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Night Cats Bar
Prologue
Le soleil venait de se coucher, le ciel s’était obscurcit. Au fur et à mesure que le temps passait, de moins en moins d’agitation se faisait entendre. Juste quelques bruits du moteur de voitures qui passaient par là, ou le bruit d’une moto au loin. Parfois un groupe de personnes marchait joyeusement le long la rue, à se raconter des histoires et à rire bruyamment. Tandis que la ville commençait à paisiblement s’endormir, moi, au contraire, je me réveillais. Alors que le son insupportable du réveil retentissait, je tapotais ma main le long du sol pour essayer de trouver ce fichu appareil et l’éteindre. Une fois cela fait, je me redressai dans mon lit, si on pouvait toute fois appeler cela un lit, me frotta les yeux et m’étira vers la droite puis la gauche en laissant craquer ma colonne vertébral. J’observai l’heure sur mon horloge, bien que je sache qu’elle sonnait toujours 23 heures. Je m’approchai de la fenêtre afin de regarder, comme tout les soirs, la ville plongée dans l’obscurité, et de sentir le vent frais du soir contre ma joue. Je pouvais rester ainsi pendent de longues minutes, j’aimais bien scruter l’horizon et ce qui reste de vie au loin, et d’écouter les bruit de klaxon ainsi que la musique des boites de nuit environnantes. Parfois il y a même des tournois de foot et on peut entendre l’annonceur parler de temps en temps, généralement entre deux coup de sifflet.
Je vérifiai l’heure une nouvelle fois, l’air inquiet. Il était évidement toujours 23 heures, mais pourtant j’avais toujours envie de dormir. Je n’ai plus aucun souvenir de ce qui c’est passé hier soir, pas que ça change de d’habitude, mais ce soir la je ne me sentais vraiment faible. Mais cela n’avait aucune importance, je pris ma doudoune blanche et mon bonnet puis sortit en trombe de mon petit appartement.
Nous somme le 14 Mars 2023, à Tokyo. Il fait nuit, et très froid. C’est une période de l’année que j’adore, car le froid me réveille et j’arrive toujours en forme au travail. Dommage que l’on n’ai pas eu de neige cette saison, cela devient plutôt rare ces dernières années d’avoir de la neige par ici. Je mis les mains dans les poches de ma veste pour me réchauffer et je regardai le ciel étoilé. Il n’y avait pas un seul nuage, c’était vraiment magnifique à voir… puis je me perdis dans mes pensées, et je manquai de me ramasser un lampadaire au milieu du front. Heureusement personne n’avait remarqué, je n’aime pas qu’on rigole de moi. De toute façon j’arrivais à destination. Je m’engageai dans une ruelle sombre, et m’approcha d’un homme plutôt grand et costaud, qui fumais une cigarette, et je le saluai chaleureusement avant d’entrer par la porte arrière du bar. Il me salua en retour en levant la main, sans prendre la peine me regarder.
Chapitre 1
Je m’appelle Loris, je n’ai pas de nom de famille. Je n’ai jamais eu de père ni de mère. Je vis seul dans un petit appartement au milieu de Tokyo. Je n’ai aucun souvenir de mon passé, et de ce fait, je ne connais pas non plus mon âge. Je ne suis pas très grand, je mesure à peine 151 centimètres, et je pèse 42 kilos. J’ai quelque chose en particulier que personne n’as su expliqué jusqu'à maintenant… je n’ai pas des oreilles comme tout le monde. Je suis pourtant sûr et certain d’être un être humain, pourtant j’ai des oreilles de chat, ainsi qu’une queue. Et à cause de cela je suis condamné à être le sujet de moquerie et d’harcèlement. Je me suis donc caché et je ne sortais pas souvent de mon petit appartement. Seulement il fallait que je me trouve de l’argent de quoi payer ce misérable taudis.
C’est la que mon histoire commence, et que ma vie est devenue un peu plus… disons, « intéressent ». Je travail dans un bar appelé le « Night Cats Bar ». Je suis devenu l’icône de ce bar et depuis on m’accord un peu plus de respect… enfin, UN PEU. Mais ce qui me rend heureux ce sont les personnes avec qui je travail, elles sont toujours très gentilles et attentionnée, et on rigole bien ensemble. Et puis il y a les habitués qui me connaissent bien, mais ça j’y reviendrai plus tard.
Une fois à l’intérieur du bar, je naviguais à travers les couloirs vide et silencieux. Il n’y avait personne, c’est normal, les autres commençait plus tôt, vers 22 heures. Tandis que moi j’arrivais à partir de minuit. Je me dirigeai vers la cabine de changement. Je me déshabillai complètement afin de me revêtir de quelque chose de bien plus léger. Une fois ma tenue changée, je m’assis devant le miroir pour me coiffer, c’est à cet instant que quelqu’un frappa à la porte :
« Loris ? C’est pour toi, Kévin veux te voir »
La personne qui venait juste de frapper à la porte, c’était Enzo. C’était le videur du bar, il était vraiment gigantesque… du moins pour moi qui était plutôt minuscule. Il faisait plus de 230 centimètres et pesait 100 kilos, et ça ce n’était pas de la graisse ! Du pure muscle moi je vous dis. Enzo a toujours été un peu mon ange gardien, il me protège en situation compliquée et garde toujours un œil sur moi, même quand il s’agit de me changer, ce « petit » pervers arrive toujours à fourrer son nez dans ma cabine. D’ailleurs je le surnomme « L’œil Baladeur ».
La porte s’ouvrit, et Kévin entra. C’était un garçon qui était plutôt jeune, il avait 15 ans. On ne s’attendrait pas à le voir dans un bar…enfin en tout cas pas CE genre de bar, mais il était bien là. Il n’était pas très grand, mais il n’était pas petit non plus. Mais en tout cas il était plus haut que moi, ça c’est sur. Il avait les cheveux châtains et mis long, et une tenue vestimentaire plutôt courante pour les adolescents de nos jours. Kévin était mon ami, on s’était rencontré il y a environ 1 an alors que je n’avais plus de quoi manger. Il m’avait gentiment partagé sa nourriture, puis on a commencé à discuté et il ma proposé de passer la nuit chez lui, étant donné que je n’avais nulle part où aller. Depuis on est devenu ami. Au départ quand on le connait mal on pourrait penser que c’est une personne froide et égoïste. Mais en fait il est quelqu’un de gentil, mature, intelligent, et il s’inquiète beaucoup à propos de moi et mon état de santé.
Je me retournai pour le regarder, toujours le peigne en mains, il n’avait pas l’air vraiment joyeux.
-Salut !
-Hello, je sais que je n’ai pas trop l’habitude de venir te voir par ici mais…
-Par « pas l’habitude » tu veux dire « pratiquement tout le temps » ? Lui dis-je en lui coupant la parole.
-Il prit quelques secondes pour réfléchir puis répondit avec un sourire : M’oui ce n’est pas faux.
-Hihihi, et bien qu’as-tu donc à me dire aujourd’hui ? Je me retournai vers le miroir et continua de me coiffer.
-C’est à propos de hier soir, j’ai vu ce qu’il t’on fait et je me suis inquiété… d’ailleurs je suis surpris que tu sois venu aujourd’hui.
- *Huh… hier soir hein… j’ai plus aucun souvenir …* Que veux-tu dire ?
-Je me doutais bien que t’allais pas t’en rappeler, avec tout les shoots de whisky que t’as bu… Mais disons qu’avec le gros pourboire qu’il ton laissé tu peux t’imaginé à peu près ce qui c’est passé, non ?
Il me tendit une dizaine de billet de 1000 Yens.
-Huh… je vois. Bon et bien je ferai attention aujourd’hui. Ne t’inquiète pas.
-Tu ferais peut-être mieux d’aller voir un médecin, et de prendre ta journée. De toute façon avec l’argent que tu viens de recevoir tu as largement de quoi vivre pendent une semaine entière sans te rendre au travail…
-Non, ça ira. De toute façon je suis déjà habillé.
-Très bien… Dans ce cas, fais attention à toi… on c’est jamais ce qui peux arriver, c’est pour ça q…
-Je lui coupai à nouveau la parole. Ouais ouais ouais… « C’est pour ça que je m’inquiète autant depuis que tu as commencé à travailler ici. » Mais tu me le répète tout les soirs ça… Aller, retourne donc au bar et profite un peu. Lui répondis-je en lui faisant un clin d’œil.
-Non merci, il faut que je rentre, je n’étais même pas censé venir ce soir. Je repasserais surement un autre jour… Cya.
-Cya…
Il sortit de la pièce et ferma la porte, quant à moi j’étais fin près à aller dans le bar pour commencer à travailler. Je rangeai soigneusement la liasse de billets dans mon casier puis sortit à mon tour de la pièce.
Le soleil venait de se coucher, le ciel s’était obscurcit. Au fur et à mesure que le temps passait, de moins en moins d’agitation se faisait entendre. Juste quelques bruits du moteur de voitures qui passaient par là, ou le bruit d’une moto au loin. Parfois un groupe de personnes marchait joyeusement le long la rue, à se raconter des histoires et à rire bruyamment. Tandis que la ville commençait à paisiblement s’endormir, moi, au contraire, je me réveillais. Alors que le son insupportable du réveil retentissait, je tapotais ma main le long du sol pour essayer de trouver ce fichu appareil et l’éteindre. Une fois cela fait, je me redressai dans mon lit, si on pouvait toute fois appeler cela un lit, me frotta les yeux et m’étira vers la droite puis la gauche en laissant craquer ma colonne vertébral. J’observai l’heure sur mon horloge, bien que je sache qu’elle sonnait toujours 23 heures. Je m’approchai de la fenêtre afin de regarder, comme tout les soirs, la ville plongée dans l’obscurité, et de sentir le vent frais du soir contre ma joue. Je pouvais rester ainsi pendent de longues minutes, j’aimais bien scruter l’horizon et ce qui reste de vie au loin, et d’écouter les bruit de klaxon ainsi que la musique des boites de nuit environnantes. Parfois il y a même des tournois de foot et on peut entendre l’annonceur parler de temps en temps, généralement entre deux coup de sifflet.
Je vérifiai l’heure une nouvelle fois, l’air inquiet. Il était évidement toujours 23 heures, mais pourtant j’avais toujours envie de dormir. Je n’ai plus aucun souvenir de ce qui c’est passé hier soir, pas que ça change de d’habitude, mais ce soir la je ne me sentais vraiment faible. Mais cela n’avait aucune importance, je pris ma doudoune blanche et mon bonnet puis sortit en trombe de mon petit appartement.
Nous somme le 14 Mars 2023, à Tokyo. Il fait nuit, et très froid. C’est une période de l’année que j’adore, car le froid me réveille et j’arrive toujours en forme au travail. Dommage que l’on n’ai pas eu de neige cette saison, cela devient plutôt rare ces dernières années d’avoir de la neige par ici. Je mis les mains dans les poches de ma veste pour me réchauffer et je regardai le ciel étoilé. Il n’y avait pas un seul nuage, c’était vraiment magnifique à voir… puis je me perdis dans mes pensées, et je manquai de me ramasser un lampadaire au milieu du front. Heureusement personne n’avait remarqué, je n’aime pas qu’on rigole de moi. De toute façon j’arrivais à destination. Je m’engageai dans une ruelle sombre, et m’approcha d’un homme plutôt grand et costaud, qui fumais une cigarette, et je le saluai chaleureusement avant d’entrer par la porte arrière du bar. Il me salua en retour en levant la main, sans prendre la peine me regarder.
Chapitre 1
Je m’appelle Loris, je n’ai pas de nom de famille. Je n’ai jamais eu de père ni de mère. Je vis seul dans un petit appartement au milieu de Tokyo. Je n’ai aucun souvenir de mon passé, et de ce fait, je ne connais pas non plus mon âge. Je ne suis pas très grand, je mesure à peine 151 centimètres, et je pèse 42 kilos. J’ai quelque chose en particulier que personne n’as su expliqué jusqu'à maintenant… je n’ai pas des oreilles comme tout le monde. Je suis pourtant sûr et certain d’être un être humain, pourtant j’ai des oreilles de chat, ainsi qu’une queue. Et à cause de cela je suis condamné à être le sujet de moquerie et d’harcèlement. Je me suis donc caché et je ne sortais pas souvent de mon petit appartement. Seulement il fallait que je me trouve de l’argent de quoi payer ce misérable taudis.
C’est la que mon histoire commence, et que ma vie est devenue un peu plus… disons, « intéressent ». Je travail dans un bar appelé le « Night Cats Bar ». Je suis devenu l’icône de ce bar et depuis on m’accord un peu plus de respect… enfin, UN PEU. Mais ce qui me rend heureux ce sont les personnes avec qui je travail, elles sont toujours très gentilles et attentionnée, et on rigole bien ensemble. Et puis il y a les habitués qui me connaissent bien, mais ça j’y reviendrai plus tard.
Une fois à l’intérieur du bar, je naviguais à travers les couloirs vide et silencieux. Il n’y avait personne, c’est normal, les autres commençait plus tôt, vers 22 heures. Tandis que moi j’arrivais à partir de minuit. Je me dirigeai vers la cabine de changement. Je me déshabillai complètement afin de me revêtir de quelque chose de bien plus léger. Une fois ma tenue changée, je m’assis devant le miroir pour me coiffer, c’est à cet instant que quelqu’un frappa à la porte :
« Loris ? C’est pour toi, Kévin veux te voir »
La personne qui venait juste de frapper à la porte, c’était Enzo. C’était le videur du bar, il était vraiment gigantesque… du moins pour moi qui était plutôt minuscule. Il faisait plus de 230 centimètres et pesait 100 kilos, et ça ce n’était pas de la graisse ! Du pure muscle moi je vous dis. Enzo a toujours été un peu mon ange gardien, il me protège en situation compliquée et garde toujours un œil sur moi, même quand il s’agit de me changer, ce « petit » pervers arrive toujours à fourrer son nez dans ma cabine. D’ailleurs je le surnomme « L’œil Baladeur ».
La porte s’ouvrit, et Kévin entra. C’était un garçon qui était plutôt jeune, il avait 15 ans. On ne s’attendrait pas à le voir dans un bar…enfin en tout cas pas CE genre de bar, mais il était bien là. Il n’était pas très grand, mais il n’était pas petit non plus. Mais en tout cas il était plus haut que moi, ça c’est sur. Il avait les cheveux châtains et mis long, et une tenue vestimentaire plutôt courante pour les adolescents de nos jours. Kévin était mon ami, on s’était rencontré il y a environ 1 an alors que je n’avais plus de quoi manger. Il m’avait gentiment partagé sa nourriture, puis on a commencé à discuté et il ma proposé de passer la nuit chez lui, étant donné que je n’avais nulle part où aller. Depuis on est devenu ami. Au départ quand on le connait mal on pourrait penser que c’est une personne froide et égoïste. Mais en fait il est quelqu’un de gentil, mature, intelligent, et il s’inquiète beaucoup à propos de moi et mon état de santé.
Je me retournai pour le regarder, toujours le peigne en mains, il n’avait pas l’air vraiment joyeux.
-Salut !
-Hello, je sais que je n’ai pas trop l’habitude de venir te voir par ici mais…
-Par « pas l’habitude » tu veux dire « pratiquement tout le temps » ? Lui dis-je en lui coupant la parole.
-Il prit quelques secondes pour réfléchir puis répondit avec un sourire : M’oui ce n’est pas faux.
-Hihihi, et bien qu’as-tu donc à me dire aujourd’hui ? Je me retournai vers le miroir et continua de me coiffer.
-C’est à propos de hier soir, j’ai vu ce qu’il t’on fait et je me suis inquiété… d’ailleurs je suis surpris que tu sois venu aujourd’hui.
- *Huh… hier soir hein… j’ai plus aucun souvenir …* Que veux-tu dire ?
-Je me doutais bien que t’allais pas t’en rappeler, avec tout les shoots de whisky que t’as bu… Mais disons qu’avec le gros pourboire qu’il ton laissé tu peux t’imaginé à peu près ce qui c’est passé, non ?
Il me tendit une dizaine de billet de 1000 Yens.
-Huh… je vois. Bon et bien je ferai attention aujourd’hui. Ne t’inquiète pas.
-Tu ferais peut-être mieux d’aller voir un médecin, et de prendre ta journée. De toute façon avec l’argent que tu viens de recevoir tu as largement de quoi vivre pendent une semaine entière sans te rendre au travail…
-Non, ça ira. De toute façon je suis déjà habillé.
-Très bien… Dans ce cas, fais attention à toi… on c’est jamais ce qui peux arriver, c’est pour ça q…
-Je lui coupai à nouveau la parole. Ouais ouais ouais… « C’est pour ça que je m’inquiète autant depuis que tu as commencé à travailler ici. » Mais tu me le répète tout les soirs ça… Aller, retourne donc au bar et profite un peu. Lui répondis-je en lui faisant un clin d’œil.
-Non merci, il faut que je rentre, je n’étais même pas censé venir ce soir. Je repasserais surement un autre jour… Cya.
-Cya…
Il sortit de la pièce et ferma la porte, quant à moi j’étais fin près à aller dans le bar pour commencer à travailler. Je rangeai soigneusement la liasse de billets dans mon casier puis sortit à mon tour de la pièce.
Pièces
