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Premier pas au plan
La population était pitoyable par ici. Les soldats s'amusaient à ennuyer tous les habitants au tête de champignon un peu étrange. Enfin, je me m'occupais pas vraiment de ces personnes. Tout ce qui m'importait, c'était mon plan. Des groupes s'étaient répartis dans toute la ville.
"Chef, je ne crois pas que c'est utile d'attaquer les habitants. Ils ont très faibles et ils n'ont pas l'air d'avoir d'aide."
Dit un certain soldat. Je n'avais pas envie de le répondre, je contemplais tout d'abord les maisons... C'était très spécial mais peut-être digne de leur culture. C'était ça qui me rendait un peu mélancolique. J'allais détruire tout ce qui était leur culture et il n'y avait rien qui pouvait m'arrêter. On pouvait chercher d'où venait ma nature apocalyptique mais... Comprendre ne fait pas faire. La compréhension n'est pas le futur. Oui, je n'étais peut-être qu'un simple instrument, je ne ressentais aucun sentiment de haine ou de colère envers le monde, aucune jalousie envers ceux qui vivaient tranquillement, aucune tristesse envers les morts.
Je ne savais pas qui était ma véritable face. J'aurais bien pu être un psychopathe qui ne se rend pas compte de ce qu'il fait.
"Vous êtes trop bons pour être un psychopathe, Chef Storm."
Là, mon adjoint, Kalisto, semblait lire mes pensées.
"Vous n'avez pas le profil d'un tueur, ni d'un dictateur. Vous semblez quand même être clément, même si vous voulez montrer que vous êtes là, pour vous imposer."
Certes, je voulais laisser vivre certains habitants. Pourquoi ?! Là, un appel de mon transmetteur.
"Chef, nous avons le contrôle de la radio et des hauts parleurs de la ville. Quel CD voulez-vous mettre ?
- Celui que vous voulez, cela m'importe peu pour le moment."
"Chef, je ne crois pas que c'est utile d'attaquer les habitants. Ils ont très faibles et ils n'ont pas l'air d'avoir d'aide."
Dit un certain soldat. Je n'avais pas envie de le répondre, je contemplais tout d'abord les maisons... C'était très spécial mais peut-être digne de leur culture. C'était ça qui me rendait un peu mélancolique. J'allais détruire tout ce qui était leur culture et il n'y avait rien qui pouvait m'arrêter. On pouvait chercher d'où venait ma nature apocalyptique mais... Comprendre ne fait pas faire. La compréhension n'est pas le futur. Oui, je n'étais peut-être qu'un simple instrument, je ne ressentais aucun sentiment de haine ou de colère envers le monde, aucune jalousie envers ceux qui vivaient tranquillement, aucune tristesse envers les morts.
Je n'étais peut-être pas un humain
Seulement une enveloppe corporelle
Qui n'était peut-être pas réelle
Mon faux corps et ma fausse âme qui font un.
Seulement une enveloppe corporelle
Qui n'était peut-être pas réelle
Mon faux corps et ma fausse âme qui font un.
Je ne savais pas qui était ma véritable face. J'aurais bien pu être un psychopathe qui ne se rend pas compte de ce qu'il fait.
"Vous êtes trop bons pour être un psychopathe, Chef Storm."
Là, mon adjoint, Kalisto, semblait lire mes pensées.
"Vous n'avez pas le profil d'un tueur, ni d'un dictateur. Vous semblez quand même être clément, même si vous voulez montrer que vous êtes là, pour vous imposer."
Certes, je voulais laisser vivre certains habitants. Pourquoi ?! Là, un appel de mon transmetteur.
"Chef, nous avons le contrôle de la radio et des hauts parleurs de la ville. Quel CD voulez-vous mettre ?
- Celui que vous voulez, cela m'importe peu pour le moment."