Le ciel était ensoleillée et bleu clair cette journée dessus Daien. Le soleil brillait et les enfants jouaient dans les rues. Les rues en pierres avaient l'air vielles mais tellement jolies. La jeune fille venait d'arriver dans cette ville et était déjà contente de sa vue. Jamais dans sa vie elle n'avais vu des gens aussi contents que ça, peut-être à cause du fait que d'où elle venait, la vie n'était pas une chose merveilleuse mais plutôt une malédiction. Une malédiction que l'on ne pouvait pas finir. À moins que.. Enfin bref.

Miori entra dans un petit magasin qui avait l'air sympa. La dirigeuse du magasin était une vielle petit dame qui devait avoir une soixantaine d'années déjà. Le magasin avait pleins de sorte de choses, des bijoux, des vieux objets etc. Tout ce que un petit magasin pouvait contenir. Elle se dirigea vers une section pour les pendentifs et les bracelets. Elle fouilla un peu les pendentifs sans rien trouver, même si elle n'aurait pas eu besoin d'un pendentif vu qu'elle en avait déjà un. Celui qui fesait apparaître ses pouvoirs.
Puis elle commenca a fixer un bracelet. Celui-ci ressemblait parfaitement à son collier. Une plume avec une pierre rouge. Elle se demanda pourquoi étaients-ils si ressemblants. Sans hésitages la brunette prit le bracelet et se dirigea vers la caisse pour la payer.
- Je voudrais prendre ceci, dit Miori presque en chuchoteant.
La vielle regarda un moment le cou de la jeune fille et dit. (UN VAMPIRE o:) :
- Pour vous, pas besoin de la payer.
La jeune fille était stupefié, mais baissa sa tête un peu en signe de remerciement et marcha vers la porte. Même avec un peu de problèmes d'ouvrir la porte, Miori sorta du magasin. Contente et toujours stupefié.
Pourquoi la dame ne voulait pas qu'elle paye le bracelet ?

La rue de pierre était longue et courbée et elle avait deux choix. Soi aller vers un pont en pierre pour aller quelque part, ou essayer de chercher une place où dormir. Vu qu'elle savait que la nuit allait se rapprocher, la place de nuit était mieux. Miori marcha vers une porte immense en bois. Elle ouvra la porte et entra.
C'était un sorte de bar, et un hôtel. (un peu comme dans FMA je sais plus quel numéro. ._.) Il y'avait pleins de gens dedans. Des jeunes de son âge, des enfants et des adultes. Mais aucune signe de vieux. Soudainement une petite lui tira sa robe afin d'avoir son attention.
- Tu veux jouer à la poupée avec moi ?
Err.. Jouer à la poupée, avec un enfant. Dans un hôtel ? Jamais. Elle ne voulait pas être méchante mais jouer à la poupée était sûrement la chose la plus ridicule qu'elle pouvait imaginer faire dans un hôtel.
- Si tu vas demander aux garçons là-bas ?
Miori montrait des garçons de son âge avec son doigt. Ils avaient l'air de ne rien faire, donc cela n'était pas son problème. La petite fille marcha vers les garçons et la brunette commença a rigoler doucement. Elle morda ses lèvres et marcha vers une sorte de caisse.
- Excusez-moi mais avez-vous une chambre de libre ?
Elle attenda la réponse de la caissière, si elle pouvait l'apeller comme ça.
- Oui, la chambre 25 est libre, voici les clées.
Elle prit les clées et marcha vers les escaliers. Quand, les garçons étaient devant elle. Ah merde... Pensa t'-elle. Mais les garçons ne fesaient rien. Comme ci ils la regardaient simplement. Miori passa devant eux et alla vers sa chambre. Elle pris les clées de son petit sac noir. La jeune fille ouvra la porte et s'installa dans sa chambre. Et s'étalla sur son lit comme ci elle n'aurait pas été sur quelque chose de confortable depuis des années. Puis quelqu'n toqua sur la porte. Qui pouvait être cette personne ?
Elle alla ouvrir la porte et vu que il n'y avait personne derrière la porte. Était-cela une blague ? Peut-être.

Sans y réfléchir Miori descenda les escaliers. Elle était certainement sur la lune vu que sans remarquer elle se cogna contre quelqu'n.
- Oh je suis si désolé ! dit elle.

J'étais dans cette ville en escale, je ne cherchais rien en particulier simplement un peu de temps à fin de comprendre ce qui venait de m'arriver et le fonctionnement de ces objets étranges. Cette ville était plutôt calme idéale à ce que je voulais y faire, marchant dans les rues de la ville. Il semblait que les habitants n'avait jamais vécu de drame, la ville était toujours resplendissante comme si elle n'avait vécu aucun dégâts. C"était plutôt étrange je me sentais vraiment bien dans cette ville, elle ressemblait à celle où j'avais grandis. Mais avant de visiter il me fallait un endroit où je pourrais prendre un peu de recule, il semblait y avoir de nombreux hôtels et auberges dans les environs.

N'ayant aucune information sur ces derniers, je me dirigea au gré du vent me laissant porter à travers cette grande ville qui respirait la joie ainsi que le bonheur. C'était plutôt étrange de ma part d'accorder au tant d'importance à un lieu,étant arriver vers une grande place marchande.Je me faufila entre les gens qui marchandait des objets, certains aux vertus magique ou simplement des décorations en tout genre. C'est ainsi que je suis arriver devant un grand bâtiment fait tout de marbre me faisant rappelé les constructions qui ce trouvaient à Celestia. Continuant mon chemin vers la grande porte principal, je me dirigea vers l'hotelié je ne prêta pas attention à ce qu'il me disait je saisis la clé laissant une somme d'argent plutôt conséquente. Je n'ai vu qu'une chose sur son visage, c'était une expression tellement étrange. Il semblait être ébahis par la somme que j'avais laisser, ce qui attira tout les regards. Me dirigeant vers la chambre,
je monta les escaliers. Sans faire vraiment attention de ce qui ce trouvait en face de moi, cognant quelque chose je leva les yeux et vis une jeune fille. Je l'observa et m'excusa, prenant une teinte semi écarlate.

Je suis désolé, je ne faisais pas attention où je marchais.

Je repris immédiatement mon chemin en direction de la chambre 25, dans la quelle je m'installa. Je n'avais pas grand chose comme affaire, je les posa dans un coin de la chambre. Où ce trouvait étrangement d'autre affaires, je n'y prêta pas plus d'attention que ça me dirigeant vers le lit.



La nuit arriva rapidement, je ne savais pas combien de temps j'avais passer dans ce lit à observer cet objet étrange qui renfermait tant de pouvoirs. La chambre était sombre, mais la lune provoquait une certaine lumière qui éclairait cette nuit sombre la rendant magnifique. Le bras levé vers le plafond, j'observais encore cet objet en me posant un tas de question. Il produisait un tas de lumière différente, une orange une blanche ainsi qu'une sombre qui ne portait pas bien loin.Énormément de chose me traversais l'esprit. Je ne m'étais jamais reposer dans ce monde, donc je n'avais jamais pus faire le point sur tout ce qui m'était arriver.

Je repensais à tout un tas de chose, ma rencontre avec certaine personnes. Tout ces moments que j'avais passer avec des qui m'étais inconnu, je repensais à tout ces combats et tout ces efforts que j'avais fais pour eux. Je repensais aussi à mon monde, qui me manquait énormément. Mais j'avais tirer un trait sur ce dernier, je savais que je ne pourrais jamais y retourner surtout avec tout ce que j'avais appris ici. J'étais devenu indispensable à ce monde, mais quelque chose me troubla dans mes pensées. Il y'avait cette jeune fille que j'avais croiser dans les couloirs de hôtel, je ne savais pas pourquoi je pensais à cette dernière je ne la connaissais pas vraiment. Mais lorsque je pensais à elle je sentais mon visage devenir chaud, et je ressentais comme une chose étrange, au niveau de mon torse. Je mis à rire doucement, ce n'était pas dans mon habitude de ressentir ce genre de chose.

Tournant mon visage en direction de la grande baie vitré, qui faisait office de mur dans le gauche de la salle. Je vis le ciel nocturne qui était éclairé par une lune magnifique, et par des centaines de millions d'étoilés qui rendait ce ciel si magnifique. Je me demandais comment je n'avais jamais pus remarquer un ciel comme ça avant, la guerre prenait une trop grande partie de ma vie et je n'ai pas pus me concentrer sur quelque chose de fondamentale dans ce monde. Ces paysages magnifiques, et ces peuples ayant une culture différentes chacune des autres. Observant de nouveau le plafond je poussa un soupire ayant une énième pensé pour la jeune fille que j'avais croiser.