Je me trouvais dans une grande maison qui semblait délabré, tout en étant assis sur un confortable fauteuil et en ayant mes pieds croisé sur une table en bois. Je me demandais comment j'en étais arriver la, tout en poussant un soupire de soulagement. Je me rappela tout ce qui c'était produit, ce qui me fis échappé un petit rire. Après avoir quitté Celestia, je me promenais dans le monde. Sans vraiment aucun but précis, j'aidais simplement les gens qui avaient besoin de moi. Je rendis de très nombreux services, et tout ça à travers le monde. Il s'agissait très bien de combattre des monstres, comme portés quelque chose à travers les continents. Je faisais mon travail rapidement, et je demandais aucune rémunération.

Ce qui m'attira rapidement les foudres, de ce qui pratiquais un travail semblable aux miens. Voila pourquoi cet endroit est en ruine, souvent je devais faire face à des hordes de Ronin en colère et assassin divers. Qui échouait tous malheureusement, leurs missions. En même temps vouloir me tué, je comprend que ça soit difficile. Lorsque j'entendis parler de ce lieu, je voulu directement y ouvrir un endroit dans le genre. C'était le paradis des ronins, d'ailleurs pour des questions d'ordre je dus changer mon nom et caché mon visage. Car les héros sont devenus des légendes dans ce monde, maintenant je me fais appelé Le Beau Léon.

Ca à l'air un peu immature et vantard, ... OUAIS CARRÉMENT MAIS J'AIME CA !

On peut dire que quitté Celestia ma bien réussis, j'ai un nouveau jobs et il est encore plus démens que l'ancien. Car je suis mon propres patron, et j'ai de compte à rendre à personne. Ce qui entre nous m'arrange énormément, et je pense que personne me fera chier maintenant, vu qu'ils n'ont pas besoin de moi la bas. D'ailleurs depuis que j'ai quitté tout ce touchais à la mort, mes pouvoirs vont bien mieux et je les gères plus facilement. Une coïncidence, je ne crois pas non !

Une puissance hors normes était apparut aux alentours du manoir, je ne savais pas qui était cette personne.Je pensais pas que cette personne venait simplement, pour un simple problème de monstre à combattre. Je ne pus m’empêcher d'afficher un sourire, ça faisait longtemps que je n'avais pas combattu d'adversaire qui pourrais être à ma hauteur. Je laissa approcher l’individu, jusqu'à voir que ce qui pouvait être mon ennemie potentiel était une fille. Qui était plutôt jolie d'ailleurs, je ne savais pas ce qu'elle voulait. Mais elle ne ressemblait pas aux autres, échangent un simple regard avec cette personne. Je vis directement qu'elle n'était pas simplement la pour me combattre, elle avait une idée derriere la tête. Je pris soudain la parole avec un air neutre, tout en affichant un sourire en coin.

Désolé je n'ai pas l'habitude de recevoir des visites de jolie fille, ou plutôt de fille tout court d'ailleurs. Permettez moi de ranger un peu, je suis à vous dans une seconde.

Je mis le plat de ma main contre le mur, qui semblait ne plus pouvoir tenir ainsi pour longtemps. Des nombreux petits éclairs bleus, c'était produit au contacte de ma main.
Progressivement le manoir c'était mis à changer, les murs était devenus blanc. Certain était couvert de plante parcourant une bonne partie de la pièce, le bois avait repris sont éclats et ses couleurs d'origines. Le toit de la pièce était ornés de plusieurs lustres en or, qui faisait briller de mille feux l'endroit. Ainsi que la peinture qui ce trouvait au plafond, qui ressemblait à un balais d'ange. Ce qui rajouta au féerisme de la pièce, j'enleva ma mains du mur et m'assis normalement à mon bureau.

Voila désolé j'ai mis un peu de temps, mais j'ai fini. Mais bon nous ne sommes pas la pour discuter rangement, en quoi je peux vous aidez ?

Ce n'était pas une cliente comme les autres, j'allais enfin savoir ce qu'elle me voulait.

Viridi recula d'un pas lorsque le manoir reprit sa forme initiale. L'endroit était d'un gout extrêmement raffiné, mais la jeune fille tendit son sceptre à l'endroit où Squall avait placé sa main, et une boule d'énergie entourée de pétales en sortit, créant un trou béant dans le mur. Des racines se propagèrent alors autour du mur et les parois du manoir devinrent progressivement cibles et proies d'un lierre caulescent et grandissant. Viridi s'exclama alors :


"Ah ! La nature reprenait ses droits, ici, mais tu l'as supprimé sans aucun scrupule ! Comment Azul peut-il prétendre qu'un être comme toi puisse devenir un de mes généraux ?"


La jeune fille planta son sceptre dans le sol et affiché un sourire malin et croisa les bras, avançant sa tête dans la direction de Squall :


"Mon nom, jeune ignorant, est Viridi. Je suis la déesse de la nature et de la vie, et partout sur cette terre assombrie par Hadès, tu te trouves sur mon territoire ! Un territoire sacré où j'ai libre arbitre de reprendre mes droits, dès que je le souhaite."


Balayant ses cheveux d'une main, la jeune fille dit alors, d'un air supérieur :


"Mais je ne suis pas ici pour cela. Selon les volontés du Panthéon, je dois t'accepter comme général de mon armée de la Nature, dans le but de combattre Hadès ! -Viridi pointa l'index sur Squall- et tu n'es pas en droit de refuser."

Donc de ce que j'ai compris tu es la mère nature, mais pourtant tu n'as pas été gâter par cette dernière. Je comprend ta frustration, tu es aussi désirable que les cadeaux que tu offre.

Tout en me levant lentement, je me demandais ce qui me faisais le plus rire. Tout en affichant un sourire en coin, le fait que Azul pense que je suis encore dans ses rangs après ce qu'il ma fait subir. Ou le fait qu'il pense que j'allais accepter ce qu'il me demande, il s'améliore de plus en plus en blague d'après ce que je vois. J'ai au moins eu un effet positive, je tourna le dos à Viridi en observant les racines qui c'était déployé dans la maison. Je me retourna vers la femme de Christophe Maé, un ancien Ronin de Crimea qui chantais une chanson à propos de la terre.

Je me mis en position de médiation, paume contre paume je me concentra. Viridi semblait intrigué par ce que je faisais, je fis alors un mouvement brusque en prenant une position de combat tout faisant le célèbre cris d’intimidation des arts martiaux Asiatique. C'est alors qu'une puissante explosion eut lieu derriere moi, transformant toute la végétation en cendre.

C'était super j'ai toujours rêver de faire ça, mais bon bref ce n'est pas le sujet.

Je m'approcha de cette dernière, et approcha mon visage du sien comme elle l'avait précédemment fait.

J'en ai absolument rien à foutre de ce que tu fais, ou de pour qui tu bosse. Je n'ai plus rien à avoir avec eux depuis que Azul ma banni, donc je n'ai plus à répondre à l'appel du devoir comme tout le monde. Donc si ils veulent mes services, va falloir en payer le prix. Au faite quand tu approche ton visage, des gens comme tout à l'heure vérifie si ton haleine ne reflète pas l'odeur de cadavre j'en ai presque vomis.

M'éloignant de cette dernière, je repris ma place sur mon fauteuil. Voyant qu'elle ne semblait pas vouloir partir, et qu'elle n'avais pas comprit ce qui venais de produire. Je toucha de nouveau le mur, en faisant apparaitre plusieurs panneaux lumineux indiquant la sortie.

C'est pas contre toi, mais avec la face que tu tire je pensais que tu étais perdus. Mais je vais te dire une chose, je pense que tu pourrais avoir deux autres personnes. Je pense qu'ils sont aussi sur ta liste, mais je suis sur que Gozen te répondra à peu de différence la même chose que moi. Mais je pense que tu aurais plus de chance avec Sumaru, après tout c'est un pieds de table.

L'expression de Viridi changea du tout au tout, passant de la méfiance au dédain. De plus elle savait pertinemment que son haleine sentait la rose. Dématérialisant son sceptre, la jeune fille regarda Squall quelques secondes, avant de ricaner. Son ricanement se transforma en un petit rire amusé. Plaçant le revers de sa main devant sa bouche en riant, les deux fleurs présentes sur ses cheveux et sur sa poitrine se mirent à briller. Viridi, pleine d'assurance, comme toujours, commença à partir, doucement. Elle s'arrêta quelques secondes et dit alors :


"Gozen et Sumaru hein. Oui, ils sont sur ma liste. Mais j'ai étudié vos profils avant de partir en quête de recrutement. Ce que je sais de toi me semblait assez pertinent, mais on m'avait prévenu que tu n'étais devenu qu'un pauvre déchet. Si encore tu étais bio-dégradable ça irait mais ton tiers divin ne reflète que l'âme pourrie des humains corrompus, que j'ai eu le malheur de créer, pour faire plaisir à Orion. Ton pauvre Cauchemar éternel ... N'est que l'image que tu donnes aux autres, l'image d'un imbécile tourmenté par la séparation de ses pouvoirs, et par la vérité d'être à la traîne par rapports à tes deux pairs. Gozen et Sumaru sont passablement aussi bêtes que toi, mais ils ont le mérite de se démarquer par leur puissance et leur vision unique du monde qui les entoure ..."


Viridi tourna la tête quelques secondes, ne montrant qu'un profil amusé :


"Mais à l'instar des plus belles pourritures de ce monde, tu ne mérites qu'une éternité de banalité, et un avenir de normalité, dans une maison qui ne reflète que l'étendue de tes vices ... Luxure, paresse, orgueil, et surtout avarice. Quand Asmodée Kokiri s'est séparé de son enveloppe primale, et que les vices sont apparus sur cette pitoyable roche astrale, tu n'étais pas encore incarné ici. Mais si tu l'avais été, ils t'auraient désigné pour cible, assurément. Et comme à l'heure actuelle, tu ne serais qu'une pauvre poussière destinée au caniveau d'une éternité d'errance dans un monde artificiel. Mpf ..."


Viridi se détourna complètement de Squall :


"Pour faire court ... Un être comme toi dans mon armée ne serait que l'équivalent d'une pollution à l'échelle mondiale."


Viridi embraya le pas et passa la porte principale du manoir.

Je savais pas pourquoi mais ma réaction à cette provocation, me fit souffrir un minimum. Le fait qu'elle me traite de déchet, ou d'autre insulte dans le genre ce n'était pas ça qui me gênais au tant. Je savais qu'elle ne valait pas mieux que ses propres mots, car en venant chercher de l'aider chez les déchets comme elle le dit. C'est qu'elle ne possédé pas la puissance nécessaire pour pouvoir faire face à Hades seul, mais c'est le seuil de puissance atteint par nous trois.

D'après moi l'écart de puissance entre Sumaru, Gozen et moi n'était pas aussi grand. Mais il était possible que je les avais sous évalué, à fin de pouvoir me rassuré sur ma propre puissance. Ça remettait énormément de chose en question, comment pouvait t-il évolué si rapidement. Alors que je passais la plus part de mon temps libre à m'entrainer à fin de repoussé mes limites. Il est vrai que je ne suis pas un Dieu, où je ne suis lié à une quelconque entité céleste. Mais je pense avoir un énorme potentiel, je ne suis pas aussi faible que ce qu'elle croit...

Pourquoi je m'étais mis à réfléchir à tout ça, je savais qu'un jour je serais leurs égaux voir je les surpasserais. Il me fallait simplement du temps, mais la n'était pas le problème je devais répondre à cette arbuste ambulant. Je n'allais pas me laissé faire, sans répondre. Surtout qu'elle ne valait pas mieux que moi, et surtout elle ne valait pas mieux que n'importe qui en traitant sa création ainsi. Ne prenant pas la peine de me transformer, je disparus de mon fauteuil dans un éclat d'ombre à fin de apparaitre sur le toits d'un bâtiment. Je lui répondis alors, sur un ton un peu plus sérieux.

Je suis certes faible par rapport à ces deux mecs, mais ça me gène pas vraiment. Ils restent quand même mes amis, et je sais que ce n'est qu'une question de temps avant que je puisse les rattrapés. Je ne vais pas mentir tu as fais fort, en me disant cela et je me suis même remis en question.

Mais...

Tu n'es pas la mieux placer pour parler de puissance, d'après ce que j'ai compris tu n'est pas assez puissante pour faire face à Hadès. Ainsi tu préfère garder ton orgueil, en disant que le Panthéon t'oblige à te servir de nous dans ton armée. A ta place aussi j'aurais honte, d'avoir besoin de personne que tu traite comme des déchets. Sauf que sans ces déchets tu ne peux rien faire, donc tu ne vaux pas mieux que ces derniers. Mais je pense que tu as une classe au dessus de moi, car tu fais partis de ces déchets qui détestent les gens au point de vouloir les tués, mais qui leurs lèchent les pieds quand ils ont besoins d'aide.

L'orgueil et l'envie... Oh mince ce sont les vices que je t'ai découvert en à peine quelque minutes, je suis désolé je l'ai ai dis à haute voix.

Me trouvant toujours accroupis au niveau du toit, j'observais la boule d’énergie que Viridi avait lancer venir dans ma direction. Je fis un petit cercle avec mes deux doigts, ainsi une substance noire est apparu au tour de la boule d’énergie. La dévorant sans lui laisser le moindre espoirs, l’énergie revenait vers moi. Je n'étais décidé à combattre, mais je n'avais pas le choix. Je toucha le sol avec ma mains et deux portes c'était formé, l'une ce trouvais sous les pieds de la déesse. L'autre ce trouvait à mes cotés, des mains d'ombre avait attiré Viridi dans cette dernière. Je fis de même, ce qui nous transporta dans un autre endroit. Je ne voulais pas blesser les gens qui ce trouvait ici, je n'avais pas perdu mes idéaux.

Les portes nous avaient décomposé, ce qui nous fit voyager à travers le monde jusqu'à un désert calme et sans la moindre trace d'habitation humaine. J'avais l’habitude de me faire décomposer par l'alchimie, ce qui semblait pas être le cas de la jeune fille qui ce releva difficilement. Me trouvant toujours accroupis je réfléchissais, je connaissais déjà l’issue du combat je savais que ne pouvais pas gagner. Tout ce que je pouvais faire, c'était l'épuisé un maximum. Pour que le suivant ait plus de chance ce s’en sortir avec cette dernière. Mais je pense avoir un avantage sur cette dernière, c'est que après tout mes entrainements. Je ne ressens plus la douleur,ce qui pourrait être un net avantage.

Elle était entrain de reprendre conscience, elle ce releva directement comme si rien ne c'était produit. Restant toujours sous ma forme humaine, mon masque était entrain d'apparaitre. Je fis apparaitre la moitié gauche, avant de reprendre la parole.

Ce qui te donnerait l'envie de nous épargner, est peut être le fait que tu ne fasse pas le poids contre nous trois réunis ? Mais à ce que je vois, nous haïssons tout deux une personne Céleste. Qui est cette Palutena dont tu parle, ton adversaire dans cet quête de vaincre Hadès ? Je viens d'avoir une idée, dis moi en plus sur tout ça. Je pourrais reconsidéré ma réponse, enfin ça dépendra des circonstances.

Viridi, nullement étonnée d'avoir été transportée dans le désert par Squall, rangea son arme en la dématérialisant. Fatiguée et en colère, elle fit la moue et s'assit sur un fauteuil fait de fougères et de racines. L'autour du fauteuil transforma le désert en un sublime champ de fleur, sur une circonférence de quelques mètres. Adossant son coude sur l'accoudoir et faisant reposer sa tête -plus précisément sa joue- sur son poing, la déesse poussa un soupir d'exaspération. Levant les yeux au ciel, elle dit alors :


"Je ne déteste pas Palutena. Elle est ... Comme une rivale, rien de plus. Palutena avait un général du nom de Pit, dans le temps ... Ce dont je te parle s'est produit il y a presque un millénaire, maintenant. Hadès ... Je l'ai combattu dans le temps. Plusieurs fois, même. Tantôt de mon côté, tantôt du côté de Palutena. Palutena est la déesse de la lumière, et comme moi, un membre du Panthéon divin. Elle et moi ne venons pas de Nintendo World. Hadès non plus. Lorsque nous avons gagné la guerre contre les enfers, Hadès, que nous croyions mort, s'est réincarné dans ce monde ... Et Azul, votre dieu de la mort, nous a appelé pour enrayer la menace ... Ce qui est plutôt risible quand l'on considère que dans mon monde, Thanatos, notre dieu de la mort, était un allié de poids chez Hadès."


Viridi baissa les yeux sur Squall.


"En tant normal je n'aurais eu besoin de vous ... Et comme il y a mille ans, mes humains se déchirent pour une prise de pouvoir qui les aveugle. Palutena dit toujours que les humains sont les créatures se rapprochant le plus des dieux. Est-ce bien vrai ? Pour quelques prières ? Moi même ne suis en mesure de le savoir réellement. Mais toi, Squall Leonheart ... Que tu veuilles m'aider, ou non, je considère qu'en tant que Créatrice, j'ai peut-être négligé certains aspects de ta personne ... Du travail bâclé, tu vois."


La déesse se leva et fit un mouvement de tête remettant sa coiffure en place.


"Hadès est à l'heure actuelle plus fort que jamais, et ses régisseurs universels semblent être des entités surpassant même les dieux. Mais si les humains sont vraiment le chaînon manquant entre la Création et le Panthéon, je peux vous perfectionner. Je n'ai jamais désiré créer une super armée, en dehors de mes créatures combattantes, mais je peux faire de toi un être sensible, et enrayer ce surplus de peine qui t'annihiles. Si tu veux bien, en retour, combattre à mes côtés, je réaliserai ton désir de te placer à l'égal de tes pairs."

Ce n'est pas ton premier combat contre ce dernier, si j'ai bien compris. En faite je m'en doutais depuis le début, mais je n'en avais pas pris compte. Mais je sais que trop bien ce qu'on ressent à combattre toute sa vie, depuis l'age de mes 4 ans je n'ai fais que combattre moi même. A la fin on ne combat plus, c'est simplement devenu un mode de vie. On s'habitue à la mort des gens qu'on aime, les personnes qui nous entourent ne sont plus nos équipiers mais simplement des chances de survies en plus.

Tournant le dos à la déesse qui ce trouvait sur un fauteuil, qui semblait fait de racines en tout genre. J'observais l'horizon en repensant à ces guerres incessantes, je comprenais que trop bien ce qu'elle pouvait ressentir. Reprenant avec une voix tremblante, passant ma mains sur mon visage.

Sachant à peine marcher, j'ai grandi sur le champ de bataille. Arme à feu sirènes et hurlements, ils étaient ma berceuse.. Traqué comme des chiens, jour après jour, poussé vers nos refuge déchiqueté... C'était... ma vie. Chaque matin, je me réveillais... et trouvais un peu plus de ma famille ou de mes amis morts à coté de moi. Je regardais l'aube.. en priant pour passer la journée. Les Dieux de ce monde étaient devenus aveugle, à notre misère.

Levant les yeux au ciel, je me retourna vers cette dernière et baissa immédiatement la tête en direction du sol. Tout en me dirigeant vers cette dernier, abandonnant arme et accessoires divers. Je me concentrais de toute mes forces, contractent chaque muscle de mon corps. A fin de réaliser une simple action, toutes les ombres qui s’échappaient de moi avaient disparus. Laissant apparaitre une aura d'une blancheur extrême, reflétant simplement ce qui ce trouvait de pur en moi. Une partie de mes cheveux avait prit cette couleur, me trouvant enfin devant Viridi j'approchais mon bras et posa ma main sur son épaule.

Si j'accepte ce n'est pas pour le pouvoir, ou pour obéir au Panthéon. Je fais ça simplement pour toi, je veux que tu puisse vivre normalement. Que tu n'ai plus à combattre sans cesse un ennemie devenant de plus en plus fort, je sais que trop bien ce qu'on ressent. Si il le faut je combattrais jusqu'à la fin des temps, mais je ne peux pas te suivre pour l'instant. Je dois faire quelque chose, je serais la bientôt.

Les ombres avaient rapidement repris le dessus, me provocant une profonde douleur que je n'exprima pas. Reprenant ce qui m'appartenais, je me dissipais peu à peu en nombreuses perles d'ombre. Je savais qui pourrait m'aider pour ce dons j'avais besoin, et je savais comment le trouver.

suite= les couilles d'une chèvre