[Témoignages d'une victime dite ''agressé'' pendant son rêve comportant des lésions interne et aucun hématomes externes.]
-Scène 1: Interrogation
Inspecteur: Allez-y, sa tourne, parlez.
Victime : Eh bien... Bonjour ? Bonsoir ? Je ne sais pas... Bref, vous vouliez tout savoir sur ce qui m'est arrivé, hein ? Eh bien... Pour commencer, je vous en prie, amenez moi des objets saints... Je ne pourrais pas vous expliquer autrement...
I. : Pourquoi vous faut-il des objets bénis ? Vous parlez bien du même genre que moi ? Croix latine, eaux-sacrées et bénédiction faites par le prêtre ?
V. : Oui, je parle bien de ça.
/L'inspecteur sors de la salle et 5 minutes plus tard il revient devant la salle d'interrogatoire, avec le prêtre et plusieurs religieux pratiquant ce qu'ils appels la ''protection des âmes en peines'', la personne chargée de l'enquête rentre donc dans la salle avec les bibelot sacrés. Ayant l'impression que la salle s'est assombrie depuis. Il ne s'en rend guère compte, se rassit et continue son interrogatoire.
I. : Me revoilà avec vôtre requête, nous pouvons commencer
/Il installe les babioles sur la table dans le sens de la victime. Et se rend compte de l'air méchant qu'elle évoque dans son regard.
V. : Alors... tout d'abord, j'ai été invité à une fête chez un ami, cela disait qu'il avait réussi à se louer un entrepôt pour faire sa festivité, je trouvais ça intriguant, déjà qu'il n'as pas un rond pour s'acheter du pain, et qu'il vit encore chez ses parents, c'était bizarre, mais je me suis empressé de trouver mon téléphone et de lui demander en message:
- Eh mec t srx ?! T a trou-v 1 endroit pr faire une fiesta ??! :o :D
- Bah ouais mon gars, tu crois quoi, sérieux xD C'est mes parents, ils m'ont prêté l'argent pour m'amuser pendant cette semaine. Mais je leur dois une semaine de corvée ménagère... :'( Vas-y tu viens, sinon ?
- Put*** qu'ouééé ! Cmpte sur mxa ;p Code vestimnt-r ?
- Ouais, habille toi genre ''effrayant'' gros :D
- Ok d'acc c pour quand ?
- Ce soir normalement... :')
- Ok ^~^'
J'étais surpris, déjà que d'habitude il ne parle pas comme ça, il parle comme moi, c'est un délire que nous avons tout les deux, on s'amuse à écrire n'importe comment... Ouais bon, on est meilleurs potes, c'est pas pour rien. Donc du coup je me suis démerdé pour me trouver des vêtements effrayant. T-shirt blanc, avec coloration rouge, imitation sang dégoulinant de ma trachée et de mes boyaux visibles, mais heureusement... Ce n'était qu'un T-Shirt. Et puis j'ai mis un jean,des basket et c'est tout. Tout ce qu'il y a de plus normal, tout en restant effrayant avec le rouge sang du haut prêt-à-porter. (reprend sa respiration)
Ensuite, je me suis fait un petit repas, me suis préparé; parfum, déodorant et me suis lavé les dents ! Quoi de mieux que des dents bien blanche, et une haleine saine ? Je ne sais pas. Bon, bref. J'y vais. En sortant, j'oublie pas de prendre ma veste en cuir et mon chapeau melon, eh ouais, je vis dans le luxe moi ! (esquisse un sourire)
Donc, bon... Nous en venons au fait où j'ai ouvert ma porte, et que je suis sorti, totalement ignorant de la place où se trouvait la fête, du coup, je m'empresse de sortir mon téléphone de ma poche, et de demander où cela se déroule à mon ami. Il as répondu quasi-instantanément, c'est bizarre. Bref, quand je serais devant chez lui, j'irais sur la droite, je devrai passer dans une ruelle et débouler dans un cul-de-sac, avec une porte en métal, je devais toquer trois fois. J'aurais dû.
En fin de compte, arrivé devant sa maison, j'ai vu la mère de mon confrère, elle ne faisait guère attention à ma tenue ça devient une habitude qu'elle me voie habillé distinctement des autres et puis j'ai eu une conversation avec elle:
- Bonjour Madame ! Comment allez-vous ?
- Ah... Bonjour Rick ! Sûre que oui ! Tu veut voir Nolan ? Lui fit la dame avec une voix posée.
- Non, non merci Mme. je vous remercie pour l'argent que vous lui avez prêtés pour qu'il s'amuse cette semaine. Lui répondit avec ambitions.
- D... Quoi ? Quel argent ? Je vais aller lui en tirer un mot. Dit-elle en bouillonnant de l'intérieur.
Du coup, après ça, dès qu'elle est rentrée folle de rage et qu'elle a claqué la porte, tout en ayant laissé son courrier dans la boîte-aux-lettres, j'en profitai alors pour m'éclipser et suivre le chemin qu'il m'avait donné. C'était méchant de ma part, mais je ne sais pas pourquoi j'ai été comme obligé a partir, je ne contrôlait pas cette idée. Je rentre enfin dans la ruelle, elle est sombre ! Ignoble... ''Sa pu la mort là-dedans'' que je mettais dit tout bas. J'aperçoit la porte métallique dont m'avait informé Nolan. Sa commence vraiment a devenir bizarre. C'est le crépuscule, pas minuit, que c'est glauque, il n'y a même plus de lumière dans cette avenue, comme s'il n'y avait plus aucun temps, le ciel n'as plus d'expressions, plus de nuages, plus de ciel, plus de teint, ça commence à être grave ! Reprend courage... (commence à suer a grosses goûte) Je toque, trois fois comme demandé. La porte s'ouvre toute seule ! Mon Di... D.... J'arrive pas à dire ce mot... Dans quelle affaire qu'on m'a-t-on emmenés...Je reprend courage, j'avance dans cette salle enfumées par les cigarettes, la lumière est rouge, mais bon, rien de plus inquiétant que la soirée elle-même. Tout le monde est vêtu d'une tenue excentrique, je ne pourrais décrire comment c'est idiots. Après avoir fait le tour des lieux avec le regard et après avoir vu et entendu la cause de ce brouhaha phénoménal, j'ai vu quelque chose qui ressemblait à un bar. Je m'y dirige en me disant que tout est tellement absurde que ça en devient impossible, et qu'en plus ce foutu entrepôt ressemble plus à une discothèque à thèmes qu'autre chose. Mais il me faut étancher ma soif, je me dirige donc vers ce bar, je m'assis sur le seul siège qui était disponible et une barman qui fait... (reluque la jeune femme discrètement de haut en bas) Bien son boulot je puis dire me demande:
- Bien l'bonsoir jeune-homme ! Z'êtes-là pour la fête de Nolan, n'est-ce-pas ?
- Bah.. J... Oui, bien-sûr !
- Rohh... Quel audace... Bref, bon puisque vous êtes là pour votre ami, j'vous offre les 3 premiers verre, c'est la maison qui paye, que vous faut-il séduisante personne ?
- Oh, merci c'est gentil. Dit-il en souriant légèrement, ce serait possible d'avoir un cocktail tequila-whisky citron, s'il-vous-plaît ? J'adore, j'en perd mon palais, c'est un délice...
- Ah ! Vous aussi, tient ! Moi ça m'fais planer dès le deuxième verre, j'vous apporte ça tout de suite, glaçon, ou pas ?
- Oh... Pourquoi pas !
- D'accord, j'vous amène ça tout de suite !
/Une minute passèrent et le protagoniste n'arrêtai pas de cogiter sur ce qu'il devait faire, et sur ce qu'il ce passait. Mais de toute façon, se disait-il, il n'y aurait pas de mal a mater quelque petit postérieur, comme celui du barman avec qui il avait conversé auparavant. Ensuite, elle revenu avec le cocktail qu'il avait demandé.
- Voilà ! Téquila-whiskey-citron, c'est bien ce que vous vouliez ?
- Oui, oui... Merci ! (fait un clin d’œil à la jolie-femme)
- Qu'est-ce que c'est flatteur belle-homme !
- Merci ! (bois une gorgée de son cocktail) Vous savez... Que vous êtes ravissante ? Vôtre tenue vous va à ravir !
-Mais de rien, et... C'est tellement gentil monsieur, vous savez vous y prendre vous, avec les filles (renvoie le clin d’œil) Tenez... (prend un papier et écrit son numéro dessus) Mon numéro, rappelez moi ce soir !
- Ah... Merci... (Bois cul-sec son verre ton en reprenant son souffle) Bon... Ce n'est pas que je vous aime pas madame mais... (Hiic...) J'ai besoin d'aller danser un peu.
- Ce n'est pas un problème, à la prochaine fois !
/Il s'en alla donc danser pendant une bonne heure... Quand il alla s'asseoir, entre le coma éthylique et l'insomnie, une dame au visage caché par un masque noir de forme d'apothicaire moyen-âgeux l'interpella en lui prenant l'épaule.[/b]
Une femme venait de me prendre l'épaule avec sa main, si douce... Elle me parla dans l'oreille, d'une voix posée, calme et silencieuse. C'est intriguant, je n'entends plus les autres, je l'entend que elle. Elle veut me faire part de quelque chose, un objet... Je ne comprend pas ce qu'elle dit à-vrai dire, une pierre, qui lui est précieuse... Je crois que c'est une pierre qu'elle veut me donner. Elle me donne l'objet, je le tiens fermement et me met en quête de trouver ma poche ! Car oui, je ne vise plus très bien... Je décide de rentrer chez moi. Je me relève, ouvre la porte avec difficultés et en fin de compte m'en vais. A moment de passer le seuil de la porte, je me rendit compte que... Il n'y avait plus cette avenue, ni cette ruelle, je déboulai directement sur le trottoir, dans le rue de mon ami. C'est vraiment grave ce qu'il m'arrive... Pourtant, j'ai encore la pierre. Mon téléphone aussi... Cet air frais est vraiment revigorant. Bon... Je sors. Quoi ! La porte s'est fermée toute seule, et... Quand... Je... C'est impossible... Je me retourne et qu'est-ce que je vois ? Il n'y a qu'un simple mur crépis couleur jaune sableux. Je divague. Il faut que je rentre chez moi, et puis... Cette ''pierre'' qu'est-ce qu'elle a de si spécial ? Attends, je la regarde... Elle est plate, oui c'est ça plate, et la couleur grise d'une pierre normale, mais elle est toute lisse il n'y a pas cette matière ''rupeuse'' que l'on peut ressentir lorsqu'on frotte un caillou dans ces mains. Je la retourne... Qu'est-ce que ces symboles ? Hum... Surement ce pourquoi elle était si précieuse... Et puis le papier, avec le numéro, je l'ai encore ? Diab..., merci que oui ! Quoi ? Mais... J'ai... J'allais pas dire que ? Non... C'est invraisemblable... Bon... J'envoie un message au numéro en lui demandant si c'étais bien elle que j'avais vu en barman pendant la fête, elle me répond juste d'un simple ''Lol.'' suivi du symbole qu'il y avait sur la roche, après, j'ai appelé le numéro, cette fourberie avait assez traîné ! ''Le numéro que vous avez composé, n'est pas attribué.'' non... C'est une blague. Vous me prenez vraiment pour... Un satani... NON ! C'est tout simplement IM-PO-SSI-BLE ! Je continue d'avancer vers chez moi, mon téléphone affiche 00:00 depuis quelques minutes, normalement il est en format 12 heures car j'aime bien ce qui est anglophone, enfin je sais qu'il y a ce format d'heure que là bas, de ce que je sais. Mais bon, c'est pas ça le plus grave. C'est gênant... J'ai l'impression d'être observé, ou d'être suivi... C'est... Bon... Rick, reprend toi il n'y a rien, retourne toi, tu verra, il n'y a RIEN. Je décide alors de me retourner, au moment ou je me retourne je n'aperçoit rien, en plus que je ne suis pas sobre, j'ai l'impression d'avoir entendu une poubelle claquer, vous savez ce bruit métallique qui veut dire qu'on tape dedans et que le couvercle s'entrechoque avec le corps de la poubelle, je parle de celui-là, celui qui t'explose bien les tympans... Mais pourtant il n'y a pas de poubelles alentours, ni de ruelle a ce que j'en sais. J'arrive bientôt devant chez moi, j’accélère le pas, l'idée d'être suivi m’oppresse, je suis carrément angoissé, maintenant j'entend quelqu'un marcher je commence limite a courir ses pas sont de plus en plus fort et mon cœur bat de plus en plus vite, déjà que c'est la fanfare là-dessous, PUTAIN DE BORDEL DE CHIOTTE ! Je me retourne, rien, plus aucuns sons. Je me dépêche d'ouvrir la porte. J'ai l'impression de le sentir respirer sur ma nuque, non, c'est impossible. C'est pas grave, je rentre. Pire que grotesque ! Normalement quand tu rentre chez toi, t'est censé te sentir en sécurité, non ? Bah pour moi c'est pas.. enfin.... Plus le cas, j'ai l'impression que quelqu'un est venu silencieusement, et s'est caché quelque part, peut-être bien partout, mais a un endroit assez bien caché pour pouvoir m'observer discrètement sans me faire de torts. Bon...Bref... Je vais dans ma salle de bain, je me passe un petit coup d'eau fraîche sur le visage, un bon revigorant pour celui-là... J'ai l'air plus ''frais''. Dans ce cas je vais me coucher, histoire d'être en forme pour demain, enfin je ne sait même pas quelle heure il est mais j'y vais quand même. Drôle de sensations, ma salle est chaude, pourtant... Je ne met pas le chauffage, et je la laisse comme elle est d'habitude, a température ambiante, pour ma part, plus fraîche qu'oppressante, j'aime le froid pour dormir, sa m'aide j'ai envie de dire. Bon... C'est vraiment bizarre, j'ai de drôle de sensation dans cette pièce, un bruit dans ma tête ressemble a un grésillement de vieille télé' vous savez le bruit qu'elles font tout le temps, qu'à un moment tu n'entend plus mais qui reste. Bah j'entends ça. C'est dérangeant, j'espère que ça va se dissiper... J'ai l'impression d'être maudit, pourquoi ce bruit ne s'arrête pas ? En plus même sous ma panoplie hivernale; drap, couette, plaid et couverture houssé, tout ça de polaire et pourtant j'ai froid. Je ne sait pas ce qu'il m'arrive, en plus... J'ai fermé les yeux... Je ne peut pas... ''Plus''. Il faut que je les ouvres, enfin... Je ne veut pas mais quelque chose veut que je les ouvres, mais ce n'est pas moi qui veut, ce n'est pas ma conscience ! Q... Quoi... Que.... J'ai... Vu.... J'ai aperçu... Une forme dans l'ombre de la pièce... J'ai rien pu voir, juste deux points. Deux yeux rouge a en déduire la position. Je ferme mes yeux ! Je peut pas. Je met ma couverture sur ma tête, ça j'y arrive. J'arrive à avoir un semblant de ''petit-somme'', malheureusement, à un moment pendant mon sommeil, je me suis réveillé, je ne sais pas comment, comme si l'on avait dit mon nom dans mon oreilles, ça chatouillait. L'ombre n'étais plus dans le coin, elle... Ou est-elle ? J.... Juste devant moi... Ces yeux, rouge sanglant, remplis d'une vivacité démoniaque me lustre du regard. C'est... Té-rri-fiant ! Je cligne des yeux. Il n'est plus là... (soupire) Un bruit venait de la cuisine. Je ne sais pas pourquoi c'est de la cuisine, mais pourquoi pas la salle de bain, le salon, la salle à manger, ou juste les toilettes, me direz-vous, et bien, je ne sais pas. Je ne saurais vous le dire, mais bon, il est temps que je pose ce qu'il me reste de courage sur la table et que je parte dans ma diantre de cuisine ! Je me lève... Insouciant de sortir de mon lit, encore habillé. Je passe le seuil de la porte... Là... Je commence à psychoter sérieusement... Je dévale les escaliers en courant et...
/Sors la pierre de sa poche toujours avec un regard vide évoquant une méchanceté, et la pose sur la table d'interrogation. a ce moment là, la salle devint plus obscure que les ténèbres elles-mêmes.
I. : Bah quoi ? Allez accouche !
V. : Je suis remonté dans ma chambre... Car je n'ai rien vu.
I. : Et bah quoi ? Et pourquoi c'est si noir là-dedans ?
/La victime prends un air beaucoup plus sévère et quelque chose d'autre dit avec une voix étrangère, qui n'est pas la sienne, et aussi roque qu'il en serait impossible en réalité. Sa voix relève de la polyphonie, deux voix superposé n'étant pas les mêmes. Et cette voix étrangère s'adressait qu'à l'inspecteur, en le lui disant dans l'oreille:
Démon : ''Tu n'as pas revus ses yeux qu'il a décrit ? Ils sont pourtant si beau... Et si... (émet un bruit d'orgie culinaire) Démoniaque... Tu crois que c'est pour qui toutes ces babioles ? Pour toi bien-sûr.. !''
/Un flash lumineux éclata quand cette abomination finie sa phrase, bien-sûr il était possible de voir encore ces yeux dans l'obscurité de la salle, et dans un crie de terreur émit pas l'Inspecteur, les Adeptes entrèrent aussitôt en mandant le Dieu tout puissant en personne.
''Dieu tout-puissant, puisse-ta religieuse bénédiction venir en aide à ces âmes perdue maintenant proie des prédateurs, démons des abysses. Dieu puisse-tu nous faire acquérir ta force Ô tout puissant aide nous dans nôtre rejet de ces monstres. Ô Maître s'il-vous-plaît renvois les dans leurs lieu de naissance et fait en sorte qu'il ne reviennes jamais ! Bannis les à jamais aux limbes pour les pêchés qu'ils ont commis, puisse ta grâce aider ces âmes en peines et châtié tout ce que Satan en personne leurs à faut subir. Ô Dieu tout puissant, vous qui êtes aux Cieux s'il-vous-plaît rejetez le combat qu'à lancé Lucifer sur ces personne, renvoyez les larbins d'Iblys a poussière. Quod ex his similia immortalis revertatur pulvis in terram !'' Font-ils sans s'arrêter en parfaite synchronisation jusqu'à que tout ce soit calmé.
-Scène 1: Interrogation
Inspecteur: Allez-y, sa tourne, parlez.
Victime : Eh bien... Bonjour ? Bonsoir ? Je ne sais pas... Bref, vous vouliez tout savoir sur ce qui m'est arrivé, hein ? Eh bien... Pour commencer, je vous en prie, amenez moi des objets saints... Je ne pourrais pas vous expliquer autrement...
I. : Pourquoi vous faut-il des objets bénis ? Vous parlez bien du même genre que moi ? Croix latine, eaux-sacrées et bénédiction faites par le prêtre ?
V. : Oui, je parle bien de ça.
/L'inspecteur sors de la salle et 5 minutes plus tard il revient devant la salle d'interrogatoire, avec le prêtre et plusieurs religieux pratiquant ce qu'ils appels la ''protection des âmes en peines'', la personne chargée de l'enquête rentre donc dans la salle avec les bibelot sacrés. Ayant l'impression que la salle s'est assombrie depuis. Il ne s'en rend guère compte, se rassit et continue son interrogatoire.
I. : Me revoilà avec vôtre requête, nous pouvons commencer
/Il installe les babioles sur la table dans le sens de la victime. Et se rend compte de l'air méchant qu'elle évoque dans son regard.
V. : Alors... tout d'abord, j'ai été invité à une fête chez un ami, cela disait qu'il avait réussi à se louer un entrepôt pour faire sa festivité, je trouvais ça intriguant, déjà qu'il n'as pas un rond pour s'acheter du pain, et qu'il vit encore chez ses parents, c'était bizarre, mais je me suis empressé de trouver mon téléphone et de lui demander en message:
- Eh mec t srx ?! T a trou-v 1 endroit pr faire une fiesta ??! :o :D
- Bah ouais mon gars, tu crois quoi, sérieux xD C'est mes parents, ils m'ont prêté l'argent pour m'amuser pendant cette semaine. Mais je leur dois une semaine de corvée ménagère... :'( Vas-y tu viens, sinon ?
- Put*** qu'ouééé ! Cmpte sur mxa ;p Code vestimnt-r ?
- Ouais, habille toi genre ''effrayant'' gros :D
- Ok d'acc c pour quand ?
- Ce soir normalement... :')
- Ok ^~^'
J'étais surpris, déjà que d'habitude il ne parle pas comme ça, il parle comme moi, c'est un délire que nous avons tout les deux, on s'amuse à écrire n'importe comment... Ouais bon, on est meilleurs potes, c'est pas pour rien. Donc du coup je me suis démerdé pour me trouver des vêtements effrayant. T-shirt blanc, avec coloration rouge, imitation sang dégoulinant de ma trachée et de mes boyaux visibles, mais heureusement... Ce n'était qu'un T-Shirt. Et puis j'ai mis un jean,des basket et c'est tout. Tout ce qu'il y a de plus normal, tout en restant effrayant avec le rouge sang du haut prêt-à-porter. (reprend sa respiration)
Ensuite, je me suis fait un petit repas, me suis préparé; parfum, déodorant et me suis lavé les dents ! Quoi de mieux que des dents bien blanche, et une haleine saine ? Je ne sais pas. Bon, bref. J'y vais. En sortant, j'oublie pas de prendre ma veste en cuir et mon chapeau melon, eh ouais, je vis dans le luxe moi ! (esquisse un sourire)
Donc, bon... Nous en venons au fait où j'ai ouvert ma porte, et que je suis sorti, totalement ignorant de la place où se trouvait la fête, du coup, je m'empresse de sortir mon téléphone de ma poche, et de demander où cela se déroule à mon ami. Il as répondu quasi-instantanément, c'est bizarre. Bref, quand je serais devant chez lui, j'irais sur la droite, je devrai passer dans une ruelle et débouler dans un cul-de-sac, avec une porte en métal, je devais toquer trois fois. J'aurais dû.
En fin de compte, arrivé devant sa maison, j'ai vu la mère de mon confrère, elle ne faisait guère attention à ma tenue ça devient une habitude qu'elle me voie habillé distinctement des autres et puis j'ai eu une conversation avec elle:
- Bonjour Madame ! Comment allez-vous ?
- Ah... Bonjour Rick ! Sûre que oui ! Tu veut voir Nolan ? Lui fit la dame avec une voix posée.
- Non, non merci Mme. je vous remercie pour l'argent que vous lui avez prêtés pour qu'il s'amuse cette semaine. Lui répondit avec ambitions.
- D... Quoi ? Quel argent ? Je vais aller lui en tirer un mot. Dit-elle en bouillonnant de l'intérieur.
Du coup, après ça, dès qu'elle est rentrée folle de rage et qu'elle a claqué la porte, tout en ayant laissé son courrier dans la boîte-aux-lettres, j'en profitai alors pour m'éclipser et suivre le chemin qu'il m'avait donné. C'était méchant de ma part, mais je ne sais pas pourquoi j'ai été comme obligé a partir, je ne contrôlait pas cette idée. Je rentre enfin dans la ruelle, elle est sombre ! Ignoble... ''Sa pu la mort là-dedans'' que je mettais dit tout bas. J'aperçoit la porte métallique dont m'avait informé Nolan. Sa commence vraiment a devenir bizarre. C'est le crépuscule, pas minuit, que c'est glauque, il n'y a même plus de lumière dans cette avenue, comme s'il n'y avait plus aucun temps, le ciel n'as plus d'expressions, plus de nuages, plus de ciel, plus de teint, ça commence à être grave ! Reprend courage... (commence à suer a grosses goûte) Je toque, trois fois comme demandé. La porte s'ouvre toute seule ! Mon Di... D.... J'arrive pas à dire ce mot... Dans quelle affaire qu'on m'a-t-on emmenés...Je reprend courage, j'avance dans cette salle enfumées par les cigarettes, la lumière est rouge, mais bon, rien de plus inquiétant que la soirée elle-même. Tout le monde est vêtu d'une tenue excentrique, je ne pourrais décrire comment c'est idiots. Après avoir fait le tour des lieux avec le regard et après avoir vu et entendu la cause de ce brouhaha phénoménal, j'ai vu quelque chose qui ressemblait à un bar. Je m'y dirige en me disant que tout est tellement absurde que ça en devient impossible, et qu'en plus ce foutu entrepôt ressemble plus à une discothèque à thèmes qu'autre chose. Mais il me faut étancher ma soif, je me dirige donc vers ce bar, je m'assis sur le seul siège qui était disponible et une barman qui fait... (reluque la jeune femme discrètement de haut en bas) Bien son boulot je puis dire me demande:
- Bien l'bonsoir jeune-homme ! Z'êtes-là pour la fête de Nolan, n'est-ce-pas ?
- Bah.. J... Oui, bien-sûr !
- Rohh... Quel audace... Bref, bon puisque vous êtes là pour votre ami, j'vous offre les 3 premiers verre, c'est la maison qui paye, que vous faut-il séduisante personne ?
- Oh, merci c'est gentil. Dit-il en souriant légèrement, ce serait possible d'avoir un cocktail tequila-whisky citron, s'il-vous-plaît ? J'adore, j'en perd mon palais, c'est un délice...
- Ah ! Vous aussi, tient ! Moi ça m'fais planer dès le deuxième verre, j'vous apporte ça tout de suite, glaçon, ou pas ?
- Oh... Pourquoi pas !
- D'accord, j'vous amène ça tout de suite !
/Une minute passèrent et le protagoniste n'arrêtai pas de cogiter sur ce qu'il devait faire, et sur ce qu'il ce passait. Mais de toute façon, se disait-il, il n'y aurait pas de mal a mater quelque petit postérieur, comme celui du barman avec qui il avait conversé auparavant. Ensuite, elle revenu avec le cocktail qu'il avait demandé.
- Voilà ! Téquila-whiskey-citron, c'est bien ce que vous vouliez ?
- Oui, oui... Merci ! (fait un clin d’œil à la jolie-femme)
- Qu'est-ce que c'est flatteur belle-homme !
- Merci ! (bois une gorgée de son cocktail) Vous savez... Que vous êtes ravissante ? Vôtre tenue vous va à ravir !
-Mais de rien, et... C'est tellement gentil monsieur, vous savez vous y prendre vous, avec les filles (renvoie le clin d’œil) Tenez... (prend un papier et écrit son numéro dessus) Mon numéro, rappelez moi ce soir !
- Ah... Merci... (Bois cul-sec son verre ton en reprenant son souffle) Bon... Ce n'est pas que je vous aime pas madame mais... (Hiic...) J'ai besoin d'aller danser un peu.
- Ce n'est pas un problème, à la prochaine fois !
/Il s'en alla donc danser pendant une bonne heure... Quand il alla s'asseoir, entre le coma éthylique et l'insomnie, une dame au visage caché par un masque noir de forme d'apothicaire moyen-âgeux l'interpella en lui prenant l'épaule.[/b]
Une femme venait de me prendre l'épaule avec sa main, si douce... Elle me parla dans l'oreille, d'une voix posée, calme et silencieuse. C'est intriguant, je n'entends plus les autres, je l'entend que elle. Elle veut me faire part de quelque chose, un objet... Je ne comprend pas ce qu'elle dit à-vrai dire, une pierre, qui lui est précieuse... Je crois que c'est une pierre qu'elle veut me donner. Elle me donne l'objet, je le tiens fermement et me met en quête de trouver ma poche ! Car oui, je ne vise plus très bien... Je décide de rentrer chez moi. Je me relève, ouvre la porte avec difficultés et en fin de compte m'en vais. A moment de passer le seuil de la porte, je me rendit compte que... Il n'y avait plus cette avenue, ni cette ruelle, je déboulai directement sur le trottoir, dans le rue de mon ami. C'est vraiment grave ce qu'il m'arrive... Pourtant, j'ai encore la pierre. Mon téléphone aussi... Cet air frais est vraiment revigorant. Bon... Je sors. Quoi ! La porte s'est fermée toute seule, et... Quand... Je... C'est impossible... Je me retourne et qu'est-ce que je vois ? Il n'y a qu'un simple mur crépis couleur jaune sableux. Je divague. Il faut que je rentre chez moi, et puis... Cette ''pierre'' qu'est-ce qu'elle a de si spécial ? Attends, je la regarde... Elle est plate, oui c'est ça plate, et la couleur grise d'une pierre normale, mais elle est toute lisse il n'y a pas cette matière ''rupeuse'' que l'on peut ressentir lorsqu'on frotte un caillou dans ces mains. Je la retourne... Qu'est-ce que ces symboles ? Hum... Surement ce pourquoi elle était si précieuse... Et puis le papier, avec le numéro, je l'ai encore ? Diab..., merci que oui ! Quoi ? Mais... J'ai... J'allais pas dire que ? Non... C'est invraisemblable... Bon... J'envoie un message au numéro en lui demandant si c'étais bien elle que j'avais vu en barman pendant la fête, elle me répond juste d'un simple ''Lol.'' suivi du symbole qu'il y avait sur la roche, après, j'ai appelé le numéro, cette fourberie avait assez traîné ! ''Le numéro que vous avez composé, n'est pas attribué.'' non... C'est une blague. Vous me prenez vraiment pour... Un satani... NON ! C'est tout simplement IM-PO-SSI-BLE ! Je continue d'avancer vers chez moi, mon téléphone affiche 00:00 depuis quelques minutes, normalement il est en format 12 heures car j'aime bien ce qui est anglophone, enfin je sais qu'il y a ce format d'heure que là bas, de ce que je sais. Mais bon, c'est pas ça le plus grave. C'est gênant... J'ai l'impression d'être observé, ou d'être suivi... C'est... Bon... Rick, reprend toi il n'y a rien, retourne toi, tu verra, il n'y a RIEN. Je décide alors de me retourner, au moment ou je me retourne je n'aperçoit rien, en plus que je ne suis pas sobre, j'ai l'impression d'avoir entendu une poubelle claquer, vous savez ce bruit métallique qui veut dire qu'on tape dedans et que le couvercle s'entrechoque avec le corps de la poubelle, je parle de celui-là, celui qui t'explose bien les tympans... Mais pourtant il n'y a pas de poubelles alentours, ni de ruelle a ce que j'en sais. J'arrive bientôt devant chez moi, j’accélère le pas, l'idée d'être suivi m’oppresse, je suis carrément angoissé, maintenant j'entend quelqu'un marcher je commence limite a courir ses pas sont de plus en plus fort et mon cœur bat de plus en plus vite, déjà que c'est la fanfare là-dessous, PUTAIN DE BORDEL DE CHIOTTE ! Je me retourne, rien, plus aucuns sons. Je me dépêche d'ouvrir la porte. J'ai l'impression de le sentir respirer sur ma nuque, non, c'est impossible. C'est pas grave, je rentre. Pire que grotesque ! Normalement quand tu rentre chez toi, t'est censé te sentir en sécurité, non ? Bah pour moi c'est pas.. enfin.... Plus le cas, j'ai l'impression que quelqu'un est venu silencieusement, et s'est caché quelque part, peut-être bien partout, mais a un endroit assez bien caché pour pouvoir m'observer discrètement sans me faire de torts. Bon...Bref... Je vais dans ma salle de bain, je me passe un petit coup d'eau fraîche sur le visage, un bon revigorant pour celui-là... J'ai l'air plus ''frais''. Dans ce cas je vais me coucher, histoire d'être en forme pour demain, enfin je ne sait même pas quelle heure il est mais j'y vais quand même. Drôle de sensations, ma salle est chaude, pourtant... Je ne met pas le chauffage, et je la laisse comme elle est d'habitude, a température ambiante, pour ma part, plus fraîche qu'oppressante, j'aime le froid pour dormir, sa m'aide j'ai envie de dire. Bon... C'est vraiment bizarre, j'ai de drôle de sensation dans cette pièce, un bruit dans ma tête ressemble a un grésillement de vieille télé' vous savez le bruit qu'elles font tout le temps, qu'à un moment tu n'entend plus mais qui reste. Bah j'entends ça. C'est dérangeant, j'espère que ça va se dissiper... J'ai l'impression d'être maudit, pourquoi ce bruit ne s'arrête pas ? En plus même sous ma panoplie hivernale; drap, couette, plaid et couverture houssé, tout ça de polaire et pourtant j'ai froid. Je ne sait pas ce qu'il m'arrive, en plus... J'ai fermé les yeux... Je ne peut pas... ''Plus''. Il faut que je les ouvres, enfin... Je ne veut pas mais quelque chose veut que je les ouvres, mais ce n'est pas moi qui veut, ce n'est pas ma conscience ! Q... Quoi... Que.... J'ai... Vu.... J'ai aperçu... Une forme dans l'ombre de la pièce... J'ai rien pu voir, juste deux points. Deux yeux rouge a en déduire la position. Je ferme mes yeux ! Je peut pas. Je met ma couverture sur ma tête, ça j'y arrive. J'arrive à avoir un semblant de ''petit-somme'', malheureusement, à un moment pendant mon sommeil, je me suis réveillé, je ne sais pas comment, comme si l'on avait dit mon nom dans mon oreilles, ça chatouillait. L'ombre n'étais plus dans le coin, elle... Ou est-elle ? J.... Juste devant moi... Ces yeux, rouge sanglant, remplis d'une vivacité démoniaque me lustre du regard. C'est... Té-rri-fiant ! Je cligne des yeux. Il n'est plus là... (soupire) Un bruit venait de la cuisine. Je ne sais pas pourquoi c'est de la cuisine, mais pourquoi pas la salle de bain, le salon, la salle à manger, ou juste les toilettes, me direz-vous, et bien, je ne sais pas. Je ne saurais vous le dire, mais bon, il est temps que je pose ce qu'il me reste de courage sur la table et que je parte dans ma diantre de cuisine ! Je me lève... Insouciant de sortir de mon lit, encore habillé. Je passe le seuil de la porte... Là... Je commence à psychoter sérieusement... Je dévale les escaliers en courant et...
/Sors la pierre de sa poche toujours avec un regard vide évoquant une méchanceté, et la pose sur la table d'interrogation. a ce moment là, la salle devint plus obscure que les ténèbres elles-mêmes.
I. : Bah quoi ? Allez accouche !
V. : Je suis remonté dans ma chambre... Car je n'ai rien vu.
I. : Et bah quoi ? Et pourquoi c'est si noir là-dedans ?
/La victime prends un air beaucoup plus sévère et quelque chose d'autre dit avec une voix étrangère, qui n'est pas la sienne, et aussi roque qu'il en serait impossible en réalité. Sa voix relève de la polyphonie, deux voix superposé n'étant pas les mêmes. Et cette voix étrangère s'adressait qu'à l'inspecteur, en le lui disant dans l'oreille:
Démon : ''Tu n'as pas revus ses yeux qu'il a décrit ? Ils sont pourtant si beau... Et si... (émet un bruit d'orgie culinaire) Démoniaque... Tu crois que c'est pour qui toutes ces babioles ? Pour toi bien-sûr.. !''
/Un flash lumineux éclata quand cette abomination finie sa phrase, bien-sûr il était possible de voir encore ces yeux dans l'obscurité de la salle, et dans un crie de terreur émit pas l'Inspecteur, les Adeptes entrèrent aussitôt en mandant le Dieu tout puissant en personne.
''Dieu tout-puissant, puisse-ta religieuse bénédiction venir en aide à ces âmes perdue maintenant proie des prédateurs, démons des abysses. Dieu puisse-tu nous faire acquérir ta force Ô tout puissant aide nous dans nôtre rejet de ces monstres. Ô Maître s'il-vous-plaît renvois les dans leurs lieu de naissance et fait en sorte qu'il ne reviennes jamais ! Bannis les à jamais aux limbes pour les pêchés qu'ils ont commis, puisse ta grâce aider ces âmes en peines et châtié tout ce que Satan en personne leurs à faut subir. Ô Dieu tout puissant, vous qui êtes aux Cieux s'il-vous-plaît rejetez le combat qu'à lancé Lucifer sur ces personne, renvoyez les larbins d'Iblys a poussière. Quod ex his similia immortalis revertatur pulvis in terram !'' Font-ils sans s'arrêter en parfaite synchronisation jusqu'à que tout ce soit calmé.