1 - Le mauvais jour...
< Oui bon voilà, je tiens à avoir ce carnet car je décrirai chaque secondes, chaque minute que j’ai passée avant ma mort. Oui bon bref…>>
‘’ Ah ! Criais-je.
-Rah t’en fais pas, c’est juste un de ces monstres qui vient toquer à la porte. Fit mon voisin.
-Justement, c’est eux qui me font le plus peur… Ils me filent une de ces frousses leur visage. Zombie des tréfonds à la mord-moi-le-nœud !
-Ah ah... J’aurais bien voulu rigoler plus longtemps, mais personnellement, on est un peut dans une situation délicate. Bien que nous ayons, que ce soit kevlar, veste tactique ou je ne saurais décrire quelles armes, ils sont bien plus coriaces que nous. Si ont veut s’en sortir c’est bien maintenant qu’il faut se bouger !’’
Et c’est à ce moment que je compris qu’écrire ne servait à rien. Donc, si vous lisez, ou entendez cette histoire, c’est que je dois être mort, ou en train de rôder dans le coin avec mes nouveaux amis. Bon, oui d’accord nous sommes en l’an 2039, le mois de Mai. Et ce n’est pas pour ça qu’on va en faire tout un fromage, enfin… Il se raconte juste à la radio et à la télé que si on voit des personnes en piteux état et le regard vide avec un souffle de tueur apeuré sortant de leur gueules il faut les tuer… Cela ce passait il y a un mois. Car c’est pas nous qui irons avec la tête sur les épaules. Surtout que c’est eux qui font peur et pas nous, ils ont peur de rien, je dis bien, de RIEN ! Qu’on soit armés jusqu’aux dents ou pas, ils nous sautent dessus. Moi j’appel pas ça des monstres, mais des zombies, enfin, après tout. Chacun les appellent comme ils veulent. Et depuis les infos et la radio, il y a un mois, eh bien disons que… Il y a des vagues. Non… Même des hordes de zombies à tous les recoins de rue ! Sérieusement ils croient pouvoir nous imposer de tuer des gens, surtout avec la naïveté des personnes d’aujourd’hui. Les pseudo-psychopathes deviennent bien recroquevillés dans leur chambre avec une barricade de fortune et des doses de Cyanure. Personnellement ça me dérange pas de sortir dehors en mode ninja et de tuer quelques de ces gros fils de… Ces gros suppôts de Satan. Attendez… Je crois apercevoir une lumière au loin :
‘’Eh ! Hérin, regarde là-bas ! Chuchotais-je.
- Hein ? Comment… Ah ! Une lumière dans cette maison. Elle me rappelle là où j’habitais avant que tout commence… Pouah… Un pur bonheur. Et aussi, Yneïl, il y a du mouvement là-bas, tu remarque, toi ? Fit Hérin, tranquillement.
-C’est censé annoncer quoi ? Quelque chose de bon ?
-Ah, ça je n’en sais rien mais je n’irais pas voir. Même si les personnes sont accueillantes et chaleureuses.
-Pff ! Juste pour un chemin éclairé vous ne voulez y aller… Si vous voulez, on y va, on verra c’est qui les plus chanceux. Fit une voix tapissée dans l’ombre de la pièce qui n’est éclairée que pars les reflets de la Lune, seule chose encore pur dans ce monde.
-De ? Mais… Qui êtes-vous ? S’écrièrent tous deux synchronisés.
-Je suis… Une banane armée d’une pelle !!
Et la fin de cette phrase se finit par deux coups de pelle. Deux coups, deux personnes assommées.
Pendant leurs sommeils obligé, Yleïn et Hérin ce font traînés dans un endroit perdu dans la forêt. Que ce soit des coups de feu accompagné de suppresseurs ou bien d’échange de signal muet, ils n’entendirent rien. Leurs têtes dans des sacs, leurs pieds liés par des cordes et mains ficelés, ils continuent d’être traînés. Et d’un temps aussi rapide que leur réveil fut humide, le frère et la sœur sursautèrent au même instant, crièrent la même chose, s’exprimèrent de la même voix :
‘’Jeunes gens ! Ce n’est… Pas… La fin ! Ce n’est que le commencement… !’’
2 – Retour au commencement
Après de longues durées de trajets, piqure par piqure, Hérin et Yleïn arrivèrent enfin à bon-port. Bien que cet endroit ne leurs plaît pas. C'est-à-dire, dans une salle obscurcie par la nuit noire et le manque de lumière…
Attend… Il manque un truc !
Je disait :
Le frère et la sœur, Hérin et Yleïn, étaient traînés à même le sol et étaient endormis, ficelés comme des saucissons l’un-à-l’autre. Et le convoi, mené par deux grand chevaux blanc crinière noire, bien entretenu, posture de mâle et cadence de pas vraisemblablement incohérente. Ces deux chevaux étaient montés par deux personnes. Ces deux personnes étaient imposantes, vêtus d’une couche de vêtements aussi épaisse qu’un bon gros jambonneau. Mais le problème c’est qu’on ne peut voir si c’est des vêtements, ou des couches ‘’d’armure’’. Après, je ne dirais pas la taille du convoi. Imaginez la taille de 3 bus scolaires, c’est juste ça. Mais il y a 3 bus scolaires remplis de personnes. Des survivants peut-être. Mais des survivants pas comme les autres alors. Eux, ils sont coordonnés. Ils vivent en clan avec un code, des lois. Vous en saurez plus tard… Cependant, durant le trajet, le convoi s’arrêta net au milieu d’un chemin complètement égaré au beau milieu de la forêt. Ceux étant dans les bus sortirent, et ceux en selle descendirent de leurs montures. Quelque minutes passèrent. Ils entrèrent dans un manoir, ou ce qui serait en tout cas une très imposante construction. Avant de rentrer une voix retentit de derrière la porte – Hérin s’était réveillé et malencontreusement pour lui, il était vêtu d’un sac à patate sur sa tête – cette voix dit <> et l’autre répondit :
‘’Il n’y a pas de code cette fois-ci. Dit-il en entrant tranquillement avec les deux corps traînant derrière lui.
- Mais que ce passe-t-il ? Pourquoi il y a deux survivants un mâle et une femelle que vous traîtez ainsi ? Fit le gardien.
- Nous sommes maintenant en code Rouge !
- Mais… Je… Que… Qui… Qui est-ce ?
- La prophétie… Les voix des Damnés… Et lui qui est déjà réveillé.
-De… Mais qu’est-ce qu’on as à faire ici ? Dit Hérin.’’
Ils ne répondirent pas, et un vide se fit dans sa tête quand il se rendormit. Mais même si il dormait, ils les entendaient, et se remémorais les phrases : « Ne les écoutes pas… Ce ne sont que des idioties… Retourne dans ta rage la plus dur et tout tous le monde ! Donne-nous de la joie ! » ces voix revenais, à chaque fois qu’elle se finissait. Elle prirent la plus grande partie de ses pensées, et le moment venu, il se mit a remuer l’air sans rien vouloir, il se réveilla. Il n’étais plus lui-même, il se força à regarder a sa gauche, à sa droite il ne voyait rien. Il regardit devant lui, et voyait son frère. Cadenassé à une chaine, il en as de la chance lui ! Puis après, un homme entras dans la pièce :
« Mais qu’il y en as de l’agitation ici ! Tu vas arrêter de te faire posséder toi… Comment on t’appel déjà… Hérin ? Et Yleïn, cria-t-il afin de la réveiller. Réveille-toi ! Tout d’abords… J’attends qu’elle se réveille, tu veux Hérin ? J’attends… Bien ! Yleïn, toi étant le tendre et bien-aimée sœur de Hérin, je vais te demander une faveur… Bon, je sais, tu ne peux pas parler, mais c’est fais exprès en fait. Cette atmosphère est censée vous rendre muet. Pour commencer. Bienvenue à la principale base des Frontaliers. Oui vous allez me dire ; mais pourquoi kidnapper des gentilhommes vivant en paix dans une ville infestée de monstres et blah blah bloow… Bon, oui nous sommes dans l’enceinte la mieux gardés et cachée des Frontaliers. Tribu indépendante au fait de la guerre entre les Nobles et les Rebelles. En fait, nous sommes un peux les terroriste dans les deux, car les formes bizarre qui ont envoyés les monstres sur cette planète ont échoué à leurs mission. Ils étaient censé les gardés, je sens que notre base aérienne est corrompue… Ils ont dût se faire pirater ou peut-être que… Mais oui ! Ils leurs faut une façon pour pouvoir quitter cette planète. Il y en as qu’un qui as pût réussir, bon, ce n’est pas tellement grave, on as les moins coriaces. Du coup, la phrase de notre tribu c’est : « La liberté et la vie histoire de préserver un monde de constructeur et de travailleur capable de se défendre efficacement ! » Je sais, cette phrase est concrètement incompréhensible, mais une fois entré dans les membres, vous comprendrez. Sinon… Oui, posséder… Prophéties… Pas assez de chose à expliquer, mais tellement de mots à dire… Bon… Je vous renvoi dans la salle ? Bon… Je vais vous connaître dans cette salle, donc il serait préférable d’y aller. C’est parti ! »
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|Nom : Hérin Nom : Yleïn
|Sexe : Mâle Sexe : Femelle
|Âge : 23 Âge : 21
|Taille : 183cm Taille : 175cm
|Parents :N/a Parents :N/a
|Crimes :N/a Crimes :N/a
|Sœur : Une Sœur :N/a
|Frère :N/a Frère : Un
|Cheveux : Brun Cheveux : Blond
|Corpulence : 75kg Corpulence : 43 kg
|Type : Caucasien Type : Latino
|Nation : Rebelle Nation : Noble
|Efficacité : Bûcheronnage. Efficacité : Silence. FIN DE TRANSMISSION…………………………
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Ahumm… On va commencer par vous renvoyer en lieu urbain. Mais bizarrement j’ai envie de vous enlever vos affaires… C’est partie !
<
‘’ Ah ! Criais-je.
-Rah t’en fais pas, c’est juste un de ces monstres qui vient toquer à la porte. Fit mon voisin.
-Justement, c’est eux qui me font le plus peur… Ils me filent une de ces frousses leur visage. Zombie des tréfonds à la mord-moi-le-nœud !
-Ah ah... J’aurais bien voulu rigoler plus longtemps, mais personnellement, on est un peut dans une situation délicate. Bien que nous ayons, que ce soit kevlar, veste tactique ou je ne saurais décrire quelles armes, ils sont bien plus coriaces que nous. Si ont veut s’en sortir c’est bien maintenant qu’il faut se bouger !’’
Et c’est à ce moment que je compris qu’écrire ne servait à rien. Donc, si vous lisez, ou entendez cette histoire, c’est que je dois être mort, ou en train de rôder dans le coin avec mes nouveaux amis. Bon, oui d’accord nous sommes en l’an 2039, le mois de Mai. Et ce n’est pas pour ça qu’on va en faire tout un fromage, enfin… Il se raconte juste à la radio et à la télé que si on voit des personnes en piteux état et le regard vide avec un souffle de tueur apeuré sortant de leur gueules il faut les tuer… Cela ce passait il y a un mois. Car c’est pas nous qui irons avec la tête sur les épaules. Surtout que c’est eux qui font peur et pas nous, ils ont peur de rien, je dis bien, de RIEN ! Qu’on soit armés jusqu’aux dents ou pas, ils nous sautent dessus. Moi j’appel pas ça des monstres, mais des zombies, enfin, après tout. Chacun les appellent comme ils veulent. Et depuis les infos et la radio, il y a un mois, eh bien disons que… Il y a des vagues. Non… Même des hordes de zombies à tous les recoins de rue ! Sérieusement ils croient pouvoir nous imposer de tuer des gens, surtout avec la naïveté des personnes d’aujourd’hui. Les pseudo-psychopathes deviennent bien recroquevillés dans leur chambre avec une barricade de fortune et des doses de Cyanure. Personnellement ça me dérange pas de sortir dehors en mode ninja et de tuer quelques de ces gros fils de… Ces gros suppôts de Satan. Attendez… Je crois apercevoir une lumière au loin :
‘’Eh ! Hérin, regarde là-bas ! Chuchotais-je.
- Hein ? Comment… Ah ! Une lumière dans cette maison. Elle me rappelle là où j’habitais avant que tout commence… Pouah… Un pur bonheur. Et aussi, Yneïl, il y a du mouvement là-bas, tu remarque, toi ? Fit Hérin, tranquillement.
-C’est censé annoncer quoi ? Quelque chose de bon ?
-Ah, ça je n’en sais rien mais je n’irais pas voir. Même si les personnes sont accueillantes et chaleureuses.
-Pff ! Juste pour un chemin éclairé vous ne voulez y aller… Si vous voulez, on y va, on verra c’est qui les plus chanceux. Fit une voix tapissée dans l’ombre de la pièce qui n’est éclairée que pars les reflets de la Lune, seule chose encore pur dans ce monde.
-De ? Mais… Qui êtes-vous ? S’écrièrent tous deux synchronisés.
-Je suis… Une banane armée d’une pelle !!
Et la fin de cette phrase se finit par deux coups de pelle. Deux coups, deux personnes assommées.
Pendant leurs sommeils obligé, Yleïn et Hérin ce font traînés dans un endroit perdu dans la forêt. Que ce soit des coups de feu accompagné de suppresseurs ou bien d’échange de signal muet, ils n’entendirent rien. Leurs têtes dans des sacs, leurs pieds liés par des cordes et mains ficelés, ils continuent d’être traînés. Et d’un temps aussi rapide que leur réveil fut humide, le frère et la sœur sursautèrent au même instant, crièrent la même chose, s’exprimèrent de la même voix :
‘’Jeunes gens ! Ce n’est… Pas… La fin ! Ce n’est que le commencement… !’’
2 – Retour au commencement
Après de longues durées de trajets, piqure par piqure, Hérin et Yleïn arrivèrent enfin à bon-port. Bien que cet endroit ne leurs plaît pas. C'est-à-dire, dans une salle obscurcie par la nuit noire et le manque de lumière…
Attend… Il manque un truc !
Je disait :
Le frère et la sœur, Hérin et Yleïn, étaient traînés à même le sol et étaient endormis, ficelés comme des saucissons l’un-à-l’autre. Et le convoi, mené par deux grand chevaux blanc crinière noire, bien entretenu, posture de mâle et cadence de pas vraisemblablement incohérente. Ces deux chevaux étaient montés par deux personnes. Ces deux personnes étaient imposantes, vêtus d’une couche de vêtements aussi épaisse qu’un bon gros jambonneau. Mais le problème c’est qu’on ne peut voir si c’est des vêtements, ou des couches ‘’d’armure’’. Après, je ne dirais pas la taille du convoi. Imaginez la taille de 3 bus scolaires, c’est juste ça. Mais il y a 3 bus scolaires remplis de personnes. Des survivants peut-être. Mais des survivants pas comme les autres alors. Eux, ils sont coordonnés. Ils vivent en clan avec un code, des lois. Vous en saurez plus tard… Cependant, durant le trajet, le convoi s’arrêta net au milieu d’un chemin complètement égaré au beau milieu de la forêt. Ceux étant dans les bus sortirent, et ceux en selle descendirent de leurs montures. Quelque minutes passèrent. Ils entrèrent dans un manoir, ou ce qui serait en tout cas une très imposante construction. Avant de rentrer une voix retentit de derrière la porte – Hérin s’était réveillé et malencontreusement pour lui, il était vêtu d’un sac à patate sur sa tête – cette voix dit <
‘’Il n’y a pas de code cette fois-ci. Dit-il en entrant tranquillement avec les deux corps traînant derrière lui.
- Mais que ce passe-t-il ? Pourquoi il y a deux survivants un mâle et une femelle que vous traîtez ainsi ? Fit le gardien.
- Nous sommes maintenant en code Rouge !
- Mais… Je… Que… Qui… Qui est-ce ?
- La prophétie… Les voix des Damnés… Et lui qui est déjà réveillé.
-De… Mais qu’est-ce qu’on as à faire ici ? Dit Hérin.’’
Ils ne répondirent pas, et un vide se fit dans sa tête quand il se rendormit. Mais même si il dormait, ils les entendaient, et se remémorais les phrases : « Ne les écoutes pas… Ce ne sont que des idioties… Retourne dans ta rage la plus dur et tout tous le monde ! Donne-nous de la joie ! » ces voix revenais, à chaque fois qu’elle se finissait. Elle prirent la plus grande partie de ses pensées, et le moment venu, il se mit a remuer l’air sans rien vouloir, il se réveilla. Il n’étais plus lui-même, il se força à regarder a sa gauche, à sa droite il ne voyait rien. Il regardit devant lui, et voyait son frère. Cadenassé à une chaine, il en as de la chance lui ! Puis après, un homme entras dans la pièce :
« Mais qu’il y en as de l’agitation ici ! Tu vas arrêter de te faire posséder toi… Comment on t’appel déjà… Hérin ? Et Yleïn, cria-t-il afin de la réveiller. Réveille-toi ! Tout d’abords… J’attends qu’elle se réveille, tu veux Hérin ? J’attends… Bien ! Yleïn, toi étant le tendre et bien-aimée sœur de Hérin, je vais te demander une faveur… Bon, je sais, tu ne peux pas parler, mais c’est fais exprès en fait. Cette atmosphère est censée vous rendre muet. Pour commencer. Bienvenue à la principale base des Frontaliers. Oui vous allez me dire ; mais pourquoi kidnapper des gentilhommes vivant en paix dans une ville infestée de monstres et blah blah bloow… Bon, oui nous sommes dans l’enceinte la mieux gardés et cachée des Frontaliers. Tribu indépendante au fait de la guerre entre les Nobles et les Rebelles. En fait, nous sommes un peux les terroriste dans les deux, car les formes bizarre qui ont envoyés les monstres sur cette planète ont échoué à leurs mission. Ils étaient censé les gardés, je sens que notre base aérienne est corrompue… Ils ont dût se faire pirater ou peut-être que… Mais oui ! Ils leurs faut une façon pour pouvoir quitter cette planète. Il y en as qu’un qui as pût réussir, bon, ce n’est pas tellement grave, on as les moins coriaces. Du coup, la phrase de notre tribu c’est : « La liberté et la vie histoire de préserver un monde de constructeur et de travailleur capable de se défendre efficacement ! » Je sais, cette phrase est concrètement incompréhensible, mais une fois entré dans les membres, vous comprendrez. Sinon… Oui, posséder… Prophéties… Pas assez de chose à expliquer, mais tellement de mots à dire… Bon… Je vous renvoi dans la salle ? Bon… Je vais vous connaître dans cette salle, donc il serait préférable d’y aller. C’est parti ! »
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|Nom : Hérin Nom : Yleïn
|Sexe : Mâle Sexe : Femelle
|Âge : 23 Âge : 21
|Taille : 183cm Taille : 175cm
|Parents :N/a Parents :N/a
|Crimes :N/a Crimes :N/a
|Sœur : Une Sœur :N/a
|Frère :N/a Frère : Un
|Cheveux : Brun Cheveux : Blond
|Corpulence : 75kg Corpulence : 43 kg
|Type : Caucasien Type : Latino
|Nation : Rebelle Nation : Noble
|Efficacité : Bûcheronnage. Efficacité : Silence. FIN DE TRANSMISSION…………………………
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Ahumm… On va commencer par vous renvoyer en lieu urbain. Mais bizarrement j’ai envie de vous enlever vos affaires… C’est partie !