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| Invité | (Extra ^^)
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Le phénomène surnaturel suscitait de plus en plus la curiosité des citoyens de Cornéria City. C'est en tout cas ce que je me disais en voyant les fenêtres des buildings grandes ouvertes. Tout le monde avait arrêté de travailler, de bouger, de s'activer, et avait le regard braqué vers les nuages.
Puis soudain, ma télé se ralluma. Un message "vous allez être mis en relation avec le gouvernement" venait de s'afficher dessus. J'eûs d'un coup une envie de shooter dans la télé car je croyais qu'elle venait de se faire pirater. Le message disparût, laissant place à un bureau ovale avec le drapeau cornérien dans le fond. Je vis le Général Pepper se poser dans son fauteuil. J'en fis de même dans le mien. Cela semblait être une annonce retransmise en direct. Le Général parla :
- "Chers concitoyens et concitoyennes de Cornéria... Vous avez très certainement dû apercevoir l'objet non-déterminé qui est actuellement en poste au-dessus de la capitale. Nous ne savons pas pour le moment de quoi il s'agit. Tout ce que nous savons, c'est que cette chose a provoqué l'arrêt de nos satellites dès son apparition. Je vous parle depuis une fréquence secrète gouvernementale, en attendant que nos techniciens parviennent à rétablir le réseau. Je vous demande de garder votre calme et d'attendre nos prochaines directives. Pendant ce temps, nous allons essayer de savoir à quoi nous avons à faire."
Le discours avait une teneur grave et annonçait de mauvaises auspices. |
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| Invité | Le bouc arrêta de regarder et alluma la radio de la voiture pour voir s'il y a des infos. Cela semblait être une annonce retransmise en direct. Le Général parla :
- "Chers concitoyens et concitoyennes de Cornéria... Vous avez très certainement dû apercevoir l'objet non-déterminé qui est actuellement en poste au-dessus de la capitale. Nous ne savons pas pour le moment de quoi il s'agit. Tout ce que nous savons, c'est que cette chose a provoqué l'arrêt de nos satellites dès son apparition. Je vous parle depuis une fréquence secrète gouvernementale, en attendant que nos techniciens parviennent à rétablir le réseau. Je vous demande de garder votre calme et d'attendre nos prochaines directives. Pendant ce temps, nous allons essayer de savoir à quoi nous avons à faire."
Cyril savait qu'il devrait se défendre seul et non être protégée par des personnes incompétentes comme tous les riches. Le bouc pouvait compter sur sa dernière invention : son bras bionique. En effet, dès qu'il avait du temps libre, il passait son temps à concevoir des systèmes. Le problème est qu'il ne pouvait pas combattre devant tout le monde, il est déjà connu et souhaitait être anonyme dès qu'il s'agit de se défendre.
La circulation était maintenant libre. Il rentra chez lui. Dans son villa, il confectionna un costume qui devrait l'aider et non pour faire joli. Il pensa créer une combinaison permettant d'être à l'aise dans ses mouvements, des bottes permettant de courir rapidement et un casque électronique pour voir visiblement dès qu'il court à grande vitesse et mieux viser ses adversaires à distance.
Cyril passait la journée entière pour créer ce costume. Une fois faite, il attendit la nuit pour tester. |
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| Invité | J'éteignis la télé, qui n'avait plus rien d'intéressant à raconter à part des grésillements, et retournai à la fenêtre. Les gens discutaient entre eux en ciblant la plaque de verre et se livraient à des opinions variées. Ma voisine du dessus n'était plus là, et les gens, rassurés par le discours affiché en boucle sur un énorme panneau holographique, commençèrent à partir de la rue et à retourner leurs activité. Il restait cependant encore plusieurs indécis, qui ne voulaient pas perdre une miette des prochains événements. Je les comprenais, une chose pareille n'arrivait qu'une fois dans une vie. Une fois dans plusieurs vies.
Puis je vis deux chasseurs de l'armée se dirigeaient grâce à leurs propulseurs vers l'objet flottant. Il devait s'agir d'une patrouille de reconnaissance, ils n'étaient pas armés. Les gens dans la ville les aperçurent aussi et le brouhaha s'intensifia à nouveau. L'armée commençait à entrer en scène, ce n'était pas rassurant. Quand soudain, les deux chasseurs explosèrent.
La première réaction générale fut l'incompréhension. Que s'était-il passé ? Qui avait fait feu sur eux ? Il ne restait plus dans le ciel que la plaque de verre, tandis que les carcasses des vaisseaux allaient s'écraser, d'après moi, vers le centre ville, à quelques kilomètres d'où je logeais. Je ne vis rien de l'atterissage à cause des bâtiments, mais à peine quelques secondes après, de la fumée noire s'élevait en l'air. Puis, plus rien. Le calme était de retour. |
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| Invité | Durant son travail, il écoutait la radio. Deux véhicules de l'armée furent écrasés au sol.
Le soleil commençait à se coucher. C'était le moment. Equipé, il prit sa moto et se dirigeait vers un parking vide. Une fois garé sa moto, il essaya de courir le long du parking. Cyril était plus rapide avec ses bottes. Il était de plus, plus léger avec sa combinaison. Le bouc essaya de sauter. Il sautait plus long. Cyril était satisfait de son travail. Il avait envie de se promener sur les toits de la ville.
Le bouc sauta vers le lampadaire puis sur le toit d'un magasin ensuite sur un immeuble. Il sauta de toit en toit. Il contempla le paysage nocturne en discrétion. Une fois vue, il sauta de nouveau sur les toits, regagna le parking. Il se changea vêtement. Il porta un débardeur noir, un pantalon gris avec une chaîne, des bottes noires. Cyril fuma une cigarette. Soudainement, il entendit des voix. Ce quartier était réputé par ses brigands. Il se rendit compte que c'était une mauvaise idée de garer ici. Il n'avait pas de temps de remettre sa combinaison. Il invoqua son poing sur son bras gauche. C'était le moment d'essayer son poing qu'il n'a jamais utilisé. Cyril esquiva les coups des brigands et donna des coups de poings. Sa frappe était plus puissante pour assommer les brigands pendant longtemps. Après réglé leur compte, son bracelet repris son aspect original. Le bouc rentra chez lui content que son travail portait ses fruits.
HS : Désolé si ça parait godmode. On va dire que ce post avait pour but de tester les inventions de Cyril. |
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| Invité | (Pas de soucis, en revanche essaye de ne pas trop faire bouger le temps (Jour/Nuit), du moins pas sur une grande période ^^')
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Il ne se passa presque plus rien le reste de la journée. J'étais parti voir le lieu de l'atterrissage forcé. J'eûs du mal à me frayer un passage dans la foule qui était venue nombreuse pour assister au drame. Nous formions un cercle autour des deux oiseaux de fers échoués dans leur cratère. Les ambulanciers arrivèrent et se hâtèrent d'emmener les deux blessés. Les militaires arrivèrent également et emportèrent leurs chasseurs détruits. Voyant que la foule posait de plus en plus de questions sur ce qui s'était passé, un gradé insista sur le fait qu'il s'agissait d'une surchauffe des propulseurs. Un mécanicien arriva et confirma que les deux vaisseaux n'avaient pas été vérifié avant leur départ. Ses justifications me faisaient doucement sourire. Comment pouvait-on faire de petites erreurs protocolaires comme celles-ci dans un moment pareil ? Je n'étais pas dupe.
Après deux heures d'interrogations inutiles, et voyant que le soleil se couchait, les forces de police demandèrent aux citoyens de rentrer chez eux. Tout ce que j'avais pu retenir dans les "vraies" réponses, c'est que les deux hommes de la patrouille étaient sains et saufs. De quoi faire soulager tout un gouvernement qui, je pense, n'aurait pas su réagir face au peuple s'il y avait eu des victimes lors de sa phase d'approche.
Je rentrai chez moi, encore intrigué par les événements du jour. Je voulus allumer la télé et regarder "Mortal-Kombat-Canin", un film retro qui devait passer ce soir, mais j'avais oublié ce fichu problème de réseau. Je décidai donc de jouer à la xboxlylat, la nouvelle console où on contrôle son personnage par la pensée. Puis ça m'a blasé au bout d'une demi-heure. J'ai mangé trois parts de pizza et je suis parti dans mon lit, programmant mon réveil pour 09h00.
Je rêvais. De ma vie, de mon passé. De choses qu'il valait mieux ne pas révéler...
Quand soudain, je me fis réveiller par la sonnerie de la porte. |
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| [Emerald est un chasseur de prime et merci du résumé ^^]
Pfff aucune mission pour le grand Emerald, chasseur de prime assez réputé pour mes coups tordus... Pour le bien évidement. Ce n'est pas un mauvais chasseur de prime contrairement aux autres, il accepte les missions qui consiste à aider les gens. Mais depuis quelques temps, plus personne ne recherche son aide, cela commence sérieusement à irriter le guépard hybride. Soudain il avait remarqué que sa radio était cassé. Certainement du à un choc, donc sans plus attendre le chasseur de prime réparait sa radio et pouvais entendre sur toutes les chaines radio que quelque chose de bizarre volait dans le ciel. C'était une plaque de verre géante avec des couleurs mauves et un peu bleues. Quelque chose de bizarre allait se tramer c'était sur. Donc sans plus attendre, il s'étais précipiter vers le centre ville, endroit ou tout les habitants était, d'après sa carte universelle. Mais le bémol, c'est que il était très loin de centre ville, donc il avait appelé son vaisseau le Betawing, un arwing que l'hybride avait trouvé à la dérive dans l'espace et qu'il avait donc personnalisé. Avec ce vaisseau, Emerald allait pouvoir aller au centre ville. Il avait donc interrogé un habitant qui semblait appeuré.
Dis moi, que ce passe t'il?
Oh... Euh... Je ne sais pas trop. Tout ce que je sais... C'est que l'on va tous mourir !!!
Et c'est suite à ces paroles que l'habitant s'était enfuis. Pourtant c'était juste une plaque de verre. Rien de bien effrayant. Soudain des policiers nous demandaient de rentrer chez nous. L'animal chasseur de prime leur répondait qu'il était envoyé en mission, ce qui avait convaincu les policiers. Si seulement c'était vrai... |
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| Invité | Edit : Voilà c'est beaucoup mieux ^^
Ce n'est rien ne t'en fais pas, il fallait que tu t'adaptes un peu au rythme c'est tout ^^ |
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| [Ok je vais donc éditer mon post =p Et encore désoler ^^'] |
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| Invité | Si tu veux je vais te résumer chacun nos situations :
Wolfy est un chômeur de longue date (je crois), il regardai tranquillou la télé sauf qu'elle buguait. Il entendit un cri dans la rue et regarda par la fenêtre. Il passa la soirée à bouffer des pizzas et à geeker (*SBAF*). En se couchant, il entendit la sonnerie.
Quant à Cyril, il partit à la colline pour tourner un film. Le problème est que son actrice principale fut décédée la nuit dernière. Le bouc rentra chez lui et annula le tournage. Lorsqu'il était en voiture pour rentrer, il ne pouvait plus circuler à cause de la foule. Il vit l'apparoïde et sentit le danger. En rentrant chez lui, il inventa un équipement pour mieux combattre. D'ailleurs, je me rends compte que je suis inspiré d'Ironman sans le savoir. (xD) Il testa ses inventions la nuit.
Voilou voilou le résumé. OK Wolfy, je ferais plus attention la prochaine fois. Je reprends le RP :
Cyril était chez lui. Avant de se coucher, il examina dans sa bibliothèque les films qui l'avaient crée. Il était fidèle avec ses acteurs et son équipe de tournage. Perdre Annie Ajdom était comme perdre sa soeur. Plus tard, en se couchant, il était en larmes. Il rêvait de son passé.
A son enfance, dans un quartier riche, sa mère avait des amis dans un palace. Les gens d'ici offraient cadeaux et gâteries à Cyril. Sa maman était heureuse de voir son fils avec le sourire.
Un jour dans l'ancienne maison du bouc durant son adolescence, il entendit sa mère crier de colère au téléphone. C'était les gens du palace. En réalité, ils abusaient de la gentillesse de sa mère. Il se rendit compte de son erreur. Ces gâteries avaient brouillé la face cachée des gens du palace.
Après l'obtention de son master, juste avant le jour de son anniversaire, il avait appris la mort de sa mère par dépression.
Cyril se leva, sortant de son cauchemar. Il s'assit du lit et éclata en sanglots.
-Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? Annie, mes parents ... Pourquoi m'abandonnez-vous ? |
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| Invité | Quelqu'un était en train de sonner à la porte de mon appartement. Je n'aimais pas que l'on me réveille de cette façon, le sommeil ce n'était pas un sujet à plaisenterie chez moi. D'un certain côté, j'étais content d'avoir été tiré de mes rêves, ça m'avait évité d'avoir à vivre quelques coups de coeur...
Mon réveil affichait "23h46", il était donc assez tard. Qui cela pouvait-il bien être ? Je sortis un uzi de mon tiroir, "au càs où", et allai voir à la porte. J'ouvris d'un geste brusque celle-ci et pointai mon arme vers le perturbateur. Ou du moins la perturbatrice en l'occurence.
- Wolfyyyy ! Fais attention avec ce truc.
Je ne répondis pas tout de suite, car j'étais quelque peu bloqué sur ce que je voyais. Il s'agissait de ma voisine, Charlotte, qui portait une chemisette de nuie très légère. Je pouvais voir au travers la lingerie blanche de ses sous-vêtements affriolants. Je tournai les yeux et revins à la réalité.
- Excuse-moi Charlie, mais c'est pas une idée de déranger les gens à une heure pareille, dis-je en rangeant mon arme.
- Si je suis venue, c'est pour que tu pointes autre chose vers moi...
Sans que je puisse comprendre, elle se plaqua contre moi et commença à frotter ses mains sur mon torse sensuellement. Cela faisait quelques temps que l'on se connaissait, du fait de mon inactivité, et je me demandai justement si j'aurais un jour un ticket avec elle. La réponse était venue plus tôt que prévu.
Alors que l'on commençait à s'embrasser et à se livrer à quelques attouchements, je ressentis quelque chose qui me coupa dans mon élan.
- Attends une seconde...
- Que se passe-t-il ? demanda-t-elle par politesse, alors qu'elle me baisait le cou.
- J'ai sentis comme un tremblement.
- Ca doit venir de ton short... tu veux que je vérifie ?
Quelque chose explosa soudain dans la rue, ce qui semblait être le verre d'une fenêtre. Charlotte l'entendit aussi et on se lança un regard entendu. Je partis en direction de la fenêtre pour voir de quoi il en était. |
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| Invité | Cyril se leva de son lit et remit les mêmes vêtements quand il rentrait chez lui. Il prit un CD et mettait cette musique. Il alluma son ordi portable. Le temps qu'il se charge, Cyril sortit du balcon et fuma une cigarette. Quand le son de démarrage retentit, il tapa son mot de passe. Le bouc consulta les mails. Il se souvint qu'il devrait aller assister à un festival de court métrage dont il faisait parti des jurys demain soir. Il avait envie de sortir dehors. Il éteignit son ordi et prit son baladeur mp3.
En se promenant dans les villes, il oublia son passé. Il était dans la rue où il y avait la foule avec la chose. Cyril s'assit sur un banc et observa les immeubles. C'était calme qu'il commençait à s'endormir sans le vouloir. Soudainement, il sursauta à cause d'une explosion. Il s'estime heureux de ne pas être totalement endormi. Il serait envahi de fans à son réveil. Le réalisateur chercha l'origine de l'explosion avec la fumée qui se dispersait dans le ciel. Le bouc poussé par la curiosité courut vers le lieu. Il entendit à nouveau la réaction de la foule. Une fois sur le lieu, il se cacha derrière un bâtiment pour se faire discret. |
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| Invité | Le uzi dans les mains, je me dirigeai, accroupis, vers la fenêtre, sans faire de bruit. Arrivé là, je me plaçai sous le rebord et balançai mon regard dans la rue. Les lampadaires étaient encore fonctionnels à cette heure-ci, ça allait me permettre de visualiser les environs. Sur le trottoir d'en face, des morceaux de verre, et juste devant, le cadre de la fenêtre du rez-de-chaussé du bâtiment, où plutôt ce qu'il en restait. Quelques badauds sortirent dans la rue en tenue de nuit, alertés par le bruit. Je restais toujours accroupis, à l'affût du moindre mouvement. Je jetai un oeil à la plaque de verre. Elle n'avait pas bougé, même si l'espace d'un instant j'eus l'impression qu'elle s'était scindé en deux, à la manière d'une porte. Ca doit être la fatigue qui me joue des tours.
Un cri me ramena à ma concentration. Cette fois-ci, le cri était plus long, et amplifait en intensité. J'étais mal positionné pour voir quoique ce soit, ça devait venir d'une ruelle tertiaire. Les gens partaient au-devant de l'origine du cri, tandis que Charlotte ferma le verrou de ma porte.
- Ca doit être des voleurs, me vaut prendre des précautions... fit-elle pas rassurée du tout.
- Ce n'est pas un prétexte pour qu'on reste en tête-à-tête j'espère ?
- Désolé, mais la partie de jambe en l'air est remise à un autre jour.
Groumpf... cette nouvelle ne m'enchanta pas des masses, mais elle avait raison de nous enfermer de cette façon. Je pouvais me défendre, mais elle était une cible bien trop vulnérable. Surtout dans cette tenue... J'entrouvris la fenêtre pour tendre l'oreille et attendre des échos de cet incident. |
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| Invité | Cyril voyait la foule s'accumuler comme cet après-midi. Impossible de voir. De plus, c'était pas prudent quand il y avait du monde. Le bouc faisait demi-tour en contournant un chemin pour éviter que la foule le voit promener dans la nuit.
Eloigné du lieu, il regagna son villa. La promenade lui faisait du bien. Il pensait à son festival, une chose qui lui plairait. C'était parmi les jurys le plus sévère dans les choix ainsi que dans ses questions. Ce qui comptait dans un métrage était l'idée et légèrement la réalisation. Il alla vers le balcon où il avait une vue de la ville en espérant que cette catastrophe ne durerait pas longtemps. Il hésitait à parler avec les gardes du corps de l'actrice décédée. Normalement, c'était leur soirée poker. Cyril composa le numéro de la maison d'Annie. La voix d'un des deux gardes du corps retentit :
-Mouais ?
-Allô ? C'est Cyril.
-Ah Cyril. Tout va bien ?
-Je ne sais pas si t'es au courant de ce qui se passe en ville.
-Euh ... non.
-En rentrant chez moi cet après-midi, il y avait une foule bloquant la circulation et ...
-HE P'TIT SALAUD ! NE MATES PAS MES CARTES !
-Quoi ?
-Oh non, je ne parlais pas à toi. Je parlais à un ami. Pendant que je téléphone, je l'ai vu en train de voir mes cartes. D'ailleurs, ça te dit une partie ?
-C'est sympa mais une autre fois. Demain, j'ai un festival à m'y rendre.
-Ah ouais, c'est vrai. Donc, tu dis qu'il y avait du grabuge ici ?
-Ouais. Cette nuit, en me promenant, il y avait une explosion. Malheureusement, je ne peux pas en dire plus. Sinon, les policiers ont mené l'enquête ?
-Ils sont déjà venus. Aucun indice en vue. Pas de trace de crime.
-D'accord. Merci de l'info. Je te laisse retourner à ta partie.
-Ouais. Je te rappelle dès que j'ai des nouvelles. A toute.
Cyril raccrocha le combiné, enleva ses vêtements et retourna se coucher. |
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Nombre de messages : 2651 | Pendant ce temps, tout les habitants étaient rentrés chez eux... Emerald allait enfin pouvoir surveiller la ville qui avait subit une vague de peur immense. Bien heureusement il n'y avait eu aucun blessé... Quoique un hybride oiseau était allongé. Après avoir vu le blessé, le guépard s'était précipité vers l'habitant. Malheureusement son coeur ne battait plus. Il mort. Bien que le chasseur de prime ne le connaissais pas, il était tout de même triste pour lui. Il avait donc appelé les même policiers de tout à l'heure pour leur montré le cadavre. C'est juste après avoir remis le cadavre aux policiers qu'il avait remarqué quelque chose. Une trace rouge. c'était du sang et à ce que le chasseur pouvais voir, il y en avait encore qui coulais. Il était donc mort il y a peu de temps. En tout cas c'était pas à cause des émeutes. C'était un criminel qui avait fait sa. Le félin tournait la tête un peu partout tout en activant son capteur thermique ainsi que son capteur d'aura pour voir les mauvaises auras. C'est alors qu'un signal était parvenu au chasseur de prime. Il venait d'une ruelle sombre. Il s'était précipité vers le signal maléfique pour voir de qui il s'agissait. C'était donc un hybride serpent qui avait un magnum laser. Une arme redoutable. Emerald l'avait prit par le col en lui volant son magnum.
Dis moi mon salaud qu'as tu fait à l'hybride oiseau hein? DIS LE !
Pfff Whahaha Tuez moi si vous voulez, vous allez bientôt assister à la fin du monde. Ce gars le pensais aussi donc je lui ai brisé ses peurs haha...
Et c'est suite à ces derniers mots que le guépard, tira sur le malfaiteur avec son blaster en pleine tête. Il avait jeté son cadavre dans une poubelle qui était à côté du "tueur". Il le méritait et Emerald avait aucun remord. Il était sorti de la ruelle scrutant tout les environs de la ville. Si jamais quelqu'un était chelou, il allait connaître mon cher blaster. |
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| Invité | Cyril ne dormait toujours pas. Il était perturbé par l'explosion dans la rue. Le bouc se releva et composa le numéro de la maison d'Annie.
-Allô ? C'est Cyril à l'appareil.
-Encore toi ? T'as du mal à dormir avec les évènements qui se passent récemment.
-Ouais. Je crois que je vais faire une partie avec vous.
-OK.
Il raccrocha le combiné. Peut-être en jouant avec ses amis le ferait oublier totalement ce qui s'est passé. Cyril remit ses vêtements et prit son casque de moto habituel. Dehors, il démarra sa moto en espérant de ne réveiller personne avec le bruit du moteur. La route était calme et il faisait noir. Il n'y avait aucun lampadaire. Jusqu'à ce qu'un camion n'ayant pas allumé ses phares roulait vers lui.
Cyril prit peur. Il était sûr qu'il roulait dans la bonne direction et non roulait en contresens. De plus, comment un camion pouvait rouler dans le noir total sans lumière. Le bouc voulait faire un virage mais sa moto se renversa et se projeta dans la direction contraire du camion. Le motard fut éjecté de son véhicule, glissait sur le bitume et resta inerte. |
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| Invité | Les gens étaient beaucoup moins nombreux que cette après-midi, du fait qu'il s'agissait surtout de riverains et que notre avenue n'était pas non plus une des plus connues. C'était une rue où les logements ne dépassent pas les 300 Lylat mensuels (Hs : l'unité monétaire dans StarFox) à Cornéria City, c'était forcément peu fréquenté. Bref. Cette douzaine de personnages allaient me permettre via leurs commentaires personnels de me décrire le problème survénu quelques instants plus tôt dans une ruelle. Charlotte avait froid, du fait de sa petite tenue, ce qui me fit soupirer. Je lui suggéra de prendre la couverture sur le canapé, celle qui connaissait par coeur mes soirées de breuverie entre potes et mes vomissements. Enfin c'étaient des détails qu'il valait mieux ne pas révéler.
Pendant que Charlotte se réchauffait, il y eû du nouveau du côté de la rue. Deux personnes discutaient juste en-dessous de ma fenêtre.
- Alors, qu'est-ce qu'ils fabriquent ?
- Moi aussi je m'inquiète. Ca fait dix minutes que Steve et Jason sont partis.
Steve et Jason... des figures locales. Enfin, des "figures"... des sales gueules ouais. De la racaille qui cherchait la baston pour un rien. J'avais déja eu à faire à eux. D'autres gens suivaient la discussion.
- Ce cri ne me dit rien qui vaille...
- C'était celui d'une femme. Ce serait un viol !?
- Non ne dîtes pas ça madame ! Pensez un peu à nos enfants !
- D'ailleurs, je vais retourner voir Jenny. Tu viens chéri ?
- Très bien, oui je te rejo...
- Chéri ?
La non réponse qui suivit me hérissa les poils. Je jetai un oeil par le carreau. Les gens étaient toujours immobiles, mais ils fixaient vraisemblablement quelque chose, comme s'ils essayaient de la décrire dans leur tête. Leur attentisme ne m'aidait toujours pas à savoir si nous étions en danger ou non. C'est alors que je le sus. Je le sus en voyant ces gens se faire violement attaqué. Leur corps explosa dans des giclées ensanglantées, tandis que je déglutis la boule coincé dans ma gorge. Il était difficile de croire ce que je voyais en ce moment-même.
- Wolfy... je n'aime pas ton regard surpris, que se passe-t-il ?
- Aide moi à prendre le plus de choses que tu pourras. On quitte cet endroit. |
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| Invité | Cyril leva ses yeux. Il essaya de se relever mais il était faible. Une voiture roula et s'arrêta. Le bouc entendit une personne dirigeant vers lui.
-Oh la la. Mais, il y a personne dans ce camion. Quel monstre alors que ce motard est en grave état.
C'était un tamanoir qui aperçut le corps du motard qui avait son bras droit entaillé et son torse ensanglanté . Cyril ne le vit pas à cause de l'accident. Le tamanoir paniqué composa le numéro des secours et par curiosité, il enleva le casque du motard pour connaître son visage. Son front saignait. Il interrogea le motard :
-Vous allez bien ?
Cyril répondit à voix basse.
-Je ... je ...
-Ne vous en faites pas, les secours devront arriver.
Les personnes attendirent les secours. Une autre voiture intervint de l'autre côté de la route. Il se gara. C'était le garde du corps. Il s'était inquiété que le bouc mettait du temps à venir chez lui. Il se disait qu'il avait quelque chose de grave. Voyant l'accident, le garde se précipita en sautant la barrière séparant les deux routes.
-Cyril ! Mon Dieu, Cyril ...
-Qui êtes-vous ?
-Un ami. Il devrait venir chez moi mais comme il prenait trop de temps ...
-Une chance qu'il respire encore.
L'ambulance des secours arrivèrent. Les ambulanciers posèrent le motard sur un brancard. Le garde proposa aux ambulanciers de l'accompagner. Il explique que c'était une personnalité et il se pourrait qu'à son réveil, des reporters se pointeraient devant l'hôpital. Il demanda également au tamanoir :
-Heureusement que t'es là. Tu viens avec nous ? Mon ami serait heureux d'apprendre que c'est toi qui l'ai sauvé.
-T'as dit que c'est une personne célèbre ? Je ne sais pas trop ... Je ne suis pas du genre ... à courir devant les stars ...
-De toute façon, c'est une personne comme les autres. C'est ses fans qui sont chtarbes.
-Si tu insistes. Dans ce cas, je prends ma voiture.
-Pareil.
L'ambulance partit avec Cyril qui était dans le coma en direction de Corneria Health (l'hôpital de Corneria). Deux voitures le suivirent.
HS : Décidément, c'est nous qui inventons Corneria xD |
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| Invité | Je pénétrai dans ma chambre et ouvris l'armoire. Mon coeur battait si fort que je tremblotais tout en attrapant les deux sacs en-dessous de mes fringues. Je lançai dans le même temps des vêtements à Charlotte.
- Mets-ça et retrouve moi ensuite dans la cuisine.
- On... on sort ?
- Oui. Et on ne revient pas.
- Mais tu vas me dire ce qu'il se passe à la fin ?
Ignorant ses questions, je plaça deux uzis dans les étuis accrochés à mon short. J'attrapai également quelques vêtements pour moi. Puis, je me plaquai par terre et fouillai sous mon lit pour trouver mon g36 et les boîtes de munitions qui aillaient avec. Hop, tout dans le sac. Enfin, j'enlevai une épée fixée au mur par un élément en bois. Je caressai la matière robuste du fourreau et contemplai un instant le pommeau où reposait un joyau vert. J'accrochai le fourreau autour de moi en reliant les attaches métalliques puis partit à la cuisine, pendant que la féline se changeait dans la salle de bain.
En sortant de ma chambre, j'entendais les cris se multipliaient dans la rue. Je n'osais voir ce qu'il se passait. J'en avais déja bien assez vu. D'un geste rapide, je balayai les placards et mettait tout ce qu'il y avait à portée de main dans le sac. Les boîtes de conserves, les biscuits, les paquets de patte, les boîtes de surgelées, tout ce qui pouvait tenir quelques jours dans un sac à dos. Je regrettai sur le coup de ne pas avoir abusé de mon chômage pour remplir un peu plus le frigo. Le nécessaire devenait nécessaire que lorsqu'on le considérait utile et non en acquis.
Charlotte avait fini de s'habiller. Elle portait une veste en cuir brune avec un col en laine. Elle avait revêtu un pantalon de même couleur en plus clair, recouvert en partie par de hautes bottes en cuir. Son cou était recouvert d'une écharpe jaune. L'ensemble lui allait plutôt bien. Voir une femme portait "ses" vêtements, ça me faisait penser à "elle".
- Et maintenant ? Que faisons-nous ?
Sa question me remit dans le bain. Je lui pris la main et on partit en direction de la porte. |
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| Invité | Cyril se réveilla. Il ne reconnut pas le lieu où il était. Le garde du corps était assoupi sur une chaise. Le témoin regardait l'heure. Le bouc voulait se lever mais il sentit ses douleurs sur le torse. Il était torse nu enfin, avec des bandages dessus ainsi que sur sa tête. Il avait également un plâtre sur son bras droit. Le bouc se rendit compte qu'il était dans un hôpital.
Le garde et le tamanoir sursautaient du réveil de Cyril. Le bouc aperçut les deux personnes :
-Seb', c'est toi ?
Sébastien était le garde du corps d'Annie Ajdom et ami du bouc. C'était un bouledogue.
-Cyril, tu m'as foutu les j'tons. Une chance que ce tamanoir t'ai vu.
Le tamanoir s'approcha timidement. Le motard le regardait de travers.
-Euh ... oui. Je vous ai vu inerte sur le sol que j'ai composé les urgences. Mais, vous prétendez que vous êtes célèbre, vrai ? Je ne vous ai jamais vu pour vouloir être franc.
Le bouc soupira de soulagement. Il avait eu peur que c'était un admirateur qui est entré dans sa chambre d'hôpital sans son avis.
-Je te remercie de m'avoir sauvé.
-Bon, il vaut mieux, que je parte. Ma femme va s’inquiéter si je ne rentre pas à temps.
-Tu veux que j’écrive un mot pour la rassurer ?
-Euh ... si vous voulez.
Le tamanoir sortit son agenda et un stylo et donna à la personnalité.
-Sans vous gêner, comment allez-vous faire pour écrire ?
Cyril souriait. Il écrivit son message avec sa main gauche.
-Tu crois que tous les stars sont droitiers ?
-Oh euh ... Je suis navré ... Je suis tellement habitué à voir des personnes droitiers.
-C'est quoi ton nom ?
-Hervé. Hervé Rosca.
Le bouc signa son message.
-Et voilà. Normalement, elle doit croire tout ce qui est écrit.
-Merci. Bon, je vais y aller. J'ai pas envie non plus que tout les paparazzis viennent me photographier alors que je suis qu'un simple citoyen. J'espère que vous allez rétablir au plus vite. A bientôt.
Cyril et Seb' étaient maintenant seuls. Sébastien, son vrai prénom interrogea Cyril :
-Dis moi, comment ça t'es arrivé ton accident ?
-Bah, je conduisais ma moto pour aller chez toi et j'ai vu un gros camion me foncer dessus. Il n'avait même pas allumé ses phares le salaud. Si je le retrouve, je lui ferai sa fête. Hervé ne doit pas avoir tort pour ce qui est des reporters. Le matin, ils vont tous se pointer devant. Ca te dérange pas que tu sois mon garde de corps le temps que je sorte d'ici ?
-Je ne vois pas d'inconvénient. Je reste fidèle avec toi.
Le bouledogue disait cela en éclatant de rire. |
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| Invité | J'enlevai le verrou de ma porte et ouvrit en vitesse cette dernière pour me retrouver dans le couloir avec Charlotte. Les murs et le sol étaient recouverts d'une moquette rouge douillette. Chaque logement se superposait d'un côté à un autre et affichait le numéro leur correspondant.
C'est ce couloir-même qui tremblait par intervalles irrégulières. La poussière se décolait du plafond et volait dans l'air, donnant l'impression que tout pouvait arriver. Un animal se tenait péniblement au mur. Non pas que les secousses étaient terribles au point de nous le faire tomber par terre. Disons qu'à ses vêtements plein de boues, sa démarche hésitante et sa figure défraichie, on pouvait estimer que l'énergumène avait passé une soirée un peu trop arrosée.
Au moment de m'engager dans la voie pour rejoindre l'entrée du bâtiment, je m'arrêtai et je réfléchis. Devant, c'était là où toutes ces personnes avaient perdu la vie sous mes yeux. Il était préférable de prendre l'isue de secours. Problème, cette issue se trouvait à l'autre bout du couloir, juste après le type bourré. Lorsque je fis part de mon plan à Charlotte, elle paniqua et ne voulait pas passer par là. Mais je lui forçai la main. Pour sa vie, pour son bien.
L'urgence de la situation m'avait dévoilé une image plus prudente de moi que je ne connaissais pas jusque là. En temps normal, j'aurais fais attention à ce type qui me demande des pièces et qui ne veut pas me lâcher le bras. J'aurais aussi été compréhensif quand il disait qu'il voulait sauter ma copine et vouloir lui offrir tous les bijoux de la terre. Car un ivrogne était coupé de la phylosophie et de la morale du monde, se retranchant dans sa propre visualisation de la vie. Maintenant, dans cet instant précis, il n'était plus question de politesse.
Je lui fis d'abord lâcher prise d'un rapide mouvement de bras, avant de lui foutre un coup de poing en pleine tête. Le pauvre s'écroula par terre et ne se releva plus. Je n'en attendait pas moins des effets anesthésiant de l'alcool. Charlotte me fixa avec un regard effrayé. Un regard qu'elle gardera surement une fois la porte franchie. |
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| Invité | Les deux compères étaient côte à côte. Ils discutaient de leur passé.
-Tu l'as dit Seb'. Ca fait depuis 15 ans qu'on se connaît.
-La 1ère fois, les relations ont été tendues. T'étais tellement fan d'Annie Ajdom qu'à chaque fois que tu demandais quelque chose, je te bottais toujours le cul.
-Oui j'avoue. Puis, quand j'avais commencé ma carrière de réalisateur et que je voulais ton actrice, t'étais jaloux au départ.
-Normal, c'était la 1ère fois. Puis au fur et à mesure que tu tournais avec elle, je me disais que t'étais peut-être sympa après tout.
Soudain, une secousse résonna dans tout l'hôpital. Cyril se posait des questions.
-Qu'est-ce que c'était ? Ca aurait pas un lien avec le truc de cet aprèm' ?
-J'sais pô.
Une caniche anthropomorphe apparaissait.
-Messieurs. On a un problème. Il faut évacuer tous les lieux. Puis une fois faite, vous serez transféré ailleurs.
-Vous entendez quoi par là ?
-Que vous quittiez la capitale Corneria et que vous partiez sur une autre ville. C'est trop dangereux ici.
-Quoi ? Laisser nos affaires ici ? Nos valeurs accumulés ici pour être laisser tomber tout ça pour ce truc ?
-Ecoutez. Vous êtes une personnalité et ...
-C'est plutôt à vous de m'écouter. Je ne suis pas une personnalité. Certes mais je suis une personne normale. J'ai en ai la claque qu'on me chouchoute, qu'on me prenne pour un snob. Les mercenaires arriveront bien vite pour régler le problème.
-Et alors ? On fait ça pour votre bien. Vous avez une haute réputation.
Le garde du corps pris par la colère porta le bouc et se dirigea vers la sortie de la chambre en poussant l'infirmière. Cette dernière cria dans toute l'hôpital :
-Alerte ! Il y a une évasion.
Le bouledogue courut avec rage en évitant les personnel du bâtiment. Le bouc surpris interrogea son ami :
-Mais qu'est-ce tu fous ? Lâche-moi.
-Non et reste tranquille.
Cyril se demanda si son ami voulait respecter la décision de l'infirmière ou au contraire, le faire sortir de ce taudis. A la sortie de l'hôpital, Sébastien courut vers sa voiture. il ouvrit la porte arrière et balança le bouc comme un colis à envoyer d'urgence. Il monta à son tour dans son véhicule, démarra le moteur et roulait à vitesse en excès. Cyril regarda le garde du corps. Son expression était passé d'une grande rage à une grande mélancolie. Il parla d'une voix neutre :
-Je suis désolé d'avoir agi comme ça mais c'est ce que je ressens à chaque fois qu'un fan harcèle un de mes amis. Les fans ne savent pas que ces stars avec une très grande réputation sont des personnes comme nous. Je te protégerai coûte que coûte. Pas la peine de contester. Je sais que tu préfères te protéger seul mais pour moi, t'es plus qu'une star. T'es mon meilleur ami depuis 15 ans de connaissance.
Le bouc resta fixe, touché par le discours de son ami.
-Je sais ce que tu ressens. Je respecte ta décision. |
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