Le soleil commença à se coucher très lentement sur cette avenue, vraiment très lentement, un peu comme si même le soleil n'arrivait pas à trouver le sommeil en ces lieux. Un phénomène météorologique assez étrange et surtout un lieu assez mal choisi pour y placer un hôtel à quelques mètres de là.
Le silence fut assez vite interrompu par le rugissement assez distinct d'une moto qui commençait à perdre de la vitesse... c'était celle de Grey, apparemment en manque de lait (Oui, ça marche au lait). Grey s'arrêta sur le côté en soupirant légèrement tout en fixant le soleil. Il savait qu'il allait devoir marchander auprès de quelqu'un pour qu'il lui fournisse un peu de ressources alimentaires pour re-partir, chose assez ardu vu son apparence assez inquiétante au crépuscule, le moment où son corps est le plus sombre dû au manque d'éclairage solaire.
Il sortit son bloc-note puis transcrit à l'intérieure les environs ainsi que les prochaines expérimentations à appliquer, cet endroit était très intéressant vu qu'il pouvait dissuader l'aubergiste de partir de gré ou de force, chose aisé vu le coin reculé où il était installé. Il finit ses derniers coups de crayon puis rangea son bloc-note dans son manteau sans fond pour vérifier l'heure.
- 18H21... Il serait peut-être temps d'arrêter pour aujourd'hui, cet hôtel m'a l'air d'être le meilleur endroit pour s'arrêter. Espérons juste qu'il y a des ressources et qu'il soit déserté.
~Et ça ferait une bonne base pour étendre mon prochain repère.~ Il prit sa moto par les poignées puis la fit rouler en direction de l'hôtel.
...Ah bon voila j'y suis...Voyons voir s'il n'y a pas un...PONEY...Dans le coin.
Redressant son képi sur sa tête, le Général Pignouf, après de nombreux jours de marche, était arrivé au Royaume Champignon. Il avait réussi à survivre à l'assaut lancé dans le Neither, et il devait s'estimer heureux d'être encore en vie. Pendant ces nombreux jours de marches, il n'avait croisé rien ni personne en tant que personnage de NW. Ils semblaient tous avoir disparu ou désertés. Pignouf était-il le dernier survivant sur Terre ? Et une météorite était-elle tombé sans qu'il ne soit au courant ? S'il était à présent tout seul...Cool ! Cela voulait dire qu'il allait pouvoir dominer le monde. Pignouf se mit à courir et leva le nez pour observer le nom de la rue vers laquelle il s'avançait. « 5 Avenue de l'Insomniaque ». Réfléchissant brièvement, le Maskass réalisa qu'il n'avait pas dormi depuis un long moment. Mais autre élément plus important, son QG se tenait dans les environs, et une visite improvisée serait une bonne idée pour s'équiper en arme et tout ce qu'il faut. Pignouf marcha encore quelques instants jusqu'à tomber devant un hotel. La tentation fut irrésistible. Le Maksass fonça à l'intérieur du batiment, dégainant son canon, et le plaçant en face du champignon qui gérait l'accueil. D'autres personnes étaient présentes dans la pièce, dont Grey mais qu'il ne remarqua pas, et Pignouf se mit à pester.
Okay ! Fini de rire ! Ceci est un holdup. Le champignon, tu me files ce que tu as dans ta caisse...Et tu me donnes une clé pour une chambre ! TOUT DE SUITE, J'DÉCONNE PAS !
Agitant son flingue dans tout les sens, Pignouf essayait d'impressionner le tenant de l'hotel. Mais la scène, avait sans doute un côté comique, sachant que l'hôtelier ne voyait que le sommet du képi du Maskass, par delà son comptoir.
Grey ayant finit de garer sa moto et de faire en sorte que personne ne la vole grâce à un procédé astucieux, il entra dans l'auberge puis constata que celle-ci tenait encore debout. Chose étonnante vu la dangerosité ambiante de NW ces dernières années... Mais bon, cela l'arrangeait donc ce n'était pas plus mal comme ça dans un sens.
Il fit signe à l'aubergiste, lui disant qu'il préférais s'asseoir un moment dans le hall pour réfléchir avant de marchander. Grey s'était habitué à ce petit rituel qui pouvait sembler un brin superflu lui était nécessaire afin de trouver le meilleur moyen de procéder... Enfin, indispensable jusqu'à ce que ce malheureux Pignouf débarque. Non mais franchement, un général qui braque un misérable hôtel ? C'est plutôt lui qui devrait prendre exemple sur Grey.
Malgré la haine qu'éprouvait Grey envers Pignouf, il ne décida pas de s'attaquer à lui tout de suite. Grey se demandait plutôt si Pignouf allait le reconnaître vu le temps qu'il s'est écoulé depuis leur dernière rencontre, celui-ci serait peut-être assez idiot pour avoir oublié ça.
Au niveau de l'aubergiste, celui-ci entendit la voix de Pignouf en prenant un air intrigué, il semblait chercher d'où venait cette voix étant donné qu'il ne voyait pas Pignouf sur le coup. Pendant ce temps, Grey sortit une malette de son manteau et fit quelques vérifications à l'intérieure.
Hmmh... Vous savez, je ne pense pas que vous allez gagner grand chose en braquant cet hôtel...
Leon Powalski marcha dans l'avenue de l'insomniaque suivis de dix maskass qui avaient leur arme braqué sur lui. Il était vêtu d'une tenue de prisonnier et traînait de force un boulet qui était relie à son pied à l'aide d'une chaîne. Ces mains quant à elles, elles étaient liés dans son dos. Hélas, pour prisonnier exceptionnel, matériel exceptionnel, les liens du caméléon était de l'acier extrêmement solide. Le poids qu'il traînait quant à lui était si lourd que le moindre pas était un véritable calvaire. Se déplacer était si fatiguant que l'assassin avait l'impression d'être un centenaire dans une maison de retraite. Cependant, ce qui embattait le plus le caméléon était le collier explosif attaché à son cou qui pouvait explosé à tout moment, a la volonté de ces utilisateurs. Il ne suffisait que d'un simple mouvement d'index sur une touche, et tout ce qu'il était partira à jamais dans un autre monde.
~Je suis exactement dans la même situation qu'un retraité... Rien que de faire un pas me demande beaucoup d'effort et ma vie ne tient plus qu'a un fil !~
***
Lecteur, vous vous demandez comment un assassin si puissant à pu se retrouver dans l'avenue de l'insomniaque complètement exténuer, vêtu d'une tenue de prisonnier et possédant sur lui toutes sortes de matériel contraignant qui lui enlève un peu de sa liberté ? Il s'est attaqué à Pignouf. Oui c'est bien lui, le général pignouf chef d'une puissante armée de Maskass. Leon Powalski avait accepté un travail de la part d'un admirateur de Pignouf qui consistait à voler le couvre chef du général et de lui rapporté. C'était un travail très dangereux, mais en revanche très bien payés. L'assassin avait alors accepter de voler le symbole d'une des armées les plus puissantes de ce monde.
Leon Powalski s'était rendu dans le QG du général Pignouf, afin de obtenir des informations intéressantes sur la localisation de celui-ci. Hélas, non seulement il n'avait rien trouvé au bout d'une journée entière d'espionnage mais en plus le soir même il avait commis une erreur qui lui avait coûter toute sa discrétion et lui avait mis tout le camp militaire à dos. Alors qu'il faisait ces besoins dans les toilettes de l'armée, un soldat voulant évacuer lui aussi les déchets de son corps l'avait trouvé à l'intérieur de celle-ci. Le maskass reconnut immédiatement l’idendité de la personne face à lui. Sans perdre une seconde, il s'empressa de appuyer sur son talkie walkie et de déclencher le niveau d'alerte maximum. Hélas pour lui, ce fût son dernier geste...
Une alarme retentis-sa dans tout le campement militaire, et toutes les unités présente dans ce lieu y compris les mécaniens et les médecins avaient eu pour ordre de encercler les toilettes et de arrêter Leon Powalski coûte que coûte. Le caméléon décida de fuir la QG du général Pignouf conscient que la situation était subitement devenu beaucoup plus dangereuse pour lui. Hélas, l'armée fort tenace décida de lancer toutes les unités du campement militaire à sa poursuite. Une térrible course-poursuite avait eu alors lieu entre l'assassin et les maskass. Au bout de sept jour, Leon Powalski fût vaincu par les "puissant" soldat de Pignouf. Hélas cela avait mobilisé toutes les ressources du QG de Pignouf et celui-ci était rester sans défense l'espace de une semaine. Les ennemies du maskass blanc ainsi que certain brigands et voleur avaient eu le champ libre pour pilier et dévaster sa base. Le QG de Pignouf inspirait autrefois le respect et la terreur, dorénavant compte tenu qu'elle ressemblait autant qu'a un bidonville il ne pouvait inspirer que la pitier. La capture de Leon Powalski avait été très coûteuse pour le général.
Ce fût ainsi, que le puissant assassin Léon Powalski s'était retrouvé prisonnier l'espace de quelques semaines dans ce qui restait des prisons du QG, avant d'être livré ce jour même devant le général Pignouf pour répondre de son crime, utiliser les sanitaires sans leur consentement.
***
Leon, face à l'ouverture de l'Hotel "chez-vous" il hésita quelque instant à ouvrir la porte, conscient qu'il n'allait peut être pas survivre au courroux du général Pignouf. Le chef des dix maskass lui donna un violent coup de crosse en visant son bas du dos tout en rétorquant :
Ouvre cette porte immédiatement, saleter de lézard !
Leon Powalski ouvra la porte, mais a peine qu'il avait mis un pied dans l'hotel qu'il reçût un autre coup de crosse dans le bas du dos. Le caméléon s'empressa de marcher rapidement vers le général Pignouf afin d'eviter de se faire frapper une troisième fois. Sa jambe qui trainait le poids souffrait tellement qu'il préférait éviter d'avoir la même douleur à son bas du dos dans la mesure du possible. Le commandant appercevit son général en train de menacer pitoyablement un simple hôtel sans même intimider l'hôtelier. Lui qui le croyait si fort, il était en cette instant même bien descendu dans son estime. Leon Powalski avait encore plus honte d'avoir été capturé par une armée aussi pitoyable.
Okay ! Fini de rire ! Ceci est un holdup. Le champignon, tu me files ce que tu as dans ta caisse...Et tu me donnes une clé pour une chambre ! TOUT DE SUITE, J'DÉCONNE PAS !
Un étrange maskass aussi grand qu'un adulte humain, au teint obscure et blanc là ou les rayons de la lumière se reflétaient sur son corps annonça :
-Hmmh... Vous savez, je ne pense pas que vous allez gagner grand chose en braquant cet hôtel...
Le caméléon dévisagea quelques instant le maskass.
~J'imagine que ca doit être le garde du corps de Pignouf, s'il y a bien une personne sur qui je dois gardé l'oeil, c'est bien lui !~
Pour sauver l'honneur de son général et le sortir de cette situation pitoyable, le commandant descendit l’hôtelier à l'aide de son fusil d'assault.
A quoi bon demander général ? Servez vous ! Annonça t-il avec un ton joyeux avant de poursuivre : J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne j'ai capturé le très dangereux criminel Leon Powalski qui à utiliser nos sanitaires sans notre consentement ! Annonça-t il tout en s'amusant à lui tirer les joues. Vous pouvez lui dire ou faire ce que vous lui voulez, il fera rien. Un collier explosif est relié à son cou et il à conscience que s'il se maitrise pas, sa tête explosera. Je ne vous cache pas qu'ont s'est amusé à lui cracher dessus et à le faire rouler dans la boue mais bref, passons...
Leon Powalski fou de rage, donna un violent coup de boule dans la tête du commandant suite à cette humiliation avant de dire froidement :
Je te promet, pitoyable vermine que si tu n'aurais pas placés ce collier explosif autour de mon cou, je t'aurais étranglés avec ma langue depuis longtemps !
Le commandant recula terrifier par le comportement avant de sortir une cravache et de dire :
S'il se montre quelque peu... Colérique... Utilisez ceci pour le calmer, il connait bien mais bref... Passons a la mauvaise nouvelle.... Le commandant trembla aussitôt de peur avant de annoncer en bafouillant : C'est que... Que.. Ke-ke-ke-ki-ki... Le commandant respira lentement trois secondes pour reprendre son calme, avant de dire sur un ton presque normal, juste légèrement modifié par la peur. Le capturé à mobiliser toute notre armée et nos ressources et ainsi euh, le QG étaient vide pendant euh... 1 semaine euh non juste euh 1 jour et... Quand ont est revenu au QG bah euh... Y'avait plus rien et tout était pété ! Je... Je sais pas ce qui s'est passer, j'ai bien fermer les portes à clé et tout... Normalement personne aurait du rentré... Le commandant tendit aussitôt sa cravache à son général dans l'espoir de obtenir son pardon. Pour vous consolez bah je... Je vous donne ma cravache... Si vous voulez l'utilisez sur quelqu'un assurez vous qu'il ait la peau nu car sa claque plus et surtout, toujours de haut en bas le mouvement... Jamais le contraire car sinon ca fais rien du tout... Vous voulez peut-être que je vous fasse une démonstration sur ce pitoyable lézard, monsieur ? Demanda le commandant, en esperant avoir detourner l'attention du général avec un nouveaux jeux.
Une brèche apparu pas très loin de l'hôtel. C'était Wolf qui sortait du monde parallèle. Maintenant, c'était sûr que c'était fini pour la pièce. Il regarda aux alentours pour voir où il était atterri. En regardant de manière général et comme il connaissait le monde de Nintendo World comme Fox, on dirait qu'il n'était pas à Cornéria mais dans le Royaume Champignon où une blonde avec la cervelle contenant de l'air n'arrêtait pas de se faire kidnapper. Mais bon, au moins, il n'avait pas cette mission heureusement. Wolf activa son microphone et tenta de communiquer avec le Général Pepper.
-Général ? Général !
Aucun signal sur le microphone. Peut-être que c'était trop tard. Wolf commença à stresser de peur que toute la ville de Cornéria s'en prenne à lui surtout qu'il remplaçait le renard. Le loup décida de se reposer. Comme il connaissait cet endroit, il marcha en direction du l'hôtel la plus proche c'est-à-dire "Chez Vous". En tirant la poignée, il entendait des voix qui paraissaient suspectes. On parlait de QG, d'un objet pour calmer, une grande armée pour dompter. On dirait qu'un groupe militaire était venu dans cet hôtel. Wolf laissa la porte entrouverte sans bruit pour voir de plus près ce complot. Le loup écarquilla ses yeux. Il reconnut son ami Léon Powalski qui était prisonnier de ce groupe. Mais que faisait-il ici ? En tout cas, il fallait le sauver. Le loup défonça la porte à coup de pied et pointait son Nintendoscope sur le groupe.
-Pas un geste ! Le premier qui bouge, je le bute ! Léon, ça va ?!
Il regarda uniquement le caméléon prisonnier mais il n'avait pas encore vu ceux qui lui ont enlevé. Wolf jeta un coup d'oeil sur ses ennemis mais qui étaient en fait plus petits que Léon sauf un qui était à peu près de la même taille. Wolf se mettait à pouffer de rire par la situation.
-OUAF HA HA HA HA ! LEON ! Comment t'as fait pour te faire enlever par des nains de jardin ? Dire que tu brilles dans la discrétion. Ca a pas l'air d'être le cas. Nan sérieux, bande de gnomes. Je vous conseille de relâcher mon ami si vous voulez pas que j'tire.
*TIN,TIN,TIIIIN...VOUS AVEZ OBTENU UNE "CRAVACHE" ! *
Pignouf n'obtenu aucune réponse de la part de l'hôtelier, et le Général commença alors à perdre patience, tapant son pied contre le plancher. Une voix derrière lui, lui siffla qu'il n'obtiendrait rien de la sorte. Lorsque Pignouf se retourna pour l'observer, il eut comme un déclic...avant de sursauter. Grey...C'était lui ? Pignouf devait se méfier. Il redressa une nouvelle fois son fameux Képi sur sa tête, se méfiant de ce qu'il allait sortir de sa valise. Quant est-ce que c'était déjà la dernière fois qu'il l'avait vu ? Et puis surtout...Pouvait-il lui faire confiance ?
En réalité, Pignouf n'allait peut être pas tarder à obtenir des réponses à sa question. Un tir retentit dans l'hôtel, faisant tomber le Toad au sol, sous une marre de sang qui se forma sous son crâne. Pignouf était assez fier de retrouver ses soldats Maskass. Ceux-ci n'étaient pas venu seuls, puisqu'ils détenaient avec eux ce Caméléon dont il avait entendu parler durant son voyage du Neither jusqu'au Royaume Champignon. Pignouf lui sauta dessus, le plaquant au sol. Il était fou de rage, avec ce qu'il venait d'apprendre.
Alors écoute moi bien, le reptile vert. Tu ne feras absolument rien. RIEN, RIEN, RIEN ! Manque moi de respect, et je te ferai sauter la cervelle...
Par contre, si tu me trouves un Poney, je veux bien te libérer.
...
Nan, oublie. ALORS COMPRIS ? TU VAS PAYER POUR LE QG, ET TE SOUMETTRE A MES ORDRES, ET CE, DES MAINTEN...
Pignouf avait intérêt à trouver rapidement un nouveau QG. Le Coffre à Jouet était jusqu'ici une cachette idéale, et discrète, où peu d'humains osaient s'aventurer. Mais à présent, lui et ses troupes, devraient errer dans les rues de Toadville et des différentes régions du et des Mondes à la recherche d'une nouvelle cachette idéale. Comme une mauvaise n'arrivait en plus, jamais seule, un loup surenragé arriva en trombe, en explosant la porte d'entrée, pour menacer de relâcher son copain. Pour se reposer, c'était plutôt rater. Pignouf sauta en arrière, sur le comptoir, en récupérant la cravache que l'un de ses capitaines lui tendait. Il la fit s'abattre sur le malheureux Powalski, et celle ci s'enroula autour de son cou, à deux doigts de l'étrangler. Mais surtout, cela avait provoquer une pression supplémentaire concernant le collier dont il était équipé.
Héhéhé. JE suis à l'origine de la commande de ces colliers, et je sais exactement comment ils fonctionnent. Ton petit copain vert, le renard...Euh, enfin, le loup là, il peut se transformer en piñata s'il s'éloigne trop de l'un de mes soldats ou de moi. Mais aussi, en y appliquant une pression supplémentaire, je peux décider de le faire exploser à tout moment. En d'autres termes...T'as intérêt à reculer, et à te casser d'ici, si tu veux pas sauter avec.
Pignouf qui prenait des airs de terroriste...Voila une nouveauté que lui apportait ses nouveaux pouvoirs en temps que « Maléfik ». Pignouf fit un petit rire, puis tira lentement sur la cravache, attirant Leon vers lui, et mimant de l'étrangler.
Quel coup de théâtre ! Alors que Grey ne s'attendait pas vraiment à retrouver Pignouf en ces lieux, sa surprise fût grandement amplifiée à mesure que les événements s’enchainaient... Est-ce que tout ceci était une coïncidence ? Pas vraiment, toutes ces personnes avaient l'air de se connaître. En l'espace d'un instant,c'était le chao... Paix à l'âme de l'aubergiste en tout cas, il passa de vie à trépas l'espace d'un instant.
En tout cas, pour passer une fin de journée tranquille, c'était loupé. Grey se demanda même un instant comment cette bande d'énergumènes ont pu se ramener aussi vite ici et y mettre le bordel absolu. Peut-être avaient-ils un don inné pour ça se dit-il. Il se senti aussi observé par le reptile, comme si celui-ci le prenait pour quelqu'un d'autre.
En parlant d'observation, Grey était observé de partout sauf par les gardes qui étaient trop occupés à se défouler sur leur prisonnier, ce qui fût bien sûr de courte durée vu l'arrivée en trombe d'un loup sortit de nul part. La scène devenait de plus en plus improbable aux yeux de Grey ce qui avait l'air de l'amuser. Grey remarqua bien que le regard de Pignouf était plus interrogatif que haineux, celui-ci n'était décidément toujours pas au courant de sa véritable identité, Grey en profita donc pour se jouer de lui.
- Hé mon pote, ça va ? Je vois que tu as eu une belle prise...Dit-il en désignant le reptile.
- Par contre, excusez-moi de mettre en doute votre plan hautement bien pensé, mais vous risquez plus de mourir tous dans l'explosion du collier plutôt qu'autre chose si vous continuez d'agir sans réfléchir de la sorte. Grey analysa la situation... Sacrée situation même. 14 personnes dans une petite auberge, tout ceci n'augurait rien de bien joyeux. Les larbins du Maskass ont l'air bien trop incompétent de toute façon pour tenter quoi que-ce soit sans en recevoir l'ordre. Pignouf avait en sa domination le reptile portant le collier explosif, pas très malin car le petit Maskass étant dans la zone de déflagration potentiel. Ne parlons même pas du loup qui augmentait les chances de faire sauter tout le monde avec son arme, et qui d'ailleurs avait baissé sa garde à force de rire.
~C'est le moment Grey... Te loupe pas~
Il se déplaça à une vitesse fulgurante puis donna un coup sur Wolf pour le déstabiliser puis l'immobilisa avec un bras et en profita pour voler son arme avec son autre main de disponible. La scène se déroula très vite, Wolf n'avait pas vu venir ce coup bas qui venait de derrière, et Pignouf et ses soldats eurent un moment d'inattention à cause de l'enchaînement inattendu des actes de Grey. Seul le reptile dévora la scène en entière.
Il profita de ce bref instant pour faire un signe de la tête au reptile lui disant que tout ceci n'était que pour capter l'attention de Pignouf ce qui lui permettra d'agir en conséquences face à son collier.
~Désolé le loup, mais seul ton ami est au courant de ce manège... Ce fût nécessaire pour ne pas attirer les soupçons de Pignouf si tu aurais pris le risque de jouer la comédie aussi...~
- Y a plus de risques Pignouf, je maîtrise cet individu...
~Allez le reptile, t'as pas eu ta réputation pour rien, je sais que tu peux te délivrer pendant que j'attire l'attention de ce nain débile à casquette...~
Leon Powalski était aussi surpris que son camarade Wolf'Donnell de le trouver dans un tel lieu, lui qui croyait ne plus jamais le revoir. Cela faisait des mois qu'il était coincé dans la dimension de Nintendo World, mais cela ne lui déplaisait pas tant que ca d'être prisonnier de ce monde. Il était certe malheureux d'avoir perdu ces camarades de la Team Wolf mais en revanche ici il était plus facile de s'enrichir et il trouva cette endroit était aussi étrange que fascinant. << Ce monde est comme un mélange de toutes les fantaisies et terreur qui peuvent être présent dans l'esprit d'un être pensant... >> Pensait le Caméléon humanoïde. Mais l'être humanoïde bien que très content de retrouver la personne qu'il jugea être son méllieure ami et son plus grand compagnon d'arme, il avait conscience que sa vie ne tenait plus qu'a un fil entre les doigt du commandant qui détenait la télécommande. Un simple geste sur le bouton, et il pourrait dire adieu à ce monde pour peut être en rejoindre un autre ? Qui sait... Mais même si le paradis l'attendait, Leon Powalski ne voulait guère voir sa mort provoquer par des êtres aussi faibles et pathétiques que Pignouf.
-Pas un geste ! Le premier qui bouge, je le bute ! Léon, ça va ?! Demanda Wolf tout en menacant les onze nain ainsi que Grey.
-Hum... Ca pourrait allez mieux. Tu aurais pu être plus rapide pour me délivrer, ca fais des jours que je m'ennuie à mourir et que je... N AI PAS TUER QUELQU UN !! Se plaignit Le caméléon
-OUAF HA HA HA HA ! LEON ! Comment t'as fait pour te faire enlever par des nains de jardin ? Dire que tu brilles dans la discrétion. Ca a pas l'air d'être le cas. Nan sérieux, bande de gnomes. Je vous conseille de relâcher mon ami si vous voulez pas que j'tire. Se moqua l'ami de Leon Powalski.
-Ils m'ont collés aux basques pendant une semaine avec toute leur armée ! Comment tu voulais que je fasse ?! Se défenda le caméléon submerger par la honte et la colère.
Mais a peine que le caméléon s'était défendu verbalement qu'il se retrouva sous l'emprise et à la merci du général Pignouf. Celui-ci l'étranglait légèrement avec la cravache du commandant, si la pression était trop forte le collier risquerait d'exploser, du moin d'après les paroles du chef des Maskass. Grey, la personne dont Leon Powalski pensait qu'il était le bras droit du général Pignouf annonça a son général que celui-ci avait une belle prise. Le caméléon lui adressa un regard aggresif quelques instant. Le Maskass noir annonça ensuite à son patron que en faisant sauter l'explosif, la déflagration de l'exploser le tuera aussi sur le coup. <> pensa l'assassin, si cela n'avait tenu qu'a cela Leon Powalski l'aurait tué avec sa langue qui pouvait être aussi corrosif que du poison aux contact de la peau. Hélas, trois maskass avaient leur fusil pointé sur lui prêt à faire feux et le Caméléon ne pouvait pas se déplacer assez vite pour esquiver les balles avec le poids qui était attaché à son pied. De plus le commandant tenait fermement entre les mains la télécommande du collier explosif...
Alors que Leon Powalski réfléchissait a un plan pour sortir de ce mauvais pas il vit Grey foncé vers le loup et remarqua que l'attention du commandant ainsi que du général étaient perturbés. Il sentit la cravache de Pignoufl se desserrer tandis que le commandant avait complètement le dos tournée, l'assassin n'attendit même pas le signe de tête de Grey et de comprendre la situation qu'il saissisa aussitôt l'opportunité devant lui. Le caméléon sortit son énorme langue de sa bouche et donna un rapide coup de langue en visant la tête de Pignouf, hélas, celui-ci très vif recula immédiatement et l'arme du caméléon n'effleura que le torse de Pignouf. Mais ce fût suffisamment pour que cette attaque qui était censer le tuer, ne le blesse que légèrement et laisse échappée dans la bouche du général un hurlement de douleur. Un petit trou apparu là ou la langue de l'assassin avait touché et laissa une trace verdâtre sur la peau nu du général, ainsi qu'une douleur désagréable. La quantité du poison étant très faible, le chef des maskass avaient devant lui une semaine pour trouver un antidote avant de mourir empoissonnée.
Leon Powalski aurait bien été tenté de mettre un terme définitif à la vie du général Pignouf en lui donnant un coup de langue qu'il aurait encaissé cette fois-ci de plein fouet au niveau du crâne, mais il devait s'emparer le plus vite de la télécommande ou autrement il pourrait dire adieu à son existence. Le caméléon sortit sa grosse langue à toute vitesse en le dirgeant vers le commandant, qui au même moment se tournait vers Pignouf et Leon, attiré par le cri d'agonie de Pignouf. Le commandant fût stupéfier quand il vit l'horrible spectacle qui s'offrait à lui, il vit Pignouf gémir de douleur tout en battant des pieds comme un enfant tandis qu'une horrible langue s'approchait dangereusement de sa main qui tenait la télécommande. Il tenta aussitôt par réflexe d'appuyer sur la touche, hélas celle ci n'avait eu le temps que de l'effleurer avant de la voir complètement ôtée de ces mains. Une fois que sa langue était en possession de la télécommande, les toxines et substance corrosif provenant de son membre brulait lentement les circuits électriques de l'objet qui permettait d'exploser son collier. Il vit Grey qui lui fît un signe de tête complice, puis le Caméléon courra immédiatement se mettre à couvert pour se protéger des balles de ces ennemis tout en disant au commandant :
- Tu aurais dû me tuer tant que tu l'aurais pu, car maintenant, c'est à ton tour d'être à ma merci et crois moi... Je ne vais pas hésité une seconde pour mettre un terme à ta pitoyable existence.
Le caméléon était à couvert derrière une table en bois afin de se protéger des 12 maskass dont il était la cible, plus précisement du général Pignouf et du commandant ainsi que des 10 autres soldat. Sous ce déluge de feu, il entendit Grey annoncer :
- Y a plus de risques Pignouf, je maîtrise cet individu...
Leon Powalski avait presque envie de rire tant que la situation était pathétique. Les onzes maskass entre Pignouf et Grey et Wolf étaient loin de se douter qu'ils n'avaient aucune couverture et que d'un instant à l'autre ils allaient se faire décimés alors qu'ils tentaient désèsperer de le tuer. Le caméléon de temps à autre changeait de endroit de couverture quand celle-ci était trop abimé par les tirs ennemis.
Dée Normal : Nombre de balle qui touche Leon Powalski.
Cette journée là avait trop une magnifique journée de la mort qui tue ! Non mais j'avais marcher super longtemps en pas chassé et j'avais pu cueillir plein de fleurs de partout dans le royaume champignon qui avait l'air un peu b izarren e ce moment mais qui semblait encore marcher. Il y avait plein de gens aujourd'hui qui m'avait demander plusieurs "Mademoiselle, c'est combien ?" Mais heureusement que je ne vend pas mes fleurs ! Je suis loin d'être idiote non mais ! è_é. Je voulais cueillir plein de fleurs comme ca un jours je pourrais les offrir a mon n'amoureux et là il serai drolement content de savoir que j'ai penser a lui totu ce temps ! Oui, ces dernières semaines furent assez difficile mais j'avais reussis a m'en remettre. Gyigas n'étais plus, enfin si, il était dans une pierre, caché sur moi...mais personne ne saurait de toute manière comment l'activée. Parfois, je me demandais si c'étais vraiment une bonne idée de garder ce méchant monsieur sur moi car j'avais très peur qu'il puisse se libérer et me tuer, pis en plus il risquer de me faire super mal et cette fois si il me louperait pas. Mais bon, c'étais des risques a prendre dans al vie. APrès tout, j'avais reussis a le vaincre une fois alors une seconde fois... Quelque chose de triste c'étais que je n'avais pas vu mon Gnougnouf depuis très très longtemps, et je me demande même pourquoi je ne l'avais pas vu ces derniers mois....Il était peut êetre très malade et qu'un jours il allait peut être mourir de maladie très grave comme une bronchite ? ;w; ! Non ! Pignouf ne devait pas mourir, il fallait que je m'excuse pour ce qui était arriver dans la lave et que j'avais était si méchante avec lui que je ne pouvais plus me regarder en face sans vomir maintenant, mais ca c'étais aussi parce que j'avais eu un gros bouton sur le nez et qu'il était drolement moche ! Pauvre petiite créature. Tout chez pignouf me manquer...C'étais terrible, je me demande quand on allait se marier finalement, je sais que notre mariage risque d'être difficile parce que plein de filles sont jalouses de moi parceque j'ai trouver le monsieur le plus gentil et le plus doux du monde, mais après tout, il étaient tous méchant avec Pignouf alors je savais que notre mariage serait aussi dur parce que des gens nous attaqueront éwè. Finalement,, après quelques heures de marches, j'étaient tomber sur cet hotel trop magnifique de la mort qui tue qui avait uen devanture en bois, quand j'étais entré a l'intérieur, tout le monde me regarda avec l'air de dire "Omg pas elle !!!" Mais je ne fis pas attention parce que en fait, comme je suis blonde, les gens pensent que je suis stupide. Je suis allez au guichet et j'ai demander une chambre pour dormir, en donnant un peu d'argent, il m'a donner la clef 1345 de l'auberge, premier étage, tout a droite au fond. J'escalada les marches en pas chassés comme j'avais l'habitude de le faire et quand j'arriva dans ma chambre, je fus très content de voir que c'étais mais trop magnifique ! Il y avait du savon dans la salle de bain, il y avait un lit, une petite télé, plein d'oreillet et des draps. Ouah mais j'allais adorer dormir ici cette nuit ! Bon il y avait plein de livre, et comme je ne sais pas beaucoup lire, sauf a l'oral, et bien j'a décider de les bruler. J'ai rempli un vase sur une table de bois dur avec e l'eau et j'a mis mes fleurs a l'intérieurs. Tout semblait parfaitement normal, jusqu'a ce que j'entende...oui...non ? C'étais bien ca ? La voix de...PIGNOUF !!! OH OUI MON AMOUREUX ETAIT LA !!! Le coeur battant la chamade, tout ce que j'avais entendu c'étais "hold up" "champignon". J'ai demander aux gens qui accouraient dans le couloir ce qu'il pouvait bien se passer et ils me répondirent qu'il y avait un petit nain et son armée avec un lezard qui se battait dans la salle d'accueil avec un homme soldat et un loup garou... NON MAIS ET PUIS QUOI ENCORE ? Je me mis a leur rire au nez et je leurs dis "pffffft les loup garou ca apparait que la nuit !! Il fais encore jour ! idiots !" Mais pour être sur que je ne manquer riende très interesant. Je glissa ma tête en dessous de l'escalier et observa ce qu'il se passer dans la salle...OH OUI ! MON PIGNOU ! MON PIGNOUF ETAIT LA ! HAN ! IL ETAIT MAIS TROP MAGNIFIQUE ! Mais pourquoi est ce qu'il avait une cravache autour du coup de ce lezard ? Et pourquoi les gens attaquer le lézard ? Pourquoi il s'étais cacher dérière un comptoir ? Mais ! Que se passer il ici ? Han il se passer quelque chose d'épouvantablement pas gentil dans cet hotel, mais je savais que Pignouf, si il me voyait, il serait très content de me voir ! Alors j'alla prendre le vase dans ma chambre, tout excité, le coeur battant comme un pivert, et je me rua dans les escaliers en hurlant a plein poumons
-GNOUGNOUF MON AMOUR TU ES LAAAAAAAAAAAAAAA
Tout aurait pu être mais super parfait si je n'étais pas moi même et que le monde ne me detestait pas ;w;. Je me mis a courir dans l'escalier avec la même gueule que Beyoncé lors du superbowl (=>http://static1.purepeople.com/articles/6/11/51/36/@/1046598-singer-beyonce-performs-during-the-620x0-2.jpg). Et en courant comme une grosse triso, je me pris le talon de ma chaussure dans un trou de l'escalier en bois, en courant je fis un lever en avant, resta bloquer, mon corps bascula de tout son poid sur les marches, je lachaa le vase, tomba dans les escalier en faisant une roulade fracassante sur les marches, je continua de rouler en explosant les tables sur mon passage devant le regard ébahi des gens dans l'hotel, tout en hurlant "AU SECOUR ! AU SECOUR AIDEZ MOUAAAAAH !!!" Je bascula, a cause de la prise de vitesse et de ma roulade, a l'exterieur de l'hotel, fu propulser vers un pilone electrique, m'accrocha au fils qui le composé, pis plusieurs balancement tout en étant électrocuter
-AIE ! OUILLE ! OUILLE !!! OUIIIIIIIN AU SECOUR !!!!
A force d'être electrocuter, je commença a prendre...FEU ! NON ! OMG JE FAIS BRULER !! Et j'eu tellement peur que je lacha et arreta mes balancement, je fus propulser vers le générateur electrique de l'hotel, en feu, charger electriquement, je vint m'écraser dessus en faisant cour circuiter le module produisant la lumière dans l'hotel, la gueule défoncé, electrocuté et toujours en feu, je resta bloquer par le choc sur le genérateur et me pris un coup de jus atroce qui me fis lever les cheveux en l'air, je sauta de partout comme une puce electrifié, et je fis cela; tout en tenant le vase dans les mains que j'avais récuperer deux minutes plus tot, lors de mon balancement sur les fils électriques, défoncé, brulé, shooté, en feu, je rentra dans l'hotel en hurlant comme une malade "CA BRULE ! CA BRULE !" Et je décida de m'asperger d'alcool pour arreter le feu...OMG NON CA MARCHAIIIIT PAS ! Des flammes de vingt mètres parcourrèrent mon corps, pendant ce temps, tout le monde était entre le facepalm et l'étonnement, la douleur fut telle que je me mis a me rouler sur le sol en pleurant, finalement je remonta au niveau des chambres, m'enferma dans la douche et éteignit le feu....Je décendit les marches de l'hotel, choqué, épuisé, couverte de cloque et avec une douleur terrible...
Je dis "Gnougnouf...j'ai...un cadeau...." Tout en tenant le vase, je descendit les marches, me repris le pied dans le trou, tomba a la renverse sans faire de roulade et m'explosa le menton, qui s'évacua de son sang, sur la dernière marche, le vase s'envola, et s'explosa sur la tête du lezard.
-Bouhouhouhou...Jai MAAAAAAAAAAL ;w;
Parfait => Lezard assomé Bien => Lezard sonné Raté => Le lezard se prend le vase a coté Euh => Il le renvoie sur blondasse
Malheureusement, ça serait trop facile si le gnome se rendait. Il prit sa cravache et commença à étrangler Léon. Là, la situation s'inversa. C'était maintenant Wolf qui était soumis. Il devrait se barrer si il ne voulait pas que son ami explose. Comment allait-il faire pour délivrer le caméléon sans qu'il devienne une dynamite qui explose ? La situation s'aggrava quand un des Maskass fonça sur le loup et l'immobilisa. Le cornérien tenta de se délivrer en gigotant mais sans succès.
-Nan mais lâche-moi sale black !
C'était alors que son ami commença à se libérer avec la longue langue. Wolf n'était pas étonné qu'il savait jouer les rusés. Il toucha le chef avec sa langue corrosive pour que ses acolytes soient distraits et de détruire la télécommande du commandant. Mais peu après, les soldats commencèrent à lui tirer. Wolf lui faisait confiance comme il le connaissait beaucoup enfin... presque. Son ami se prenait des balles. Wolf se mit à bousculer Grey pour se délivrer. Certes, il n'avait pas son Nintendoscope dans ses mains mais il avait au moins son WarBlade. -Léon! J'arrive t'aider.
Il lança son yoyo tranchant qui rebondissait sur les murs en espérant toucher les soldats qui tiraient sur le reptile. C'est alors qu'une boule humaine se plaça devant le loup mais qui sortait de l'hôtel. Wolf reprenant son arme n'avait jamais vu ça. Plus tard, elle revenait en sautillant de douleur. Ce spectacle était à mourir de rire pour le loup. C'était encore plus marrant dès qu'elle se mettait de l'alcool et qu'elle ne savait pas que l'alcool favorise le feu. Le pilote commença à tomber par terre et d'éclater de rire. Pendant qu'il riait, l'inconnue partit dans sa chambre et revenait avec un vase. Mais pourquoi un vase ? Pour la deuxième fois, elle se mangea la marche que le vase avait failli de toucher Léon. Pensant qu'elle était du camp du Makass, Wolf se dirigea vers la blonde, prit son col et grogna en s'approchant de ses yeux menaçants.
-T'sais que tu me fais rire toi le clown ? Un conseil, ne te mêle pas de ça.
Dé Normal : Nombre de soldats assommés par le WarBlade
...Le clown ? Il m'a vraiment appeller comme ca ? Un clown ? Non mais...mais...Il avait qu'a allez se faire voir ! Je venait juste de subir la chose la plus traumatisante du monde après un cassage d'ongle et l'autre glandos devant moi venait de m'appeller clown ? Mais...mais j'allais le tuer ! Non mais oh ! J'avais encore très mal mais là j'en avais plus que marre que l'on se moque de moi, c'étais finis l'époque révolu ou la petite Elile se faisait marcher sur les pieds et traité di'idote par tout le monde, a présent, ca allait Bitchy-Elile, si tu la touche tu crèves ! Lui, mais lui j'allais lui arracher la gueule, il allait voir qui est le clown ! Je le regarda d'un air très méchant pendant qu'il me tenait par le col, je regarda dérière moi et vit Pignouf qui avait un visage a la limitre entre le dégout et l'étonnement...Han, ca devait être ce gros poilu le méchant pas beau qui le faisait chier ! Ni une ni deux, je refixa le loup de mon regard des plus terribles, je le regarda et lui empoigna la main qui soulever mon col...Peut être était ce parce que j'avais reussis a dompter gyigas, mais un flot d'energie obscure sortit de mes mains, fis une sorte de barrière entre moi, le loup et le reste du monde, et mes yeux virent au rouge vif...C'étais étrange, je pouvais choisir quel energie entré, et quel autre n'entrait pas, c'étais comme si je dirigeais le flot d'énergie qui me parcourrait le corps. Cette énergie, je l'avais sentit quand je fus libérer de l'emprise de Gyigas, mais encore une fois, ce fus un flot d'energie maléable et pas tout a fais pur, un peu comme si Gyigas se manifester mais que j'avais réussis a anéantir sa personnalitée pour n'en garder que ses pouvoirsn peut être était l'une des nombreises manifestation de l'esprit de ce méchant pas beau qui m'avais fais super bobo ces derniers mois ? En tout cas, je sais que c'étais probablement l'une des raisons pour lesquelles un flot de matières rouges foncé nous entoura et une aura malsaine se mis a nous cerner. Je regarda une dernière fois le loup avec un regard qui vira au rouge foncé et avec une voix des plus sévére, tout en faisant soulever le poilus avec la force de l'esprit de Gyigas en l'aiir, je lui dis fermement avant de le balancer sur le bar et d'allez rejoindre Pignouf d'amour qui devait être très très content de me voir. -Le clown va te répondre que si jamais tu me retraite encore uen fois de clown, de bozzo, de candeloro, d'autre surnom stupide, je défoncerai la machoire a grand coup de talone t ensuite je t'esmasculerai devant tout le monde avant de t'arracher tes poils, au moins t'aura plus besoin de te faire épiler chez L'esthéticienne...COMPRIS ?!!! ET NE ME TOUCHE PLUS JAMAIS....
-Gnougnouuuuf :3 Mon n'amour tu m'as trop manquaaaaay :3:3 *fais des pas chassé jusqu'a lui*
Bien qu'il s'était agit plus d'une fausse ouverture qu'autre chose, Grey avait fait en sorte d'immobiliser l'un de ses adversaires, permettant à Pignouf d'avoir de nouveau l'honneur de l'avantage. Mais quelle ne fut pas la surprise lorsque ce minable de caméléon, avait planté sa langue dégueulasse contre son cou. On se serait cru dans un film porno, sauf que pour le coup, c'était moins bien agréable. Ouais, parce que Pignouf, il en avait dirigé des proti-kass, enfin, ceci était une autre histoire du « Général Maskass, Le Proxénète ». Bref, se tortillant de douleur, Pignouf était conscient que ce foutu sale gland vert lui avait injecté un venin mortel. Il devrait par conséquent trouver un antidote, aussi vite que possible. Et puis l'impensable arriva, Blondasse. Pignouf hurla encore plus fort sous la surprise, n'ayant juste aucune envie de la voir. Elle réussit d'ailleurs à rejoindre l'extérieur en tombant des escaliers, pour ensuite réapparaître devant eux complètement grillé, pour finalement faire tomber un vase qui permit de nouveau à Pignouf de reprendre l'avantage. Les soldats du Maskass se bougèrent, tirèrent dans tout les sens, et lorsque Wolf menaça Blondasse, celle-ci dégagea une aura à laquelle Pignouf se montra particulièrement attentif. Il alla se loger sous le comptoir où se tenait le réceptionniste.
...C'est...C'est la même aura que cette cruche possédait quand je me suis battu avec elle. Mais on dirait que son côté bouffonne à reprit le dessus. Il faut que je m'empare de ce pouvoir. Rien n'arrêtera Pignouf le Maléfik. RIEN ! NIARK NIARK NI...*CRACK*..AÏE, MON COU !
S'agitant dans tout les sens après se l'être fait mordre, le cou du Maskass lui fit de nouveau mal, révélant sa position au caméléon ainsi qu'au loup. Pignouf marcha à quatre pattes vers le Maskass se tenant devant lui, et il s'agissait d'ailleurs de ce bon vieux Grey. Tant pis s'il était louche, il voulait tenter sa chance.
...Pssst...Je peux te demander un truc, soldat ? Conduit mes bébés hors de cet hôtel, tout en essayant de faire la peau à ces deux déchets. Moi j'emporte ma biatch vers la sortie de secours.
Se relevant, puis sautant sur un petit tabouret, le képi de Maskass dépassa du comptoir, faisant ainsi signe à Blondasse de se diriger vers lui. Mais cette cruche ne comprit pas vraiment l'appel. Alors, Pignouf fut obligé de faire une roulade en sortant du comptoir façon "j'ai une étoile, so, j'suis invulnérable", pour attraper sa main dégueulasse en lui éclatant les os, pour ensuite l'attirer au fin fond de la pièce, où une sortie de secours se trouvait sous les escaliers.
Alors que Léon Powalski était concentrer à chercher une opportunité d'attaque et en même temps une autre couverture, un vase s’écrasât juste au côté de lui, laissant retentir à côté de ces oreilles un bruit de casse aussi surprenant que inattendu pour le caméléon. Celui-ci sursauta brievement tout en se disant qu'il avait eu beaucoup de chance et que si le pot l'aurait touché, il aurait été probablement légèrement assourdit. Le caméléon chercha le destinataire de cette "tentative de meurtre", il comprit immédiatement quand il entendit Blondasse se casser une nouvelle fois la figure dans les escaliers. L'assassin aurait bien puni son affront d'avoir tenter de l’assommer involontairement, pensait-il mais il avait pour le moment des préoccupations plus importante que de tuer une pitoyable blonde. Cependant, le caméléon ayant vu Blondasse survivre a une très importante décharge électrique cumulée a une déflagration importante, la jeune femme avait le mérite d'être jugée d'être un humain plus robuste que la moyenne par le caméléon. Chose aussi positif que négatif compte tenu que Leon Powalski mettra davantage de moyen pour la tuer, ainsi elle pourrait se sentir flattée tout en souffrant davantage.
L'assassin vit devant lui une ouverture d'attaque intéressante quand il appercevit trois de ces ennemis assommée par la warblade de Wolf. Cette action aussi puissante que surprenante surprenait les ennemis et perturba leur attention. Leon Powalski saisit l'opportunité et tua de sang froid deux maskass avec sa langue extrêmement corrosif. Ceux-ci n'ayant pas eu la même de Pignouf, et n'étant pas aussi robuste que lui s'écroulant au sol agonisant tant que la douleur était atroce l’espace de cinq secondes avant de passer de vie à trépas. Le caméléon appercevit son ami le loup qui se tordait et explosait de rire au bon milieu d'une bataille, l'assassin aurait presque eu envie de se donner un coup de paume au front pour afficher sa déception et sa honte. Au lieu de perdre du temps inutile à penser à Wolf, il profita de la confusion que ce geste avait aussi apportée chez les maskass pour en tuer un troisième avec sa langue en sécurité. Désormais, il ne restait plus que 7 Maskass sur pied, 4 soldat, 1 commandant, Pignouf et Grey. Quand il vit son ami menacé Blondasse au lieu de le tuer simplement, il ne pût s'empêcher de penser :
~Mon ami... Je crois bien que ce pathétique monde, Nintendo World t'a complètement monté à la tête !~
Quand le caméléon vit Blondasse balancée avec autant de force qu'un surhomme son ami sur le comptoir, avec une aura rougeâtre autour de elle, il comprit que celle-ci cachait bien d'autres tour de son sac et bien qu'elle paraissait inoffensif, elle était en réalité très dangereuses.
Leon Powalski appercevit Pignouf qui cherchait à s'enfuir avec Blondasse, chose qui ne fût pas difficile à remarquer puisque Pignouf pour compenser sa petite taille était montée sur un tabouret avant de faire signe stupidement à son ami de la suivre. La jeune femme, aussi stupide était-elle n'avait pas compris et le général des maskass étaient rester cinq secondes perchés, en pleine ligne de mire de la langue du caméléon. Leon Powalski ne se serait pas gênée pour l'achever si le commandant des quatres soldat encore sur pied ne lui avait pas jetée une grenade aveuglante.
-Wolf il en faut pas les laissez s'enfuir !! Laise tombé les maskass !! Ordonna Leon Powalski à son coéquipier.
Le caméléon malgré le fait qu'il avait cinq balles logées dans son corps, une paire de menotte qui liait ces mains dans le dos et un poids lié à son tibias a l'aide d'une chaine, il parvenait à se déplacer de couverture en couverture vers Pignouf et Blondasse. N'étant pas assez rapide pour rattraper ces deux ennemis, Leon Powalski décida de voler avec sa langue une grenade explosif attaché à la ceinture du commandant tout en tuant le proprietaire de cette arme au passage. Puis l'assassin la lanca avec sa langue en visant en priorité Pignouf.
Dée Action : Grenade Explosif Parfait : Blondasse et Pignouf sont touché de plein fouet par le grenade les blessant sévèrement tout en ralentissant grandement leur progression. Bien : La grenade touche Pignouf le blessant et ralentit ca progression. Rater : La grenade efleure légèrement le Maskass. Euh : La grenade efleure la langue de Leon Powalski.
Bonne humeur, excellente ambiance et environnement propice à la détente. Telles étaient les mots pour décrire ironiquement ce qui se passait dans cette pièce. Cela amusait Grey au départ, mais plus maintenant. Quel gâchis, il était seulement venu pour se ré-approvisionner et profiter du calme et de l'anonymat pour construire sa base non-loin de là. La situation était stupide mais cela ne le faisait plus sourire... Il essaya quand même de sauver les apparences de son émotion lorsque Pignouf était venu lui demander une faveur.
Hmmh, je pense que c'est trop tard, ils sont bientôt tous morts... Pignouf était tellement pressé qu'il partit directement de l'autre côté de la pièce pour faire signe à la tarée de le suivre, ce qui arrangea Grey car il n'eut pas besoin de s'expliquer avec lui. De toute façon, Pignouf avait sans doute déjà oublié ce qui s'est passé étant donné qu'il était occupé à manger des grenades en pleine face.
Il se dirigea vers la réserve de l'hôtel pendant que tout le monde se foutaient sur la tronche à coup de langue et d'armes.
Bon, excusez-moi, mais j'ai à faire pendant que vous vous entre-tuez...
Et plus dure sera la chute ! Propulsé par le souffle de l'explosion provoquée par la grenade, le Maskass poussa la bouffonne blonde de service, en direction de la sortie de secours. Ça n'était pas de chance, puisque la sortie en question s'enfonçait profondément, en direction d'un sous sol qui n'avait été que peu exploré à en croire la quantité de toiles d'araignées qui s'y trouvait. La jeune fille bondit et rebondit contre les marches en question, s'explosant la mâchoire à plusieurs reprises, tout en laissant derrière elle un important nuage de poussière. Pignouf, affolé, couru dans sa direction, en dévalant à sa manière une série de plusieurs marches. Peut être que si elle était assommée, celui ci pourrait en profiter pour extraire son aura et devenir encore plus "Maléfik" que le Roi des Maléfik ! Avec un rire sournois, Pignouf s'approcha de Blondasse, qui gisait maintenant au sol et n'avait plus l'air de trop bouger. Derrière elle, se tenait un long couloir sombre, qui menait sans doute vers les fins fonds de Toadville. Pignouf souffla quelques instants, pour reprendre de l'explosion qui s'était produite.
Que ce loup et ce caméléon aillent au diable ! Je les éliminerai lorsque je serai devenu le Maître de ce Monde ! Bon à présent...Voyons voir...
Pignouf devait profiter de l'occasion pour tenter de voler ses pouvoirs. Il se plaça en face de la blonde, frotta ses mains comme pour s'échauffer puis...empoigna ses seins, en donnant une forte pression, pour vérifier si elle était morte. Oui, mieux valait une vérification avant de tenter des choses risquées.
Wolf avait commis une grosse erreur en parlant de clown. Le blonde défia le loup du regard qu'il accepta de jouer à son jeu. Mais c'était finalement l'idiote qui dominait le jeu. Avec un aspect plus ténébreux, elle lança en lévitant Wolf dans le bar. Normalement, le pilote devrait avoir peur de sa double apparence mais ce n'était pas le cas. Wolf se releva et s'accouda au bar avec un air satisfait genre qu'il n'avait pas subi de coups même si on voyait sa bosse sur sa tête. -Hé ! T'as pas aussi conne que t'en as l'air.
Seulement, son ami Léon qui était aveuglé par une grenade aveuglante exclama de ne pas laisser ces tourteaux s'échapper. En effet, le chef des nains de jardin fit l'andouille pour alarmer sa chérie au QI d'une tartine beurrée. Wolf reprit son Nintendoscope et vit le mari pousser sa femme mangeant les escaliers comme un Tico Taco (un jouet qui fait des galipettes sur des pentes) avant de se prendre la grenade du caméléon. Le loup se précipita sur la sortie de secours qui était en fait un sous-sol.
Wolf descendit des escaliers et vit le chef en train de toucher les nibards de sa compagne allongée sur le sol. Certes, ça se faisait pas mais en plus, Wolf devrait les empêcher de fuir. Il tira avec son Nintendocope vers les mains en frôlant histoire de le faire peur et pointa son arme de loin sur le crâne du Maskass.
-Euh... Tu crois pas que c'est pas le moment idéal de la baiser ? Allez, remonte en haut avant que je te fasse un trou sur ton crâne d'oeuf.
[Voler pas les pouvoirs de Blondasse, j'ai promis a Bow de les récupérer avec Porky, niark niark]
Oula...ca faisait trop mal...déjà le méchant tout vert qui ressembler a un gros lezard nous avait lancé une bombe qui m'avais fais mais super mal...En plus c'étais mais tellement douloureux que je ne savais plus qui me faisait mal au bras comme ca mais je me laisser guider et je laisser cette personne m'amenait loin d'ici. J'avais peur, j'avais mon gnougnouf, mais je n'avais plus de repère, ou était je ? Que devais je faire ? Ca sentais pas un peu le bacon ? Et pourquoi j'avais si mal au dos ?...Quand je réouvris les yeux, je me pris une marche de bois dans la figure et resta trainer sur plusieurs marche, même tout au long de l'escalier sur la gueule en enttendant mes os se craquer, oh mais ca faisais mais super mal ! Mais pourquoi est ce que l'univers tout entier me détestait il ? Je n'avais rien fais pour une fois. Le bois dur me casser la machoire les dents, me décoiffa, me coupa les ongles et je sentis a plusieurs reprises mes genoux s'exploser violemment sur le bois dur de ces marches d'escalier d'un coté mitée et d'un autre si solide que l'on pouvait y assassiner quelquu'n juste en le poussant dessus. C'étais terrible, qu'est ce que j'allais devoir faire pour qu'on me fiche la paix ? J'avais trop mal et je perdis conscience, je ferma mes yeux...et je sentit une aura autour de moi...une aura maléfique...enfin...pas comme celle de gyigas, mais comme si quelqu'un me voulait du mal, quelqu'un essayé de me nuire...Han mais je le sais, c'est surement le loup ! Il fallait que je l'en empeche ! je suis sur qu'il voulait me voler mes pouvoirs ! Mais je ne le laisserais pas faire ! De toute façon mon Pignouf et moi on allait se marier et on aurai plein d'enfant. Déterminée a m'en sortir, je décida de tout faire pour me reveiller, bien qu'inconsciente, je sentit quand même les choses provenant de l'exterieur. Je sentit le souffle chaud de Pignouf, entendis sa voix, entendis la voix du loup...pourtant je n'arrivais pas a me reveilelr ! C'étais beaucoup trop difficile, j'avais trop mal ! Il fallait que je puise la force que j'avais dedans mon coeur parce que sinon ca allez devenir trop nul ! En luttant de toute mes forces, je reussis a émergé et je découvris....devant moi...pignouf avec ses deux mains sur mes seins o___O; Je devint rouge de honte, lui aussi devint tout rouge, et semblait assez gêné, je resta bloquer comme ca pendant dix secondes et je sentit une balle raffler la main de mon Gnougnouf qui fis pression sur un de mes seins et le pressa comme un fruit pourrie ! Je poussa un petit cri et regarda le loup...NON MAIS C'ETAIS PAS POSSIBLE ?! ON ALLAIT ME LAISSER TRANQUILLE A LA FIN MOI ? Une nouvelle aura rouge se dessina autour de moi, Pignouf me lacha, encore gêné, je me releva, attrapa Pignouf comme un animal et le posa délicatement a coté en lui disant avec un visage de miel "n_n je reviens tout de suite mon lapinou ♥". Et je m'avança vers le loup, alors là, j'étais très en colère...Je fis apparaitre un sceptre noir en forme de croix, orné de diamant rouge, dans lequel sortait une aura très maléfique, très très maléfique. Je regarda le loup de haut en bas encore une fois et je sentit le vent de la puissance me décoiffé ! J'étais trop en colère là ca allait trop mal finir ! Mes yeux redevinrent rouge et je dis au loup...Tout en brandissant mon arme en l'air comme une déesse en furie
-Si tu t'approche de moi...encore une fois...si tu t'approche de Gnougnouf encore une fois...je...te...fais...la..PEAU !
Comme une grosse tarée, comme une vraie guerrière, je donna un coup d'une violence inouie dans les machoires du loup qui ne semblait pas comprendre ce qu'il se passait. Le coup fut magistrale (ou pas ? a voir). Je retourna ensuite voir mon Gnougnouf d'amour et fis comme si l'incident de tout a l'heure n'étais jamais arriver...hum...J'alla le voir et lui demanda si tout allez bien et je vis ses blessures ainsi que les miennes des suites de l'explosion qu'on avait subit. Je pris Gnougnouf dans mes bras et lui dis "Tu sais maintenant je suis une magicienne :3". Une aura rouge m'entoura de nouveau, et de la fumée s'echappa de mes yeux pour allez directement sur mes blessures et celles de Pignouf. Celles ci se refermèrent soudainement en enlevant la douleur Physique qu'elles engendraient. Bien sur, il faudrait encore pas mal d'expérience pour qu'un jours je puisse ramenerles morts a la vie, mais vu que je suis trop forte maintenant, je pense que d'ici quelques mois, ca devrait le faire, et moi et Pignouf on pourra vivre ensemble éternellement :3. Une fois nos blessures soignées, Je mis mon sceptre a l'horizontale pour faire genre "je sui tro 1 bg" et décida de passer la porte qui nous menait tout les deux a la sortie. Bien sur, le sceptre fut bloquer car la porte ne fus pas très grande, je fus projeter en avant et eu mon souffle coupé, balança tout mon poid sur le sceptre et celui si explosa les contours de la porte ce qui fis fragiliser le plafond, une poutre sans importance tomba a quelques centimètres de Pignouf et faillit l'assomer. -GNOUGNOUF ! ALLONS Y ! ECHAPPONS NOUS DE CES MECHANTS ET PREPARONS NOTRE MARIAGE :3:3.
Dé action :
Parfait : Wolf est propulser sur le lezard et bloque son avancée. Bien : Wolf ralentis l'arrivée du lezard Raté : Wolf est sur le chemin du lezard Euh : Fail.
(Ne t'en fais pas, quoi que Pignouf en dise, il en est parfaitement incapable :p)
Lorsque Pignouf sentit que Wolf était prêt à le tirer dessus, Pignouf s'immobilisa. Bordel, mais l'autre Maskass, il avait foutu quoi, pour le laisser ainsi s'approcher vers eux ! Pignouf grognait, rageait. Il devait trouver une solution. Et manque de bol, ou peut être pas, en fin de compte, Blondasse se réveilla et constata que le Général était en train de lui plotter les nibards. Rougissant sur le moment, il se décala, lorsqu'il comprit qu'elle allait faire un carnage. Grimpant les marches comme une furie, celle ci apparut devant le loup et lui fracassa la mâchoire avec sa croix rouge, qu'elle avait hérité du Neither si la mémoire du Maskass était correcte. Un bruit sourd se fit entendre, puis celle ci revint jusqu'à lui, avec un sourire d'ange, avant qu'ils ne décident de progresser et qu'elle ne manque une énième fois de le tuer.
Pignouf était en train de réaliser, qu'au fond, même si elle faisait un grand nombre de gaffe, elle n'était peut être plus autant potiche qu'elle avait pu l'être avant. Pignouf la suivait à l'intérieur de ce souterrain secret qui menait vers une sortie de secours. Sur le chemin, celui ci s'approcha d'elle, pour lui confier quelque chose. Ce qui était cependant sûr, c'est qu'elle pouvait crever pour qu'ils se marient. Tout ce qui comptait pour le Général Maskass, c'était sa Ama' ♥...dont il n'avait d'ailleurs plus aucune nouvelle.
Hey...Euh heum..."Chérie"...Tu sais...Au fond je me dis que tu es peut être plus utile qu'avant. Dans ce cas...Tu accepterais de faire route avec moi, hein ? Quoi qu'il arrive ?
Jouant un double jeu pour gagner sa confiance, Pignouf avait besoin de temps pour trouver un moyen de lui retirer ses pouvoirs. Et alors qu'ils progressaient en direction de la sortie, ils tombèrent face à quelque chose de bien étrange...
Oh...Eh bien. Ne serais-ce pas des formes de vie ? Enchanté, je suis le Moniteur Alpha 75-87-41 Série B, aussi appelée Monita. Mon rôle est de vous guider contre la Destruction du Monde.
Un amas de pixels se métamorphosa devant le Général ainsi que Blondasse, laissant apparaître un robot constitué d'un écran LCD, ainsi que d'un seul bras relié à une petite structure dans un métal inconnu. Le robot en question portait un petit nœud papillon rose, et l'intonation qu'elle prenait faisait penser à une voix féminine. Monita se déplaça dans les airs, en flottant au dessus du sol, et en tournant autour du Maskass et de l'humaine. Elle s'approcha de celle ci, en faisant des petits bips, et en déclarant, sans aucune retenue et d'une voix neutre :
Mes capteurs m'indiquent que vous êtes une personne particulièrement stupide, mais possédant un énorme pouvoir. Votre compagnon l'est tout autant que vous. Ou peut être moins. Voudriez-vous obtenir des informations sur la Fin des Mondes ?
Sur l'écran, un texte en pixel s'afficha, proposant les choix « Oui » ou le choix « Non ». Comme ses deux interlocuteurs avaient du mal à comprendre la situation, Monita choisit le « Oui » pour eux. Puis l'écran se mit à briller.
Un instant, je vous prie, je dois activer mon système "haute fréquence".
De nouveau, un bruit informatique se fit entendre, tandis qu'une espèce d'énorme parabole se dressa autour de la tête de Monita. La Parabole tournait sur elle même, laissant supposer que l'information capitale qu'elle allait donner, pouvait être entendue à un autre endroit qu'ici, même s'ils étaient sous terre. Et en particulier, Wolf, Grey et le Caméléon, qui trainaient dans les coins.
Ce message s'adresse aux aventuriers se trouvant sur les lieux de la Première Tour. La Deuxième est cachée quelque part à Hyrule, par delà les flots bleu. Elle ne se montrera qu'en s'emparant de trois reliques sacrées, placées sur trois îlots chacune. Que vous souhaitez détruire ce monde ou le sauver, sachez que la prochaine Catastrophe aura lieu précisément dans moins de 240 heures. Moi, votre Guide Monita, vous indiquera la Destination menant à la prochaine Tour une fois ces trois reliques récupérée. De nouvelles informations vous seront aussi transmises. Bon voyage.
La parabole finit par disparaître, le visage neutre du robot apparaissant de nouveau. Monita inclina sa tête avant de disparaitre comme elle était apparue. Pourquoi avait-elle choisi d'apparaître devant ces deux grands nigauds ? Le message qu'elle avait transmis était en tout cas clair. Il allait falloir partir en Mer, et donc...Trouver un solide navire, si certains ici voulaient hériter d'un grand pouvoir ! Ou...éviter la Fin des Temps.
L'assassin au cause des derniers maskass qui le prenaient encore pour cible, il avait été contraint de ralentir sa progression vers la cave pour ne pas risquer d'être abbatu. Quand Leon Powalski fût arrivé là ou demeurait auparavant Pignouf et Blondasse, il était déjâ trop tard. Wolf était allongée sur le sol, assourdit par le coup de Blondasse, qui au passage avait ensanglatés légèrement le menton du loup. L'être humanoïde vert mit un doigt sur la blessure de wolf complètement recouvert de son sang, puis il goutta son liquide rougeâtre. << Ce n'est pas le méllieure, mais il n'est pas mauvais non plus. Cependant je n'irai pas tué mon ami juste pour boire son sang. >> Pensait Leon Powalski avant de se revolter du traitement qu'ont lui avaient infliger à son ami.
Ils vont le payer ! Personne n'a le droit ici de blesser mon méllieure sujet euh... Ami !!
Devant le caméléon se dressait une poutre en bois et plusieurs pierres qui rendraient probablement pour l'assassin le franchissement de cette endroit difficile, d'autant plus que ces mains étaient lié dans son dos et qu'un lourd poids était relier à un de ces pieds. Leon Powalski sans poussé de soupir, il traversa avec difficulté l'obstacle qui était précédemment devant lui. Trouver la motivation n'avait guère été compliquer puisqu'il était désirait plus que tout se venger de l'humiliation qu'il avait recu de la part de Pignouf et ces soldats, ainsi que de la blessure de son méllieure amis. En même temps qu'il traversait, il entendit une voix féminine robotique annoncer :
Ce message s'adresse aux aventuriers se trouvant sur les lieux de la Première Tour. La Deuxième est cachée quelque part à Hyrule, par delà les flots bleu. Elle ne se montrera qu'en s'emparant de trois reliques sacrées, placées sur trois îlots chacune. Que vous souhaitez détruire ce monde ou le sauver, sachez que la prochaine Catastrophe aura lieu précisément dans moins de 240 heures. Moi, votre Guide Monita, vous indiquera la Destination menant à la prochaine Tour une fois ces trois reliques récupérée. De nouvelles informations vous seront aussi transmises. Bon voyage.
Au début du message le caméléon pensait qu'il s'agissait d'une machine qui racontait un conte de fée mais quand celle-ci avait mentionnée indirectement que ce monde était menacée le caméléon avait tout de suite adopter une attitude plus attentive. Leon Powalski avait compris seulement la moitié du message, en plus d'avoir écouter à moitier lors de la première moitié il n'avait rien capté sur les tour par faute de connaissances... L'humanoïde vert n'était même pas certain que ce message concernait les actualités de ce monde, il pouvait s'agir d'un jeux de rôle ou d'un piège de Pignouf encore... Le caméléon resta pensif trois secondes avant de annoncer à son camarade Wolf :
J'ignore si ce message est vraie ou pas mais s'il est vrai... Ont sera encore plus mal que dans un tas d’excrément...
Leon Powalski demanda aussitôt à Monita en hurlant, en même temps qu'il finissa de franchir l'obstacle qui lui barrait la route :
Monita !! Quelle est la position précise de la deuxieme tour ?!