Devant son ordi, notre héros est sur trois forum, deux sites, cinq MMORPG, et deux logiciels. Ce type est un accro de l'ordinateur, ce type, ce type, il sait tout faire sur son clavier et sa souris. Ce type, c'est le maître vénéré de tous les geeks. C'est lui qui détient le record du plus grand nombres d'heures passées sans s'arrêter sur l'ordi : 80 heures. Il vit seul avec son chat. Ce type, lui, il sait tout sur les jeux vidéos. Quand un jeu sort, hop ! Tout le monde attend son avis, car lui, il a tous les jeux vidéos, lui. Ce type avec sa barbe, ses longs cheveux, ses lunettes et son ventre un peu rond, c'est le maître de l'électrnonique. On raconte même que nintendo avait demandé son avis sur un jeu qu'il était en train de faire, et lui a même demandé un coup de main... C'est une légende électronique, ce type. Puis voilà qu'un jour, il découvre un nouveau logiciel. Il lit les informations : « Pour être plus à fond dans ses travaux informatiques, voici Real-no-life-ultra-deluxe . Vous serez comme à l'intérieur de votre ordinateur ». Alors notre geek héros, il est curieux de savoir ce que c'est. Mais avant, un coup de Padvirus de Padrisque et de Tenfépayarien . Tout est okay. Alors, il télécharge. Grâce à son Ultra-télécharge-progX20000, il le télécharge en moins de 30 secondes. Il l'installe dans son fichier « Prog-3-xt86-15-classement33,6 » sous la surveillance de Supralogic et de M14-315-versusMégafenêtre. Il l'ouvre après quelques manipulations à l'aide de Jfétoupourtou-A et le logiciel s'ouvre. L'écran devient tout noir. Alors, notre geek se penche sur l'écran pour voir ce qui va pas et HOP ! Il se fait aspirer par son écran, son propre écran.


Il attérit dans un monde... Étrange... Un type s'adresse à lui... Il bouge des lèvres mais il n'y a aucun son qui sort... Mais une bulle sort de sa bouche. Il y a écrit dedans en pixelisé : « Trololol, koman sa va ? T ki ? T nouvo ? Moi c Kikoolol-du-315. J sui 1 dé asisten du Kpitain ki socup du réso 1ternet. Je mocup 2 la C ksion J c pa parlé, ou tou le mond fé son
N-O OB (i paré ke den le mond um1 i diz B-A BA). Tu doi ètr 1 noob si t la »

Le geek peinait à comprendre, et au bout de 2 minutes d'éfforts, il répond dans sa bulle : « Heu... Non, je suis un maître geek moi ! Mais... Je suis où là? »
« T 1 geek ? Wa lé ga ! Ia 1 gik ! Mé tu fé koi dan la seksion J c pa parlé? »
« Mais... C'est quoi ça ? J'étais chez moi et je me suis fait aspirer par mon écran »
« Wa lé ga ! C vrémen 1 mètr gik ! C Kpitèn ki ta piéjé, psk i voulé ton èd poure j c pa koi. Va den la section gik, o nor. Alé, a pluce, trololol ptdr »

Alors notre geek marche vers le nord, sous le regard admiratif des noob... Le ciel est noir, le sol est noir... C'est de l'électrnonique ce monde... Il y a une porte, au milieu de nul part. Pas de mur, juste une porte avec écrit « Section no-life » dessus. Mais il ne voit rien derrière ! Il ouvre la porte par curiosité, et il se trouve dans un monde richement décoré, comparé a la section J c pa parlé. Alors là, un type s'avance vers lui et lui dit (toujours dans une bulle)

« Hé ! Tu fais quoi là ? Si t'es là pour rejoindre le rpg, sache que les noob sont refusés, si ils ont pas leur diplôme « J'ai qu'l'ordi dans la vie »... Tu l'as? »
Alors le geek raconte pourquoi il est là...
« Alors comme ça, t'es l'invité de maître créateur hein ? Si t'es maître geek, tu devrais gagner sans mal au rpg, alors vérifions ça »

Le rp commença, et deux minutes après, tout le monde fut vaincu par maître geek.
« Arf, oui bon, va voir le maître créateur, dans cette tour, au sud »
« Mais je viens du sud! »
« Oui, mais passe la première porte, ne la prends pas »

Alors il alla jusqu'à la tour. Il entra, et au rez-de-chaussée, il y avait des personnages très connus : Mario, Luigi, Sonic, Tails, Link, Zelda, Peach, et ce ne sont que les plus connus. Il prit l'ascenceur qui le mena à l'étage électronart. Plein de musiques de jeux vidéos, des sprites réussis dans le détail, des images retapées à merveille... Il prit un second ascenceur qui le mena à une salle de projection... On voyait un film dont le héros était notre geek. Il continue à monter, et il arrive au sommet, dans la salle des faux rhums. Le grand chef créateur était en train de tirer à l'aide de son Bangun sur des soldats noob qui avaient réussi à s'introduire dans le bâtiment.
« Heu... T'arrive au bon moment ! Pendant que je repousse ces soldats noob et kikoos rebelles, tu va aller sur le panneau d'administration... Là, il y a plein de commandes que même moi je ne comprend pas, trouve un truc pour tous les arrêter, je te prie! »

Sur, le geek se dirige vers le panneau d'administration et en 3 secondes, il trouve la commande qui permet de fermer le forum. Ainsi, seul l'admin peut agir. Il l'active et tout le monde s'arrête, sauf l'admin (appelé aussi maître créateur ou capitaine) et le geek.

« Merci bien... Je vais bannir tous ces soldats kikoo/noob... Par contre, ce beau forum s'est fait pourrir par leurs trolololgun et il y a plein de messages mal orthographiés et courts et sans interêt partout sur le forum... Commence à néttoyer ça, je t'aiderai plus tard, puis après, je te parlerai d'autre chose. Après deux heures de néttoyage, il ne resta plus aucun kikoomessage.

« Merci de ton aide. »
« Vous m'avez appelé juste pour ça? »
« Non bien sûr, j'avais un plan : Créer un logiciel qui permet aux humains de ton monde de venir ici, qu'en penses-tu ? Il y a tant de choses ici, et tout le monde trouvera sa place! »
« Bonne idée, commençons tout de suite alors! »
« Le logiciel est déjà fini, il est dans ce cube. Rentre-le dans ton ordinateur et tape le code que je vais te donner, et tout se fera. Le code est long, retiens-le bien : 007... »

Plus rien, le geek se réveille avec le cube, devant son ordi, éteint... Et le chat qui joue avec le fil qu'il vient de débrancher... Il rallume son ordinateur, mais il n'y a plus le logiciel. Il rentre le cube, et on dit que depuis, il cherche sans fin le code du logiciel... Et jamais il ne trouva...

C'est l'histoire d'un homme qui, depuis tout petit déjà, adorait les sciences naturelles. Il avait toujours des 20 en svt. Mais le jour de sa mue, il avait la voix la plus laide qui soit, à son goût. Le pauvre adolescent voulu trouver une solution en svt. Il se pencha sur les cordes vocales... Il chercha toutes les informations existantes à propos des cordes vocales... Et un jour, il créa une guitare de voix. Tout fier de sa création, il fit la démonstration devant sa famille. Il fit vibrer une corde, et un « ah » sortit, mais un « ah » si réaliste que sa famille croyait d'abord à un tour de ventriloque. Mais non, c'était bien la guitare qui faisait ce bruit si humain. Mais il n'arrivait pas à faire faire des phrases, car dans la voix, il y a encore la langue et les lèvres qui permettent de faire des sons variés.
Il retourna alors à son bureau, s'y enferma et travailla longtemps pour trouver un moyen de faire une langue et des lèvres artificielles... Mais sans succès...

Sa guitare ne faisait que des « ah » dont il s'était vite lassé. Il laissa alors sa guitare dans un coin du grenier et poursuivit ses études de médecine. Une fois diplomé et chirurgien, il éxerça au mieux son métier, réputé pour ses talents. Les meilleurs clients se confiaient à lui. Puis un jour, un riche vint se plaindre silencieusement. Pourquoi ? Il n'avait pas de cordes vocales... Il demanda secours au fantastique chirurgien, car il avait perdu la voix en un jour. Mais il n'avait en réalité plus aucun espoir de parler, ce que le chirurgien eut du mal à lui expliquer, vu son état.

Ayant appris la nouvelle, il se suicida le lendemain... On disait qu'il avait une voix d'ange. Notre chirurgien alla voir le cadavre, et, vérifiant qu'il était seul, il coupa les lèvres et la langue du riche muet. Il retourna au grenier chercher sa guitarre, quasiment intact (seul la partie esthétique était abîmée) et manipula le tout pour que, au bout d'un mois enfermé dans son bureau, la guitarre ne ressemblait plus à rien, mais fonctionnait ! Il fit quelques éssais et il réussit à faire la phrase « je mange une pomme » avec un peu d'entraînement. Il ajouta quelques boutons un peu partout, concentra le tout pour réduire la place et réussit finalement sa machine à parler, dont il sortait une voix d'une beauté indéfinissable. Et il déposa un brevet, gagna des millions, abandonna son métier de chirurgien et ne parlait plus qu'avec sa machine. Et cela pendant 30 ans !

Il se maria avec une femme, vécu heureux et eut 3 enfants. Il savait que sa femme ne l'aimait que pour sa richesse, mais il était heureux quand même. Puis une nuit, il posa sa machine à côté de son lit pour dormir. Un des enfants eut un cauchemar et se réveilla. Il s'agitait dans son lit et n'arrivait pas à se rendormir. Il réveilla en même temps les deux autres qui s'amusèrent à le taquiner. Le petit garçon courait en pleurant vers la chambre des parents, poursuivit par ses deux frères. Il trébucha sur la machine qui tomba en même temps que lui, et les deux enfants aussi. Mécontents et pas très futés, ils jouèrent à casser la machine avec bruit, ce qui réveilla le père qui ne vit plus qu'un tas de féraille, de cordes cassées, des lèvres en miettes et une langue écrasée. Il pleura devant son oeuvre détruite.

Le lendemain, il ne pouvait pas parler, car, ayant perdu l'habitude de parler lui-même, il ne pouvait rien faire. Quant à son brevet, le produit n'intéressait plus personne et disparut totalement des magasins. Il resta alors muet jusqu'à la fin de ses jours. Sa femme le quitta et emmena ses enfants qu'il refusait de voir, il vécut seul et muet, et se contenta de dormir sans jamais se réveiller...

C'est l'histoire d'un enfant.

Il n'avait pas de problèmes, il était très intélligent à l'école, il avait même sauté une classe. À l'école, pas de problèmes. Puis, le voilà arrivé au collège, avec la même bonne humeur, la même bonne intelligence. Il voyait déjà que les gens ne jouaient plus, car c'était pas « cool ». Ils étaient même en train d'embêter d'autres qui étaient plus faibles, dont notre héros. Mais il gardait le sourire, ne désespérrait pas, durant toute l'année, et garda d'excellents résultats. Il passe alors en cinquième où il commence à avoir un peu de mal à supporter l'idiotie des gens de sa classe, et la manière dont il était traîté. Il continuait tout de même à éspérer, se disant que ça devait être le collège qui leur montait à la tête. En fin d'année de cinquième, il perdit le sourire, il devint haineux. Il déprima le reste de l'année scolaire puis arriva en quatrième, ne supportant pas de rester avec ces types idiots et pourtant supérieurs, selon la loi de la jungle, qui s'applicait chez ces adolescent pour la plupart écervelés.

Un jour qu'il était en cours, l'alarme incendie retentit. Le professeur n'était pas au courant qu'il devait y avoir un entraînement. Le héros trouva une stratégie pour échapper aux élèves et retourner, seul, dans la classe. Il attendit un long moment qu'ils reviennent, mais il ne les vit pas. Il se dit alors qu'il allait risquer gros, avec la conseillère pédagogique qui était toujours là pour sauter sur l'occasion lorsqu'il faisait la moindre petite erreur. Il monta alors dans les salles 300 (situées au troisième étage) pour se cacher, tandis que le profésseur était retourné dans la salle où il était pour le chercher. L'élève, paniqué, rentra dans la salle de musique, ayant prévu un plan pour s'échapper quand les élèves de cette salle rentreraient.

Il aperçu soudain quelque chose rentrer par dessous la porte, de la fumée ! Il ouvrit une première porte mais il était bloqué par des flammes. Ce n'était pas un entraînement ! Il ouvrit la deuxième mais la poutre qui soutenait le plafond s'était écroulée devant, en flamme, ce qui l'empêchait de l'ouvrir. Il était alors bloqué dans la salle qui se remplissait lentement de fumée. Il ouvrit les deux fenêtres pour faire s'échapper la fumée, et vit les élèves regroupés selon le plan d'évacuation, qui semblait être un très mauvais plan car tous les élèves étaient bloqués par des flammes et des éboulis de partout. Et lui, enfermé dans la salle de musique.

Heureusement pour lui, l'entrée de fumée était plus lente que sa sortie par les fenêtres. Il prit une chaise et regardait avec joie le spectacle d'adolescent écevelés qui étaient entourés de flammes qui se rapprochaient lentement, les condamnant. Puis, le héros qui était plutôt calme car en bonne posture, en tout cas suffisament bonne pour qu'il soit calme, aperçu alors son salut : vous savez, cette bouteille rouge qui crache de la mousse. Il la prit, lit le manuel et s'en servit sur les flammes.
Elles étaient grandes, mais s'éteignaient facilement. Il descendait les escaliers avec son arme fatale. Il vit les élèves crier en lui suppliant de venir les sauver. À cela, il répondit qu'il ne savait pas se servir de la machine, il leur dit de s'en servir eux-mêmes, et sur ce, il lança la bouteille dans les flammes, qui n'était à l'accès de personne. Les adolescents criaient des injures tandis que l'élève descendait, tout heureux, prêt à faire la comédie devant les pompiers, et les retenir pour être sûr que les élèves brûleraient bien. Il vit qu'il n'y avait personne, alors il ferma le portail et sauta du haut du mur, se tordit la jambe. Les pompiers arrivèrent, s'occupèrent de l'élève qui avait fait exprès de se blesser, pour paraître innocent, tandis que les adolescents brûlaient vifs.

La morale de cette histoire : Soyez gentils avec les agoraphobes!

Un jour, à une époque inconnue par nous, un humain qui chassait, aperçu quelque chose tomber du ciel. Cette chose brillait. Elle s'écrasa avec fracas au sol. Il alla voir le cratère formé par la chose, et vit une sphère noire qui brillait. Il le prit, et aperçu un homùe ami qui voulait le saluer. Il cacha alors sa sphère sous ses habits et alla voir l'homme.

L'homme lui dit « Salutation ! Que fais-tu donc ici ? Toi aussi tu dois chasser ? Quel hasard ! Ho, mais... Ce cratère, comment s'est-il formé ? Il n'était point ici la dernière fois que je suis venu...
-Oui, oui, sûrement, écoute, je dois m'en aller, j'ai une course préssée à faire... »

Il s'enfuit alors avec la sphère. Une fois qu'il fut assez loin de l'homme, il la sortit et l'admira. Il alla voir ses frères , en leur montrant cette sphère. Un très vieux sorcier du clan affirma que cette sphère renfermait le pouvoir des ténèbres, et que ce serait contre la volonté de leur dieu de s'en servir, mais un autre dit que grâce à cette sphère, leurs vies seraient beaucoup plus faciles. Alors, le clan se divisa en deux : Ceux qui voulaient user du pouvoir des ténèbres, et ceux qui voulaient obéir à la volonté de leur dieu, soit les ténébreux et les lumineux

Ils avaient comme chef désormais, les deux sorciers qui défendaient deux causes différentes. Ils s'ignoraient d'abord, puis ne pouvaient plus se supporter. Une guerre se déclancha, et les lumineux furent vaincu par l'immense pouvoir de la sphère. Le sorcier noir, Darnak, s'avança fièrement dans le village des lumineux, en ruines... Il s'avança vers le sorcier blanc, Lefusko, et lui dit « Ton dieu n'existe pas, idiot ! Le maître des ténèbres veut notre bien, plutôt que de vénérer un dieu inexistant, vénère Pétrole !
-Plutôt mourir ! J'ai foi en mon dieu, je n'ai jamais voulu cette guerre, laisse-nous donc tranquille, nous ne te ferons rien !
-Je ne laisserai pas ce village debout, il déplaît à Pétrole, fais donc part de ce que j'ai dit aux habitants du village, laisse-les choisir. Ceux qui nous rejoindront vivront, les autres mourront. Nous reviendront dans une semiane, fais bien ton choix » Sur ces mots, il repartit dans un brouillard noir...

Lefusko parla de tout ça aux habitants

« Notre village ne tient déjà plus debout ! Cria l'un d'entre eux.
-Et leur vie est si paisible, cria un autre
-Il ne faut pas abandonner notre dieu, il nous protégera !
-Il existe pas ce dieu ! Il n'a jamais rien fait pour nous ! Regarde donc leur village ! Là, leur dieu les protège ! Darnak ne veut que notre bien! »

Puis, certains s'en allèrent, seul onze réstèrent, en plus de Lefusko. Darnak arriva donc à la fin de la semaine. Lefusko tenta de raisonner Darnak, mais avant qu'il n'eut dit un mot, Darnak ouvrit un portail vers l'enfer, et les douze lumineux disparurent. Seulement, la sphère tomba également dans le trou, et des réactions étranges se produisirent. Le monde fut totalement modifié, et il restait des parchemins racontant une fausse histoire, parlant de roi n'ayant jamais existé, comme Louis XVI...

Aujourd'hui, nous croyons à un faux passé créé par Pétrole. Darnak, quant à lui, réside quelque part. La sphère est devenue un liquide noir magique. Sans nous en douter, nous sommes des ténéreux... Darnak suit aveuglément Pétrole, nous conduisant ainsi lentement à la fin du monde. Ce liquide, c'est le plan de Pétrole, qui est le seul dieu existant... Il veut nous détruire... Cessez immédiatement d'utiliser ce liquide dont il se sert pour nous tuer lentement, et peut-être regagnerons-nous cette époque sans guerre... Vous m'écoutez ? Ici Lefusko, je suis toujours en vie, je vous sauverais, mais mettez-y du votre, je vous en prie

(pour vous rassurer je ne suis pas écolo, et ne croyez pas cette fic, CONSOMMEZ !!! ACHETEZ !!!)

L'histoire commence dans un laboratoire, dans un lit blanc, où était installé jeune garçon châtain aux cheuveux mi-longs, ébouriffé, dont l'âge était à peu près de onze ans, et entouré de deux scientifiques, dont un qui était très attaché au petit garçon, et le traîtait comme son propre fils, et l'autre qui était d'un sérieux immuable, et semblait dénué d'émotion. Cet enfant ignorait ce qu'il faisait ici, il savait juste qu'il s'était retrouvé ici après un cauchemar, où il était aux temps préhistoriques pendant une guerre, où il est mort d'une flèche en plein coeur. Il ne se souvenait de rien avant ce cauchemar. Mais il s'était habitué à vivre dans ce laboratoire qu'il n'avait jamais quitté. D'ailleurs, en y repensant, il ne savait pas pourquoi. Alors il demanda à son « père ». Ce n'était pas vraiment son père, mais ils s'entendaient tellement bien, et puis, il n'avait jamais vu ses parents.

Son père semblait ne pas avoir entendu la question, mais il était déjà parti lui servir un jus d'orange, sans même que l'enfant ne lui demande quoi que ce soit, sinon la question bien sûr. En attendant, revoilà le scientifique serieux, qu'il n'aimait pas du tout. Il venait faire ses tests habituels. Trop impatient d'attendre son père, il demanda au serieux pourquoi il était au laboratoire. Le scientifique le regarda à travers ses lunettes blanches sans parler, et sans montrer le moindre signe d'émotion. Il resta ainsi pendant cinq minutes puis dit d'une voix dont le ton ne change jamais :

« Quand tu est arrivé ici après ton cauchemar, tu avais attrapé une maladie très rare. Elle est mortelle. On ne peut pas la guerir, mais nous l'étudions pour sauver d'autres gens, c'est notre rôle de scientifique. Je regrette de te l'avoir annoncé, mais le mieux est que tu oublies ce que j'ai dit. »

Il termina ses tests comme si de rien n'était puis l'enfant se mit à regarder dans le vide, choqué. Il songea à comme il pouvait profiter de son temps restant, temps qu'il ne connait pas non plus d'ailleurs. Mais il n'avais jamais quitté ce lit à roulette. Son père revint avec le verre de jus d'orange et l'enfant lui raconta tout. Le père s'énerva, non pas après l'enfant mais après son collègue, celui qui lui avait dit ça.

« Ne l'écoute pas ! Il raconte n'importe quoi !
-Mais... Pourquoi aurait-il menti ? »

Le père semblait gêné de la question.

« Écoute mon garçon, je n'ai pas le droit de te dire... Mais je peux t'assurer qu'il t'a menti, pour cacher ce que je ne peux dire non plus... Tu me crois ?
-Oui mais... Pourquoi tu n'as pas le droit ?
-Je ne peux pas, c'est tout... Ne me demande plus s'il te plaît... Oublie donc cette question... »

L'enfant accepta et le père, choqué, s'en alla... Dès que personne ne le regardait, l'enfant sauta du lit pour le rattraper. Il atterit sur ses jambes qui s'écroulèrent, par manque d'habitude de marcher. Mais l'enfant pensait que c'était la maladie qui causait ça, et que son père lui mentait pour ne pas le blesser. Une larme coula de ses yeux, à cause du fait qu'il allait mourir. Il n'en voulait pas à son père, il voulait juste qu'il ne soit pas triste...

Au lieu de se remettre dans son lit, il s'agrippa à une espèce de table roulante, se mit dessus et roula, pour s'amuser juste. Il tomba vite dans les escaliers et cria à l'aide. En attendant le secours, il prit une des feuilles qu'il avait fait tomber et lut :


Citation des alpinistes :

« En fait, on se baladait en haute altitude, et on est arrivé à un endroit sans vie, par manque d'air. Nous avions une réserve, mais là, on l'a vu, en parfait état, au sol. Cet... »

Il n'eut le temps de continuer que son père et le serieux arrivèrent sur les lieux et le prirent à deux.

« Il est interdit pour vous de quitter votre lit, dit le serieux dans sa voix introublable.
-Qu'est-ce qui t'a pris enfin ? Dit le père inquiet.
-Tu m'as menti ! Je suis bien malade ! Je me suis levé et je me suis écroulé
-C'est car tu n'avais pas l'habitude de marcher ! Répondit le père
-C'est ça... Répondit ironiquement le jeune enfant »

On le posa sur le lit, le gronda, puis oublia l'incident. Une semaine plus tard, l'enfant resortit du lit, et réussit à marcher, mais peinait tout de même. Il arriva dans le bureau du père qui n'était pas là, et vit sur l'ordinateur :

«  Aujourd'hui est le jour fatal. L'experience sera finie, et ils voudront lui enlever la vie... Je... Je ne vais pas les laisser... Le journal se finit maintenant, je quitte mon bureau pour le sauver. »

L'enfant ne comprenait pas, quelle experience ? La vie de qui ? Il fut interrompu dans sa reflexion car il vit le serieux. Pour la première fois, une larme coulait de sous ses lunettes, mais juste une seule... Et pour la première fois, sa voix se troublait. Était-ce lui qui allait mourir ? Il dit alors à l'enfant dans sa voix un peu troublée :

« Ho... Tu... tu as réussi à marcher ? C'est, c'est très bien. Allez... Allez viens, on va chercher mon collègue, puis... Puis ensuite j'ai une surprise pour toi... »

L'enfant le suivit sans comprendre puis, soudainement, le serieux cria

« JE T'AIME !!! Désolé si tu ne le voyais pas, mais je devais rester serieux dans mon métier... Tu étais génial... »

Mais... Pourquoi « étais » ? Enfin bon, ils cherchèrent un peu mais ne le trouvèrent pas. Ils allèrent alors dans une grande salle avec une table au milieu. Plein de scientifiques, notamment féminin, étaient réunis. Tout cela sentait la tristesse. L'enfant n'osait pas comprendre. On lui demanda de s'allonger sur la table. Il y eut un long moment de silence, soudainement interrompu par un cri plein de tristesse. « NON !!! MON GARÇON !!! FUIS !!! »

L'enfant entendit la voix de son père et, lui faisant confiance, profita du fait que tout le monde regardait son père pour courir vers la sortie de secours. Il sortit du laboratoire en courant, sans s'arrêter. Il s'arrêta devant une longue et grande ligne noire, qui était coupée en plusieurs morceaux par des lignes blanches. Et des immenses créatures passaient à vive allure en faisant un boucan infernal.

Pétrifié, il s'arrêta et tomba. Il fut ramené par son père dans la maison de ce dernier, et il lui raconta tout.

«  Des alpinistes t'ont trouvé en montagne, en parfait état et mort. On t'a amené au laboratoire en tentant maintes fois de te réssuciter. Nous avons réussi, on a fait des tests pour voir si tu allais bien. On t'a habillé, je t'ai chouchouté et maintenant ils veulent te tuer... Tu n'as pas onze ans, tu as 7 435 816 ans. Tu es l'enfant fossile...
-Mais pourquoi veulent-ils me tuer ?
-Pour obéir aveuglément à leur chef... Je t'aime... »

Mais soudain, malheur. Des soldats armés arrivèrent, prirent l'enfant et on le tua 2 heures après, 2 heures de panique sur la table...




Excusez-moi si ça manque de cohérence mais c'était un re que j'ai fait alors je l'ai un peu modifié pour le rendre plus cohérent, et long.

Le fossile