C'était ce que l'on pourrait qualifier de charmante journée. Le ciel était à son plus bleu, agrémenté de quelques blanc nuages qui lui tenait bonne compagnie. Sous cet éclat ensoleillé, la topographie de Gallia ne pouvait qu'en être que plus resplandissante; verte forêts, verte plaines et verte collines étaient tout ce que l'on pouvait appercevoir sur des kilomètres à la ronde. Plus de forêts qu'autre chose, je dirais même - une dense forêt, qui parfois même parvenait à caché les éclatants rayons du soleil, à travers ses épais branchages, comme deux mains gênées sur le visage qui tenteraient de se réfugié d'un regard indiscret. L'on pouvais sentir la pente d'une colline bien bâtie - si ce n'est une montagne, car non au loins, je parvenais à une falaise qui me donnait alors splendide vue sur la contrée.
Appréçiable était le mot; douce brise et plafonds de branchages virevoltants à son grès étaient mes compagnons de route en ce jour. Agréable, était égallement le mot; cette même brise me carressait le visage avec compassion, dosant une température ambiante stable, ni trop chaude ni trop froide, quoiqu'un peux humide dû aux environs. Quelques flaques ci et là dans les crevasses et reliefs retranchés trahissaient une réçente averse, peut-être la nuit préçédente. J'étais venu ici pour capter un peux de calme, et voyager dans des endroits incroyables. Pas qu'un tel spectacle ne me soit inconnu ... Mais je doit avouer qu'il n'est pas désagréable de voyager en ces lieux.
J'avais entendu parler de l'isolement de ces contrées retranchées et perdue de Gallia ... Et j'étais simplement venu me figurer moi même de ces choses. Ouais ... Mais au final, réalisais-je vite, il y avait là bien peux de choses pour me suffire. Pas que je soit quelqu'un dans le besoin - oh je sais bien que je ne suis pas de suffisance. Peut-être que cet implaçable calme ambiant, bien qu'accompagné du concert de la natûre, devenait quelques-peux grisant. Après-tout, ne suis-je pas moi-même homme d'action ? C'est là ces dernières réflexions qui mirent fin à ma léthargie narrative.
J'étais là, adossé contre un solide arbre. Malgrès ma longue existance, ma culture des arbres est limitée - je n'aurais sû l'identifié. L'oeuil fermé - car j'étais borgne - je m'étais pris au jeu d'une observation calme et mesurée de l'ambiance du lieu. Ceci-fait, je me reprenais, ouvrant l'oeuil - ou les yeux, serait plus linguistique. Je pris l'aisance de me dégourdir les jambes en prononçant quelques pas devant moi. Le concert de la natûre jouissait maintenant d'un nouvel instrument; le crépitement des herbes et branchages s'écrasant sous mes pieds alors que je marchait vers l'avant de la colline.
Bientôt, la lumière m'éblouissait, alors que le plafond de feuilles s'amincissait, signe que j'approchait du bout. Encore quelques pas de plus - et me voila dans un fleuve de lumière châtoyante en provenance du soleil, embrassant la vue et les hauteurs depuis le rebord de la falaise. Et je me tenais là - éternel juge du monde et de moi-même, observateur pour l'éternitée. La vie éternelle ... A cette pensée, je sentais une sensation étrange, tel un léger tiraillement, dans le dos de ma main droite. Je fixais et dosais l'immensitée me séparant du sol, au bas du ravin. Peut-être que le chemin me séparant de la mort était aussi lointain que cela ... Peut-être plus. Peut-être moins. Je pourrais sauter. Mais je ne mourrais peut-être pas. Et de toute façon, je ne le fairais pas. Beaucoups de "peut-être". Beaucoups de "possibilitée". Rien de factuel. Rien à se préoccupé. J'étais un observateur lié à la Rune, et j'assumais mon rôle alors que je traversais le court du temps. Habitué ... Au fait de ne jamais mourrir. La neutralitée absolue ... Le souhait de la Rune.
— Mon nom est Geddoe, murmurai-je au monde.
Appréçiable était le mot; douce brise et plafonds de branchages virevoltants à son grès étaient mes compagnons de route en ce jour. Agréable, était égallement le mot; cette même brise me carressait le visage avec compassion, dosant une température ambiante stable, ni trop chaude ni trop froide, quoiqu'un peux humide dû aux environs. Quelques flaques ci et là dans les crevasses et reliefs retranchés trahissaient une réçente averse, peut-être la nuit préçédente. J'étais venu ici pour capter un peux de calme, et voyager dans des endroits incroyables. Pas qu'un tel spectacle ne me soit inconnu ... Mais je doit avouer qu'il n'est pas désagréable de voyager en ces lieux.
J'avais entendu parler de l'isolement de ces contrées retranchées et perdue de Gallia ... Et j'étais simplement venu me figurer moi même de ces choses. Ouais ... Mais au final, réalisais-je vite, il y avait là bien peux de choses pour me suffire. Pas que je soit quelqu'un dans le besoin - oh je sais bien que je ne suis pas de suffisance. Peut-être que cet implaçable calme ambiant, bien qu'accompagné du concert de la natûre, devenait quelques-peux grisant. Après-tout, ne suis-je pas moi-même homme d'action ? C'est là ces dernières réflexions qui mirent fin à ma léthargie narrative.
J'étais là, adossé contre un solide arbre. Malgrès ma longue existance, ma culture des arbres est limitée - je n'aurais sû l'identifié. L'oeuil fermé - car j'étais borgne - je m'étais pris au jeu d'une observation calme et mesurée de l'ambiance du lieu. Ceci-fait, je me reprenais, ouvrant l'oeuil - ou les yeux, serait plus linguistique. Je pris l'aisance de me dégourdir les jambes en prononçant quelques pas devant moi. Le concert de la natûre jouissait maintenant d'un nouvel instrument; le crépitement des herbes et branchages s'écrasant sous mes pieds alors que je marchait vers l'avant de la colline.
Bientôt, la lumière m'éblouissait, alors que le plafond de feuilles s'amincissait, signe que j'approchait du bout. Encore quelques pas de plus - et me voila dans un fleuve de lumière châtoyante en provenance du soleil, embrassant la vue et les hauteurs depuis le rebord de la falaise. Et je me tenais là - éternel juge du monde et de moi-même, observateur pour l'éternitée. La vie éternelle ... A cette pensée, je sentais une sensation étrange, tel un léger tiraillement, dans le dos de ma main droite. Je fixais et dosais l'immensitée me séparant du sol, au bas du ravin. Peut-être que le chemin me séparant de la mort était aussi lointain que cela ... Peut-être plus. Peut-être moins. Je pourrais sauter. Mais je ne mourrais peut-être pas. Et de toute façon, je ne le fairais pas. Beaucoups de "peut-être". Beaucoups de "possibilitée". Rien de factuel. Rien à se préoccupé. J'étais un observateur lié à la Rune, et j'assumais mon rôle alors que je traversais le court du temps. Habitué ... Au fait de ne jamais mourrir. La neutralitée absolue ... Le souhait de la Rune.
— Mon nom est Geddoe, murmurai-je au monde.