Book Of Nightmares
Première Nuit: Carnage Love
- Spoiler:
- Dans une petite ville isolée à l'écart des grandes métropoles se déroula un évènement dont les protagoniste n'oublierons jamais, un secret que seul eux connaissent et garderons précieusement dans leurs mémoires jusqu'à leurs morts et c'est cet événement que je vais vous raconter.
Jack est un lycéen comme tous les autres, il a sa personnalité, ses défauts, il étudie dans le but de devenir médecin et comme tous les lycéens il a des amis, des ennemies et des périodes de tracas.
Cela va faire déjà un an qu'il sort avec Wilhelmina, c'est une belle jeune fille qui a du caractère tout en restant une personne douce et attentionné, elle aussi est une étudiante comme les autres, bien qu'étant dans un établissement différent que celui de son petit ami, ils réussissent quand même à passer du temps ensemble et leurs relations sembles propices pour durer longtemps.
En parallèle à sa relation avec Wilhelmina, Jack passe aussi du temps avec son meilleur ami : "John", ils se connaissent depuis le collège soit environ six ou sept ans.
Hélas John a perdu sa fiancée dans un accident de la route il y a quelque mois, ils étaient ensemble depuis trois ans ,mais elle fut renversé par un chauffard ivre, ce dernier a subit un procès et à était condamné a dix ans de prison ferme.
Cet événement a profondément brisée John qui est très renfermé depuis bien que son meilleur ami essaye de lui remonter le moral.
Enfin ils restent leurs classes, en effet Jack et John on eut la chance de tomber dans la même classe: "La Terminal Delta", en effet les classes sont organisés a l'aide de Lettre Greque, une petite touche d'originalité de la part du principal.
De plus cette classe à la particularité d'être la moins remplit de l'établissement, étant un peu moins de vingts élèves, cela a créé une forte complicité au sein des lycéens.
C'est vers le début du printemps que cette histoire commence réellement, l'année touchant à sa fin la classe Delta entamais leur révision intensive dans le but de décrocher leur diplôme, bien que mélancolique a l'idée de devoir passer moins de temps avec ses amis et sa petite amie, Jack a néanmoins promis à sa copine qu'une fois les examens terminés il passerait de nouveau beaucoup de temps avec elles.
Mina comprenait très bien sa décision, ayant deux ans de plus que lui, elle avait déjà été confrontée a ces examens contraignant ,mais pourtant obligatoire et c'est sans être vexée qu'elle accepta de passer moins de temps avec lui, de plus elle c'était même mit en tête de l'encourager tous les soirs en lui envoyant un sms avant de se coucher.
Et c'est ainsi que notre protagoniste continua de travailler durement, de son côté John complètement déprimé avait du mal à se plonger totalement dans ses études, la perte de celle qu'il aimé avait vraiment semée le désordre dans son esprit, fermant son cahier il saisit son portable et envoya un message à son ami, dans ce message il lui demandait s'il pouvait passer chez lui pour lui emprunter un film, il espérait qu'en regardant un DVD il irait un peu mieux.
Quelque minute plus tard son portable vibra et afficha "Passe quand tu veux", saisissant sa veste de cuir, il la mit, dit à sa mère qu'il reviendrait d'ici une petite demie heures et sortit dans la rue en se dirigeant chez Jack.
Frappant à sa porte, il fut accueillit par sa mère qui le fit entré, saluant poliment toute sa famille il se dirigea dans la chambre de son camarade et toqua doucement afin de ne pas le déranger dans ses révisions, l'accueillant dans sa chambre, Jack et John discutérent un petit moment tranquillement avant de se dire au revoir.
Reprenant la route jusqu'à sa maison, John tenait dans sa main le DVD de son ami et se pressa de le mettre dans le lecteur une fois arrivé dans sa chambre.
Le lendemain comme tous les mercredis, nos protagoniste passèrent la mâtiné au lycée à travailler avec les autres élève de la Terminal Delta.
Les cours terminés, chacun rentra chez lui afin de profiter un peu de leur après midi totalement libre, saisissant cette occasion pour passer la journée avec Mina, il la contacta et elle lui répondit tout aussi rapidement qu'elle viendrait chez lui de part le biais des transports en commun.
Ne voulant pas la laisser faire le chemin seul, il entreprit d'aller l'attendre à l'arrêt de bus, une belle journée semblait pointée le bout de son nez malgré les quelques nuages grisâtre qui tachait le ciel bleu.
Une fois chez Jack, nos deux tourtereaux discutèrent longuement et petit a petit cette simple discute devint de plus en plus agressive avant de se transformer en dispute, comme tout couple qui se doit ce genre d'évènement n'est pas rare, il est parfois nécessaire de se disputer avec ce que l'on aime afin de pouvoir repartir sur de bonne bases et faire durer la relation.
John quant à lui c'était rappelé qu'il n'avait pas rendu le DVD de son ami, l'attrapant il décida d'aller lui rendre immédiatement afin de ne pas oublier de le faire plus tard, saisissant son téléphone tactile il envoya un message à Jack afin de le prévenir qu'il passerait le voir bien que ce dernier ne pus entendre les vibrements timide que son accessoire électronique essayait de lui faire parvenir.
S'échangeant des remarques et des vilaines paroles, la discussion fut terminée quand Mina claqua la porte et décida de quitter le bâtiment pour rentrer chez elle alors que Jack restait dans sa chambre tout aussi en colère qu'elle, n'ayant pas décidé de la rattraper il remarqua le message de son ami, n'ayant pas envie qu'il le voit en colère, mais surtout afin que cette agresivité ne détruise pas leur amitié il lui renvoya comme message "Pas la peine de passer, tu me le rendra demain au Lycée".
Au moment où le portable de John vibra il était déjà a dix mètres de chez lui, ayant vu Mina sortir de chez son ami vivement, les battements de son coeur se mit a accéléré comme toutes les fois où il l'avait vu depuis la mort de sa fiancée.
Ne supportant plus de devoir cacher ce qu'il ressentait, il prit son courages a deux mains et rattrapa Wilhelmina sans savoir que cette dernière était énervée, il lui avoua tout rapidement, mais la manière dont il fut rejeté et ignoré le frappa de plein fouet.
Ayant l'impression qu'il était détesté il la plaqua contre le mur afin de lui parler face a face, Mina se débattant et essayant de le repousser, John se sentait de plus en plus désespérer, était-il destiné a souffrir éternellement à cause de l'amour ? Il avait l'impression de craquer mentalement.
Embrassant de force la petite copine de son meilleur ami il reçut en échange un coup de poing plutôt violent, le choc le faisant lâcher prise, Mina se mit a courir pour fuir ce qu'elle avait interprété comme une agression sexuelle.
La colère commençait à ce meler au divers sentiment que ressentait l'ami de Jack, se mettant à sa poursuite il finit par la rattraper dans un endroit isolé, la frappant comme il avait été frappé sentimentalement et physiquement, son corps agissait de lui-même, n'étant plus maitre de ces actes il finit par la violer comme pour combler le manque affectif qu'avais laissé la perte de sa fiancée, puis afin de libérer toute la colère qu'il avait non seulement contre Mina, mais aussi contre le chauffard qui avait détruit tout son avenir avec l'élue de son coeur, John finit par étranglé Wilhelmina et il l'a tua.
Quand il reprit ses esprits il était déjà trop tard, le corps sans vie qui appartenait à celle qu'aimait son meilleur ami gisait là, sur le sol froid et humide.
La pluie fracassait le sol et complètement paniqué il prit la fuite en laissant le cadavre a terre.
Jack quant à lui ne se douta pas de ce qui venait de se passer, le lendemain la police découvrit le corps et entreprit de l'identifier, pendant que Jack était en cours a continué ses révisions.
A cause de la dispute il pensait comprendre pourquoi Mina ne lui avait pas envoyé de message d'encouragement comme tous les soirs, il remarqua néanmoins que John était beaucoup plus distant que d'habitude et il peinait a parler aux personnes qui l'entourait même à lui qui était pourtant son meilleur ami.
Le soir quand il rentra chez lui, il vit la police sur le pas de la porte en train de parler avec sa mère, cette dernière semblait perturbé et quand il voulut savoir la raison de la présence des autorités au sein de sa maison, il apprit que sa petite amie avait été retrouver morte dans une ruelle non loin de chez lui et que des traces de violence et d'abus sexuelle furent retrouver sur son corps.
Quand il apprit cela, Jack fut complètement dévasté, faisant demi tours et partant en courant il décida de marcher dans la rue à réfléchir et pleurer.
Se sentant coupable, il s'en voulait de s'être disputé avec elle, il alla même jusqu'à se dire qu'il était responsable de sa mort, s'il ne s'était pas embrouillé avec jamais elle ne serait partie et jamais elle n'aurait été tué.
Il rentra chez lui en plein milieux de la nuit et il ne put s'endormir qu'à partir de 4H du matin.
Le lendemain il n'alla pas en cours ,mais il resta chez lui a souffrir de la perte de celle qu'il aimait la police étant revenue afin de lui poser quelque question, il répondit sans mentir a chacune des questions qui lui était adressé, aussi dynamique qu'un cadavre, il comprenait ce que ressentait John, qui, de son côté était dévoré par les remords et la tristesse, il était responsable de ce que vivait son meilleur ami et il avait l'impression d'être à la place du chauffard plusieurs années auparavant.
Une semaine s'écoula ainsi alors que Jack était tourmentais par la mort de Mina et que John lui était dévoré par le remord, la tristesse et les envies suicidaires.
Toute la Terminal Delta étaient complètement inquiet pour l'état de John et Jack, de plus, nombreux se demandaient la raison pour laquelle John allait mal, certain disait que s'il allait mal c'était parce que la perte de Mina pour Jack lui rappeler la perte de sa fiancée, mais aucune hypothèse ne se rapprochait de la vérité.
Jack avait fini par revenir en cours, les yeux remplis de cerne et une mine semblable à un cadavres, John n'en pouvant plus il lui envoya un message où il avoua tout ce qu'il avait fait, il se douterait que cette déclaration détruirait toute leur amitié, mais il voulait libérer tout ce qu'il ressentait au fond de lui afin de se débarrasser d'un poids.
Quand le Jack lut le message, son visage se transforma littéralement, alors qu'il affichait une mine de dépressif suicidaire, il fut remplit d'une énergie nouvelle qui puisait dans une profonde haine viscéral.
Etant complètement rongé par cette haine qui montait en lui, la seule chose qu'il désirait désormais était de se venger, ne voulant pas prévenir les autorités qui continuaient d'enquêtait, il chercha un moyen rapide pour accomplir sa vengeance avant que la police ne découvre le coupable et l'enferme.
Relisant encore et encore le fameux message en regardant son ancien meilleur ami avec toute la haine qu'il cachait en lui il espérait trouver une vengeance digne de ce nom, son voisin quant à lui lut le message discrètement en espérant qu'il y verrait une possibilité pour l'aider, quand il eu terminé de lire son visage était tétanisé.
Choqué il en parla a tous les autres élèves et tous comprirent ce que ressentait Jack, tous se sentis trahis comme leur camarade, tous se sentis poignarder par John et tous voulaient aider Jack a accomplir sa vengeance.
Ce fut le vendredi soir ou le plan fut mit a exécution, l'un des élevés demanda à John de le suivre pour parler avec lui derrière le Lycée et un autre alla voir Jack afin de l'empêcher de partir trop vite, une fois derrière le lycée, toute la classe prit John en embuscade et ils le frappèrent de nombreuse fois avant de l'attacher et de le baillonné a un arbre.
Le camarade de Jack recevant le message annonçant la suite du plan, il demanda à Jack de le suivre.
Ce dernier voulait renoncer et rentré chez lui pour méditer à sa vengeance, mais son camarade insista tellement qu'il finit par accepter de le suivre mais qu'il ne resterait pas longtemps, une fois qu'il vue le meurtrier bâillonné et attaché à l'arbre il comprit pourquoi il avait été amener ici.
Le délégué de la classe posa sa main sur l'épaule de Jack et il lui mit un couteau de cuisine dans la main en lui murmurant "Venge là".
John quant à lui essayait de crier, par peur de mourir il pleura a chaude larme et voulut fuir malgré les liens qui le retenait, il tenta de les raisonnés ou d'appeler de l'aide, il hurla comme il n'avait jamais hurlé hélas vu qu'il était bâillonné son cri se faisait à peine entendre par Jack alors encore moins par des personnes extérieures.
Saisissant l'arme avec force, son bras tremblait à la fois de rage, mais aussi de peur, néanmoins la colère finit par prendre le dessus et c'est avec fureur qu'il planta l'arme dans le torse de son ancien meilleur ami
Frappant encore et encore avec frénésie, les autres membres de la Terminal Delta restait debout autour de lui en regardant la scène.
Des giclées de sangs se propageaient sur les visages de tout le monde, hurlant de colère et faisant couler des larmes de tristesse à cause de ce qu'avait fait John, il continua de frapper encore et encore, les coups étaient synchronisé comme les "tic tac" d'une horloge, des bruits macabres se faisait entendre, les cris de douleurs de John était inaudible et le sang s'incrustait dans l'écorce de l'arbre.
Encore et encore les coups de lame s'enfonçait dans la chair du lycéen avant de ressortir pour se replanter toujours plus violemment, les os se brisait dans le corps du meurtrier afin de trancher a leurs tours les différents organes internes, sa poitrine était completement ouverte a vif et pourtant Jack continuait encore et encore a frappé comme si une force insaisissable le dominait et le forçait a frappé encore plus, une voix interrieur semblait lui murmurais de le frapper comme s'il risquerait de survivre a tous ces coups de couteau, alors Jack frappa encore et encore, le nombre de coup excédait de loin la centaine et John avait déjà finit par mourir depuis un bon moment et pourtant la rage de Jack ne s'arrêtait plus, il frappait ce corps sans vie comme pour le forcer à revivre et ainsi continuer a souffrir il ne voulait plus arreté la lame, devenant une véritable machine, il finit par s'arrêter quand les autres membres de la classe posèrent sa main sur son épaules.
Tous était plein de sang, Jack avait été totalement arrosé et ses vêtements étaient gorgée de ce liquide écarlate.
Le délégué finit par lui dire à son oreille "Il est mort maintenant..." comme s'il était déçu Serrant toujours le couteau qui tremblait, son visage affichait une expression issue de la haine à l'état pur.
Un autre de ses camarades posa sa main sur la sienne et lui fit lâcher son emprise, ce dernier finit par s'effondrer a genou pleurant toutes les larmes de son corps, les autres quand à eux commencèrent à libéré le corps sans vie de John et ils le mirent dans un sac a poubelle, ayant prévue de faire disparaître le corps ils commencèrent d'abord à mettre les vêtements de rechange qu'il avait tous prit pour l'occasion et ils mirent les vêtements taché de sang dans le sac.
Ils lavèrent aussi le sang sur le sol et sur l'arbre avant de jeter tout ce qui avait servi au nettoyage au même endroit que les habits.
Jack finit par se calmer petit a petit et désormais il était serein, ils versèrent ensuite de l'essence sur le sac de plastique noir et donnant les allumettes à Jack, ce dernier l'alluma avant de la jetter sur le sac qui contenait tout ce qu'ils avaient fait.
Tous regardèrent le feu qui s'était engendré et tous semblaient hypnotisé par ce qui se passait devant eux.
Plusieurs jours après les autorités découvrit que le meurtrier de Mina était John, se mettant à sa recherche pendant plusieurs mois, ils finirent par conclure qu'il s'était suicidé et que le corps n'était plus.
Personne, a l'exception de la Terminal Delta ne su qu'un Veritable Carnage avait eu lieu...
Seconde Nuit: Black Mind
- Spoiler:
- Le monde a bien changé... J'ai souvent cru que si nous devions un jour voir notre espèce s'éteindre ce serais à cause d'événement connu de tous, Pandémie, Éruption Solaire, Guerre Nucléaire ou peut être même à cause d'une chute de Comète, mais jamais nous n'aurions pu imaginer un tel scénario apocalyptique !
Un scénario que rien ni personne n'aurait pu prévoir ou même imaginé, à côté de cela tous les romans de Science-Fiction mettait en scène des histoires réaliste a contrario avec les événements de ce fameux jours.
Oh...Veuillez m'excusez je ne me suis pas encore présenté, je suis Aaron Fitz et cela fait vingt longue année que j'ai vue le jour, je suis actuellement célibataire et je vis en tant que colocataire avec Vladimir qui est mon ami d'enfance.
A vrai dire je suis un type Lambda, je travaille en tant que Veterinaire et mes revenue suffise à me faire vivre convenablement, quant à mon lieux de vie, je me trouve dans le petit village de Eilof, c'est un lieu paisible à l'écart de toute grande ville et même si ne nous sommes pas un village connu, nous vivons paisiblement.
Néanmoins, tout changea le jour où ILS apparurent...
Nous ne savons pas qui ILS sont, quand ILS sont arrivés et pourquoi sont-ILS si puissant, nous savons juste que ce sont d'affreuse créature noirs à la force inimaginable, ces bêtes sortie tout droit des profondeurs de l'enfer on tout d'abord agit paisiblement, personnes ne connaissaient leurs origines et des tentative d'approche afin de les étudier fut mis en place, pourtant en l'espace de deux jours leur nombres avait considérablement augmenté et dans tous les pays on en voyait arrivé.
Les autorités avaient pour but d'en endormir un afin de l'étudier,mais une quantité astronomique d'anesthésiant avait été utilisé en vain , puis un beau jours, ces monstre ténébreux devinrent belliqueux.
C'est tout ce que je sais à propos de ce qu'il s'est passé, mais il faut savoir que l'humanité n'a pas été en mesure de les arrêter et dorénavant mon village est le dernier à être habité.
ILS ne semblent pas nous avoir repéré et quelque habitant des autres villes on réussit à se réfugier chez nous sans attirer leurs attentions, pour l'instant nous sommes tranquilles, mais nous avons peur, nous savons juste que ces abjecte créature sont dotées de capacité hors norme et que si nous subissons une attaque nous mourrons tous alors nous nous faisons très discret....
Vladimir, mon vieil ami semble connaitre plus de choses à ce sujet que moi, en effet parmi les réfugier nous avons aussi recueillit Vergil qui faisait partie de l'armée et occupait un poste plutôt important sans pour autant être une personne essentielle.
Vergil et Vlad semble être assez proche quant à moi je préfère éviter tout contact avec ce genre de type, je n'aime pas trop l'armée et même si actuellement il n'y a plus d'armée du tout je reste sur ma décision.
Les journées s'enchaînèrent, la peur restait présent dans le cœur des Eilofiens, chacun travaillais avec son voisin afin de créer le moins de conflits possibles et même ceux qui ne s'aimait pas avant la destruction de l'humanité semble avoir décidé de mettre leur différent de côté.
En fait malgré ces événements tragiques, le seul point positif fut qu'une véritable utopie se créa au sein de notre village, aucun conflit, aucune jalousie, aucun meurtre ou acte de folie, en fait la peur dominant les esprits plus personnes n'osaient crée le moindre problème par simple désir de survivre toujours plus longtemps.
Ayant décidé de faire patrouillais quelque villageois afin de vérifier qu'ILS ne viendraient pas nous attaquer par surprise, un villageois rapporta une très mauvaise nouvelle, l'une de ces abomination avait été aperçu au loin sur une colline à une centaine de mettre de leurs positions, ils avaient eu la chance de ne pas avoir été vue, mais cela ne fit qu'engendré plus de peur dans le coeur des gens, chacun redoutaient que ces monstres ne trouve le village et tue les derniers membres de l'espèce humaine.
Pourquoi le monde avait sombré dans cette peur omniprésente ? Eilof était vraiment le dernier village habité ? Mais surtout la question que tout le monde se posait était "Pourquoi l'armée ne les avait pas exterminé" et pour cette dernière question, nombreux voulait des réponses auprès de Vergil qui se contentait de leur répondre "Je préfère attendre le bon moment afin de tout expliquer".
Et ce fameux moment semblait être arrivé d'après lui, convoquant tout le village, Vladimir et Vergil se tenait tout deux au centre d'un cercle dessiné par la forme grouillante d'humain qui était tous accroché a leur paroles.
Surprise, terreur, incompréhension, les visages affichaient toutes des expressions qui tendaient vers le désespoirs et c'était tout à fait normal....
"Mes Amis ! L'heure est grave et vous le savez tous autant que moi ! Comme vous l'avez entendu hier, un de ces monstre a été aperçu aux abords de la colline et si ce que je pense s'avère vrai, dans ce cas cette créature n'est qu'un éclaireurs ce qui voudrait signifier qu'un groupe va bientôt foulé cette terre à coter du village, c'est pourquoi il faut que je vous parle, que je vous dis tout ce que je sais sur ces monstres qui on était baptisé "Spinne".
Les Spinnes sont apparu il y a maintenant un an, quand ils furent découvert ils étaient tous inoffensifs et nombreux tentèrent des expériences pour comprendre d'où venait cette espèce et ce qu'elle étaient exactement, hélas leur constitution organique les rendait très résistant contre les produit toxique et ainsi aucun Spinne ne put être étudié en laboratoire"
Marquant une courte pause dans son monologue, il regarde Vladimir qui comprit qu'il lui laissait la parole afin de réfléchir à la suite des événements, échangeant des regards avec mon ami, il semblait un peu honteux d'avoir été distant avec moi ces dernier temps, pourtant je lui fis comprendre d'un sourire que je ne lui en tenais pas rigueurs et ainsi il enchaina.
"Pourtant, après que les Spinnes aient décider d'attaquer les humains, un scientifique réussit à comprendre la base de leur système de penser, ces abominations auraient vécu comme des bébés araignées, vivant dans un "Nid" situé dans la croûte terrestre, ces monstre auraient évolué et serait sorti du sol par millier et ceux dans toute la planète, ayant une conscience de groupe diriger par un "Cerveau Mère" les Spinnes on donc une Reine située surement en profondeur dans la croûte terrestre, le problème est que cette infâme créature pond ses œufs depuis très longtemps et plus les jours ont passé plus le nombre de ces monstres était en constante augmentation.
Ne sachant où ils allaient émerger du sol l'armée ne savait pas ou positionné leur soldat et malgré l'avancé technologique que nous avons le surnombres de ces créatures fut un trop gros désavantage ce qui causa la perte de notre espèce."
Une jeune femme interrogative et terrorisait pris la parole en demandant simplement "Mais pourquoi ne pas avoir tué la reine ?", a cette question ce fut Vergil qui décida de répondre.
"Nous avons essayé, mais d'après nos calculs son emplacement est plus en profondeurs que les nids et nous ne pouvons pas savoir où elle se trouve de plus même si nous l'aurions sus, nos moyens ne nous permettaient pas de pouvoir l'atteindre et la tué. Néanmoins, si c'est Spinnes arrive jusque dans notre village dans ce cas nous devrons tout faire pour combattre, après les combats menés contre eux nous avons déduit que leur point faible résidaient dans leur excroissance au niveau de leurs cranes, si nous détruisons cette partie ils meurent instantanément, les tué prennent beaucoup de temps alors il faudra être le plus rapide possible vous m'avez bien compris ?"
Tout le monde acquiesça et juste après, tout le monde se mit en quête de se fournir en arme. Cherchant tout ce qui pourrait être utilisé au combat comme des fourches, des fléaux ou même des couteaux de cuisines, chacun utilisait leurs outils de tous les jours en espérant pouvoir survivre à une potentielle invasion de Spinne.
Chacun avaient trouvé les armes qui leurs convenaient le mieux et dorénavant tout le monde se sentait capable de protéger leur vie, même s'ils savaient que nombreux périraient tous voulaient combattre en priant pour que la victoire soit de leur côté.
Vergil semblaient avoir pris la tête des opérations, il mit en place un système de rotation pour les patrouillages nocturne, si le moindre problème devait arriver alors il suffisait de faire retentir le son d'une corne de brume et ainsi alertait tout le village qu'un danger approchait.
Pendant plusieurs lunes aucun incident n'arriva, la terreur toujours présent, chacun redoutait que le moment du combat arrive.
Puis ce fut mon tour de patrouillait, il était environ trois heures du matin quand on vint me réveiller pour surveiller les alentours, étant accompagné de Vladimir, qui avais prit une corne de brume nous nous mettions en route vers le point de patrouille.
Une fois sur les abords de la colline nous annoncions aux gardes qu'ils pouvaient retourner se coucher, j'étais encore fatigué et le clair de lune illuminait très légèrement le sol, au loin ne nous pouvions voir grand-chose et alors que je lâcha un bâillement je regardais mon ami en souriant.
Vlad semblait rassuré que tout sois si bien organisé, avec une tel unions il était sûr que nous survivrions très longtemps, tout le monde travaillé en parfaite harmonie et malgré la peur omniprésente il était serein.
Deux longues heures passèrent ainsi, n'ayant plus qu'une heure de patrouille à faire nous étions pressés de pouvoir continuer notre nuit de sommeil, Pourtant le destin en décida autrement, à cause de notre relâchement nous n'avions pas fait attention à la forme ténébreuse qui se déplaçait dans l'ombre de la nuit, cette forme obscure commença a se déplacer a vive allure vers nous, hélas au moment où nous aperçûmes l'abomination, celle-ci avait déjà préparé un saut pour nous dévorer, Vladimir se saisit de sa corne de brume avec précipitation et la fit tomber malencontreusement, étant plus proche que lui de la bête,je sus que j'etait sa proie, ses yeux etant fixé sur moi le temps semblaient allait au ralentit, la gueule du Spinne étaient toute proches et au fond de moi je savais qu'il allait me réduire en charpie, relevant ma fourche le plus rapidement possible je ferma les yeux croyant que ma dernière heure était arrivé.
Quelque seconde s'écoulèrent et quand j'ouvris les yeux j'entendis un hurlement, me retournant je pus constaté que la bête ne me visaient pas depuis le début, son bond avait pour but de passer au-dessus de moi pour attaquer mon ami.
A ce moment je fus partagé entre l'Incompréhension et la Peur, je voyais mon ami se faire déchirer de part en part comme si l'enfer se déchaîner dessus, tremblant de partout je plantais mon arme a diverse reprise dans la zone que nous avait spécifié Vergil, je frappais de toutes mes forces mais j'avais du mal a pénétré la chair écailleuse du Spinne.
Les hurlements de mon ami devenant insupportable, il fallait que je le sauve, la corne de brume n'ayant pus hurlé à sa place, personne ne savait ce qui se passait ici. La colère prenant le dessus je me mis à frapper encore plus violemment que les fois précédentes et je réussis a transpercé le "crâne" du démon.
Celui-ci s'écroula instantanément et dans sa gueule on pouvait voir la chair ensanglantée de Vladimir.
Utilisant désormais la corne de brume pour alerter le village il nous fallais de l'aide !
Arrachant un morceau de mes vêtements je fis un garrot là où il saignait le plus, son visage était blanc comme un linge et la douleur lui avait fait perdre connaissance, Vergil et plusieurs autres villageois arrivèrent rapidement et comprirent la situation quand ils aperçurent le cadavre de Spinne ainsi que le corps mutilé de Vladimir.
Le lendemain je dus raconter toute l'histoire au villageois y compris le passage le plus incompréhensible, Pourquoi je n'étais pas à la place de Vladimir ? Pourquoi le Spinne ne m'avait pas attaqué quand j'avais tenté de le tuer ? Ne m'avais t'il pas vue ? Avais-t-il prévue de s'en prendre à Vladimir depuis le début ? Tant de questions qu'y laissèrent tout le monde perplexe.
Plusieurs heures plus tard je vins au chevet de mon ami afin de voir comment il se portait, malheureusement son état avait empiré, n'ayant pas de matériel médical optimal, nous ne pouvions le guérir correctement, au fond de moi je me sentais coupable, coupable de ne pas avoir réussi a tué la bête avant, coupable de ne pas l'avoir vu avant, coupable de m'être relâché lors de la dernières heures de patrouille et c'est remplit de remord que je m'endormis à côté de mon ami.
"ILS ARRIVENT ! ILS NOUS ON TROUVER !" Ces mots me brisèrent les tympans et me réveillèrent, sortant de la maison, j'aperçus ce que tout le monde redoutait de voir, les Spinnes avaient trouvé notre village et ils étaient nombreux à entrer en détruisant tout sur leurs passages.
Tous les villageois prirent leurs armes et combattirent ensemble contre cette menace, personnes ne tentaient de fuir, tout le monde voulait combattre contre le fléaux de l'humanité, me joignant au combat je pris une arme a disposition et j'entrais au cœur de la bataille, nombreux hurlèrent à la vue de leur bras déchiré, nombreux pleurèrent en voyant leur ami qui venait d'être dévoré devant eux, mais les abjecte création de la nature hurlait aussi de douleurs à cause des coups reçus, hélas on avait beau en tuer des dizaines il en venait toujours plus, c'est ainsi que tout le monde compris comment l'humanité avaient été éradiqués , ils étaient trop nombreux et trop résistant, les Spinnes étaient en plus très organisé, une embuscade arriva à l'arrière et désormais ils venaient de partout, le village était complètement cerné et cette masse grouillante dévorait et détruisaient.
Nous étions stupides de croire que nous pourrions sauver nos vies en les tuants, un Spinne entra dans la maison et découvrit le corps mourant de mon ami avant de le dévorer.
Le désespoir m'envahit et je me retrouvais dorénavant au cœur de cette anarchi, lâchant mon arme je fixais les événements actuels, notre nombre avaient réduit de moitié et le nombre de Spinnes avaient quadruplé.
Tournant autour de moi-même pour regarder le paysage dévasté je restais interrogatif, "Pourquoi ? Pourquoi vous ne me voyez pas ? " Les Spinnes attaquait en masse tout ce qu'il voyait et pourtant alors que j'étais au milieu de leur formation aucun ne m'attaquait, au contraire ils passaient tous autour de moi et détruisaient tout ce qu'ils voyaient.
C'est ainsi que tout le village fut détruit, je ne compris plus rien, les Spinnes continuait de ce déplacer, plus personne n'était dans le village j'étais désormais le dernier être humain sur cette terre et aucun de ces monstres ne m'attaquait.
Quittant le village je me mis en tête de chercher un autre village potentiel, ou un lieu où je pourrais vivre avec d'autres personnes, j'étais complètement désespéré, je croisais ces abominations et comme toujours aucune d'elle ne me remarquaient....
"Comment vas-t-il ?", dans une salle immaculé se tenait un homme avec un masque de chirurgiens et des habits de même couleurs que les murs de la salle, à ses côté se trouvait un homme habillé de la même manière.
"Son cerveau vient d'être totalement parasité...Nous n'avons plus aucune chance de le sauver maintenant !", retirant son masque, l'homme semblait complètement dévasté, sortant de la pièce il partit à sa réunions le visage affichant la tristesse.
Une fois qu'il fut dans la salle de réunions, beaucoup le regardait en attendant des explications, projetant un diaporama avec des images du cerveau de son patient il entama son discourt.
"Vous le savez surement, dernièrement nous avons eu un patient pour le moins...étrange, en effet Aaron Fitz est âgée de vingt ans et est vétérinaire, mais il y a maintenant un an alors qu'il revenait d'un voyage professionnel, il a commencé à être touchait de saignement de nez et de nausée.
Ne comprenant pas la nature de ces symptôme nous avons fait une radio de son crane et nous avons découvert un parasite logé dans son cerveau, plus précisément dans l'hémisphère Gauche.
Hélas nous ne pouvions pas l'extraire, car le parasite etait logé trop profondément et nos techniques ne permettent pas d'aller si loins au risque de tuer le patient.
Le Parasite fut baptisé "Spinne" et au fur et à mesure des jours il a complètement parasité les fonctions motrice de Aaron ainsi que ces sens, le plongeant ainsi à l'état de Légume, seul son hémisphère droit restais fonctionnel.
Cette partie traitant du domaine de l'imagination, nous avons fait une découverte surprenante, n'ayant plus a subir les ordres de l'autre hémisphère, Aaron serait donc actuellement plongé dans une sorte d'autre monde, ne pouvant plus être en contact de la réalité, son cerveau a agi seul et a reconnu des éléments divers qui n'appartienne pas au réel, pour résumer il n'a aucun souvenir de ce qui lui est arrivé et il se croit maintenant dans une autre vie et dans un autre monde.
Néanmoins, le parasite à commencer à attaquer l'hémisphère droit et aujourd'hui a 10 H 05 le parasite à complètement dominer le cerveau de son hôte.
Nous allons entamer les procédures pour demander à sa famille si nous devons le débrancher oui ou non."
Affichant une mine désemparé, le docteur semblait avoir des remords pour son patient, un membre de la réunion osa posé une question qui le tracassait
-"Mais, ce n'est pas contagieux ? Comment pouvons-nous savoir que ce Parasite ne s'attaquera pas à quelqu'un d'autre ?"
-"C'est une bonne question, mais une enquête nous a permis de savoir que ce Parasite dormait depuis des millénaires, prisonnier dans une stalactite qui était en train de fondre à cause du réchauffement climatique, hélas quand il fut réveillé il entra en contact avec Aaron durant son voyage, la grotte a aujourd'hui été condamnée, mais de toute façon non seulement le Parasite "Spinne" ne possède pas de capacité de multiplication et il semblerait qu'il n'en reste quasiment plus, Aaron aura été la dernière victime de ce Parasite Millénaire."
Quelque mois plus tard Aaron Fitz fut débranché et enterré quant à l'affaire du Parasite Spinne et de son hôte Aaron Fitz, elle fut classée et Baptisé : Dossier "Black Mind".
Troisieme Nuit: The Glauhm Eye
- Spoiler:
- Le silence de la nuit s’instaurait une fois encore dans la chambre de Jack ; ce silence tyrannique présent depuis la nuit des temps trouvait sa place aussi bien dans ce simple huis clôt que dans les profondeurs insondables de l’univers, un silence tellement assourdissant que rien ni personne n’oserait perturber. La tyrannie du silence avait d’ailleurs cette capacité effroyable de pouvoir mettre à mort l’écoulement même du temps, le rendant ainsi aussi mobile qu’un astre dans l’univers. Néanmoins, un élément vint tout bouleverser et, tel un coup d’état porté contre cette dictature millénaire, le bruit assourdissant du réveil fit écho dans la chambre de l'adolescent : celui-ci affichait, en chiffres digitalisés de couleur bleu foncé, la combinaison de caractères... « 06 : 30 ».
Se réveillant brusquement, et venant faire taire cette rébellion mécanique d’un simple coup de poing, Jack frotta ses yeux encore embrumés par le sommeil et les songes — songes, d'ailleurs, qu’il ne tarderait pas à oublier d’ici les prochaines heures — et ce ne fut qu’au bout de plusieurs longues minutes qu’il se décida enfin à se lever pour débuter cette longue journée.
Cela allait faire vingt longues années que Jack avait ouvert les yeux pour la première fois dans ce monde, vingt longues années passées à vivre comme n’importe quel individu de son espèce, que ce soit en étant confronté à des choix, à des responsabilités ou à des problèmes. Comme toute personnes normale, il vivait avec ses propres croyances et ses propres convictions. D’après lui, ce n’était pas son rôle de mettre à jour les grand secrets de l’univers, et par conséquent il ne chercha pas de réponses aux grandes questions existentielles. Il se contentait tout simplement de vivre et de réfléchir à ce que sa vie allait lui réserver. Une vie très simple et très portée sur sa propre existence, en somme.
Pourtant, un élément allait bouleverser le calme et l’indifférence qui pesaient sur sa vie : quelques jours plus tôt, Jack avait reçu un coup de fil lui informant que son paternel avait été envoyé à l’hôpital psychiatrique. Ce dernier avait eu une soudaine crise de démence couplé à de violent maux de tête, ainsi qu’à une forte dépression. Le choc fut grand chez le jeune Jack qui avait dû quitter le cocon familial pour continuer ses études. Par inquiétude pour son père, mais également pour sa mère qui devait être grandement affectée par un tel évènement, le jeune homme profita de son week-end pour en savoir plus sur ce qu’il s’était passé, et c’est ainsi qu’il rentra chez lui pour questionner sa mère.
« Je ne comprends pas… la veille encore il était en pleine forme — tu connais ton père, il a beau être âgé, il garde toujours le sourire et ne cesse de plaisanter… alors je ne comprends pas pourquoi il est dans cet état… tout ce que je sais c'est qu’il s’est soudainement effondré sur le pas de la porte et qu’il a commencé à pleurer et à hurler des choses incompréhensibles… »
Prenant sa mère dans ses bras pour la réconforter, l’étudiant lui promit de chercher la cause de cette soudaine démence, et c’est ainsi qu’il partit le lendemain à la rencontre de son père à l’asile psychiatrique. Hélas, le destin semblait s’acharner sur cette pauvre famille, car à peine se pressa-t-il de demander la chambre de son paternel à l’accueil que Jack eu la mauvaise surprise d’apprendre que son père s’était suicidé quelque heures auparavant, se coupant la langue avec ses dents pour s’étouffer avec. Qu’avait-il pu lui arriver pour qu’il puisse tomber dans un tel gouffre de désespoir et de démence ? Ce chargeant de récupérer ses affaires, l’étudiant rentra chez lui, ne sachant comment expliquer cet évènement à sa mère. Déjà qu’il avait du mal à l’encaisser lui-même, il ne savait vraiment pas comment s'y prendre.
Ce n’est que le lendemain qu’un détail attira son attention. Jack était tranquillement en train de s’occuper des affaires de son père quand il tomba sur une mystérieuse clef dans sa poche. L’objet était assez commun, néanmoins deux particularités interpellèrent le jeune homme : tout d'abord, elle était aussi noire que le pétrole, mais surtout elle ne possédait pas de panneton. L’idée qu’elle a pu être cassée effleura l’esprit de Jack, mais la tige ne possédait aucune marque. Au contraire, elle était parfaitement lisse, ne laissant pour seule explication qu’elle a été volontairement conçue ainsi. Comment une telle clef pouvait-elle verrouiller quelque chose dans ces conditions ?
« Dis-moi maman, tu sais à quoi sert cette clef ? » demanda l’adolescent à sa mère qui venait de rentrer dans la pièce.
« Pas du tout, à vrai dire c’est la première fois que je la vois… où l’as-tu trouvée ?
- Dans le pantalon de papa, mais je la trouve bizarre…tu n’as pas vu papa faire quelque chose de différent ces derniers temps ? » s’inquiéta Jack en voyant que même sa mère ne semblait pas savoir d’où venait cet objet.
« Je te l’ai déjà dit, ton père était tout à fait normal avant cet incident. Si j’avais remarqué quelque chose de particulièrement étrange, je te l’aurais dit voyons. »
Mettant la clef dans sa poche, Jack décida d’en savoir plus sur cet étrange objet. Bien déterminé à comprendre le fin mots de cette histoire, il décida de se rendre chez un serrurier : seul un expert en la matière pourrait l’aider à comprendre un peu plus le fonctionnement de cette clef. Sur le chemin, une multitude de pensées assaillirent le jeune étudiant : les médecins avait déclaré que ce genre de situation était rare mais pas unique ; il arrivait en effet que des individus, souvent très heureux extérieurement, étaient tourmentés psychologiquement et emmagasinaient facilement le stress, la colère, et tous ses sentiments néfastes pour le mental ; et il arrivait que tout explose subitement chez l'individu, causant un violent burnout.
Cette explication était très belle à entendre et faisait très professionnel, mais Jack n’en crut pas un mot. Son père ne pouvait pas avoir enfoui de tels sentiment au fond de lui, il le savait. Il ne pouvait pas imaginer son père se laisser détruire par ses propres pensées.
« C’est étrange… je n’ai jamais vu de telle clef… normalement, pour pouvoir actionner un mécanisme de verrouillage, il faut que la clef dispose d’un élément la rendant différente des autres clefs. Pour les plus basiques, il s’agit du panneton, mais il m’est déjà arrivé de voir des clefs très ingénieuses dont le mécanisme fonctionne avec l’embout voir même avec l’anneau ! Néanmoins celle-ci ne peut tout simplement rien fermer ni rien ouvrir ! La seule particularité qu’elle possède contrairement aux autres clés, c'est qu’elle peut rentrer dans toutes les serrures. Je suis navré, je ne peux pas vous aider davantage. »
Tout cela était à la fois rassurant et troublant… rassurant car, au moins, Jack savait que cet objet était la source de la folie de son père, il le savait au fond de lui ; mais ce qui était troublant, c'était qu’il avait l’impression d’être confronté à un mystère qui le dépassait, comme s’il s’avançait sur un terrain qu’il ne devait pas fouler. Une fois chez lui, il commença à fouiller l’intégralité de la maison de ses parents. Sa mère le laissa faire, elle aussi semblait chercher des réponses ; les deux ne pouvaient croire la raison de la mort du propriétaire de la clé.
Toute la journée il essayèrent de trouver un éventuel coffre ou une mallette, voire même une propriété qui pourrait correspondre aux dimensions de la clé. En vain… Jack se laissa ainsi envahir par le sommeil en espérant trouver des réponses dans ses songes.
La rébellion mécanique ayant été matée, le Tyran au nom imprononçable instaura une nouvelle fois son régime despotique. La nuit lui servant de conseillère, il continua de contrôler la ville. Là encore le temps s’écoula lentement, très lentement... et alors que les grains de sable tombaient silencieusement dans le sablier, une nouvelle rébellion vit le jour... néanmoins, comparée aux autres mutineries, celle-ci n’était pas de source mécanique ; au contraire, un cri résonna dans toute la maison, réveillant brusquement le jeune adolescent. Cette voix, il la reconnaissait très bien, car c’était celle de sa mère ! Se pressant dans la chambre de celle-ci, il la vit prise de violents spasmes devant la porte, allongée sur sol en pleurant et en criant. Jack s'empressa d’appeler les urgences, ne comprenant rien à la scène. La seule chose qu’il remarqua était la clé du père qu'elle tenait dans sa main.
« Je suis navrée de vous dire ça, mais votre mère souffre de démence couplée à de violents maux de tête, ainsi qu’à une forte dépression. »
Ce diagnostic, il le reconnaissait… c’était le même que celui de son père, avant qu’il ne finisse par se tuer. S'empressant d’aller dans la chambre de sa mère, il était persuadé qu’elle avait trouvé la source de tous les problèmes. C’est pourquoi il ne put se retenir de la questionner :
« Qu’est-ce que tu a trouvé maman ?! Il faut que tu me racontes tout, je t’en prie !
- Rien n’a de sens… plus rien n’a de sens… nous sommes tous enfermés… plus rien ne peut nous libérer… » se contenta de répondre sa mère, en plein délire.
« Je ne comprends rien à ce que tu me dis ! Explique-toi ! »
Néanmoins, la seule réponse qu’elle lui donna fut un hurlement hystérique et des flots de larmes. L’infirmière lui demanda de repasser le lendemain et ferma les rideaux pour s’occuper de sa mère. Jack ne comprenait plus ce qui se passait, la seule chose qu’il savait était que la clef était responsable de ce qu’il lui arrivait, il en était certain ! Une fois chez lui, il resta un long moment à regarder la clef. Qu’est-ce que sa mère avait pu faire pour devenir folle à son tour ? Qui avait pu créer cet objet ? Mais surtout, qu’est-ce que déverrouillait cette clef noire comme le pétrole ? Tant de questions qui envahissaient l’esprit du jeune homme. Il devait être seize heures quand Jack essaya de comprendre le fonctionnement de la clef. La faisant entrer dans la porte de la chambre, il remarquait que, comme lui avait dit le serrurier, l’ustensile avait la propriété de rentrer dans toute les serrures ; néanmoins il remarqua également qu’il avait beau la tourner dans tous les sens, elle n’actionnait aucun mécanisme. Cela eu pour effet de l’agacer et il retira la clef avant de la jeter rageusement contre le mur, donnant un coup de poing contre celui-ci. Toute cette histoire allait lui aussi le rendre fou... pourquoi le sort semblait vouloir s’acharner sur lui et sa famille ? S’allongeant un court moment dans son lit, les pensées l’envahissaient et l’envie de marcher pour se rafraîchir les idée lui prit. Cependant, c’est une fois qu’il fut sorti de sa chambre que tout se accélération : à peine avait-il fait un pas en dehors de la pièce qu'il marcha dans de la boue. Stupéfait, il remarqua que la porte avait disparu et qu’il était en pleine forêt.
L’incompréhension la plus total domina l’esprit de Jack, que c’était-il passer ? Sa maison n’était nulle part, la porte avait disparu, seul une immense foret l’entourer, une forêt qu’il ne connaissait pas d’ailleurs, les arbres était morts, les branches se tordaient de douleurs devant lui et le sol boueux avait une couleurs bordeaux, le soleil se couchait lentement donnant une couleurs enflammer au ciel, aucune vie ne semblait exister ici, pas de bruit, pas de vent et encore moins d’insecte qui se balade dans ce paysage mort, il avait beau crier, il avait beau courir, Jack n’eut aucune réponse et le paysage ne cessait de se répéter perpétuellement. Ou suis-je….Qu’elle heure est-il ?...toute ces question ne cessait d’envahir l’esprit de l’adolescent qui venait de tomber à genoux dans la boue, cela faisait plusieurs heures qu’il parcourait la foret morte et pourtant le soleil ne bougeait pas, le ciel enflammer ne changeait pas de couleurs et les arbres morts au branche agonisante semblait le regarder. Fouillant dans ses poches il remarqua qu’un seul objet était présent, une clef noir comme le pétrole, la même clé qu’il avait jeté contre le mur, comment un tel objet pouvait se retrouver dans ses poches ? Qu’elle était donc le fin mot de cette histoire absurde qui ne cessait de le tourmenter ?
Commençant à verser des larmes de désespoir Jack jeta la clef dans la boue avant de sentir quelque chose de froid envahir son dos lentement, complètement surpris par cette sensation nouvelle il se retourna et fut horrifier de constater que les arbres avait disparu, laissant place à une vaste plaine couverte de neige, se retournant a nouveau il vit que la aussi les arbres avait disparu, en une seule seconde il était passé d’une foret morte au sol boueux et au ciel crépusculaire a une steppe couverte de neige en pleine nuit avec un véritable blizzard qui s’acharnait sur lui. Qu’elle était ce monde ? L’envie de se laissait mourir dans le froid lui passa à l’esprit, puis il remarqua un détail différent comparer à la foret morte, au loin Jack aperçut une faible lueur qui percer les ténèbres et le froid, bravant la tempête il se mit en marche, la morsure du froid lui rongeait les membres et le vent violent ralentissez sa progression, plusieurs fois il chuta à cause des dunes de neiges, mais à chaque fois il se releva, continuant de marcher malgré tout, la fatigue avait beau le saisir dans les jambes il voulait au moins des réponses et comme si la chance semblait enfin lui sourire il aperçut des trace de pas dans la neige qui avait l’air d’être récente étant donné que le blizzard n’avait pas encore recouverts les empruntes, se hâtant, courant dans les neiges en criant à l’aide il sentait qu’il était à deux doigts de fuir ce monde, puis il s’arrêta brusquement, devant lui s’étendais la trace d’un homme, un homme qui avait dû chuter dans la neige en essayant de monter la dune de neige, cette emprunte c’était la sienne.
Encore une fois il avait tourné en rond, encore une fois cette lumière au loin n’était qu’une illusion destiner à lui détruire tout espoir, ce monde n’avais absolument aucune logique, l’espace était tordu de manière absurde et le temps s’écoulait de manière complétement chaotique, ravager par le désespoirs, Jack se laissa tomber dans la neige pour que la mort vienne l’emporter….
Le silence revint, enfermer dans cette prison noire qu’avait créé ses paupières fermer, l’étudiant n’arrivait plus à contrôler son corps, n’arrivant même plus à faire la différence entre le haut et le bas seul la sensation d’être en apesanteur dans le noir l’envahit, ainsi c’était sa ce que l’on ressentait quand la vie quittait votre corps ? Brusquement un bruit assourdissant se fit entendre et d’un seul coup il se releva, allongé dans son lit le réveil sonnait en affichant la fameuse combinaison de caractère « 06 :30 ».
Tout cela n’était donc qu’un rêve ? Vue comme cela c’était fort compréhensible, comment un tel monde pouvait exister ? Néanmoins ce fut un véritable cauchemar ce qu’il venait de vivre, à coter du réveil se trouvait la fameuse clé noire comme le pétroles. Comme chaque matin il resta un long moment dans son lit avant de se lever et de partir s’habiller, pourtant ce matin il ne put entamer la journée comme tous les autres jours, au moment même où il ouvrit la porte il fut confronter à une immense salle noirs, on ne pouvait distinguer le sol du plafond tellement les ténèbres était présent mais en revanche il y avait quelque chose de déstabilisant face à lui, un immense œil qui prenait toute la salle le fixait.
L’œil ne possédait pas de couleurs particulières, c’était juste un immense œil blanc avec un centre noir qui était diriger vers lui, qu’elle était cette horreur ? Se retournant brusquement il vit qu’à nouveau la porte avait disparu, seul les ténèbres se trouvait derrière lui. Jamais il n’avait rêvé, tout ceci était un cauchemar réel ! Mais le pire était encore avenir car une voix venant de nulle part s’adressa a lui.
- « Mes Salutations Jack…Tu n’es pas trop déboussoler par tout cela ? Quelle question…bien sûr que si que tu es désorienter ! »
Jack n’en revenait pas, l’œil était-il en train de lui adresser la parole ? Bégayant il répondit
- « Qu…Qui êtes-vous ? Ou somme nous ? » - « Ou nous somme ? Mais chez toi voyons, tu n’as pas reconnu ta chambre ? Quand a moi je ne suis qu’un simple scientifique, si tu es la, en revanche c’est juste pour nos petites expériences ! » - « Un scientifique ? Une expérience ? …Je ne comprends plus rien » Complètement perturber par cette créature, Jack essayait de trouver le sens de tout cela - « Bon sang vous les humains vous ne comprenait jamais rien, on a beau vous expliquer mille et une fois les même choses ou vous laisser les expérimenter vous n’arrivez jamais a comprendre il faut dire que vous êtes tellement egocentrique et égoïste que vous recentrez tout sur vous ! » - « Par…Pardon ?! »
L’œil gigantesque semblait de plus en plus exaspérer alors que Jack était en pleine incompréhension, bien décider à se faire comprendre l’étrange créature entama sa tirade assez agressive.
- « Vous savez très bien ce que je veux dire, vous êtes persuadées d’être l’espèce la plus puissante, la preuve quand une espèce supérieure à la vôtre s’adresse à vous, vous en faites une religion et leurs donner des pouvoirs absolue comme pour vous dire que seul une force surpassant l’univers peut vous êtres supérieurs ! Vous êtes persuadée de vivre dans la réalité et vous ne cherchez même pas à comprendre ce qui est devant vous ! Pour vous l’espace est composer de juste trois dimension et le temps se contente d’avancer lentement alors que bien au contraire ! Il y en quattres dimensions spatiales et quattre manières de se déplacer dans le temps mais là encore nous avions beau vous initier au huits déplacements avant de vous rencontrer que vous ne comprenez toujours pas ! » - « Mais…Qu’est-ce que signifie tout ça ? Je comprends de moins en moins…que voulez-vous me faire ? » Demanda Jack n’arrivant pas à avaler toutes les informations surtout avec cet œil titanesque qui le fixait
- « Bon sang ce n’est pas si compliquer ! Chaque planète dans l’univers qui peut abriter la vie finit par abriter en son sein une espèce doté du Glauhm ! Le Glauhm c’est cet élément unique qui permet de développer le savoir et la connaissance mais aussi la compréhension de toute chose et l’adaptation en ces milieux ! En échange le Glauhm rend foncièrement mauvais tous ses porteurs si bien que ces espèces uniques se démarque de toutes les autres espèces par leurs capacités à dominer et tuer mieux que personne d’autre ! Le Glauhm c’est cette particularité qui fait que vous les humains pouvaient dominer votre terre et conquérir l’espace sauf qu’en plus de deux cent mille ans vous n’avez pas était capable de faire plus que visiter votre satellite ! Vous êtes la risée de toutes les autres nations et vous ne le savez même pas ! c’est d’ailleurs pour ça que vous avez était considérer comme étant l’espèce la plus pitoyable que la nature est jamais créée ! D’ailleurs c’est aussi pour ça qu’aucune autre nation n’est entrée en contact avec vous, pour vous donner une représentation a votre échelle vous êtes comme des fourmis qui sont persuader de dominer le monde ! Regardez-vous, vous êtes la seule espèce qui détruit son monde SANS pouvoir le fuir ! Toutes les autres espèces ayant acquis le Glauhm on mit à peine cent mille ans avant de quitter leurs berceaux pour entamer leurs évolutions dans l’univers, les autres espèces de votre âge sont déjà en train de crée des galaxies toute entières dans l’extra-univers et vous vous êtes encore en train d’essayer de peupler vos planète voisine ! vous êtes tellement pitoyable ! »
- « Mais…Pourquoi ne pas nous avoir aider ? Pourquoi ne pas nous avoir donner un coup de mains ? »
- « Vous aider ? Vous avez vraiment un bon sens de l’humours les humains ! Crois-tu réellement que des individus aussi évoluer que nous aiderais des insectes comme vous ? A vrais dire plusieurs fois nous nous somme amuser à semer le chao dans votre monde et encore nous nous somme estimer assez gentils de ne pas envahir votre planète pour vous réduire en esclavage ! Mais vois-tu récemment nous avons trouvé le moyen de discuter avec vous ! Imaginez donc que vous avez la capacité de parler aux fourmis que feriez-vous ? Et bien nous, nous avons décidé de prendre quelque individu de votre espèce pour voir comment vous réagiriez si vous recevait toutes les connaissances que vous auriez dû avoir d’un seul coup ! Et je dois vous avouez que c’est passionnant de voir votre espèce devenir complétement folle à cause de ça, vous allez même jusqu’à vous suicider à cause du savoir que vous assimilez ! Juste parce que vous n’arrivez pas à accepter que la réalité dans laquelle vous vivez n’est pas une belle histoire aux jolies formes ! Vous êtes persuadées qu’en entravant votre nature votre « âme » comme vous le dites si bien pourra s’épanouir, vous êtes persuadées que l’univers suit des lois bien organiser et que votre vie possède un véritable sens dont vous n’avez pas encore percer ! Mais je vais vous le dire, l’univers n’est que Chao, vous avez autant d’âme qu’un caillou qu’on réduit en miette ! Le sens de la vie ? Qu’elle belle histoire, tout dans l’univers n’existe que par hasard et rien ne possède de sens, l’univers entier n’est qu’un océan noir qui plonge dans le néant ! la vie n’est que hasard, votre création aurait était une erreur si elle avait été orchestrer ! Au moment même où nous aurons décidé de te renvoyer dans ton monde ton cerveau vas subir toutes les connaissances que vôtres espèce aurait dû accumuler en deux cent mille ans d’existence ! »
À ce moment précis Jack fut envahi par une peur inimaginable, la peur d’être confronter à la pire des choses que même l’imaginaire ne peut entrevoir, le savoir absolue et fondamental, imaginer une seul seconde de prendre conscience de tous les mensonge dans lesquelles il a vécu terrifie plus que tout l’adolescent et avant même qu’il n’ait put protester, Jack vit le décor autour de lui disparaitre laissant place à sa maison, le pied poser juste devant sa porte il eut pour seul accueil ce silence omniprésent pendant un long moment avant de sentir son crane exploser.
En un seul coup il avait l’impression de se concentrer sur des centaines de chose en même temps, il avait soudainement les réponses a tout ce qu’il le tourmentait, ce savoir titanesque qui rentrait dans sa tête le rendait fou tellement que son crane lui faisait mal. Néanmoins comme pour défier ce grand œil il tenta de garder la raison, il montrerais a cette espèce arrogante que la sienne pourrait la battre ! Et il comptait utiliser ce savoir pour y arriver, se relevant avec peine il était satisfait de voir la douleurs s’atténuait, fermant les yeux il nagea dans toutes ces connaissance avant qu’une question naissent en quelque seconde dans son esprit : « Que m’arrivera t’il quand je mourrais ? » il ne fallut qu’un court instant avant que la réponse résonne dans son esprit.
Plusieurs jours plus tard on découvrit le corps de Jack pendu dans sa chambre.