment, ni le lieu.
Se concentrant sur sa respiration, elle chercha le moindre détail pouvant la renseigner sur le lieu où elle se trouvait. Une carte posée sur la table de chevet expliquait qu'elle était dans un hôtel au Canada. Blake avait eut un bon réflexe. Changer de pays immédiatement était la meilleure chose à faire. L'avait-il fait de lui même ou avait-elle apposé sa volonté propre ? Elle ne parvenait à s'en souvenir. Elle entendait dans la pièce d'à côté le bruit d'une douche. Le jeune homme allait donc bien. S'étendant sur le lit, elle se rendit compte qu'elle n'avait sur elle que ses dessous et un long tee-shirt. Elle ne se souvenait pas s'être déshabillé, ni même d'avoir enfilé le haut. Avec un petit sourire, elle songea alors à Blake qui avait du aller acheter des affaires propres pour eux deux. Avait-il apprécié de la déshabiller ?
Elle entendit alors des bruits indiquant que l'assassin en avait finit avec la salle de bain. La jeune fille était allongée dans le lit, son tee-shirt remonté, dévoilant son ventre. Ce n'était qu'une mise en scène évidemment. Elle le regarda sortir puis poser ses yeux sur elle. Avec satisfaction, elle sentit son regard sur elle qui la dévorait. Avec un léger raclement de gorge, elle se releva lentement, et le fixa un moment, le temps que ses yeux reviennent sur les siens. La jeune fille posa sa tête sur ses genoux, et elle lui adressa ce sourire si félin qui semblait la caractériser.
-Euh... lança le jeune homme un brin troublé. Tu... tu vas bien ?
Elya acquiesça et s'étira avant de se lever.
-Tu as faim ?
La jeune fille réfléchit un instant en cherchant des affaires pour se laver et se changer, et Blake les lui indiquant, attendant sa réponse. Elle secoua négativement la tête et entra dans la salle de bain, suivit par l'assassin.
-Tu m'explique pourquoi tu ne décoche pas un mot ? S'enquit-il d'une voix tendue.
Elya posa tranquillement la serviette récupéré sur une accroche et les vêtements que Blake avait acheté à côté de l'évier, puis elle se tourna vers lui, et lui répondit en langage des signes.
*Tu m'as bien vu utilisé mon don hier, tu te doutes que ce n'est pas un caprice de ma part* Blake cligna des yeux. Elya songea un moment qu'il ne comprenait pas le langage des signes, mais il était un ombre comme elle. C'était trop pratique pour qu'il ne le connaisse pas, et en effet, il lui répondit bien que très surpris.
-Tu perds ta voix ? *C'est le prix à payer, tu sais bien que les dons ne sont pas gratuits ! * -C'est assez lourd ce prix là, mais tellement peu par rapport à ta puissance ! *Parce que ce n'est pas la seule contrepartie * -C'est à dire ? *J'aimerais bien me doucher... Tu peux me laisser ? Ou je me déshabille devant toi ? *
Blake rougit fortement, puis il bégaya un mot d'excuse en sortant. Une fois seule, Elya ferma la porte à clé et soupira. Elle n'esquiverait pas indéfiniment s'ils continuaient de coopérer de la sorte. L'assassine enleva ses vêtements et entra dans la douche en ouvrant l'eau froide à fond. Le jet la fit sursauter puis la paralysa le temps de quelques secondes. S'ébrouant légèrement, elle poursuivit sa réflexion.
Maintenant privée de sa voix, elle ne pouvait plus charmer personne. La seule façon pour elle de prendre de la force était d'exécuter le prochain coup dans un endroit où la musique était tout à fait normale. Il fallait qu'elle finisse son œuvre. Blake lui était indispensable tant qu'elle n'avait pas retrouvé sa voix, et au vu de la puissance qu'elle avait déployé, il lui faudrait plus que la journée habituelle qui lui suffisait d'ordinaire. Peut être deux, trois, ou plus encore. Elle n'avait jamais poussé son pouvoir à ce point là. Elle en ignorait les conséquences directes. En tout cas, elle savait que son espérance de vie était encore réduite, et cela, elle le sentait jusqu'au fond d'elle-même. Elle avait pas mal arrangé son espérance de vie, mais il le fallait.
Son prochain coup, sa prochaine cible. Un homme qui avait un peu trop le goût des « bonnes choses ». Celui qui était en gros le maillon central de ce qu'elle entreprenait de démonter. Pièce par pièce. Pas qu'il y en ai beaucoup, mais surtout que cela lui coûtait le peu de sécurité qu'elle avait avec sa place d'ombre. Mais elle s'en moquait. Rencontrer Blake l'avait sortie de la léthargie dans laquelle sa famille était tombée depuis qu'elle était ombre et avant cela assassin royale. Elya avait ouvert les yeux et elle s'était rendue compte qu'elle ne défendait pas la démocratie, mais ceux qui s'en servait pour foutre le monde en l'air. Comment les ombres ne s'en étaient-ils pas rendue compte plus tôt ?
Secouant la tête, elle se rinça en étirant ses muscles légèrement meurtris par ses prouesses de la veille, et sortit de la douche. S'enroula dans la serviette elle se posa devant le miroir et s'observa. Son visage fin était assez pâle. Elle ne vivait que la nuit, c'était logique, mais cette pâleur avait, il a quelque temps, un côté maladif qu'un éclat récent dans ses yeux émeraudes avait fait fuir. Désormais, ses joues étaient plus colorées, et elle semblait enfin vivre. La jeune fille se reconnut parfaitement dans son reflet. Ses cheveux tombaient en cascade à ses côtes. Elle les essuya rapidement avec une autre serviette avant de regarder les vêtements.
Foncés, pratique et discret, ils plaisaient bien à l'ombre. Il ne s'agissait pourtant que d'un jean, un tee-shirt et une chemise, mais elle les adopta. Cela la changeait tellement de ses tenues de combat. Se regardant à nouveau dans le miroir, l'assassine eut l'impression de voir enfin une humaine normale. Une jeune femme étudiante dans une fac, tout ce qu'il y a de plus normal. Tout ce que peut-être Elya aurait pu être. Sans faux nom, sans faux papier, sans fausse amitié, sans mensonge. Attention ! Elya adorait sa vie. Contre rien au monde elle ne l'échangerait contre un train train quotidien. Seulement, elle était curieuse : Comment faisait les autres ? Ce qui n'avait pas de cible à tuer. Ce qui n'avait pas l'impression de risquer leur vie à chaque instant. Elya les plaignait. On n'a qu'une vie. Elle ne l'envisageait pas autrement que courte mais remplie.
Avec un petit sourire, elle se dit qu'elle appréciait cette nouvelle Elya qui semblait enfin apprécier ce qu'elle vivait. Elle ressemblait plus à ce qu'elle envisageait, et ça lui plaisait. Ça lui plaisait beaucoup ! Ouvrant la porte de la salle de bain, elle en sortis d'un pas déterminé et regarda Blake droit dans les yeux.
*Notre prochaine cible vie à Ibiza. Sa vie est rythmée par les jolies filles et les fêtes. Il faut qu'on se liquide de façon absolument scandaleuse. Que ce soit horrible ou bien voyant, mais il faut que le suivant sur la liste ait TRES peur ! * -Il y en a combien comme ça ? S'enquit-il en détaillant la nouvelle tenue de l'assassine. *Deux en comptant celui qu'on doit éliminer aujourd'hui * -Aujourd'hui ?! S'écria-t-il. *Alors tu suivais ? *
Sa moue ironique laissait pourtant clairement entendre que d'un, elle était tout à fait sérieuse et déterminée, et de deux, il était hors de question de discuter. Soupirant, Blake la regarda.
-Je te suis, mais il faudra que tu m'explique dans quoi tu m'entraînes ! *Tu es libre de partir quand tu veux. Je te tuerais juste dans la minute qui suis. * -Oui, je sais. Et je t'ai dit que je te suivais. Autrement, je t'aurais tué alors que tu étais inconsciente ! *A vrai dire, non, tu n'aurais pas pu. *
Blake la dévisagea. Il comprenait ce qu'elle voulait dire, mais ne le voulait pas. Aussi il lui demanda ce qu'elle signifiait par ces mots. La réponse le transperça.
*Je n'ai pas seulement user de mon pouvoir sur ceux qui nous ont empêché de sortir, mais aussi sur toi. Je t'ai obligé à m'aider jusqu'à ce que je me réveilles. Je t'ai aussi suggéré le Canada, je ne pensais pas que ça marcherait autant. * -Tu me trimbale comme ça depuis le début ? *Non, et tu le sais bien. Mon pouvoir n'est pas illimité, sinon, je t'aurais tué et n'aurais pas requis ton aide. Tu ne peux t'en prendre qu'à toi même si tu pensais qu'on avait une quelconque attache. Je n'ai jamais rien montré de la sorte. *
Blake ferma les yeux un court instant. Quand il les rouvrit, on y lisait la colère. Elya ne se démonta pour autant pas. Tout se passa très vite. Le jeune homme tenta d'attraper l'assassine qui se déroba facilement d'un petit bond. Ils se regardèrent un court instant en chien de faïence, puis l’assaut repris. Un coup de pied fouetté qu'elle évita en se penchant. Tournant sur elle même, elle voulut le faire tomber, mais il bondit au dessus d'elle pour la plaquer au sol. Elle se releva dans une contorsion qui aurait fait pâlir un gymnaste, l'évitant de ce fait. Blake, comprenant qu'il n'arriverait à rien ainsi, activa son don, et il devint hybride en même temps que ses pupilles en forme de patte de chat s'illuminaient. Elya en face de lui plissa ses yeux et changea ses points d’appui en position d'attaque. Blake eut un sourire félin se rapprochant de beaucoup à celui qui occupait souvent le visage de l'assassine. Sautant d'un coup vers la jeune fille, il fut déçu de ne l'effleurer qu'à peine. Elle était vraiment douée, même sans son don ! Mais Blake n'était pas au sommet de ses capacités, et Elya était en revanche au plus bas des siennes. Il m'y du temps avant de parvenir à la plaquer sur le lit et de l'immobilier complètement. Elle se débattait bien, et lui n'avait pas sa stratégie à toute épreuve qui la rendait imprévisible, cependant, à moitié chat, il était beaucoup plus rapide, et ainsi, il réussit la manœuvre qui consistait à l'attraper dans une feinte.
Une fois nouvellement positionner au dessus d'elle, il redevint un humain normal et la regarda dans les yeux.
-Je ne pensais pas qu'on avait une quelconque attache, comme tu dis, mais il est toujours plus agréable de... partager dirons-nous...
Et sans lui demander son avis, il l'embrassa. La réaction de l'assassine ne le surpris même pas : Elle lui mordit sauvagement la langue, au point de le faire saigner. Il se retira vivement, et vit son sang qui coulait du bord de la lèvre de la jeune fille. Elle le fixait d'un air tellement désemparé qu'il fut étonné. Elle avait agis par réflexe, pas par colère. Il se pencha plus lentement et lécha le filet de sang sur le coin de sa bouche avant de la ré-embrasser avec plus de sentiments, parce qu'il y avait des sentiments. Elle ne le repoussa pas, mais ne répondit pas pour autant à ce baiser. Elle se dégagea finalement en récupérant ses affaires et en sortant. Avec un soupir, Blake attrapa ses propres affaires, et rejoignit l'assassine dans le van qu'il avait échangé contre leur voiture de l'armée. Le type était pas regardant. Il savait qu'en démonta l'engin, il en tirerait beaucoup, aussi, l'échange avait été très discret.
Bon, puisque plusieurs personnes m'ont demandé si j'avais posté mon truc, j'aime autant le reposter.
Prologue
La plaine s'étendait sur plusieurs dizaines de kilomètres d'Est en Ouest, et au Nord, comme au Sud, se trouvaient deux chaines de montagnes, séparées de trois kilomètres. Il y'a longtemps, un fleuve la parcourait. Il s'appellait le Thar, et sa présence était nécessaire au bien être de la population. Le Thar s'était depuis longtemps assêché, comme beaucoup des fleuves artificiels crées par le grand Terraformage de l'an 2031. La plaine était restée verdoyante, cependant.
Deux lames se croisèrent, projetant des étincelles dans la nuit.
La plaine n'était pouvue que de peu de bosses, et toutes sortes d'animaux tranquilles y vivaient. Au printemps, lorsque les Hirondelles revenaient, on pouvait assister au réveil des marmottes vivant dans les pics non loin, tandis que la plaine se couvrait de fleurs de toutes sortes et de toutes couleurs. En toutes saisons, la plaine était belle, mais les habitants détestaient y aller en Hiver, période où elle fut occupée après la Grande Erreur.
Un jet de sang fendit la nuit, pour retomber sur l'herbe de la plaine.
On disait la plaine hantée, depuis cette période. Quelques enfants avaient tentés d'y aller, mais étaient revenus en hurlant avoir vu le visage des Soldats dans le givre couvrant la vallée. Des scientifiques s'étaient installés là bas, et avaient décelés des perturbations de tous les champs magnétiques, électro-statiques, et même temporels, dans la plaine. Lorsque les centres principaux de recherches avaient reçus les données, tous les scientifiques sur le terrain avaient déjà disparus.
Un cri brisa le silence, tandis que la nuit semblait exploser.
Sous la surface de la plaine s'étendaient en effet tous les cadavres, victimes de la grande Erreur, sur cette terre qu'on nommait autrefois Paris. Tous les soldats étaient morts à cause du grand Cataclysme, conséquence logique de la Grande Erreur. Personne ne savait plus qui était la cause de tout cela. Mais depuis, les hommes étaient redevenus des créatures faibles, effrayées par le pouvoir.
La Terre se fendit au son du cri, des flots de laves en jaillirent.
Le Dieu tomba, tandis que l'Humain retirait le sang de sa lame. Il releva lentement la tête, découvrant ses iris jaunes.
Chapitre 1 :
Avec un soupir, Litil souleva la mèche rebelle recouvrant ses yeux marrons teriblement communs tout en enfonçant difficilement sa pelle dans le sol dur de la vallée. A coté de lui, Sigur, son jumeau, creusait avec une belle efficacité. Sigur avait des pupilles jaunes, dont on disait qu'elles étaient un don divin. C'était un très beau jeune homme, en réalité.
Il avait un corps épais, mais sans en devenir repoussant. Ses muscles étaient idéalements dessinés et dansaient sous sa peau rendue rugueuse par un travail volontaire au fil du temps. Il était assez grand, plus que la majorité des gens, sans l'être trop. Son visage était dur, mais pas assez pour être effrayant. Son visage ne portait pas le moindre poil, tandis que sa courte chevelure blonde reflétait la lumière du soleil.
A coté de lui, Litil n'avait aucune chance, auprès des filles.
Litil était un jeune homme frêle, maigre et chétif. Il était plus petit que la grande majorité des gens, et était connu pour son immense flemmardise. Il préférait dormir au travail, et manger à cultiver. Son visage était fin, et aurait sans nul doute été beau s'il n'était pas toujours recouvert d'une barbe de quelques jours absolument immonde. Ses cheveux bruns, de la même couleur que ses yeux, cascadaient sur son nez et ses épaules.
Souvent, on les accusait d'être de faux jumeaux. D'après certains, leur mère avait connu plusieurs amants, qui aurait pu la mettre enceinte en même temps. Touché par les ragots, comme tout le monde, Litil en était venu à détester sa mère, cette catin, tout en méprisant son père, cocu et trop stupide pour s'en rendre compte. Mais ni l'un ni l'autre n'était aussi haï que Sigur. Chaque minute qui passait, Litil rêvait de lui donner un grand coup du tranchant de la pelle au sommet du crane. Il rêvait de sentir son arme broyer les os de son frère, découper la chair, faire gicler le sang et sentir l'âme de Sigur le quitter.
Sigur n'avait pas la moindre idée des intentions de son frère. Il n'avait jamais éprouvé le moindre mépris pour ses parents, et respectait énormément son frère. Il le considérait comme un poète, un artiste, préférant le rêve au travail commun, lot des mortels. Afin de lui permettre de rester plus longtemps dans ce monde ésotérique où Sigur n'entrerait sans doute jamais, il travaillait pour lui, éspérant avant tout le bien de son frère.
La seule raison qui empêchait Litil de tuer son frère était celle là, combinée à sa force très réduite. Sigur était l'homme qui le couvrait, celui qui lui permettait de rester inactif aussi longtemps. Mais si Litil trouvait quelqu'un d'autre pour cela, et s'il trouvait la force physique de tuer son frère, il le ferait dans l'instant. Et peut être même continuerait il en abattant ses parents, voire même tout le village.
Oh oui, Litil rêvait de décapiter tous ces idiots. Aucun ne se rendait compte de ce qu'était le monde. Ils préféraient le travail à l'ancienne aux robots esclaves, les huttes aux maisons domotiques, les couchers de soleil à la télévision. Pour lui, ces gens ne méritaient que la mort. Ils ne faisaient pas partie de l'époque glorieuse où se trouvait le monde. Lorsque Litil expliquait cette réticence aux autres, ils avaient toujours la même réaction.
"Regarde où le progrès nous as menés, Litil! La Grande Erreur, ça te dit quelque chose?"
Litil aurait aimé pouvoir rire au nez de ses détracteurs, mais il se rendait compte qu'ils avaient raison. Mais c'était impossible. Le progrès était bénéfique, c'était la plus grande évidence au monde. Le progrès apportait la richesse, qui apportait le bonheur! C'était ainsi que marchait le monde depuis plusieurs millénaires! Alors pourquoi?
Les politiciens. Litil en était venu à les haïr. Eux seuls avaient pu provoquer la grande Erreur qui avait causé la mort de tant de gens, la necessité de terraformer la Terre, et les cicatrices qu'elle portait encore. L'homme était la cause de la Grande Erreur, pas le progrès. C'est en se rendant compte de cela que Litil découvrit sa vraie nature.
Il était un envoyé de Dieu venu pour prévenir le monde de la nécessité du progrès, tuant tous ceux qui s'y opposeraient. C'était un messager, destiné à sauver le monde du chaos auquel il céderait sans le progrès, sous l'influence de politiciens stupides. Et il devait agir, pour Dieu.
Mais pour l'instant, il devait se cacher. Se cacher, trouver la vraie nature de chaque chose, puis, lorsqu'il en aurait vu assez, se rendre en ville, et déclamer la vérité absolue aux hordes de brebis égarées venues chercher la lumière! Et enfin, ils reconnaitraient Litil comme leur chef véritable, l'envoyé de Dieu!
"Bon travail, les gars, vous pouvez aller vous reposer..."
La voix désincarnée avait profondément troublé la rêverie de Litil, qui releva la tête et vit l'immense trou qu'avait creusé Sigur en son absence. Suivant le roulement des taches, Litil et Sigur étaient devenus cette semaine des fossoyeurs. Ils creusaient la tombe d'un vieillard dont Litil ne savait déjà plus le nom. En revanche...
En revanche, son expression lorsque Litil l'avait poignardé resterait gravée dans l'esprit de Litil.
"Litil, on rentre à la maison, tu viens? Demanda Sigur.
-J'arrive... Merci d'avoir travaillé pour moi.
-T'en fais pas, c'est normal, entre frêres!
-Merci quand même, je ne suis pas sur d'en avoir fait autant dans ton cas...
-Mais je veux que tu te sentes bien, frérot, t'en fais pas!"
Litil et Sigur rentrèrent chez eux, sans un mot de plus. Dans son esprit, Litil imaginait encore l'explosion du crane de Sigur sous le coup de pelle. Il était nécessaire que Sigur le croit bon, sans quoi il se méfierait trop. Il était nécessaire qu'il le croit poète et artiste, au lieu de comprendre sa mission divine.
Comme d'habitude, Litil mangea très peu, tandis que Sigur s'empiffrait, comme d'habitude. Leur truie de mère arborait toujours le même sourire niais, tandis que l'immonde porc à son coté continuait de se pavaner dans son role de chef de famille. Litil s'imagina cette fois éclater la tête de ses parents l'un contre l'autre, et contempler la bouillie sanguinolente constituée de leurs cervelles entrelacées.
Avec un immonde sourire, Litil finit son assiette, sans cesser de contempler son père, qui se rengorgea en pensant inspirer à Litil une certaine ambition de devenir comme lui. Il était bien loin d'imaginer la façon dont allait s'occuper Litil, cette nuit.
Chapitre 2 :
Dans le silence et l'obscurité de sa chambre, Litil prit le petit instrument laser qu'il avait jadis volé à un marchand de passage. Cet homme était prêt à apporter la technologie dans cette terre stupide, mais les villageois lui avaient jetés des pierres en l'accusant de vouloir recommencer la grande Erreur. Quelle bande d'ignorants.
Litil ouvrit doucement la porte de sa chambre, avant de sortir dans la pièce que l'on appellait salle commune, et qui n'était en fait qu'un espace innocupé où se réunissaient Sigur et ses parents le soir, et où tous mangeaient, au sol. Litil sortit de cette pièce pour arriver dans le jardin de la maison, une terre en friche où poussaient dans une harmonie totale des plantes de toutes sortes.
Litil détestait ce jardin. Là où aurait pu se dresser une centrale électrique, il n'y avait que des plantes inutiles et laides. Tout au plus pouvait on les bruler pour en faire du feu, mais les fleurs contenaient trop d'eau pour bien bruler. Aucune utilité, donc.
Litil quitta le jardin et chercha une proie. Il pensait soit à un animal stupide tel une vache, un chien, ou n'importe quoi d'autre, soit à une jeune fille qu'il avait repéré la veille. Il l'avait vu, admirant des chevaux sauvages au loin, ses cheveux blonds au vent. Elle possédait des yeux verts magnifiques et semblait ouverte à la nature. Litil l'avait tout de suite détestée.
Elle était, selon les standards que Litil avait pu étudier, magnifique. La simple robe blanche qu'elle portait la mettait magnifiquement en valeur, et elle semblait intelligente. Litil avait décelé, dans le rythme respiratoire de Sigur lorsqu'il l'avait vu, un changement rapide, symptomatique du désir. Sigur était amoureux de cette fille, c'était évident. Quel dommage pour elle. S'il n'avait pas été amoureux, elle aurait sans doute survécu plus longtemps.
Litil approchait de l'endroit où il l'avait vue, et décela des empreintes de taille réduite peu profondes parmi beaucoup d'autres plus profondes et plus larges. Des pieds féminins, délicats et légers. La jeune fille devait être agile, pour se déplacer avec autant de légéreté. Pas étonnant que Sigur soit amoureux d'elle.
Litil suivit ces pas jusqu'à une simple tente, sans décoration, sans barrières, sans rien qui aurait pu indiquer une quelconque sécurité. Litil sortit son instrument laser, et le mit en position couteau. Un court laser en surgit, se développa tridimensionnellement, formant un couteau, avec lequel Litil coupa la tente pour entrer à l'intérieur.
La jeune fille était là, son doux visage éclairé par la pale lumière de la lune laissée passer par la mince ouverture qu'avait faite Litil. Ses paupières fermées empêchaient Litil d'apercevoir ce regard vert si magnifique. Un instant, son coup fut retenu par... qu'est ce que c'était au juste? De la pitié? Non. C'était différent. Litil était peut être sensible à sa beauté, mais il détestait cette fille. Peu importait. Il devait toucher le coeur, afin qu'elle meure dans l'instant. Il devait aussi changer de position pour en faire un laser suffisament fin pour ne pas causer d'hémorragie externe, ni même interne.
Il souleva la couette de la jeune femme et la fit glisser le long de son corps. Elle ne portait aucun vêtement, comme beaucoup de personnes aimant le faire en été, et cela faciliterait largement la tache de Litil. Il ne s'arrêta pas sur son corps aussi parfait que la robe qu'elle portait la veille le laissait supposer, et changea la position de son laser. Ce dernier s'étrécit tellement qu'il en devenait invisible. Et c'est à cet instant précis qu'Elle se réveilla.
Ses yeux verts s'ouvrirent subitement, et la lueur paniquée qui s'alluma dans ses yeux verts troubla un instant Litil. Cet instant permit à la jeune fille de crier, d'hurler au viol, mais Litil était trop près de l'entrée de la tente pour qu'elle puisse s'enfuir. Dans les huttes adjacentes, les gens s'agitaient, se mettaient à hurler et à courir dehors. Apparemment, la jeune fille avait une certaine popularité auprès de ses voisins.
Tout s'annoncait très mal pour Litil, et la fille continuait d'hurler. Il n'avait aucune idée de ce qu'il pouvait faire pour l'empêcher d'hurler, et fit donc la première chose qu'il pensa possible. Il se jeta en avant, et colla ses lèvres à celles de la jeune fille. Cette dernière se raidit, puis sentit que les lèvres de Litil n'étaient pas le moins du monde intrusive. Elle étudia son vis à vis, et ne vit rien de menaçant dans sa position. Il était juste effrayé. Elle le repoussa avec violence, mais ce dernier la prit tendrement dans ses bras sans cesser de l'embrasser. Cédant à l'homme, la jeune fille se laissa faire, mais lorsque des villageois s'approchèrent de la tente, elle repoussa Litil vers le fond de la tente, dans l'ombre, trop subitement pour que ce dernier puisse faire quoi que ce soit.
"Sarah, tu vas bien? Hurla un villageois en entrant dans la tente pour aider la jeune fille.
-Tout va bien, j'ai seulement fait un cauchemar, retournez dormir, vous en avez plus besoin que moi."
La jeune fille s'était déjà remise sous sa couette, en faisant signe à Litil de ne pas bouger, et il faisait trop sombre pour que le villageois le remarque. Cependant, ce dernier remarqua l'entaille dans le coté de la tente. Lorsqu'il interrogea Sarah sur cette dernière, celle ci répondit que dans sa panique, elle avait saisi son couteau et avait donné un coup dans le vide, qui avait entaillé la tente.
Le villageois, bien que suspicieux, décida de croire dans le récit de la jeune femme, et ressortit en lui souhaitant une bonne nuit. Sarah se retourna vers Litil, avec encore un peu de crainte dans le regard, mais aussi autre chose, que Litil ne parvenait pas à identifier.
"Monsieur... Qui êtes vous? Et que faites vous ici? Demanda t'elle en resserant sa couette sur elle pour protéger son intimité.
-Je... je m'appelle Litil... Je vous ai vue hier et... Je vous ai tout de suite aimée. Je m'en veux terriblement mais... j'ai voulu vous admirer une fois encore. Dans votre sommeil, vous aviez jeté votre couverture au loin et... J'ai pu voir votre corps entier. Submergé par tant de beauté, je m'en suis approché... Et vous vous êtes réveillés. Je suis navré d'avoir troublé votre intimité... Accordez moi votre pardon, je vous en supplie. Je vous jure que vous n'entendrez plus jamais parler de moi." Répondit Litil, son visage baissé doucement éclairé par la lune.
Litil s'apprêtait à partir, le visage baissé, mais Sarah lui saisit le bras.
"Attendez une seconde... Litil...
-Oui, madame?
-Je vous pardonne... Passez une bonne nuit...
-... Merci, madame..."
Litil sortit de la tente, et un sourire terrible naquit sur son visage. Son nouveau plan fonctionnait à merveille.
(Désolé pour le retard, j'ai pas pu le fiche sur un topic >.<)
Dans une voiture de police en rase campagne sous un beau ciel bleu, deux policiers sont en train de discuter de façon trèèès instructive sur la vie et la mort en attendant un appel d'un de leurs amis sur leurs poste de police. Les deux hommes sont amis, l'un s'appelle Roger, l'homme a coté de lui s'appelle Travis.
Roger : Non mais regarde la, elle est énoooorme la mienne :o.
Travis : C'est ca ouais,moi j'ai la plus grosse avec deux belles boules.
Roger : Tsssst la mienne a un meilleur gout que la tienne.
Travis : C'est ca ouais, la mienne elle est savoureuse, s'ma femme qui me l'a dis u_U.
Roger : La mienne elle est bien ferme et chaude.
Travis : Mais oui, de toute façon, je te dis que la mienne est plus belle, plus grosse et meilleur alors chute
Roger : J'te crois pas, ma mère m'avais dis que la mienne était si douce et délicieuse qu'elle reviendrai souvent chez moie en acheté
Travis :...Parfois je me dis qu'on devrait arreter de comparé les glaces qu'on achetes dans le resto en face. ._. *Ils lèvent tout les deux leurs cornets de glace deux boules et les manges*
Radio : Bon les deux gougniafié là, vous vous ramenez, ca fais dix minutes qu'on vous appelle, ya eu un cambriolage et des morts, ramenez vous vites, ils sont proche de vous.
Travis : Non mais a force d'hurlé on avais mis RFM alors bon ._.
Radio :...BON GROUILLEZ VOUS.
Roger : M'kay, bon, alors, apparemment, ils font qu'on aille tout droit =/
Les deux acolytes arrivent devant un barrage clouté avec leurs voitures de police criant une alarme assourdissante, un cortège de policier monstre barre la route et les deux amisregarde vers l'horizon, espérant voir leurs fuyards. Quand tout a coups.
Roger : EH !!! LA BAS !!! LA BAS !!! ILS ARRIVENT ! ILS SONT LA ! SORTAY LES GUNS ON VA TOUT PETAAAAAY
En effet, une voiture blanche, avec des ballons blanc accrochés au pare brise et avec écris "JUST MARRIED" sur le capot se ramène.
Travis:...Euh attend j'crois pas que...
Roger : A MORT LES BOULAAAAAAAAY *Tire de partout sur la voiture et sur le pare brise ou sont les jeux époux. La femme,blonde avec un voile blanc hurle a la mort de partout*
Mariée : AAAAARGH MAIS ARRETAY !! ARRETAY ! J'VOUS EN PRIE ARRETAAAAAAAY *SHLANG*
Marié : X_X
Roger : Oyeah, on a fais un beau travail les mecs o/
Travis : Mais non espèce de con...C'ETAIS PAS CETTE VOITURE ! ILS ARRIVENT ! LA ! TU VOIS ?
*Une voiture bleu tirant ou le condcteurs tires de balles arrivent a toute vitesse sur le barage*
Travis : Bon mettez vous en position...
*A dix metres de la, des vieux font une pétanque dans l'herbe*
Raymond : Bon met toi en position hugette.
*Retour sur le champs de bataille*
Travis : VIsez bien la tête surtout.
Raymond : Vise bien le cochonet surtout.
Travis : Ils arrivent...
Hugette : Mais ca va je vais y arriver !!!
Voyous : HEEHEHEHEHEHHEHEHEHEHE *Tire sur les flics*
Travis : FEU A VOLONTAAAAAAAAAAAY
Raymond : HUGETTE TU MARCHE SUR MON PIAAAAAAAAAAY
Hugette : AAAAAARGH *Prise de peur elle jette la boule de pétanque dérière elle*
Travis : OYE...*Se prend la boule dans la gueule et perd conaissance*.
*Musique angoissante* THE VLANKING DAUBE
Après son accident, Travis se retrouve dans un coma profond, tout les jours pendant son coma, son ami, Roger, se ramène a l'hosto pour vori comment il va et pour voir un peu comment il s'en sort. Il lui parle souvent pendant son coma.
Roger *Se trouve en face du lit* Bon chuis allez prévenir ta femme et ton gosse. Pour que tu ai l'air cool j'ai dis que tu t'ai pris une balle dans la tête et que ta survécu parce que bon la boule de pétanque ca craint.
QUELQUES JOURS PLUS TARDS
Roger : Apparement tu t'enfonce de plus en plus dans le coma, allez mon vieux, fais pas ca, ta femme et ton fils ont besoin de toi. Bon okay, je sais que tu suspecte ta femme de te trompé mais sache qu'elle n'a jamais rien fais. Encore hier, elle me parlait avec émotion du rouge a lèvre carmin que tu lui as offert l'année dernière.
UN MOIS PLUS TARD
Roger *Avec une marque de rouge a lèvre carmin sur la joue* : Toujours en train de pioncer,j'ai fais un saut a l'hopice aujourd'hui et que voila, je t'offre un vase. Bon okay, c'est pas des fleurs, mais des orties et c'est un pot de chambre et pas un vase mais c'est l'attention qui compte.
Travis : Aidez...moi...;w;...bon okay =w=. *Essaie de se relever mais a du mal a trouvé l'équilibre* Ouch...ma tête...je..
Finalement après quelques essaies, travis reussis a se relever complétement, nu, en vetement d'hopital, il regarde par la fenetre de sa chambre et il vois une femme déchiqueté au sol, en train de se faire manger l'entrejambe par un homme du personnel soignant.
Travis : O_o...mais wouh, je suis ou là ?
Travis se met a marché et sort de l'hopital en quelques minutes finalement et se trouve dans la rue. Devant lui, un spectacle de desolation intense s'ouvre et il remarque qu'il n'y a plus personne dans les rues. Il y a des voitures qui ont brûlés, des maisons en ruines, des sachets pleins les rue sous un ciel morne et blanc aspirant a la solitude. Aucun animal, aucune personne, juste un petit grognement lointain qui ressemblait un peu a celui d'un humain, ou d'un loup. Travis continue de marché dans la rue, en boitant, son mal de crâne persiste. Il ave finalement dans un pavillon de jardins ou il croise quelques hommes marchants lentements et le regardant avec interets, la tête décroutés. Il arrive finalement chez lui, dans son ancienne maison, un vrai taudis capitaliste ou la puanteur de cadavres et l'durs du souffre nous fais exclamé un "POUAH". Les meubles sont sans dessus dessous, il arrive dans sa chambre, hurle le prénom de sa femme et de son fils, et finalement il arrive dasn sa chambre et fouille dans tout les meubles....Il déniche, au fond d'un tiroir en vrac...un vibromasseur situé dans la table de chevet de sa femme.
Travis :...O_o
Perturbé, il se met a vogué dans un jardin et...Marche sur une pelle et se prend le manche en bois dans la gueule.
Travis : ...X______X *Tombe par terre et s'effondre dans le jardin*
Drew (Un gamin noir) : OH PUTAIN PAPA ! MON PIEGE A MARCHER ! J'EN AI CHOPPAY UN \o/
Drake : Vite, abbat le :o
Travis : Ai.;ai..;ai..dez..m..m..moi...moi *Se prend un coup de pelle*
Drew : AAAALOUETTE GENTILLE ALOUETTE *Coup de pelle* JE TE PLUMERAY LA TETE *Coup de pelle*
Travis :...x_____x.
Drake :...Wait mais attend...C'EN AY PAS UN ! CAY PAS UN ZOMBIE ESPECE DE TROUFIGNON ! *Giffle son fils*
Drew : Mais ta vu sa gueule ? On en dirait presque un D:
_____________________________________________________________ *Quelques heures plus tards dans un une grande maison avec le père et le fils et Travis dans un lit*
Travis : Hmmmm...euh...Mais qu'est ce que je fous la en fait ? Hein ?
Drake : Euh...Vous vous etes pris un poteau electrique dans la gueule.
Travis : C'étais pas une pelle ?
Drake : NON C'ETAIS UN POTEAU ALORS TU FERME TA GUEULE DE GNOU
Travis : Oui bah okay j'veux bien vous croire mais pourquoi je suis ici ?
Drake : Bien qu'avec votre tronche de cake on vous ai pris pour un ruminant, on s'est gourré, vous etes un humain et gna gna gna.
Travis : Un ruminant ?
Drake : Ouais, un décomposé, un zombie, une paris hilton sur patte quoi.
Travis : Vous vous foutez de moi ?
Drake : Ben j'aimerai bien maiiiis...non
Travis : Okaaaaay...Et c'est pour ca que vous avez barricader les fenetres et les murs.
Drake : Mais bravo Einstein
Travis:...mais dites moi, vous voulez pas qu'ils rentrent nah ?
Drake : Oui
Travis:...ALORS POURQUOI VOUS AVEZ PAS BARRICADER LA PORTE ??
Drake :...Ah ouais c'est une idée
Travis : Mais j'y crois pas, l'humanité elle a été dévasté par deux fléaux ca veut dire ._.
Drake : Deux fléaux ?
Travis : Bah oui, les zombie ont bouffés les humains et...
Drake : Et ?
Travis : Bah les seuls survivants c'est des noirs, ca fais bien deux. ._.
Drake : Vous voulez que je vous balance dehors ?
Travis : Ca dépend, les zombies, ils sont pas noir au moins ?
Drake: Je sens qu'on va s'éééclater.
______________________________________________________________ Plus tard dans la soirée.
Travis : Sinon, bambou...euh...Drake, comment vous avez reussis a survivre a tout ca ?
Drake : C'est une assez longue histoire...
Il ya quelques semaines, dans la même ville mais dans la même maison, il y a encore de la vie, les gens sont dehors, les voitures bien garées, la femme de Drake est devant la fenetre, soucieuse, appelle son mari avec son téléphone portable.
Celia : Cherie, j'ai vu une chose terriiiiiible aujourd'hui...
Drake *Dans sa voiture* : Roh j'tai dis de plus approché des miroirs ._.
Celia:...Non mais espèce de connard, tu vas m'écouter oui ?
Drake : Bon tu veux quoi ?
Celia : APparement il y a un gros virus dans la ville et les gens meurent >.< Ici ya pas beaucoup de signe, toi comme t'es au centre ville encore, tu vois pas quelques chose de bizzare ?
Drake : Bah euh...*Regarde par sa fenetre et vois un homme dans la rue, allongé par terre, dans une mare de sang en train de se faire bouffer par deux hommes décomposés avec les bras en sang, eux mêmes poussent des grognement similaires a ceux des zombies*
Homme : AIDEZ MOIIIII *Se fais croquer*
Drake : Noup, rien a signalé ;trolol.
*Quelques jours plus tards*
L'invasion a largement commencées, les gens se barricadent chez eux, une alarme retentit de partout, il y a des incendies dans le quartier, les gens hurlent, les zombies sont a la porte des maisons, les fenetres brisés, des gens courent partout avec a leurs troussent des morts vivants. Celia est devant la porte, barricadée, elle regarde par le judas.
Celia : Ca me fais de plus en plus peur cette histoire
Drake: Roh ca va, c'est juste une petite émeute de rien du tout.
Celia : De rien du tout ?! Nos voisins sont mort !
Drake : Et alors ? Non seulement ils faisaient mal la bouffe mais en plus, la moule de la voisine elle avait dépassé la date de peramption, si tu vois ce que je veux dire.
Celia:....Tu peux repeter ca ? , roh oublie.
Drew : M'man, ils ont eu le voisins d'en face.
Celia : Seigneur dieu...
.Quelques jours plus tards encore. La situation est pratiquement la même que dans le présent, mais il y a encore quelques familles qui luttent encore.
Celia : TU VEUX BIEN ARRETER !
Drake : Roh, mais c'est juste pour rire !
Celia : Me faire peur alors que je suis au balcon, alors qu'en dessous de notre fenetre ta madame Miskys et les voisins qui ont qu'une envie : Nous manger, c'est déplacé chérie !
Drake : Roh ca va, je le ferai plus.
*Plus tard dans la journée, la femme de Celia est appuyé au balcon, en train de prié*
Drake : *Arrivant par dérière* Huhuhuhu..*Attrape les épaules de Celia* BOUH !
Celia:...WOUAAAAAAAAAAAAAAH *Saute du balcon sous le coup de la terreur et fais une chute de 2 mètres au milieu des voisins/zombie.*
Drake:...Oh...merde...
Celia: *Se fais encerclé par les zombies*...Cherie...AIDE MOI J'TEN SUPPLIE !
Drake : Euh j'veux bien mais...
Celia : MAIS ?
Drake : J'ai mal aux jambes là...faut que je m'asseois =w= *Met une chaise sur le balcon et s'asseoit* Allez courage ma chérie !
Celia : AAAAAAAAARGH AU SECOURS ! J'TEN SUPPLIE? ILS VONT ME MAAAANGER ILS VONT ME MAAAANGER
Drake : Tu voudrais que je sorte et que je laisse notre fils seul ? Mais hors de question, t'es irresponsable ou quoi ?
Celia : AAAAAAAAAAAAAAARGH ESPECE DE...AAAAAAAAAAA...AAAAAAAAA....AAAAAAARGH *Se fais déchiqueter par les voisins*
Drake : Ouah, Mme Miskys elle a de grande dents oo.
RETOUR AU PRESENT.
Drake : Ma femme est morte...heroiquement...je...rien que d'en parler, je suis déprimé...
Travis: Mais je veux pas finir comme vous moi...En plus vous etes noirs, alors vous avez moins de chance d'etre manger mais moi, je veux rejoindre les survivants ! Ya pas un camp, un truc du genre ?
Drake : Y aurai des survivants dans la ville d'a coté mais chuis pas sur...
Travis : Alors je vais y allez *Musique du courage*
Le lendemain Matin, Travis est habillé comme Woody de Toys story, il est sur une trotinette, sur lui, une ceninture de grenade et dans sa main gauche, un revolver.
Travis : Non mais...je comprend pas, j'ai fais quoi pour mérité ca ?
Drake : Eh, c'est les seuls vetements que vous avez voulu porté, j'vous ai bien proposé les miens mais...
Travis : Des vetements pour les noi...euh...pour vous ? Non merci, j'ai pas envie d'avoir la peau qui vire au...oauis enfin, ca ira,merci...Ah, et comme je sais que ca vous plaisir *Lui donne une boite de gateau bamboula*
Drake :....
Travis : TOI POUVOIR MANGER CA ! CA MIAM MIAM.
Drake : Casse toi, loiiiin.
Plus tard dans la journée, Travis roule avec sa trotinette et arrive dans la vilel d''Atlanta, cette si n'est plus qu'un champs de ruine, de voiture brulé, de papier virevoltant et de cadavres en pleine décomposition au sol purrulent et puant la mort. Il regarde soudainement vers le ciel et remarque qu'un hélicoptère surplombe le firmament. Fou de joie, Travis attrape un morceau de verre brisé au sol, et reflete la lumière du soleil sur la bête métalique en esperant ce faire repéré. La réaction ne se fais pas attendre, l'hélicoptère dégringole, le gouvernail explose et les hélices percute un batiment, l'appareil s'explose au sol comme une grosse merde a cause de ce boulet de Travis
Travis : FUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU *Se dirige vers le lieu du crash mais se retrouve devant une nuée de zombie, la moitiée de la population zombifiée, du sang sur les lèvres et autour de la bouche, le visage pale, boitant comme un poivrot un lendemain de cuite, l'air ébétté, les cheveux déchiré, les vétements en lambeau. 50 mètre devant lui, un camion de glace encerclé par les zombies*
Travis:...FUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU....
*Les zombies s'approche*
Travis:...IMMAH FIRIN MAH LAZOR *Lance une grenade* OWNED
La grenade jetée se dirige vers le camion; percute la portière, la grenade rebondis sur le sol et atteris dans la main de Travis
Travis:....FUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU. *Fais tombé la rgrenade*
*BADABOUM*
Travis fais un magnifique vol plané de plusieurs mètres et percute le parebrise du camion du marchang de glace.Celui si explose sur le coup, sonné, il rentre dedans en rampant tandis que les zombies essaie d'escalader le capot
Travis:...Punaise, j'vais mourir dans un camion de glace. Mon rêve d'enfant ;w;....
Radio : J'y crois pas, mais t'es complétement débile ?
Travis : HAN ! QUELQU'UN A PARLER ! QUI A PARLER ? LES GLACES ONT PARLER ?
Radio : Hé l'abruti ! La radio, l'emmeteur ! Tu répond ou pas ?
Travis : *S'approche de l'emmeteur*...euh...il y a quelqu'un ?
Radio : Ah ben t'es la tête de noeud, dis moi, t'es complétement a la masse ? J'ai vu ton magnifique foirage
Travis : Tu sais pas comment me sortir de la par hasard ?
Radio : Euh...Bah, tu pourrais sortir en partant a gauche mais ta plein de zombie quand même donc non.
Travis : Y aurai pas un moyen de les distraire ?
Radio : Mmmm..Essaie de voir si la machine marche déjà...
Travis : Okay, j'vais faire ca...dites moi, vous n'etes pas noir ?
Radio:...Non
Travis : Daccord. Bon. *Se met au volant et tente de démarer la voiture*
*KEUF KEUF KEUF...VROUUUUUUM*
Travis : Oh putain ca marche ! CA MARCHE !
Radio: Bravo ! TU as reussis a faire fonctionner un camion, allez, maintenant, tu fonce a gauche sur 100 mètres et tu montera a l'échelle
Travis : OYEAAAAH
Travis se met a rouler avec le camion de marchand de glace, il fais un magnifique demi tour et se met a foncé sur la gauche. Au moment ou il se met a rouler, une musique infantile signe que le marchand de glace est tout près retentis de partout. A ce moment précis, une orde de gamins zombie se mette a courir dérière le camion en poussant des hurlement de charogne. A ce moment là, Travis freine d'un seul coup.
Gamin : WOUAAAR...*Se prend le camion dans la gueule*
Travis : HAY LES GAMAYNS VOUS AIMAY LES GLACE ?
Gamins : WROUAAHJAAJAJJAJAAAA *Se jette sur Travis*
Travis : BON APPAYTIT *Jette un pack de glace a la menthe sur la gueule d'un gamin*
Gamin : WOUAAAAAAAAAAAAAAH *Bing* X_x.
Travis : ATTENTION ! ATTAQUE SUPER CÔNE !
*Jette des cone vanille sur une gamine*
Gamine : WOUAHAHAHAH....*Se prend les pics des cones vanilles dans les deux yeux*...AAAAAAAAAAAAAAAARGH X_X
Travis : BOUHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !
Radio : Mais t'es débile ! C'étais de VRAI enfants !
Travis:...Oh...euh..voila l'echelle '_' *Monte tout en haut comme un forcené tandis que les autres zombie se ramène autour de lui*
Voix : Hai, je suis le mec de la radio. *Lui tend la main*
Travis ; *Attrape la main et se hisse jusqu'en haut* Merci je...*vois le visage du mec*
Chang : Hai mec.
Travis:...Roh c'est pas vrai...UN CHINOIX ! MAIS YA PAS QUELQU'UN DE NORMAL QUI AI SURVECU ?!.
Chang :...Si t'es pas content, je peux partir u_u.
Travis : Mais essaie de comprendre merde ! Ya eu une invasion de zombie, ma famille est surement morte, mes voisins ont claqué, je sais ou est mon meilleur amis, j'ai les pieds en compote...ET LES SEULS SURVIVANTS C'EST DES NOIRS OU DES CHINOIS ! Mais tu te rend pas compte ?!
Chang : J'me disais bien que l'essentiel des cons...
Travis : Bon par hasard, ta pas des nems sur toi, un bol de riz et des baguettes, je meurs de faim
Chang : Pourquoi tu voudrais que j'ai un bol de riz sur m...Non mais tu te fous de ma gueule ?! Je suis né a atlanta moi !
Travis : Han ! Et les membres de ta famille chinoise sont au courant que t'es américain ?
Chang : =_=. Bon on y va ou tu veux resté planté là ?
Travis : En avant chinesse man
Après etre monté en haut de l'echelle, Travis et chang se mirent a escalader la face de l'immeuble afin d'arriver près d'une fenetre, rentré dans les appartements et allez sur le toi a l'aide de l'ascenseur. Sur le toi, il y a 4 personnes...
Travis : Dieu soit loué. Vous avez été assez lucide pour enchainner le mexicain ! *Pointe un mec endormis attaché par des menottes a un tuyau*
Eliane : Il a essayé de me touché les fesses !
Travis : Il est noir, c'est inné chez lui de fouillé dans les poches arrières afin de voler des sandwish ou des papiers d'identités.
Jack : Mais c'est qui lui ?
Chang : Euh...un con que j'ai trouvé dans un camion de marchand de glace.
Travis : HE !!! Je suis pas un con ! Je veux rentré chez moi ! Je veux retrouvé ma femme et mon fils ! Je veux un monde avec des blancs ! Et je veux qu'on arrete de se trimbaler des minorités et...
Luke : Mais...Chang nous as tous guidé ici en nous sauvant !
Travis :...mais c'est un chinois.
Elianne : Il a reussis a trouver de la nourriture !
Travis :...Mais c'est un chinois
Jack : Mais grace a lui on a un plan pour s'en sortir !
Travis : MAIS C'EST UN CHINOIS ! Regardez le bien ! Si bien c'est un évadé d'une usine nike !
Chang : JE SUIS NE EN AMERIQUE !
Travis : Vous avez vu ?! Il a appris son discours par coeur !
Chang : J'en ai marre, Travis, si tu veux te cassé et resté avec des zombie blanc, EH BAH SAUTE MAIS FAIS NOUS PAS CHIER MERDE ._.
Travis:...Roooooooh...ouais mais...j'veux retrouvé ma famille moi.
Chang : Tu vas resté ou bien ?
Travis : Bon ok...mais...please, me transmet pas la malaria ou la jaunisse.
Chang :...Zen, be zen...
Travis : Bon c'est quoi ton plan le chinetoque ?
Chang : Je m'appelle Ch...Oh et pis merde. Les zombies sont de part et d'autre de l'immeuble et sont bloqué dans la cage d'escalier menant au toit. Notre seul et unique chance, c'est par la voie aeriene...Faudrait que quelqu'un reussisse a sauter de l'immeuble comme avec un parachute géant, a attirer tout les zombies pendant que les autres se casserons....
Elianne : Héhéhé, et le parachute géant on le fais comment ?
Chang : Faudrait rassemblait toutes nos veste de tissus fin et les coudres afin de faire une sorte de parachute....Mais...quelqu'un sait coudre ?
Tous :....Non.
Travis : Euh...
Chang : Tu sais coudre ?
Travis : Bah...t'es chinois nan ? C'EST PAS UNE INSULTE.
Chang: D'origine oui è_é.
Travis : Ta forcément des génes de fabriquant de rideaux manufacturés et de chaussures de marques.
Chang :...Non mais tu ferme ta gueule ?!
Travis : Hé ! Je veux dire que si t'es chinois, tu dois forcément savoir coudre.
Elianne : Même si c'étais vrai...Ou on trouverai l'aiguille et le fil ?
Travis : Fouille dans la poche du mexicain.
Jack : Il plaisante ?
Travis : Mais écouté moi roh, les mexicains sont encore plus kleptomane qu'une bande de pie voleuse. Alors fouillez dans ces poches.
*Elianne se met a fouillé dnas les poches du mexicain et trouve une aiguille et du fil a coudre*
Chang:...
Jack:....
Elianne : J'y crois pas...
Travis : Voila ! Maintenant donnez vos vestes a chang et toi,coue les.
Chang : Mais je sais pas coudre ! Et tes préjugés raciaux c'est débile ! Vous etes pas d'accord ?
Elianne : Ben....
Jack : Il avait raison pour le mexicain, alors pour le chinois...euh pour toi...
Travis : Roh essaie.
Chang se retrouve au milieu d'un ensemble de vetements, l'air blasé il prend le fil et l'aiguille, reste paralysé quelques secondes et se met a essayé de coudre....A cet instant précis, Chang se mis a coudre comme un forcené, vite très vite, encore plus vitye qu'un ensemble de chinois cote a cote dans uen entreprise nike. En quelques minutes, tout fus cousu et les autres le regardèrent, l'air stupéfait.
Chang : Putain c'est pas possible.
Travis : Bon, en route.
Elianne : Ouais okay c'est bien beau, mais qui va faire l'appat ?
Jack : VOus avez une idée de génie travis ?
Travis : Ouais, j'en ai une...*S'approche du mexicain et le reveil*
Mexicain : ¿Qué? Cual....
Travis : Trabajo ? trabajo ?
Mexicain : Si si...¿ tu tienes un trabajo por mi ?
Travis : Si ! niark niark.
QUelques minutes plus tards, le mexicain est sur le rebord de l'iemmeuble, le parachute improvisé attaché autour de la taille, regarde une dernière fois le groupe et saute dans le vide dans un "CUCARACHAAAAAA" des plus terrible, a ce moment là, le parachute se déploie et le mexicain se met a atterir en douceur a coté des zombies qui eux sont encore a coté de l'immeuble. Une fois atteris, tous se retourne vers lui, celui si se débarasse de son parachute et se met a courir de partout en hurlant des mots incomprehensible.
Travis : Vite ! On a pas le temps, a quoi ressemble votre véhicule ?! Une camionette jaune ! AHAHAHHAHAHA
CHang:....Très drole...
Elianne : Mais il a raison en pl...
Chang : N'en rajoute pas toi merde !
Puis, en quelques minutes, alors que l'immeuble et les rues étaient temporairement vidées de l'invasion néfaste de zombie, tandis que le mexicain se faisait bouffé par une horde de ruminant assoifé de sang, les autres se retrouvent en deux temps trois mouvement dans la camionette jaune de Chang. Travis est a l'avant avec le chinois et dérière il y a Elianne et Jack. Tout le monde semble pret a partir mais a ce moment, Travis hurle.
Travis : POUAH ! MAIS CA PUE .=w= t'es dégueulasse chang.
Chang : Mais arrete c'est pas moi !
Travis : Non mais c'est connu, passé 14h, tout les chinois pue les nems, POUAAAH.
Chang : Mais n'importe quoi...
Elianne : Non...ca sent vraiment les nems.
Jack :...J'dirais le riz blanc moi.
Chang : PUTAIN MAIS FOUS LA FERMEZ TOUS ?!
Travis : Roh ca va, calme toi jackie chan.
Enfin le calme pour nos aventurier, en effet, une fois dans la voiture, le calme plat entre les aventuriers s'étais imposé. Tout le monde se mis a se reposé, a l'exeption de Chang qui conduira la voiture pendant une vingtainne de kilomètre, jusqu'a son arrivé dans un campd e fortune faite par les survivants,, Travis, qui s'étais endormis, se reveilel finalement au milieu des bois dans la camionette jaune. Les yeux a moitié ouverts et emporté par l'excitation des autres suite a leurs retours chez eux, il s'aventure vers le groupe dans le camp de fortune, et devant ses yeux ébahis, il vis sa femme...Lori...en train d'embrasse fougueusement son meilleur amis...roger.
Roger : MAIS NAWAK ! C'EST TOI QUI M'A SAUTER DESSUS SALOPE !
Travis : Mais...LOri...Comment ose tu ?
Lori : Je te jure ! J'ai résisté...et j'ai voulu t'attendre...Je t'ai d'ailleurs attendu....après l'épidémie je t'ai cherché, pendant 3h.
Travis : WOot ?
Lori : Et je t'ai attendu...mais voyant qu'au bout de 5h t'étais toujours pas la...J'ai su qu'il fallait que je refasse ma vie...avec roger.
Travis : Mais...mais...mais...
Lori : Tu m'en veux pas j'espère ?
Travis : ...Mais non
*Lui tire une balle dans la tête
Roger : MAIS T'ES MALADE ?
Travis : *Lui tire une balle dans les testicules*
Chang : MAIS MAIS MAIS....
Travis : [imghttp://i3.kym-cdn.com/entries/icons/original/000/005/180/fuckthat.jpg[/img] *Lui tire une balles dans les deux yeux* VOILA ! COMME CA TU SERAS MOINS BRIDES AHAHAHAHHA
Jack :....
Elianne : Mais...mais...mais...sale monstre !
Travis : *Tourne sa tête comme dans l'exorciste*.....
*Lui tire une balle dans le vagin*
Jack:....Koupaing ?
Travis : Nan ahde *Lui tire une balle dans la tête*
Et finalement, Travis piqua la camionette et s'en alla...pour de nouvelles aventures
Oui car la page était trop grande mais au lieu de 30 messages par page, j'ai réduis a 15 ça devrait aller mieux à présent ^^.
Travis : MAIS C'EST UN CHINOIS ! Regardez le bien ! Si bien c'est un évadé d'une usine nike !
Chang : JE SUIS NE EN AMERIQUE !
Travis : Vous avez vu ?! Il a appris son discours par coeur !
La...JE ME SUIS MARRÉ XD !
Mais bien que ça soit ton style je ne trouve pas ça assez raffiné, Bowser s'y est mieux prise de ce côté là niveau mise en scène. Mais sympathique parodie de la série The Walking Dead.
(Désoler pour le double post), mais malheureusement, je ne peux pas mettre toutes les fics sur la 1ère page. Car sinon, je dépasse la longueur autorisé... Donc désoler, mais vous allez devoir naviguer sur les pages =S.
C'est si méchant que ça?... Car perso je veux pas être méchant hein? C'est juste du second degrés ^^'...
Bref, moi je vote pour Gozen car franchement, sa fic est très réussite (C'est le cas de tout le monde) Mais cette fic a... Un truc en plus je sais pas pourquoi...