Le Tisseur de Givre
Information
Prénom:
Aryn
Groupe:
Autres
Camp:
Neutre
Autres comptes
Yume, Shikkan, Flandre ScarletPhysique
Dans le ciel d'hiver, un immense dragon blanc comme la neige c'était élancer dans le ciel. Cette magnifique créature fut surnommer "Le tisseur de givre" car sous ses immenses battement d'ailes, des flocons et de la grêle s’abattait depuis le ciel, sur la terre. Il était grand, magnifique, majestueux et gracieux. Presque aussi habile qu'un oiseau dans les airs. Sa grandeur dépassait de loin celle de ces congénères des glaciers les plus mortel. Mesurant 25 mètres de la tête, à l’extrémité de sa longue queue. Il était de loin le plus imposant de tous. Cette dernière était terminée, par trois piques, acérées et aussi tranchant que des sabres, ces griffes n’avait cependant rien a leurs envier, longues et aussi solides comme de l’acier, celles-ci représentait des armes aussi efficaces que des épées. Son corps, dont les écailles avait la couleur de la glace la plus pure, mettait en valeur le bleu profond de ses yeux glacials et clair comme un ciel d'hiver. Le long de son dos, se trouvait des écailles plus épaisse dotn le poids est inconnus, offrant une sorte de protection au dragon de l'hiver, ces dernières bien plus épaisse avait une couleur grises et sale, proche de la couleur de l'acier et renforcer par la dureté que leurs offraient le froid. Le visage du dragon était long et fin, parssemer de corne qui sortait des extrémité de son visage vers l'arrière. Le museau se terminant par une pointe était si long que sa bouche en paraissait effrayante et représentait par leur apparence le célèbre jeu de mot : Morsure du froid car ces crocs était aussi froid que de la glace et son souffle assez puissant pour invoquer le froid et la solitude.Mental
Aryn, dans les contes des elfes des glaces, était décrit comme étant un dragon froid et solitaire au cœur de pierre. Un dragon qui pourtant était décrit car c'était ce que son apparence laissait penser. Mais seule la Reine des elfes qui parvenue à toucher son cœur sut quel était les véritables sentiment du dragon. La valeureuse créature était fidèle et éternellement en peine, sa tristesse et sa solitude faisant régner un froid éternel. Ayant des valeurs il offrit l'immortalité au peule de celle qui fit fondre son cœur de givre. Il leur offrit le pouvoir de la glace permettant ainsi à ces dernières de survivre à la froideur du décor enneiger qui c'était installer depuis son arriver. Fidèle à ce pacte, le dragon tenus sa promesse durant un millénaire. Depuis ce jour, les contes elfiques changèrent et le dragon était considérer comme bienveillant, protecteur et fidèle. Du moins... tant que le pacte était maintenu. Mais quand celui-ci était rompus... la créature avide de vengeance était capable de cruauté et de la plus grande des colères face au vices le plus répugnant qui pouvait exister à ces yeux : La trahison. Mais c'est grâce à sa clémence que la reine des elfes put vivre si longtemps, car le dragon n'avait de pitier que pour les plus valeureux et ceux dont le cœur était aussi pur que la glace.Histoire
Bien des générations avant que les premiers humains ne franchissent les montagnes de la muraille venteuse, les dragons régnaient sur le monde. Ils étaient les maîtres des cieux de Fiara, royaume magique et inconnu ou Ténèbres et Lumière se déchiraient. Tous étaient inégalés dans leur puissance débridée, leur liberté intacte. C’est à cette époque que naquit un dragon blanc. Le dragon le plus puissant que l’on ait jamais vu dans le monde de Fiara. Il s’élança vers le ciel et sous ses ailes la terre gela. Ses écailles étaient du blanc le plus pur, ses yeux clairs et froids comme un ciel d’hiver et son souffle avait la froideur des glaces éternelles. Nul autre dragon n’avait sa taille et sa puissance car il était l’essence même de l’hiver. Ses frères et sœurs fuyaient sa présence et autour de lui, le monde se couvrait d’une épaisse couche de glace. Il fut bientôt connu dans tout Fiara sous le nom d’Aryn, le tisseur de givre, nom qui faisait trembler plus d'un homme et donner à cette créature par le peuple des elfes.
Mais à mesure que sa puissance grandissait, le gouffre de la solitude lui dévorait l’âme, un gouffre sans fin. Nul être vivant ne pouvait survivre en sa présence et le froid et la mort étaient ses seuls compagnons. Il se mit à parcourir le monde à la recherche d’une présence amie. Tous le fuyaient et plus il cherchait, plus il semait la désolation. S’il poursuivait sa quête, Fiara toute entière finirait sous la glace, figée dans un perpétuel hiver, mais il ne voulait pas y mettre fin. La créature poursuivait sens cesses sa quête surplombant tout Fiara, à la recherche d'un remède contre sa solitude éternele.
Chaque année qui passait, à chaque battement de ses ailes, un peu plus de Fiara était perdue dans la froideur des glaces éternel. Finalement, sa quête le mena jusqu’aux limites d’une immense forêt au sud de Fiara, connue sous son nom elfique de Finon Mir. Comme le givre, signe de son arrivée, couvrait les plus hautes branches des arbres, et que le vent devenait d'un froid glacial, les elfes, une race très jeune, cherchèrent le moyen d’empêcher le tisseur de givre de détruire leur domaine par son pouvoir de désolation qu'était l'hiver. Ignorant tout de la quête d’Aryn et certains qu’aucun d’entre eux ne pouvait égaler sa puissance, ils en appelèrent à leurs dieux pour en obtenir conseil. Les dieux, pourtant, restèrent silencieux, ne laissant pas d’autre choix aux elfes que de fuir. Quand les premiers flocons de neige commencèrent à tomber entre les fondaisons de la forteresse elfiques qui était cacher au coeur de la forêt, les elfes entamèrent leur exil vers le sud. Seule Cerwen, qui régnait avec quatre autres sur le peuple elfe, osa se précipiter sur les étendues gelées à la rencontre du dragon.
Le froid lui transperçait les os et autour d’elle il n’y avait que glace et mort aussi loin que porte le regard. Plus elle approchait du tisseur de givre, plus le froid mordait sa chair et s'emparait peux à peux de ses forces. Bientôt, elle sentit sa conscience fléchir. Pour ne pas sombrer dans un sommeil mortel, elle se mit à chanter. Elle chanta l’espoir, la chaleur et la douceur, comme bien des générations l’avaient fait avant elle autour des feux de camps à Finon Mir, ville elfique dont elle est reine qui sombrait peux à peux sous la neige.
Entendant son chant de loin, Aryn descendit du ciel pour en connaître l’origine. Il vit la reine elfe agenouillée dans la neige et bien qu’elle soit proche de la mort, son chant restait fort et clair, unique rempart contre le froid qui l’engourdissait. Le dragon se posa et pencha la tête, jamais il n’avait vu telle beauté. Dès qu’elle le vit, la reine elfe s’adressa au dragon, appeuré et désamparé mais une lueur de de courage malgré la bête qui se dressait devant elle. La reine elfe plongeais son regard dans les yeux froid de la créature solitaire.
«Ô puissant dragon, écoute-moi ! Écoute-moi, émissaire du froid et porteur de mort ! Ta présence tue toute vie et plonge le monde dans un éternel hiver. Bientôt la forêt qui nous abrite sera transformée en glace sous le coup de tes puissantes ailes et mon peuple va périr. Que veux-tu ? Qu’est-ce qui peut détourner ta course et sauver mon peuple ? »
Aryn dressa la tête, son regard de glace perçant le cœur de Cenwen comme une dague. Tendant ses ailes dans toutes leurs hauteur, le dragon de l'hiver gémit d'un air féroce et approcha son visage qui laissait apparaitre ses dents aiguiser près de la reine.
«Saches, enfant de la forêt que je cherche depuis le commencement de ma vie, un égal, un ami. Je sais la souffrance et la douleur que mes voyages font peser sur ce monde, mais ton courage m’a ouvert les yeux – détruire les autres ne mettra pas fin à mon fardeau. Je vais retourner chez moi et attendre, attendre dans les montagnes solitaires, attendre la fin des temps. Ton peuple vivra mais il y a une chose que je demande. Tu es la première et la seule à t’être approchée de moi et ton chant a touché mon cœur. Accompagne-moi et chante ta douce chanson pour nous et les tiens seront épargnés ! Je n'ai qu'une parole, rejoint-moi... et j'accorderais à ton peuple l'immortalité fasse au plus puissant des hivers qui puisse éxister»
Cenwen se redressa, et après une courte pause, elle s’adressa au dragon.
«Je t’appartiens, Tisseur de givre. Emmène-moi au nord et je réchaufferai nos cœurs avec l’espoir aussi longtemps que je vivrai. Mais épargne mon peuple ! »
À peine avait-elle prononcé ces mots que le dragon l’enleva dans les airs, l'emportant dans son entre entre ses griffes, là où plus personne ne les reviraient.
« Qu’il en soit ainsi ! Si ton peuple est aussi brave que toi, vous méritez bien de vivre. S’il advient que les tiens aient des ennuis, qu’ils m’appellent et je mettrai mon pouvoir à leur service. Cela fera partie de notre pacte, comme je prends, je donne. Le froid sera sans pouvoir sur eux et le pouvoir de la glace sera leur tant qu’ils conserveront ton souvenir. »
Ainsi parla le dragon de l’hiver avant de repartir vers le nord, vers les montagnes désolées au-delà des pics de Grimwarg, pics qui était réputer pour leurs grandes avalanches et le froid intense qui y régnait à leurs sommets. Ils s’y installèrent et tandis que Cenwen chantait, le dragon créa un manteau de glace qui les protégerait tout deux du monde et protégerait le monde de son pouvoir jusqu’à la fin des temps.
Seul le glacier qu’ils appellent Tisseur de givre rappelle au elfe du froid le pacte passé entre le peuple elfe et le plus puissant des dragons de Fiara. Les nains et les humains racontent des histoires où l’on aurait entendu le chant de Cenwen, là-bas dans la désolation glacée du nord-ouest. Seuls les enfants de Cenwen et d’Aryn savent que le dragon de l’hiver est toujours vivant et leur donne son pouvoir, tandis qu’il écoute les chants elfiques au plus profond des glaces.
Mais hélas, le pacte fut briser. Le dragon se réveilla en fureur, voyant que la reine avait disparut. Dans sa colère et sa fureur il s’envolât dans les cieux, cherchant la reine partout en veint, ses recherchent ne le conduisire finalement que sur le retour de ses traces, un retour où le Royaume de Fiara, sous sa colère fut entièrement figer sous une fine couche de neige et de glace. Ainsi, la bête pourtant persuader que la Reine qui chantait la douce mélodie qui le réchauffait tant était encore vivante, il quitta le Royaume de Fiara, surplombant des montagnes enneiger, volant haut dans le ciel et cherchant celle qui avait à ses yeux la plus belle voix du monde.