Accueil
Red Tajiri[validé]
Nom/Surnom du Personnage : Red
Groupe : Nintendo
Camp : Neutre
Double Compte (si oui) : Gozen, sir fesse, Alien X
Petite note : Dans ce RP, le personnage Red à 17 ans. Autre chose : Il peut utiliser tout les pokémon mais il n'y a pas de GodMod malgré tout. Plus de détails dans l'histoire. J'ai toujours joué Red comme cela depuis sa création, donc je ne changerai pas ce système ^^
Petit topo sur le garçon : Il part à l'aventure à 10 ans, devient maître à 11 ans, se bat contre Gold à 14 ans (pokémon or/argent/cristal), visite les autres régions (Hoenn, Sinnoh, Unys, Kalos) durant les quatre autres années qui suivent avant son arrivée sur nintendo world.
Description du Physique (6 lignes minimum) :
Red Tajiri est un garçon brun, d'environ un mètre soixante dix, portant en souvenir de son premier voyage une chemise blanche et rouge, assortie avec sa casquette gagnée lors de son premier combat pokémon contre Green, à Bourg Palette. C'est la casquette dite officielle de la ligue pokemon de Kanto -Le plateau indigo- et surtout sa « Marque de fabrique ». Il n'a pas une musculature hyper développée, mais beaucoup de gens le considère comme beau. Ses yeux marrons semblent refléter la puissance, la volonté, mais étrangement … La solitude. Il possède des mitaines de couleur noire, renforcées en caoutchouc pour se protéger des attaques électriques de son ancien partenaire Pikachu. Il les a gardé en souvenir. Cependant, en plus d'avoir des propriétés anti électrocution, les mitaines de Red sont importantes à présent : Elles possèdent un dispositif résistant, crée par le professeur Oak pour accueillir et utiliser sa Monster Ball
Description du Caractère (6 lignes minimum) :
… C'est un Red bien tourmenté que je vous présente. Mais j'y reviens dans quelques lignes ! Red Tajiri est un garçon de nature courageuse et déterminé. Il possède ce que l'on appelle « Le génie du dressage », c'est à dire un talent inné pour comprendre les petites bêtes que l'on nomme Pokémon, dans sa dimension. Depuis la tragédie qui l'a séparé de ses compagnons, (Peu après son passage à Johto.), Red semble souffrir d'un vide intérieur l'ayant forcé a reprendre un voyage initiatique d'une autre envergure. Sa personnalité est combative, chevaleresque mais, d'autre part, pimentée par le traumatisme de la perte de ses Pokémon. Ayant atteint le panthéon de Kanto, il se livre maintenant à une certaine justice. Sa justice : Celle d'aider les autres et d'explorer le monde à la recherche de nouveaux pokémon … Et, surtout, à la recherche du chaos qui à semé le trouble dans sa vie. Bien que de nature farouche, Red apprécie la compagnie des autres. Il n'est donc pas difficile. Cependant, sa dernière défaite sur la vie le force, sans qu'il le veuille forcément, à vouloir prendre les devants et foncer tête baissée pour la victoire. Le résultat n'est pas toujours bon.
Histoire :
« … Maman ! Aujourd'hui débute mon premier voyage initiatique en tant que dresseur de pokémon !»« Red ! Tu es trop jeune, enfin ! »
« Maiiiis ! Non ! Le professeur Oak dit que Dix ans, c'est parfait ! Green y va, lui, pourquoi pas moi ? »
« Le professeur a vraiment dit ça … ? »
« Oui, je te le jure ! Ça sera mon cadeau d'anniversaire !!! Alors … ? »
« Ah … Red … Tu es exactement comme ton père. Tu as la fougue du dresseur ! »
« Je prends ça pour un oui, alors !? »
« Va chez le professeur choisir ton pokémon. »
« OUIII !! »
… Je me nomme Red. Je suis dresseur de pokémon, depuis maintenant sept ans. Certaines personnes disent de moi que je suis un dresseur légendaire, au talent inégalé … C'est faux. Absolument faux. Bien entendu, accéder au panthéon des dresseurs est une prouesse rare. Cependant, je n'ai pas été le seul à reussir cet exploit. D'où ma nécéssité de vous dire : Ne vous fiez pas au titre que les gens me donnent. Je suis un dresseur pitoyable, et non d'exception. Pourquoi, me demandez vous ? … Pensez vous un seul instant que gagner tout les badges d'une région fait de vous un bon dresseur ? Pensez vous que battre le maître de la région fait de vous le dresseur le plus puissant du pays ? … Un bon dresseur est un dresseur aimant, qui peut comprendre et défendre ses compagnons au péril de sa vie. C'est une chose que je n'ai pas pu faire. Alors comprenez moi quand je vous dis que je ne suis PAS un bon dresseur … !!
Mais revenons en au début, si vous le voulez bien.
Je suis né dans un petit village, au sud de Kanto, nommé bourg-palette. C'est un village, certes, loin des grandes villes, mais qui a bâti sa réputation grâce au professeur Oak, une éminence dans mon pays et surtout la pointe de la pointe en matière de pokémon. La crème sur la gâteau à la crème. Bref, un expert. Je le connais bien, cet homme là. Le professeur Oak à la cinquantaine, il me semble. Sa chevelure, teintée de gris, révélant une blondeur passée, m'a toujours accueilli dans son jardin pour que je m'occupe des pokémon en sa compagnie. A côté de cela, son petit fils Green, mon rival et ami depuis toujours (bien que les pokémon nous aient séparés quelques temps.) était toujours présent pour aider son grand père, et donc jouer avec moi, quelque part. Il était confiant et comprenais les pokémon comme personne. Probablement parce qu'il avait grandi autour d'eux, depuis sa plus tendre enfance.
Je n'ai pas eu cette chance … L'absence de mon père dans ma vie étant un facteur de plus à mon ancienne peur de partir loin de mes racines, je n'ai jamais été plus loin que la route une de mon plein gré … Quand le professeur nous encadrait pour que ne nous ne nous fassions pas attaquer par quelque rongeur qui passait par là, c'était différent. Lors des excursions organisées par le laboratoire par exemple. Mon enfance est démunie d'intérêt pour la suite de l'histoire, si ce n'est que j'avais toujours aspiré à suivre les traces de mon cher papa : Un ancien dresseur qui avait réussi la prouesse d'obtenir les huit badges d'arènes ! Enfin …
Je suis parti à l'aventure le jour de mes dix ans, confiant de ma réussite, malgré cette peur chronique de m'éloigner de cette maison, de ce village où j'avais tant de repaires, pour sombrer dans ce monde froid, hostile et trop réel pour mon cœur d'enfant. Green est parti quelques semaines avant moi, car il était plus vieux. J'avais le choix entre trois pokémon : Salamèche, Bulbizarre et Carapuce.
Adorant les pokémon du type feu, je me suis pris d’intérêt pour le lézard rougeoyant. Aaaah … Salamèche et moi, nous avons tant appris ensemble, c'était nos débuts, croyez le bien. Arpenter les routes ensemble, capturer notre premier pokémon (Un Pikachu dans la forêt de Jade qui est devenu mon plus fidèle allié.), survivre tout trois aux nuées de dardargnan ou de rapasdepic … C'était notre quotidien. J'avais une tâche, tout de même. Parallèlement à cela, je devais remplir le pokédex pour le professeur Oak. Seulement j'avançais à mon rythme. Capturer tout les pokemon du monde ne m'intéressait pas plus que ça. Moi, je désirais seulement suivre les traces de mon père. Oak l'a bien compris, et m'a encouragé du mieux qu'il a pu, confiant la dure tâche du pokédex à mon rival Green, qui semblait enchanté de la concurrence que nous allions avoir sur la course aux champions d'arènes. Un badge, puis deux, puis trois … Mon salamèche avait évolué en reptincel, et Pikachu et moi avions pris la décision commune de ne pas le faire évoluer … Suite à une remarque perçante du major bob qui affirmait, avant sa défaite, qu'un pikachu non évolué était complètement inutile.
La conquête des badges augmentait à vitesse constante. Salamèche avait évolué en dracaufeu, et mon troisième compagnon, Ronflex, s'est révelé être un allié puissant lors de la libération de la sylphe SARL, quand la team rocket, une association de malfaiteurs, à décidé de prendre le pouvoir sur Kanto. Après Ronflex a suivi mon cher et tendre évoli, repris à cette même team rocket, à la sylphe SARL. J'ai ensuite capturé un Lokhlass, puis un ptéra, qui a été recrée à cramois'île, à l'extrémité du chenal de bourg palette. Mon évoli a par la suite, un peu avant mon huitième badge, évolué en Mentali : Une espèce inconnue à Kanto, qui a fait polémique, croyez moi !
J'ai dissous la team Rocket lors de l'affrontement pour le huitième Badge de Kanto, dans l'arène de Jadielle, dirigée par Giovanni, le chef de la team rocket. Le combat contre son Mewtwo a failli couter la vie à mon Pikachu, mais l'exploit été fait. J'ai par la suite accédé au Panthéon, après avoir éliminé, non sans mal, le conseil des quatres dresseurs les plus puissants de Kanto : Olga, la maîtresse des pokémon de type glace, Aldo, le maître karatéka, Agatha, la prêtresse des pokémon spectres (et l'ex du professeur Oak mais je ne l'ai sur que plus tard.) et enfin Peter, l'expert en dragonologie de Kanto.
Quelle ne fut pas ma surprise quand, à la place du maître, j'ai vu Green, victorieux, et avide de victoire. Il se vantait avoir constitué l'équipe de rêve, qui peut battre n'importe quel dresseur. L'affrontement a duré quatre longues heures, mais j'ai finalement ramené Green à la raison. C'était un combat pour le titre de maître, mais aussi pour notre amitié. Une rivalité qui allait enfin s'achever ici, et maintenant.
Étant devenu, à onze ans, le plus jeune maître de mon époque, j'ai inscrit mon nom en lettres d'or dans ma génération. Jusque là, vous pensez que je n'ai pas à me plaindre ?
Allons, mon histoire n'est pas terminée.
Pendant trois ans, je me suis entraîné au panthéon en tant que maître de Kanto. Défiant jour après jours énormément de dresseurs, sans connaître la défaite. Ne pas connaître la défaite est une sensation vraiment grisante, mais quand on se sent tout puissant, on a tendance à retomber de haut.
Mon voyage à Johto, à la fin de mon dur entraînement, se passait bien. Beaucoup de choses s'étaient écoulées en trois ans ! L'explosion du volcan de cramois'île, l'ascension de Green en tant que huitième champion d'arène et ma démission au poste de maître. J'avais expliqué, à ce moment là, à peter, que je désirais parcourir le monde pour trouver des dresseurs d'exception et les affronter. Peter avait compris. Il a prit ma place en tant que maître, et moi je suis parti. Mon fidèle Pikachu sur l'épaule, mon dracaufeu en poche, et ma petite équipe …
Je n'ai pas affronté les champions d'arène de Johto, car je suivais, sans qu'il le sache, l'ascension d'un jeune dresseur de ma génération nommé Gold. Il avait à lui seul dissous le futur de la team Rocket ! Il me rappelait moi sur beaucoup de points. Après son apogée en tant que maître de Johto, j'ai été tellement impressionné que je lui ai proposé un ultime affrontement au cœur du mont Argent de Johto.
Gold était l'adversaire le plus puissant que je n'ai jamais combattu. Son typhlosion, un pokémon feu d'un autre genre, m'a complètement coupé le souffle. Ce fut alors ma première défaite. J'ai été surpris, mais je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie ! Mais ma joie est rapidement tombée. C'est à ce moment là que ma vie a complètement basculée. J'ai décidé de rester au mont argent pour m'entraîner : Mes pokémon augmentaient à vue d'oeil, nous n'avions pas endroit égal à Kanto.
Un bruit de moteur m'a sorti de mon entraînement, un jour d'été. Une armada est tombée et m'a pris en embuscade. Elle ressemblait à la team Rocket, mais ce n'était pas eux. J'ai sorti mes six pokémon pour le combat. Le drame est venu à ce moment là. Aveuglé par le désir de victoire sur tout ces dresseurs, j'ai laissé la colère me submerger, jusqu'à laisser mes pokémon se sacrifier pour moi. Pour ma cause … Pour la victoire.
Des coups de feu ont retentis. Du sang, beaucoup de sang. Des cris aussi. La team était éliminée, mais pas seulement eux. J'ai poussé un cri de victoire, l'esprit embrumé par ce que je considérais comme ma revanche sur Gold. Mais mes pokémon, surmenés par l'effort et affaiblis par les tirs des gens qui m'agressaient, pour le bien de la team Rocket, je crois, ont succombé dans un ultime râle.
J'ai pleuré, énormément. Mes compagnons n'étaient plus. J'ai voulu me tuer, à de nombreuses reprises, mais sans succès. Le destin a voulu que je doive supporter la perte de mes amis, me remémorant chaque jour que Dieu faisait leur dernier râle de souffrance, avant de succomber. Je n'étais plus le même, je le savais.
Le professeur Oak avait crée, grâce aux données du pokedex de Green, la Monster Ball. C'était une pokéball automatisée qui pouvait recréer l'ADN des pokémon pour me permettre de les invoquer en combat. Cela m'avait remonté le moral, mais pas assez. J'étais conscient que c'était un privilège, seulement, ces pokémon ne pouvaient pas remplacer mes amis. Triste ? Je le suis encore. Je me suis fait à leur mort, pour la simple et bonne raison que la Monster Ball me permet de les rappeler, du moins leurs données, comme si je les ramenais un peu à la vie …
J'ai poursuivi mes voyages, sans contrainte. Plus question de devenir le maître et d'être aveuglé par la puissance. Mon but était désormais clair : Aider tout les humains et pokémon que je serais susceptible de rencontrer sur ma route. Ainsi que tout les autres êtres vivants du monde. Passé trois ans à explorer les autres régions que je connaissais, j'ai rencontré des pokémon fabuleux : Artikodin, Giratina, Cobaltium, Celebi, Latios et j'en passe. Mon véritable but était, cependant, clair. Trouver les gens qui avaient tués, ce jour là, mes meilleurs amis, et leur faire payer.
… Comprenez, vous qui aspirez à devenir un jour dresseur, que dans le monde ou nous vivons et évoluons, entourés de ces créatures merveilleuses, il est important de savoir faire la part des choses. Nous pouvons aspirer à devenir le meilleur dresseur du monde, mais il est important de ne pas faire l'erreur que j'ai faite … Il est important de garder en toute circonstance un sang froid légendaire, et de conserver son amour pour les pokémon. Si un jour vous devenez dresseur … Défendez vos amis comme ils vous défendent.
Red.
Que suis-je devenu, aujourd'hui ? Je peux me vanter d'avoir traversé Nintendo World en long et en large. Depuis la mort de Suicune, bien que je repense à ces événements tragiques, ou encore mon combat contre les jumeaux Latias et Latios Gijinka, au sommet du volcan de l'île Delphino, je pense m'être endurci. Je me suis entraîné de nombreuses années pour dresser ces nouveaux pokémon que je ne connaissais pas, ainsi que le type fée, qui ne m'était auparavant jamais apparu.
Les pokémon ont sans doute de nombreux autres mystères à m'offrir ... Mais je m'intéresse à l'un d'entre eux en particulier ... Le secret des méga-évolutions. Aujourd'hui, seuls mes trois pokémon Dracaufeu, Tortank et Florizarre, bien que basiquement le fruit de manipulations informatiques via ma monster ball, en sont capables ... Mais je suis persuadé que d'autres créatures peuvent désormais le faire. Revenant de cet entraînement, je suis prêt à me battre, moi aussi.
Aime : Les ramens, Les pokémon, la victoire
Aime pas : Les teams (rocket, plasma et autre galaxie.), Les légumes verts, les combats inégaux, ses anciens actes.
Comment ai-je connu le forum ? : Dondake.
Description Personnelle : DONDAKE !!
Groupe : Nintendo
Camp : Neutre
Double Compte (si oui) : Gozen, sir fesse, Alien X
Petite note : Dans ce RP, le personnage Red à 17 ans. Autre chose : Il peut utiliser tout les pokémon mais il n'y a pas de GodMod malgré tout. Plus de détails dans l'histoire. J'ai toujours joué Red comme cela depuis sa création, donc je ne changerai pas ce système ^^
Petit topo sur le garçon : Il part à l'aventure à 10 ans, devient maître à 11 ans, se bat contre Gold à 14 ans (pokémon or/argent/cristal), visite les autres régions (Hoenn, Sinnoh, Unys, Kalos) durant les quatre autres années qui suivent avant son arrivée sur nintendo world.
Description du Physique (6 lignes minimum) :
Red Tajiri est un garçon brun, d'environ un mètre soixante dix, portant en souvenir de son premier voyage une chemise blanche et rouge, assortie avec sa casquette gagnée lors de son premier combat pokémon contre Green, à Bourg Palette. C'est la casquette dite officielle de la ligue pokemon de Kanto -Le plateau indigo- et surtout sa « Marque de fabrique ». Il n'a pas une musculature hyper développée, mais beaucoup de gens le considère comme beau. Ses yeux marrons semblent refléter la puissance, la volonté, mais étrangement … La solitude. Il possède des mitaines de couleur noire, renforcées en caoutchouc pour se protéger des attaques électriques de son ancien partenaire Pikachu. Il les a gardé en souvenir. Cependant, en plus d'avoir des propriétés anti électrocution, les mitaines de Red sont importantes à présent : Elles possèdent un dispositif résistant, crée par le professeur Oak pour accueillir et utiliser sa Monster Ball
Description du Caractère (6 lignes minimum) :
… C'est un Red bien tourmenté que je vous présente. Mais j'y reviens dans quelques lignes ! Red Tajiri est un garçon de nature courageuse et déterminé. Il possède ce que l'on appelle « Le génie du dressage », c'est à dire un talent inné pour comprendre les petites bêtes que l'on nomme Pokémon, dans sa dimension. Depuis la tragédie qui l'a séparé de ses compagnons, (Peu après son passage à Johto.), Red semble souffrir d'un vide intérieur l'ayant forcé a reprendre un voyage initiatique d'une autre envergure. Sa personnalité est combative, chevaleresque mais, d'autre part, pimentée par le traumatisme de la perte de ses Pokémon. Ayant atteint le panthéon de Kanto, il se livre maintenant à une certaine justice. Sa justice : Celle d'aider les autres et d'explorer le monde à la recherche de nouveaux pokémon … Et, surtout, à la recherche du chaos qui à semé le trouble dans sa vie. Bien que de nature farouche, Red apprécie la compagnie des autres. Il n'est donc pas difficile. Cependant, sa dernière défaite sur la vie le force, sans qu'il le veuille forcément, à vouloir prendre les devants et foncer tête baissée pour la victoire. Le résultat n'est pas toujours bon.
Histoire :
« … Maman ! Aujourd'hui débute mon premier voyage initiatique en tant que dresseur de pokémon !»« Red ! Tu es trop jeune, enfin ! »
« Maiiiis ! Non ! Le professeur Oak dit que Dix ans, c'est parfait ! Green y va, lui, pourquoi pas moi ? »
« Le professeur a vraiment dit ça … ? »
« Oui, je te le jure ! Ça sera mon cadeau d'anniversaire !!! Alors … ? »
« Ah … Red … Tu es exactement comme ton père. Tu as la fougue du dresseur ! »
« Je prends ça pour un oui, alors !? »
« Va chez le professeur choisir ton pokémon. »
« OUIII !! »
… Je me nomme Red. Je suis dresseur de pokémon, depuis maintenant sept ans. Certaines personnes disent de moi que je suis un dresseur légendaire, au talent inégalé … C'est faux. Absolument faux. Bien entendu, accéder au panthéon des dresseurs est une prouesse rare. Cependant, je n'ai pas été le seul à reussir cet exploit. D'où ma nécéssité de vous dire : Ne vous fiez pas au titre que les gens me donnent. Je suis un dresseur pitoyable, et non d'exception. Pourquoi, me demandez vous ? … Pensez vous un seul instant que gagner tout les badges d'une région fait de vous un bon dresseur ? Pensez vous que battre le maître de la région fait de vous le dresseur le plus puissant du pays ? … Un bon dresseur est un dresseur aimant, qui peut comprendre et défendre ses compagnons au péril de sa vie. C'est une chose que je n'ai pas pu faire. Alors comprenez moi quand je vous dis que je ne suis PAS un bon dresseur … !!
Mais revenons en au début, si vous le voulez bien.
Je suis né dans un petit village, au sud de Kanto, nommé bourg-palette. C'est un village, certes, loin des grandes villes, mais qui a bâti sa réputation grâce au professeur Oak, une éminence dans mon pays et surtout la pointe de la pointe en matière de pokémon. La crème sur la gâteau à la crème. Bref, un expert. Je le connais bien, cet homme là. Le professeur Oak à la cinquantaine, il me semble. Sa chevelure, teintée de gris, révélant une blondeur passée, m'a toujours accueilli dans son jardin pour que je m'occupe des pokémon en sa compagnie. A côté de cela, son petit fils Green, mon rival et ami depuis toujours (bien que les pokémon nous aient séparés quelques temps.) était toujours présent pour aider son grand père, et donc jouer avec moi, quelque part. Il était confiant et comprenais les pokémon comme personne. Probablement parce qu'il avait grandi autour d'eux, depuis sa plus tendre enfance.
Je n'ai pas eu cette chance … L'absence de mon père dans ma vie étant un facteur de plus à mon ancienne peur de partir loin de mes racines, je n'ai jamais été plus loin que la route une de mon plein gré … Quand le professeur nous encadrait pour que ne nous ne nous fassions pas attaquer par quelque rongeur qui passait par là, c'était différent. Lors des excursions organisées par le laboratoire par exemple. Mon enfance est démunie d'intérêt pour la suite de l'histoire, si ce n'est que j'avais toujours aspiré à suivre les traces de mon cher papa : Un ancien dresseur qui avait réussi la prouesse d'obtenir les huit badges d'arènes ! Enfin …
Je suis parti à l'aventure le jour de mes dix ans, confiant de ma réussite, malgré cette peur chronique de m'éloigner de cette maison, de ce village où j'avais tant de repaires, pour sombrer dans ce monde froid, hostile et trop réel pour mon cœur d'enfant. Green est parti quelques semaines avant moi, car il était plus vieux. J'avais le choix entre trois pokémon : Salamèche, Bulbizarre et Carapuce.
Adorant les pokémon du type feu, je me suis pris d’intérêt pour le lézard rougeoyant. Aaaah … Salamèche et moi, nous avons tant appris ensemble, c'était nos débuts, croyez le bien. Arpenter les routes ensemble, capturer notre premier pokémon (Un Pikachu dans la forêt de Jade qui est devenu mon plus fidèle allié.), survivre tout trois aux nuées de dardargnan ou de rapasdepic … C'était notre quotidien. J'avais une tâche, tout de même. Parallèlement à cela, je devais remplir le pokédex pour le professeur Oak. Seulement j'avançais à mon rythme. Capturer tout les pokemon du monde ne m'intéressait pas plus que ça. Moi, je désirais seulement suivre les traces de mon père. Oak l'a bien compris, et m'a encouragé du mieux qu'il a pu, confiant la dure tâche du pokédex à mon rival Green, qui semblait enchanté de la concurrence que nous allions avoir sur la course aux champions d'arènes. Un badge, puis deux, puis trois … Mon salamèche avait évolué en reptincel, et Pikachu et moi avions pris la décision commune de ne pas le faire évoluer … Suite à une remarque perçante du major bob qui affirmait, avant sa défaite, qu'un pikachu non évolué était complètement inutile.
La conquête des badges augmentait à vitesse constante. Salamèche avait évolué en dracaufeu, et mon troisième compagnon, Ronflex, s'est révelé être un allié puissant lors de la libération de la sylphe SARL, quand la team rocket, une association de malfaiteurs, à décidé de prendre le pouvoir sur Kanto. Après Ronflex a suivi mon cher et tendre évoli, repris à cette même team rocket, à la sylphe SARL. J'ai ensuite capturé un Lokhlass, puis un ptéra, qui a été recrée à cramois'île, à l'extrémité du chenal de bourg palette. Mon évoli a par la suite, un peu avant mon huitième badge, évolué en Mentali : Une espèce inconnue à Kanto, qui a fait polémique, croyez moi !
J'ai dissous la team Rocket lors de l'affrontement pour le huitième Badge de Kanto, dans l'arène de Jadielle, dirigée par Giovanni, le chef de la team rocket. Le combat contre son Mewtwo a failli couter la vie à mon Pikachu, mais l'exploit été fait. J'ai par la suite accédé au Panthéon, après avoir éliminé, non sans mal, le conseil des quatres dresseurs les plus puissants de Kanto : Olga, la maîtresse des pokémon de type glace, Aldo, le maître karatéka, Agatha, la prêtresse des pokémon spectres (et l'ex du professeur Oak mais je ne l'ai sur que plus tard.) et enfin Peter, l'expert en dragonologie de Kanto.
Quelle ne fut pas ma surprise quand, à la place du maître, j'ai vu Green, victorieux, et avide de victoire. Il se vantait avoir constitué l'équipe de rêve, qui peut battre n'importe quel dresseur. L'affrontement a duré quatre longues heures, mais j'ai finalement ramené Green à la raison. C'était un combat pour le titre de maître, mais aussi pour notre amitié. Une rivalité qui allait enfin s'achever ici, et maintenant.
Étant devenu, à onze ans, le plus jeune maître de mon époque, j'ai inscrit mon nom en lettres d'or dans ma génération. Jusque là, vous pensez que je n'ai pas à me plaindre ?
Allons, mon histoire n'est pas terminée.
Pendant trois ans, je me suis entraîné au panthéon en tant que maître de Kanto. Défiant jour après jours énormément de dresseurs, sans connaître la défaite. Ne pas connaître la défaite est une sensation vraiment grisante, mais quand on se sent tout puissant, on a tendance à retomber de haut.
Mon voyage à Johto, à la fin de mon dur entraînement, se passait bien. Beaucoup de choses s'étaient écoulées en trois ans ! L'explosion du volcan de cramois'île, l'ascension de Green en tant que huitième champion d'arène et ma démission au poste de maître. J'avais expliqué, à ce moment là, à peter, que je désirais parcourir le monde pour trouver des dresseurs d'exception et les affronter. Peter avait compris. Il a prit ma place en tant que maître, et moi je suis parti. Mon fidèle Pikachu sur l'épaule, mon dracaufeu en poche, et ma petite équipe …
Je n'ai pas affronté les champions d'arène de Johto, car je suivais, sans qu'il le sache, l'ascension d'un jeune dresseur de ma génération nommé Gold. Il avait à lui seul dissous le futur de la team Rocket ! Il me rappelait moi sur beaucoup de points. Après son apogée en tant que maître de Johto, j'ai été tellement impressionné que je lui ai proposé un ultime affrontement au cœur du mont Argent de Johto.
Gold était l'adversaire le plus puissant que je n'ai jamais combattu. Son typhlosion, un pokémon feu d'un autre genre, m'a complètement coupé le souffle. Ce fut alors ma première défaite. J'ai été surpris, mais je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie ! Mais ma joie est rapidement tombée. C'est à ce moment là que ma vie a complètement basculée. J'ai décidé de rester au mont argent pour m'entraîner : Mes pokémon augmentaient à vue d'oeil, nous n'avions pas endroit égal à Kanto.
Un bruit de moteur m'a sorti de mon entraînement, un jour d'été. Une armada est tombée et m'a pris en embuscade. Elle ressemblait à la team Rocket, mais ce n'était pas eux. J'ai sorti mes six pokémon pour le combat. Le drame est venu à ce moment là. Aveuglé par le désir de victoire sur tout ces dresseurs, j'ai laissé la colère me submerger, jusqu'à laisser mes pokémon se sacrifier pour moi. Pour ma cause … Pour la victoire.
Des coups de feu ont retentis. Du sang, beaucoup de sang. Des cris aussi. La team était éliminée, mais pas seulement eux. J'ai poussé un cri de victoire, l'esprit embrumé par ce que je considérais comme ma revanche sur Gold. Mais mes pokémon, surmenés par l'effort et affaiblis par les tirs des gens qui m'agressaient, pour le bien de la team Rocket, je crois, ont succombé dans un ultime râle.
J'ai pleuré, énormément. Mes compagnons n'étaient plus. J'ai voulu me tuer, à de nombreuses reprises, mais sans succès. Le destin a voulu que je doive supporter la perte de mes amis, me remémorant chaque jour que Dieu faisait leur dernier râle de souffrance, avant de succomber. Je n'étais plus le même, je le savais.
Le professeur Oak avait crée, grâce aux données du pokedex de Green, la Monster Ball. C'était une pokéball automatisée qui pouvait recréer l'ADN des pokémon pour me permettre de les invoquer en combat. Cela m'avait remonté le moral, mais pas assez. J'étais conscient que c'était un privilège, seulement, ces pokémon ne pouvaient pas remplacer mes amis. Triste ? Je le suis encore. Je me suis fait à leur mort, pour la simple et bonne raison que la Monster Ball me permet de les rappeler, du moins leurs données, comme si je les ramenais un peu à la vie …
J'ai poursuivi mes voyages, sans contrainte. Plus question de devenir le maître et d'être aveuglé par la puissance. Mon but était désormais clair : Aider tout les humains et pokémon que je serais susceptible de rencontrer sur ma route. Ainsi que tout les autres êtres vivants du monde. Passé trois ans à explorer les autres régions que je connaissais, j'ai rencontré des pokémon fabuleux : Artikodin, Giratina, Cobaltium, Celebi, Latios et j'en passe. Mon véritable but était, cependant, clair. Trouver les gens qui avaient tués, ce jour là, mes meilleurs amis, et leur faire payer.
… Comprenez, vous qui aspirez à devenir un jour dresseur, que dans le monde ou nous vivons et évoluons, entourés de ces créatures merveilleuses, il est important de savoir faire la part des choses. Nous pouvons aspirer à devenir le meilleur dresseur du monde, mais il est important de ne pas faire l'erreur que j'ai faite … Il est important de garder en toute circonstance un sang froid légendaire, et de conserver son amour pour les pokémon. Si un jour vous devenez dresseur … Défendez vos amis comme ils vous défendent.
Red.
Que suis-je devenu, aujourd'hui ? Je peux me vanter d'avoir traversé Nintendo World en long et en large. Depuis la mort de Suicune, bien que je repense à ces événements tragiques, ou encore mon combat contre les jumeaux Latias et Latios Gijinka, au sommet du volcan de l'île Delphino, je pense m'être endurci. Je me suis entraîné de nombreuses années pour dresser ces nouveaux pokémon que je ne connaissais pas, ainsi que le type fée, qui ne m'était auparavant jamais apparu.
Les pokémon ont sans doute de nombreux autres mystères à m'offrir ... Mais je m'intéresse à l'un d'entre eux en particulier ... Le secret des méga-évolutions. Aujourd'hui, seuls mes trois pokémon Dracaufeu, Tortank et Florizarre, bien que basiquement le fruit de manipulations informatiques via ma monster ball, en sont capables ... Mais je suis persuadé que d'autres créatures peuvent désormais le faire. Revenant de cet entraînement, je suis prêt à me battre, moi aussi.
Aime : Les ramens, Les pokémon, la victoire
Aime pas : Les teams (rocket, plasma et autre galaxie.), Les légumes verts, les combats inégaux, ses anciens actes.
Comment ai-je connu le forum ? : Dondake.
Description Personnelle : DONDAKE !!
Pièces
![Red Tajiri[validé] 1444833273-sao-bouton](https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2015/42/1444833273-sao-bouton.png)
