Prénom : Sumaru
Nom : Alric
Groupe : Custom (Golden Sun, toujours !)
Camp : Loyal Neutre
Double Compte (si oui) : Ils sont un peu mort, m'enfin Jack et.. Je sais pas, c'tait qui mon troisième compte quand je suis parti ? x)
Description du Physique : Assis au sol, adossé au mur d'une maison en ruine, un homme seul, une jambe tendue et l'autre repliée, semble assoupi... Un cattogan blanc retient ses cheveux brun en arrière, les laissant retomber doucement par dessus son épaule, étant donné la pause dans laquelle il est. Ses traits sont assez durs, même si, de profil, les yeux fermés et ce doux sourire sur le visage, ils ne le semblent pas vraiment... Au contraire, l'homme a l'air chaleureux, courtois... Il porte une tenue très large, constituée d'un haut marron et d'un pantalon noir, retenue par une ceinture de la même couleur. Pour rajouter de la couleur à cet ensemble, il porte une écharpe épaisse verte autour du cou. Il semble beaucoup y tenir, car même dans son sommeil, sa main gauche est posée dessus, la retenant du pouce.
Son autre main, portant un gantelet de fer ornementé dans un style très oriental, est posée sur la garde d'une épée dans son fourreau... Malgré le style vestimentaire de l'homme, la lame de cette épée n'est pas courbe, mais bien droite, longue et large. Il s'agit d'une claymore très lourde, mais incroyablement tranchante. Le fourreau en est marron, et la garde ceinte dans un ruban du même vert que son écharpe. Si elle était dégainée, on pourrait voir qu'elle est très bien entretenue, la lame parfaitement affutée brillant d'un éclat presque agressif au soleil, mais beaucoup plus doux la nuit...
Il semble soudain entendre un bruit et rouvre les yeux. Presque instantanément, il est debout, et c'est alors que son aspect colossal prend toute son ampleur. L'homme fait en réalité environ sept pieds de haut, et, dans sa tenue austère, il est assez imposant pour mettre en branle les convictions de détrousseurs de grand chemin expérimentés. Ses machoires se sont contractées, et sa main gauche, parallèle au sol, semble attirer à elle une énergie étrange du sol, jusqu'à ce qu'il ferme le poing.
Rasséréné de cette énergie, l'homme part en courant, passant rapidement le fourreau de sa claymore dans sa ceinture tout en la dégainant, ne la tenant que d'une main. D'un bond gigantesque, il passe au dessus d'une maison voisine, se retourne et place sa lame, puis atterit... En face d'un brigand armé d'une arbalète, visiblement trop choqué par la lame sur sa carotide pour réagir. Avec un soupir, l'homme frappe la tête du brigand de sa main gauche, la jetant contre le mur et l'assomant, puis il se baisse, pose sa main sur son torse, et enferme ses bras et ses jambes dans une gangue de roche issue de la Psynergie de Vénus...
L'armée révolutionnaire viendrait bientôt le chercher.
Description du Caractère : Sans un mot de plus, Sumaru rentre au camp. Ses machoires se sont décrispées, et il sourit doucement. Saluant d'un geste de tête tous les soldats de Dirjil, son Frère et supérieur, il reçoit en réponse des salutations enthousiastes qui ne le flattent pas plus que cela. Réputé pour son calme, on dit aussi de lui que c'est un homme gentil et généreux. On dit aussi de lui, au grand désespoir de son entourage proche, qu'il est prêt à tout pour protéger les autres, même s'il ne les connait pas... Il fait particulièrement attention aux enfants pouvant se retrouver au coeur des conflits, n'hésitant pas à se jeter dans une embuscade pour sauver ne serait ce qu'un "gosse", comme il les appelle avec dédain lorsqu'on tente de lui en parler.
Ce coté vulgaire et méprisant, Sumaru aime le porter pour ne pas que les gens s'attendent à trop de sa part. Mal à l'aise avec ses propres exploits et sa propre gentillesse, il se voit juste comme un adulte avec quelques dons de plus, et estime avoir une dette immense envers ses amis, et notamment Dirjil... Il aime cependant énormément sa solitude, sans pour autant être de mauvaise humeur lorsque l'on vient le déranger. Il a juste parfois besoin de se retrouver seul pour repenser à ce que ce monde était avant d'entrer dans la Révolution... Oh, il n'était pas juste. Le peuple n'était pas libre, les Mystiques étaient chassés et humiliés, mais le combat, la guerre et le sang n'étaient pas présents chaque jour... Le monde avait besoin d'être libéré. Il avait besoin que Nadag, Dirjil, lui même et tous les autres se battent pour lui, mais dès que cela serait fait... Plus jamais Sumaru n'utiliserait sa Psynergie pour se battre... Mais tant que la guerre durerait, il serait prêt à tout pour vaincre ses ennemis et protéger ce peuple.
Il fait partie des rares hommes de confiance de Dirjil, le chef de la Révolution. Avec six de leurs amis, et notamment Sartia, soeur de Sumaru et petite amie de Dirjil, ils étaient les premiers à s'être élevé contre l'Empire, et maintenant, voilà où cela les avait emmenés...
En rentrant dans la tente de commandement, où ses amis étaient encore en train de discourir sur la stratégie de la prochaine bataille, censée être la dernière, Sumaru leur adressa un bref sourire avant de retourner s'asseoir dans un coin isolé, de fermer les yeux et d'écouter ce qui se disait... C'était ce genre d'hommes. Le genre qui parlait peu, dans une discussion sérieuse, mais n'oubliait rien. Mais aussi le genre d'hommes qui savait se détendre pour fêter une victoire, chaleureux et ouvert à tous ses frères d'armes ou de pain la majorité du temps. Il ne se sentait... Juste pas à sa place, ici, sous cette tente, au dernier Crépuscule avant la Bataille décidant du sort d'Angara... Mais Dirjil avait besoin de lui. Bientôt, tout serait fini.
Et alors, Sumaru pourrait retourner à sa vie tranquille.
Histoire : Sumaru n'a pas nécessairement eu une vie passionante. Contrairement à Dirjil, il n'a rien vécu de traumatisant. Elevé par Nadag et sa mère avec sa soeur, il avait rapidement appris à manier la Psynergie tout en se dissimulant. Considéré par son père comme un prodige, il avait en particulier toujours réussi à ne pas être repéré par les Tuaparangs. C'est un soir, alors qu'il avait seize ans, qu'un homme en sang est arrivé chez eux... Il prétendait se nommer Dirjil, était armé seulement d'un arc et d'un couteau de chasse, et semblait avoir raté sa dernière traque... Les deux adolescents avaient rapidement sympathisé, et ils s'étaient mutuellement émulés jusqu'à devenir de très bons chasseurs. Mais rapidement, Dirjil s'était mis à avoir des rêves de grandeur... Sauver Angara, protéger son peuple... Sumaru l'avait suivi, simplement pour l'empêcher de mourir, au début, puis parce qu'il s'était lui aussi senti impliqué dans tout cela.
Leurs premiers camarades étaient plutôt hétéroclites... Un nain travaillant dans un cirque, un homme se prenant pour un oiseau la moitié du temps, une femme aux cheveux rouge en dépit du danger, juste parce que c'était "trop classe !"... Leurs débuts n'avaient pas été facile, mais Sumaru y pense toujours avec une certaine nostalgie.
Depuis... tout s'était emballé. Différents peuples s'étaient ralliés à leur cause, des contrées entières s'étaient soulevées, sous le charisme de Dirjil, et maintenant, la guerre allait finir... Tout ce qu'il aurait à faire, demain, c'était distraire Kiro pendant que son Frère tuerait Trief. Alors, la victoire serait remportée...
Sumaru était en position... autour d'eux, les hommes en plein duel s'étaient instinctivement écartés... Face à Kiro, il ne pouvait empêcher des frissons de le traverser... La chevelure blonde coupée n'importe comment de... l'enfant qu'il devait affronter... Bien sur, en réalité, Kiro avait vingt cinq ans, mais... Il semblait si jeune... Son sourire semblait si franc, si chaleureux... Mais les faux qu'il tenait dans les mains semblaient aussi si réelles... Cet homme était un danger. Et c'était une bonne raison de l'éliminer...
Faisant surgir une petite colonne de pierre du sol, il prit appui dessus, la brisant au passage, pour se projeter sur son ennemi, qui para en croisant ses lames avant de glisser sur le coté, prévoyant déjà que la force de Sumaru le renverserait sinon. Ce dernier réagit promptement, reprenant rapidement sa garde pour attendre le déluge d'attaques typiques de son adversaire, qui n'arrivaient pas... Seulement ce sourire et ce regard malicieux... Les attaques continuèrent ainsi, sans que Kiro ne daigne faire le moindre geste offensif... Autour d'eux, les clameurs des combattants mourant ou tueurs s'élevaient sans cesse, en un flot continu et cauchemardesque, et Sumaru sentait sa résolution, à défaut de sa musculature, faillir... Le sourire de son adversaire était la seule chose qui parvenait à traverser ce maelstrom sensoriel, et lorsqu'enfin, il disparut et que des paroles sortirent de la bouche de Kiro, cela apparut comme une bénédiction à Sumaru... pour un court instant.
"Reviens quand tu seras prêt !"
Alors, le noir, et la chute...
Aime : La tranquilité, ses amis, la solitude, la Psynergie et les enfants.
Aime pas : Le sérieux en trop grande quantité, la guerre, le bruit.
Comment ai-je connu le forum ? : Longue Histoire... Que beaucoup connaissent déjà \o/ Pour simplifier, Minecraft.
Description Personnelle : Pour ceux qui n'me connaissent pas, François, ravi de vous rencontrer. Je suis actuellement en deuxième année de Prépa BCPST, mais aussi et surtout Roleplayer, que ce soit sur des forums (bien que j'ai un peu laissé de coté cette activité ces derniers temps...) ou FFXIV (sur lequel je passe... La majorité de mon temps libre, objectivement x) ).
A part ça, que dire de plus ? C'la suffit sans doute !
Nom : Alric
Groupe : Custom (Golden Sun, toujours !)
Camp : Loyal Neutre
Double Compte (si oui) : Ils sont un peu mort, m'enfin Jack et.. Je sais pas, c'tait qui mon troisième compte quand je suis parti ? x)
Description du Physique : Assis au sol, adossé au mur d'une maison en ruine, un homme seul, une jambe tendue et l'autre repliée, semble assoupi... Un cattogan blanc retient ses cheveux brun en arrière, les laissant retomber doucement par dessus son épaule, étant donné la pause dans laquelle il est. Ses traits sont assez durs, même si, de profil, les yeux fermés et ce doux sourire sur le visage, ils ne le semblent pas vraiment... Au contraire, l'homme a l'air chaleureux, courtois... Il porte une tenue très large, constituée d'un haut marron et d'un pantalon noir, retenue par une ceinture de la même couleur. Pour rajouter de la couleur à cet ensemble, il porte une écharpe épaisse verte autour du cou. Il semble beaucoup y tenir, car même dans son sommeil, sa main gauche est posée dessus, la retenant du pouce.
Son autre main, portant un gantelet de fer ornementé dans un style très oriental, est posée sur la garde d'une épée dans son fourreau... Malgré le style vestimentaire de l'homme, la lame de cette épée n'est pas courbe, mais bien droite, longue et large. Il s'agit d'une claymore très lourde, mais incroyablement tranchante. Le fourreau en est marron, et la garde ceinte dans un ruban du même vert que son écharpe. Si elle était dégainée, on pourrait voir qu'elle est très bien entretenue, la lame parfaitement affutée brillant d'un éclat presque agressif au soleil, mais beaucoup plus doux la nuit...
Il semble soudain entendre un bruit et rouvre les yeux. Presque instantanément, il est debout, et c'est alors que son aspect colossal prend toute son ampleur. L'homme fait en réalité environ sept pieds de haut, et, dans sa tenue austère, il est assez imposant pour mettre en branle les convictions de détrousseurs de grand chemin expérimentés. Ses machoires se sont contractées, et sa main gauche, parallèle au sol, semble attirer à elle une énergie étrange du sol, jusqu'à ce qu'il ferme le poing.
Rasséréné de cette énergie, l'homme part en courant, passant rapidement le fourreau de sa claymore dans sa ceinture tout en la dégainant, ne la tenant que d'une main. D'un bond gigantesque, il passe au dessus d'une maison voisine, se retourne et place sa lame, puis atterit... En face d'un brigand armé d'une arbalète, visiblement trop choqué par la lame sur sa carotide pour réagir. Avec un soupir, l'homme frappe la tête du brigand de sa main gauche, la jetant contre le mur et l'assomant, puis il se baisse, pose sa main sur son torse, et enferme ses bras et ses jambes dans une gangue de roche issue de la Psynergie de Vénus...
L'armée révolutionnaire viendrait bientôt le chercher.
Description du Caractère : Sans un mot de plus, Sumaru rentre au camp. Ses machoires se sont décrispées, et il sourit doucement. Saluant d'un geste de tête tous les soldats de Dirjil, son Frère et supérieur, il reçoit en réponse des salutations enthousiastes qui ne le flattent pas plus que cela. Réputé pour son calme, on dit aussi de lui que c'est un homme gentil et généreux. On dit aussi de lui, au grand désespoir de son entourage proche, qu'il est prêt à tout pour protéger les autres, même s'il ne les connait pas... Il fait particulièrement attention aux enfants pouvant se retrouver au coeur des conflits, n'hésitant pas à se jeter dans une embuscade pour sauver ne serait ce qu'un "gosse", comme il les appelle avec dédain lorsqu'on tente de lui en parler.
Ce coté vulgaire et méprisant, Sumaru aime le porter pour ne pas que les gens s'attendent à trop de sa part. Mal à l'aise avec ses propres exploits et sa propre gentillesse, il se voit juste comme un adulte avec quelques dons de plus, et estime avoir une dette immense envers ses amis, et notamment Dirjil... Il aime cependant énormément sa solitude, sans pour autant être de mauvaise humeur lorsque l'on vient le déranger. Il a juste parfois besoin de se retrouver seul pour repenser à ce que ce monde était avant d'entrer dans la Révolution... Oh, il n'était pas juste. Le peuple n'était pas libre, les Mystiques étaient chassés et humiliés, mais le combat, la guerre et le sang n'étaient pas présents chaque jour... Le monde avait besoin d'être libéré. Il avait besoin que Nadag, Dirjil, lui même et tous les autres se battent pour lui, mais dès que cela serait fait... Plus jamais Sumaru n'utiliserait sa Psynergie pour se battre... Mais tant que la guerre durerait, il serait prêt à tout pour vaincre ses ennemis et protéger ce peuple.
Il fait partie des rares hommes de confiance de Dirjil, le chef de la Révolution. Avec six de leurs amis, et notamment Sartia, soeur de Sumaru et petite amie de Dirjil, ils étaient les premiers à s'être élevé contre l'Empire, et maintenant, voilà où cela les avait emmenés...
En rentrant dans la tente de commandement, où ses amis étaient encore en train de discourir sur la stratégie de la prochaine bataille, censée être la dernière, Sumaru leur adressa un bref sourire avant de retourner s'asseoir dans un coin isolé, de fermer les yeux et d'écouter ce qui se disait... C'était ce genre d'hommes. Le genre qui parlait peu, dans une discussion sérieuse, mais n'oubliait rien. Mais aussi le genre d'hommes qui savait se détendre pour fêter une victoire, chaleureux et ouvert à tous ses frères d'armes ou de pain la majorité du temps. Il ne se sentait... Juste pas à sa place, ici, sous cette tente, au dernier Crépuscule avant la Bataille décidant du sort d'Angara... Mais Dirjil avait besoin de lui. Bientôt, tout serait fini.
Et alors, Sumaru pourrait retourner à sa vie tranquille.
Histoire : Sumaru n'a pas nécessairement eu une vie passionante. Contrairement à Dirjil, il n'a rien vécu de traumatisant. Elevé par Nadag et sa mère avec sa soeur, il avait rapidement appris à manier la Psynergie tout en se dissimulant. Considéré par son père comme un prodige, il avait en particulier toujours réussi à ne pas être repéré par les Tuaparangs. C'est un soir, alors qu'il avait seize ans, qu'un homme en sang est arrivé chez eux... Il prétendait se nommer Dirjil, était armé seulement d'un arc et d'un couteau de chasse, et semblait avoir raté sa dernière traque... Les deux adolescents avaient rapidement sympathisé, et ils s'étaient mutuellement émulés jusqu'à devenir de très bons chasseurs. Mais rapidement, Dirjil s'était mis à avoir des rêves de grandeur... Sauver Angara, protéger son peuple... Sumaru l'avait suivi, simplement pour l'empêcher de mourir, au début, puis parce qu'il s'était lui aussi senti impliqué dans tout cela.
Leurs premiers camarades étaient plutôt hétéroclites... Un nain travaillant dans un cirque, un homme se prenant pour un oiseau la moitié du temps, une femme aux cheveux rouge en dépit du danger, juste parce que c'était "trop classe !"... Leurs débuts n'avaient pas été facile, mais Sumaru y pense toujours avec une certaine nostalgie.
Depuis... tout s'était emballé. Différents peuples s'étaient ralliés à leur cause, des contrées entières s'étaient soulevées, sous le charisme de Dirjil, et maintenant, la guerre allait finir... Tout ce qu'il aurait à faire, demain, c'était distraire Kiro pendant que son Frère tuerait Trief. Alors, la victoire serait remportée...
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Sumaru était en position... autour d'eux, les hommes en plein duel s'étaient instinctivement écartés... Face à Kiro, il ne pouvait empêcher des frissons de le traverser... La chevelure blonde coupée n'importe comment de... l'enfant qu'il devait affronter... Bien sur, en réalité, Kiro avait vingt cinq ans, mais... Il semblait si jeune... Son sourire semblait si franc, si chaleureux... Mais les faux qu'il tenait dans les mains semblaient aussi si réelles... Cet homme était un danger. Et c'était une bonne raison de l'éliminer...
Faisant surgir une petite colonne de pierre du sol, il prit appui dessus, la brisant au passage, pour se projeter sur son ennemi, qui para en croisant ses lames avant de glisser sur le coté, prévoyant déjà que la force de Sumaru le renverserait sinon. Ce dernier réagit promptement, reprenant rapidement sa garde pour attendre le déluge d'attaques typiques de son adversaire, qui n'arrivaient pas... Seulement ce sourire et ce regard malicieux... Les attaques continuèrent ainsi, sans que Kiro ne daigne faire le moindre geste offensif... Autour d'eux, les clameurs des combattants mourant ou tueurs s'élevaient sans cesse, en un flot continu et cauchemardesque, et Sumaru sentait sa résolution, à défaut de sa musculature, faillir... Le sourire de son adversaire était la seule chose qui parvenait à traverser ce maelstrom sensoriel, et lorsqu'enfin, il disparut et que des paroles sortirent de la bouche de Kiro, cela apparut comme une bénédiction à Sumaru... pour un court instant.
"Reviens quand tu seras prêt !"
Alors, le noir, et la chute...
Aime : La tranquilité, ses amis, la solitude, la Psynergie et les enfants.
Aime pas : Le sérieux en trop grande quantité, la guerre, le bruit.
Comment ai-je connu le forum ? : Longue Histoire... Que beaucoup connaissent déjà \o/ Pour simplifier, Minecraft.
Description Personnelle : Pour ceux qui n'me connaissent pas, François, ravi de vous rencontrer. Je suis actuellement en deuxième année de Prépa BCPST, mais aussi et surtout Roleplayer, que ce soit sur des forums (bien que j'ai un peu laissé de coté cette activité ces derniers temps...) ou FFXIV (sur lequel je passe... La majorité de mon temps libre, objectivement x) ).
A part ça, que dire de plus ? C'la suffit sans doute !