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Invité | Le ciel porte des teintes funèbres, et depuis sa hauteur, il déverse ses larmes sur la citadelle d'Hyrule. Il n'y avais pas grand monde dans les rues, seuls quelques marchants qui tentait d eplier leur étalage de marchandise au plus vite avant que la pluie ne s'intensifie. Il faisait jour, mais pourtant il faisait très sombre. Ayant perdue un peu la notion du temps, la démone ne pouvait que supposée qu'il devait faire jour en voyant les quelques civils.
Elle avait réussit à pénétré dans la citadelle en portant une cape, tout en restant encapuchonnée. Les soldats n'avait pas poser beaucoup de question, après tout il était normal d'être vêtue ainsi lors des jours de pluie...
Pourquoi être venue ici ? C'était une très bonne question. La démone avait marchée jusqu'a la grande place où elle c'était arrêtée pour boire comme elle pue un peu dos de la fontaine, celle-ci semblait potable... et en même temps, dans les mouvements de l'eau, elle aperçue le reflet de l'immense structure qui se trouvait non loin. Le château d'Hyrule. C'était le même que occupait Dame Astrid... ou du moins... occupera d'ici mille an. Mais ces faits étaient maintenant incertain voir irréalisable. Etias-ce donc la nostalgie qui l'avait conduite ici ? Ce vide qu'elle ressentait à l'idée de ne plus pouvoir faire partie intégrante d'une quelconque population à cause de ses ailes, de ses cornes et d'une queue jugés maléfiques ? Elle soupirat, observant tant bien que mal son reflet dans l'eau. Dans ce monde... à cet époque... qu'était-elle ? Qui était-elle ? Il n'y avait aucune réponse à cette question. Elle tentat de réfléchir à ce qu'elle aait fait jusqu'a ici. Etre entraînée dans une histoire abracadabra branquesque de bombes et de toads... au moins elle avait pue manger un peu ce jour là. Un peu de gâteau, même si la démone n'avait pas vraiment eu le cœur à la fête. Elle avait ensuite volée vers Hyrule, ouai elle avait fuit une première fois cette citadelle pour finalement allé dans les bois perdus et croiser.... croiser quelques personnes dont la compagnie n'était pas vraiment idéale pour lui apporter un quelconque réconfort... Au finalement, l'ex-chroniqueuse en concluait que la seule chose qu’elle faisait maintenant était d'errer presque comme un spectre. Plus le temps passait et plus les questions sans réponses s'accumulait... plus elle se sentait incapable d'une quelconque réflexion... elle commençait même à de moins en moins écrire dans son journal.
La pluie se faisait de plus en plus forte, et cela n'était guère agréable, elle se dirigeât donc un moment contre un bâtiment, à un endroit où la pluie semblait ne pas passer, en raison d'une sorte de haut-vent et d'un petit balcon juste au dessus. Rentré directement dans ce qui semblait être un petit salon de thé ou de café serait peut-être plus judicieux pour rester à l'abris, mais ça serait à la fois plus dangereux, contrairement au village kokiri, ici il y avait des gardes qui se baladait tout en étant armé de lance, et la démone n'avait guère envie d'avoir l'une d'entre-elle pointée vers elle...
Elle s’asseyat alors sur une marche, contre un mur qui dégageant une plaisante et agréable chaleur, surement qu'a l'intérieur, il s'y trouvait une cheminée où un chaudron qui chauffait. Fermant un peu ses yeux pour se reposer, elle restât néanmoins attentive au bruit qui l'entourait, dormir là ne serais pas une très bonne idée, mais gaspiller de l'énergie pour rien ne servait à rien non plus. Ses pensées divaguait légèrement, elle se demandait parfois si il existait un moyen pour que les gens cessent de voir ses cornes et ses ailes... où si il existait une façon plus simple et plus sure de les dissimulés... Elle lâchait encore une fois un soupir... Dans son monde à elle, elle ne se saurait jamais posée la question, mais là... elle devait se rendre à l'évidence que les "démons" n'étaient guère très bien perçus dans une quelconque civilisation...
Son esprit s'enfonçait alors dans ses idées sottes... au final...
Les démons, ceux qui font s'y peur aux hommes... ils vivent où ? Ils font quoi ? A quoi ressemblent-ils ? Et parmi les héros.... certains n'ont pas une apparence banal non plus... comment font-ils ? Entre une chèvre et un dragon... Quoique... entre une chèvre et un démon... je doute que les gens sois effrayée par une chèvre... et puis à Horuna... ce dragon chercheur arrive à prendre forme humaine de ce que j'ai entendue dire.... Genre ils ressemble totalement à un humain ? Impossible de savoir que c'est un dragon ? Chier... Pourquoi m'avoir emmener à cette époque maudite... Et pourquoi... pourquoi malgré tout ça mes jambes persiste à me maintenir debout...
Elle rouvrit les yeux, regardant un moment si il y avait une quelconque personne sur la place, elle décidât d'entre ouvrir légèrement sa cape pour tenter d'observer l'état du bandage de fortune que la dragon avait bien pu lui faire. Celui-ci était devenu salle avec le temps, à force de se déplacer ici et là sans vraiment se reposée. La plaie elle avait l'air de se refermer très lentement. Cela allait surement laisser une cicatrice, surement aurait-elle mieux fait de ne pas trop voyagé et de se reposée... Mais avec tous ces événements, il n'y avait guère de moment propice au repos... Elle refermât sa cape de nouveau... un vêtement qu'elle avait... volé... à une caravane sur la route pour venir jusque ici. M'enfin elle y avais laissée quelques rubis derrière en compensation malgré le fait qu'elle n'avait aucune idée de combien cela coûtait réellement. Le salon de thé à côté du quel elle se trouvait semblait toujours ouvert, il n'y avais pas grand monde et pour cause, les gens préfère rester chez eux plutôt que de faire le chemin sous la pluie jusque ici...
Mais voilà qu'un problème se présentait dorénavant ,e le vent se levait, une violence bourrasque manquât de révéler les ailes et les cornes de Unasarera, qui plaquât son dos contre les murs et ses mains sur sa capuche, lâchant un léger juron entre ses dents, surement n'allait-elle pas avoir le choix cette fois... L'idée de rentré dans la citadelle était vraiment la pire qu'elle pouvait avoir... la nostalgie lui avait fait faire des bêtises... Elle se levât alors et pénétrât dans le salon de thé au risque de voir faire face à ceux qui tenaient les lieux et aux quelques rares clients. Elle demandait d'une voix faible...
-Excusez moi... puis-je restée ici... le temps que la pluie cesse ? Je... enfin... bonjour ?
Au moins elle serait à l’abri du vent si ils acceptent... mais néanmoins, elle craignait fort qu'on lui demande de dévoilé son visage en retirant sa capuche.... |
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Orion Feuille de personnage Objet(s):
Pièces : 38337 Nombre de messages : 143 | A la suite de mon affrontement avec cette IA, j’étais resté quelques temps dans la citadelle d’Hyrule, afin de voir si cet être hétéroclite refaisait surface ou non. C’étais vrai que notre affrontement avec les gardes de cette citadelle n’avait pas aidé. Quelle idée saugrenue avais je eu en les engageant comme mercenaire. J’aurais dû m’y attendre que leur désir de justice reprenne le dessus.
J’avais dû faire face à des réticences de la part des autres gardes. Tout du moins, de ceux qui était encore en vie après cet affrontement. Epsilon et moi-même n’avions pas été très conciliant avec leur condition, et nombre d’entre eux, ceux qui nous avaient attaqué et avaient eu la mauvaise idée de refuser de fuir, avait fini dans des sales états. C’était vrai que mes flammes alliées à l’arme à feu d’Epsilon avaient des ravages, et nombre d’entre eux s’étaient même plain de tir dans le genou, mettant fin à leurs rêves d’aventures. Mais soit, j’avais néanmoins réussi à subsister comme un citoyen normal dans cette citadelle grâces aux diverses relations que j’avais liées au fil de ses quelques mois d’errance dans cette époque.
J’étais donc dans un petit café, où j’avais depuis quelques temps mes habitudes. Bien que le service ou les produits n’étaient pas d’une qualité exceptionnelle, l’ambiance qui y régnait y était suffisante, et surtout les gérants n’étaient pas très regardant vis-à-vis des origines de leurs clientèles. On pouvait ainsi aisément croiser des personnes et êtres de toutes espèces et origines.
C’était encore l’un de ces jours pluvieux dont cette citadelle connaissait tant. La pluie était comme à son habitude brusquement apparue, ayant pour conséquence de faire fuir à toutes les personnes lambdas les lieux publiques et les rues en quêtes d’un chez eux chauds et protecteur de toutes cette météo humide et morose, qui pesait sur toutes les âmes. Mais qui disait pluie, disait beau temps non ?
Je sirotais donc une tasse de thé dans une couveuse, tenant la tasse avec ma queue et un ouvrage fort intéressant entre mes deux mains, qui dans cette situation étaient toutes deux libres. Le café était exceptionnellement vide. La pluie ayant fait fuir la majorité des clients, préférant rentrer chez eux avant que celle-ci ne s’intensifie de trop. Cette situation de calme et de doux bruis constant provenant du comptoir fut soudainement troublé et rompu par l’entrée d’une personne dans ce havre de paix.
Une silhouette encapuchonnée venait de pénétrer dans le café et de demander le logis le temps que la pluie se calme. Serais ce enfin un être courageux qui avait choisi de livrer une bataille contre cette humidité et froideur extérieur, ou est ce comme moi un être errant sans but et flottant de point chaud en point chaud comme un navire d’île en île ? La question était entière. Cependant, sa voix et son odeur ne me laissèrent pas indifférent, je l’avais déjà entendue et sentie, mais où, ou plutôt quand ? La question se posait et restait entière. Jusqu’à ce qu’un éclair de lucidité ne me frappe l’esprit. Je dis alors à la silhouette encapuchonnée sans pour autant lever les yeux de ma lecture :
- « Unasarera, ça doit bien faire quelques mois que nous ne nous étions pas croisés. Venez me rejoindre, nous pourrons discuter de tous ce que vous voulez en attendant que cette fichue averse ce calme enfin. Je vous paye un thé ? »
Puis je lui désignai la couveuse située en face de la mienne de l’autre coté d’une table basse sur laquelle se trouvait la théière du thé que je buvais.
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Invité | Elle avait la poisse. C'est la première chose qui lui vint à l'esprit en voyant dans un petit coin du salon de thé, une personne qu'elle mis un peu de temps à reconnaître mais qui visiblement, coulait des jours heureux en ce mon de nouveau, le tout en sirotant un petit thé bien chaud au creux d'une assiste qui semblait confortable. La démone serait un peu des dents, c'était "Orion". L'ex-chroniqueuse avait entendue parler de celui-ci et de ses recherches dans son monde, mais rares furent les occasions de vraiment faire connaissance. Que penser de lui ? Était-il un sauveur ou un tourmenteur ? Devait-elle lui dire merci ou lui coller une bonne rouste au visage ? Et que faire de sa proposition qui avait l'air amicale sans pour autant être emprunt d'une once de salutation... Quoique... est-ce que les choses seraient vraiment mieux si il c'était donner le culot de lui souhaitait le bonjour et la bonne journée tout en lui demandant comment elle allait.
Elle s’approchât lentement de la table où était installer le dragon, sans avoir lâchée jusque là aucune réponse, le bas de son visage était enfouit dans un bout de la cape qui avait été enroulé autour de sa gorge comme écharpe de fortune, laissant le reste recouvrir son corps. Derrière elle se trouvait la traînée froide et humide de ses traces de pas mélanger aux gouttes tombant une à une depuis ses vêtements. Le tout pourrait très bien être mêlée à de la boue, mais Unasarera avait garder un semblant de bonne manière et c'était vaguement essuie ce qui restait de ses semelles sur ce qui ressemblait à un paillasson. Finalement que dire ? Que faire ? Ses vêtements collaient sur elle, elle grelottait vaguement sur place. Finalement de ses lèvres s'échappèrent quelques mots, des mots qui étaient creux, vide de sens, surement car dans le fond ils étaient faux où sois ils servaient à dissimuler une certaine rancœur. Surement cette colère d'être piégée dans un monde qui n'était pas le siens ? Le fait d'être loin de chez elle sans être sure de revenir un jour "chez elle"... Dirait-elle "merci" à Orion pour l'avoir emmenée dans ce monde ? Non... Ses paroles étaient tel un vent glaciale, aussi glaciale que celui qui venait de s'engouffrer dans le salon de thé quand elle eut franchit la porte.
-... Merci... pour... le bandage... je n'ai pas eu l'occasion de... vous dire... "merci"... pour ma blessure.
Quelque chose fit tremblée cependant l'ex-chroniqueuse de tout son corps, bien plus que la morsure du froid en elle même. Le dragon avait-il bien dit ce qu'elle venait d'entendre ? : Des... "mois" ? Tant de temps avait passer, tellement... beaucoup trop même... elle en avait presque le vertige. Ses jambes tremblantes sous le poids de ces mots, l’obligèrent à s’asseoir sur la couveuse qu'Orion lui avait vaguement présenter. Enroulée dans sa cape, la tenancière du salon, semblait la regarder... au début oui on aurait pue croire que c'était pour des ailes ou des cornes... mais finalement, celle qui tenait le salon semblait surtout inquiète pour la couveuse qui risquait d'être emprunt d'humidité. Son regard était insistant, il était clair qu'elle voulait que la démone hotte sa cape et la mette à sécher sur un porte manteau mis à disposition dans le salon... Elle commençant même par l'interpeller, ce qui mis d'humeur encore plus ronchonne la démone, qui regardât Orion de la tête aux pieds... visiblement il affichait ses cornes,s es ailes et sa queue sans aucune once de gêne... Alors Unasarera s’exécutât, comme le souhaitait la tenancière elle commençât à retiré sa cape.
La démone était persuader qu'elle effrayait la population à cause de ses cornes, de ses ailes ou bien de sa queue. C'était peut-être vrais pour certain. Mais comme Orion l'avait dit cela faisait des mois qui c'était écoulé maintenant. Des mois que la démone avait potentiellement pas eu une bonne et agréable nuit de sommeil, des mois sans vraiment trouver de repère. A force de penser négative, la négativité vous marque fortement le corps et le visage, les vêtements eux ne faisait que souffrir des affres du temps et des voyages qui ne se résume qu'a de l'errance. Une fois la cape mise sur le dis porte manteau, l'ex-chroniqueuse retourna s'asseoir, Orion n'avait toujours pas décroché son regard de son livre. Un ouvrage plutôt massif.... ça aussi... ça faisait des mois que la démone n'avait pas eu l'occasion de lire autre chose que son propre journal. Mais elle ne regardait point cela avec envie... non... c'était du dégoût qu'elle avait à l'égard de ce livre. Surement qu'elle se rendait compte que maintenant qu'elle avait passer une trop grande partie de sa vie le nez dans ses livres... elle en avait mis de côté trop souvent sa famille et ses amis pour ça. Maintenant ces temps perdus ne pourrons plus jamais être récupéré. Ils étaient tous morts ou sois tous disparus... finalement, la discussion fut engagée. Sur un ton toujours aussi... étrange et malaisant. C'est dit de façon sympathique et à la fois, la tonalité dans sa voix relâchait une profonde froideur.
-Alors... "tout va bien ?" Ce que... je souhaiterais... discuter avec vous... hmmm... Votre... lecture... c'est pour le plaisir ou bien... fuir la réalité ? Les deux... peut-êtres... Pour ma part c'est un peu... mon travail... enfin c'était.... Et pour la troisième.... question... hmm.... pourquoi m'avoir emmenée ici ? Enfin ici... pas le salon de thé bien sur.... je pense que vous comprenez ce que je veux dire par "ici". Vous pouvez bien m'offrir un thé, si vous pensez que cela puisse guérir les blessures... Ha... et... "Bonjour"... au passage.
Sa respiration se faisait forte, et elle avait prit de nombreux temps d'arrêt dans ses propos, ses paupières étaient lourdes. Surement à cause du fait que l'assise était confortable. En réalité Orion pouvait aisément la surprenant si il détachait ses yeux de son livre, quelle fermait les yeux par moment durant plusieurs secondes, comme si elle s’efforçait de laisser reposer ces-derniers. Mais à vus de nez... on aurait plutôt dit qu'elle ne faisait pas exprès et que c'était la fatigue qui prenait le dessus... addition avec potentiellement un bon rhume ou une bonne grosse grippe qui pointait surement le bout de son nez si elle était vraiment restée si longtemps dehors sous la pluie, et plusieurs mois sans vraiment dormir. Néanmoins ça n'avait pas l'air de l'empêchée d'être sarcastique sur les bords. Ses narines remuèrent légèrement, comme si elle humait le parfum qui semblait s'échapper de la théière. Mais son odorat n'était pas aussi développer qu'Orion, sans parler qu'il était possible qu'elle ne connaisse point ce parfum. Elle rouvrit les yeux, l'odeur semblait assez forte pour ne serait-ce la tiré légèrement hors de sa somnolence. Cette odeur ne lui disait absolument rien, elle ne reconnaissait point le parfum...
-Alors comme ça.... dans ce salon... ça ne cri pas...... à l'hérésie pour rien... j'imagine qu'on peut voir...... cela....... comme un "énorme progrès". Au moins ça ne ressemble pas....... à "un pas en arrière".... |
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Orion Feuille de personnage Objet(s):
Pièces : 38337 Nombre de messages : 143 | Elle prit place en face de moi. Comme je pu l’entendre à ses paroles, elle m’en voulait toujours. C’est vrai que quitter son monde n’étais pas chose facile, surtout la première fois. Je me devais de la rassurer et de surtout lui expliquer les raisons de mon geste. Car sans moi et mon secours, elle serait morte depuis des mois sur ce champ de bataille, ou à la solde des aliens, ce qui je pense était pire que la mort, ayant pu assister aux différentes tortures qu’ils s’amusaient à expérimenter sur leurs victimes. Elle n’était pas seulement froide et distante dans ses propos. Elle me semblait en tout point affaiblie, par rapport à la pétillante jeune fille que j’avais sauvé durant cette lutte acharnée. Cette observation me fit relever les yeux de mon livre. Et en effet, je ne m’étais pas trompé. Elle était terriblement affaiblie, fatiguée et malade. Depuis combien de temps était-elle sans but. Si j’étais pessimiste je dirais depuis notre arrivé dans cette époque, et si tel était le cas, alors c’était un miracle pour qu’elle tienne encore debout et puisse me parler. Je lui dis donc en refermant l’ouvrage sur mes genoux et en plongeant mes yeux dans les siens, qui se fermaient par intermittence :
- « Oui, ce café accepte les personnes comme « nous », légèrement différentes. Et cet ouvrage me permet de me renseigner sur le monde qui nous entoure, et en rien pour échapper à la réalité, la lecture est un plaisir que tous être devrait être au moins une fois invité à connaitre. Je pense que vous devez bien le connaitre ce sentiment d’abandon et de voyage au travers d’un ouvrage, non ? Ensuite, je vais pour ma part plutôt bien, je suis néanmoins toujours en quête de repère dans cette époque, cette fois ci est plus compliquée que les précédentes, d’où le livre. En effet, ce n’est pas mon premier voyage temporel, contrairement à vous si je ne m’abuse. Alors… cette question, pourquoi vous ais je emmené ici ? Peut être car vous me faite pensez à ma femme et à ma fille que j’ai perdues il y a bien longtemps… Ou encore, car je me sentais responsable de l’évolution des forces des aliens et que je souhaitais sauver au moins une personne. C’était donc soit par orgueil et bonne conscience soit par souvenir du passé, ou du futur… C’est vrai qu’on se perd vite dans les époques en y voyageant à plusieurs reprises. Etant donné, votre état de fatigue, je pense qu’un rêve au cours d’une bonne sieste réparatrice sera plus favorable qu’un long discours ennuyeux… »
La voyant tomber de sommeil, je lui tendis ma tasse de thé, elle en prit une gorgée puis deux, et s’écroula doucement sur la couveuse, d’un profond sommeil réparateur. Je lui dis donc par la pensée :
Ma chère enfant, ce que je vais vous dire m’est encore douloureux, et j’espère qu’il vous aidera à trouver la paix avec vous-même et d’enfin avancer au lieu de regarder le passé. Maintenant que nous sommes fixés je vais pouvoir commencer mon histoire.
J’ai, à cause d’une expérience qui s’est malheureusement mal passée, été transporté dans diverses époques. J’appel ces moments, ces parenthèses de vie entre mes voyages des « pauses ». Pour le moment, je ne me souviens avec certitudes que de très peu d’entre elle. J’ai donc connu je dirais au minimum cinq époques différentes en comptant celle-ci. J’y ai connu l’amour, l’amitié, une famille, la guerre, la souffrance. Chacune de ces pauses sont des parcelles de vie et d’existences entièrement différente, et ce sont pour le moment toutes terminées de manières tragiques. A part celle où je vous sauve. Malgré vos pestiférassions, j’ai tenté à plusieurs reprises d’enrayés la monter en puissance des aliens, et sentant que ce combat était vain et que nous perdrions dans tous les cas ce monde, qui m’était autant précieux qu’à vous. Je considère chacune des époques dans laquelle j’arrive comme celle dont je suis originaire et m’y attache corps et âmes. Vous me croyez si vous le souhaitez, je ne suis pas là pour vous faire la morale, mais juste vous expliquer mon geste.
J’ai donc vécu en tant que professeur et chercheur dans ce monde, j’y ai fait des rencontres incroyables, j’y ai noué des amitiés que j’ai perdu et que je ne retrouverais jamais. Je pourrais m’attarder dessus, sur chacune des vies et personnalités que j’ai perdues, et me lamenter sur le fait que je ne retrouverais jamais de personne identique, ou m’intéresser au moment présent et vivre cette nouvelle vie comme si c’était celle que je vivais depuis ma naissance. Je sais que ce n’est pas facile comme idée et agréables, mais c’est le seul moyen que j’ai trouvé afin de surmonter la douleur que j’ai accumulé aux fils de ces millénaires d’errances.
Si vous voulez mon avis, arrêter de vous négliger, vider votre sac, prenez-moi comme responsable de votre malheur et de votre condition, mais ne vous laissez pas dépérir, je vous en prie… Sinon… Mon geste aura été… encore une fois vain. S’il vous plait je ne souhaite pas que cette boucle se répète encore une fois. Je ne sais si… j’aurais le courage… Si je lui dis elle pourrait me comprendre… Ou encore plus me haïr… Est-ce que le jeu en vaut la chandelle… rhaaaa quel débat sans fin, oh et puis merde à la fin, il vaut mieux assumer que fuir.
En bref, je suis le responsable de la mort de ma femme, que j’eu durant l’une de mes pauses, ce qui me poussa à la fuir, puis à tuer à nouveau une famille que je m’étais construite, cette fois ci en combattant contre cette saloperie de parasite, dans cette époque mais dans une autre époque. Enfin, avant que nous héros n’arrivions dans la vôtre. Je suis donc responsable de la mort de ce que j’aimais, et d’un nombre incalculable de personne dont je ne me souviens plus. Je ne suis pas aussi sage que j’en ai l’air sous mon apparence de professeur et de chercheur.
Cependant, je peux vous aider, quand vous vous sentirez prêtes à vous aider à vous reconstruire un « chez vous » et à encaisser ces évènements. Et si ces attributs vous dérangent tant, je pourrais surement vous apprendre à mieux les cacher.
Mais pour le moment dormez cher enfant, dormez… Nous en reparlerons quand le temps sera venu.
A la fin de ce discours, j’alla chercher l’une des couvertures qui trainait dans le café et enroula Una dedans, la bordant et la réchauffant comme je le pouvais en la posant devant la cheminée du restaurant. Comment avait-elle réussi à se mettre dans un si piteux état en si peu de temps. C’en était déconcertant. Je pris une chaise et m’assis à coté du corps d’Una devant la cheminé, reprenant la lecture de mon ouvrage. L’heure de fermeture venant, la tenancière me tendit les clefs et rentra chez elle. Ce n’étais pas la première fois que je restais profiter de son établissement durant la nuit. J’y avais en quelque sorte élu domicile. Puis j’attendit patiemment le réveil de cette adorable enfant en sirotant un thé, avec un bon bouquin et à coté de l’âtre que j’attisais de temps à autre en soufflant quelques flammèches dessus.
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Invité | Cette colère, cette frustration qui s'échappent en quelques mots prononcés... ne faisait que s'envoler, que s'éloigner. Car nul réponse malveillante semblait revenir en écho. Était-ce un sentiment de culpabilité qui commençait à se faire sentir ? Était-elle au final seule fautive ? Elle n'avait eu jadis rien d 'autre à offrir que sa lâcheté mélanger à un faible espoir qui était aujourd'hui éteint. A écouter le dragon, les voyages temporelle était à priori... récurant, voir presque banal à l'entendre en parler ainsi. Est-que la couleur de cette créature reflétait la matière avec laquelle était faite son cœur ? Au final, qui des deux était le monstre sans coeur ? Le dragon qui l'avait sauver contre son gré, ou bien elle, qui aurait été prête à prendre des risques inconsidéré pour tenter de sauver son monde ? Le dénommé Orion semblait néanmoins se sentir fautif vis à vis de la progression qu'avait eu les aliens... L'ex-chroniqueuse elle, restait silencieuse.... son travaille avait été de tenir et mettre à jours des archives et notamment sur les héros... sur chacun en quelques sortes. Des informations qui eu vois le château tomber avait surement finie entre les mains de ses êtres cruels.
Ses yeux étaient lourds, et semblaient ne plus trouver la force nécessaire pour couler la moindre larme. Faiblement, elle tendis la main pour saisir la tasse qui lui était tendue après quelques instants d'hésitation. Ce simple geste permettait à Orion de ce dire qu'il restait encore un espoir de bonne entente... ou au moins de pouvoir étouffé cette rancune qui pesait sur le corps et l'esprit de la démone qui prit une gorgée du contenue de la tasse... elle tâtât un moment son palet avec sa langue... elle était toujours incapable de dire qu'elle était le parfum... ses sens étaient brouiller, sa vue devenait trouble... petit à petit elle était incapable de comprendre ce que lui disait le dragon. Il parlait de perdition... On se perd... On se perd dans quoi ? Elle désirait savoir la suite de ce discours, elle reprit doucement une autre gorge de ce thé chaud qui la réchauffait.... la chaleur... c'était agréable. Un vague instant de répit, un moment où elle avait l'impression, lorsqu'elle fermait les yeux d'être chez elle, si son esprit lui permettait d'oublier l'espace d'un instant la situation misérable où elle était.
On se perds...on se perds entre mille et un repaire qui semble pas être à leur place, pas être à la bonne époque... des petites braises.... des petites flammes... ou erre en allant près de chacune d'elle en quête de chaleur, jusqu’à ce que cette chaleur s'évanouisse.
Sa main qui tenait la tasse de thé se faisait de plus en plus tremblante, posant doucement celle-ci sur le bords de la table, une fois que sa main eu lâchée la poignée de la tasse en porcelaine, elle se laissat petit à petit tomber dans la creux de la couveuse, elle fit un dernier battement de paupière avant de finalement s'endormir. Sa respiration c'était à peut près calmer, elle respirait doucement tendis que les ailes qui juste là était plier et recroqueviller dans son dos venait de se détendre, s'étalant légèrement sur la couveuse.
Elle flottait, bercée par les bras de Morphée où d'une quelconque créature procurant le sommeil. Des images floues.... ces images qui il y a quelques mois semblaient si net mais qui au fils des jours se floutait et s'assombrissait. Quelques notes de couleurs perlait ça et là dans le rêve... le bleu des larmes. Le rouge de la colère. Le violet, sinistre mélange des deux qui se rencontrent... Combien de fois avait-elle crier ? Combien de temps avait-elle pleurer ? Elle n'avait plus la force de s'élancer... Le monde qu'elle avait connue et qu'elle voyait désormais en rêve c'était refermer. Dans cet endroit sombre sans lumière.. Sur ce chemin délabré... Qu'on appel "Rêve". Sur ce chemin cruel où on croit voir l'improbable espoir d'antan ! Pourquoi... ce souvenir si familier ? Jadis où tout n'étais que gaieté... dans le futur qui n'est à présent plus qu'obscurité... Les couleurs s'évanouissent, ses lumières colorés emportent avec elle les quelques images floues des compagnons passés. Quelque chose à fait fuir le rêve.... une voix appel... une voix qui à balayée ce chemin appeler rêve.
La démone avait été Choqué par la décision des héros.... elle avait ensuite dresser son refus face à cette morbide solution... un déni extrêmement fort et intense... qui ne fit germer en elle que de la colère, une colère qui fut rapidement noyer dans de la tristesse... Ces paroles voici prononcer dans l'espace intime qu'était son esprit allait-elles faire sonner le glas de la résignation, de l'acception ? Y avait-il vraiment une chance de reconstruire quoique ce sois ?
Vivre cette nouvelle vie ? Faire comme si, ce monde avait-toujours été le siens ? Mais comment... comment agir ainsi sans avoir l'impression de trahir les siens ? Chaque personne à une vision bien différente de s'imaginer le respect que l'on doit à un proche mort ou disparut. Pour la démone qui avait passer sa vie à recenser bon nombre de chose... l'oublis était le pire affront qu'on pouvait faire à une personne. Effacée toute trace de son existence, faire comme si elle n’existait pas. S'en sentait-elle vraiment capable ? Non... surtout lorsqu'elle estimait que si elle avait été plus courageuse, elle aurait peut-être pus sauver quelques personnes qui étaient cher à ces yeux. Mais hélas, elle a trop longtemps eu rien de plus et rien d'autre à offrir que sa lâcheté.
Puis ce discours intriguant continuât. Dévoilant une histoire sinistre et morbide. Un aveux, une confession terrible... Un bref instant où la voix de l'être draconique semblait avoué un crime sanglant. Quels en était les détails ? Elle l'ignorait... Le ton dans sa voix, il y avait comme une légère hésitation à vouloir révéler cet histoire. Il avait tuer celle qu'il aimait... Tout comme l'ex-chroniqueuse c'était sentie coupable de la mort de celui qu'elle chérissait. Il avait massacré sa famille disait-il... Tendis que Unasarera les as en quelques sortant abandonnés au griffes des aliens... Elle n'avait jamais voulue cela, elle avait essayer de les retrouver mais en vain... elle n'avait rien pue faire... et malgré sa rancœur, l'histoire de dragon la touchât.... il avait quelques points communs, certes quelques différents....
Une petite larme parvenue à sa faufiler sous l'une des paupière de la démone pour glisser le long de sa chaud lors de son sommeil. Néanmoins, le dragon avait réussit une chose, sauver quelqu'un... chose que Unasarera n'avait jamais sue faire jusque là. Peut-être que le guerrier maladroit comptait ? Ou peut-être pas... A ce moment là, elle avait très envie de pouvoir répondre à cette voix qui résonnait en échos dans son sommeil : Ce n'est pas votre faute... Mais elle n'était pas télépathe, et encore moins somnambule au point de répondre dans son sommeil. Mais quand est-il d'elle si elle disait cela pour le dragon ? Pouvait-elle se dire à elle même que... ce n'est pas sa faute ? Finalement, plus aucun bruit, le discours c'était arrêté sur une maigre promesse de "chez sois" ... un "chez sois" à atteindre que si on se donnait les moyens d'ouvrir les yeux pour le voir.
Suite à cela, elle dormit quelques petites heures encore, l'établissement eu largement le temps de se fermer, et la nuit de tomber. La pluie elle avait cessée, dévoilant pour cette nuit un ciel nocturne chargés d'étoile et ornementé par l'astre lunaire qui était entièrement visible. Finalement, Orion sentis quelque chose passer à côté de lui. La queue de la démone remuait légèrement se balançant de gauche à droite... les paupières de la démone elle tremblait légèrement tendis que la couverture dans laquelle elle était enroulée se soulevât légèrement, poussée par les ailes qui semblaient cherchées une position plus confortable. Finalement, elle ouvrit enfin les yeux. Ces derniers, éblouis par les flammes dansant dans l'âtre de la cheminé restèrent plissé un moment le temps de s'accommodée à la lumière du feu. Son corps avait cesser de trembler de froid. Elle se sentait réchauffer, et son regard, qui semblait un peu plus vif que tantôt se baladât quelques secondes avant de se poser sur Orion. Il y avait un peu d'incompréhension au départ dans son regard. Difficile de se dire que pendant son sommeil quelqu'un vous à parler... mais sa sieste avait duré si longtemps qu'elle se demandait si elle avait pas tout simplement réussie à écouter la suite un discours du dragon pendant qu'elle dormait... chose qui semblait fort peu probable.
Une chose était sure, elle ne devait pas être des plus matinales. Elle avait un peu de mal à joindre les deux bouts à son réveil... et se réveillée ne l’empêchât pas à restée bien enroulée dans la couverture où elle se trouvait. Cachant le bas de son visage au sommet de la couverture, elle se permit de laisser échapper un petit bâillement avant de se frotter les yeux, balayant ainsi, par la même occasion la lame qui avait coulée pendant son sommeil.
-Je... je suis désolée... je me suis endormie.... j'ai... hmm... crue vous entendre encore parler pendant que je dormais.... je suis désolée de ne pas avoir répondue... "c'était... un accident très probablement.... personne ne souhaite cela..."
Ses derniers propos était vrais pour le fait de s'endormir en plein milieu d'une discussion importante... mais dans le ton de sa voix, il semblait clair que ces mots étaient adresser pour autre chose. Pourquoi ce qui avais été raconté au croisement d'un chemin nommé "Rêve". Un chemin qui avait abordée à la fin du discourd le rouge des framboises, l'orange de la pêche, le vert des vastes plaines verdoyantes de ce monde nouveau, et le ciel bleuté sans nuage.... même si parfois il était gris, il n'était point entaché par la vue d'horribles vaisseaux de guerres extraterrestre.... Comme si enfin elle s'ouvrait un peu à ce que ce monde qu'elle qualifiait de cruel avait à offrir.
-C'était.... un thé... aux fruits rouges où à la pêche ? |
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Orion Feuille de personnage Objet(s):
Pièces : 38337 Nombre de messages : 143 | Elle se réveilla, dès que le soleil commençait à poindre le bout de son nez à l’extérieur du café, et que quelques timides rayons de soleil commencèrent à se frayer un chemin au milieu des rideaux jusqu’à l’intérieur. Et comme la chance était avec nous, disons plutôt que la météo devient enfin clémente à la fin de cette nuit, nous eûmes la chance d’assister aux premières lueurs d’un jour nouveau, avec aucun nuage qui pointait le bout de son nez à l’horizon. Tout du moins, aucun bruit de pluie qui tapait sur les carreaux et la toiture n’était présent. Ce calme matinal contrastait avec le déluge que nous avions dû tout deux affronter hier afin de nous rendre ici, et par ailleurs nous revoir. Cette rencontre était tout de même le fruit du hasard. Il ne fallait pas lui retirer cela, mais il devait y avoir un sens caché derrière celle-ci, il y en avait toujours un…
Ainsi, pendant quelle se réveillait à son rythme, en émergeant encore blottit dans une couverture au coin du feu, elle me parla des paroles qu’elle cru entendre lors de son sommeil. C’est vrai qu’elle s’était vit assoupie hier soir. Cela devait faire des jours qu’elle n’avait pas dormi. Mais soit, au moins elle avait réussi à entendre, voir écouter mon petit discours. Elle me demanda enfin les saveurs présentes dans mon thé. Je lui dis alors :
- « Eh bien eh bien, vous deviez avoir besoin de dormir. Vous vous êtes assoupis en effet hier soir sans crier garde. Mais ne vous inquiétez pas, personne n’en a profité. Tout d’abord, si mes souvenirs sont exacts, mon thé devait être à un mélange entre de la pêche et des fruits rouges. Il doit m’en rester un peu au chaud si vous en souhaitez. C’est scientifiquement prouvé qu’une bonne tasse de thé au réveil permet de tenir toute une journée… Mwouai, je pense que c’est plus une excuse que mon esprit a dû se construire afin de légitimer ma consommation excessive en thé. Malheureusement, ce thé n’est pas au skooma, les derniers plants que je possédais se trouvant dans le futur.
Ensuite, au sujet des paroles, ou de mon discours que vous avez surement entendu durant votre somme, eh bien je me suis permis de vous parler par la pensée. Votre esprit s’il le souhaitait pouvait ou non les écouter, chose qu’il me semble à fait. Ne vous vous en inquiétez pas, je ne le prends pas mal que vous n’ayez pas tout retenu. Ça me comble déjà de bonheur de revoir une connaissance. Alors, n’allons pas gâcher cette bon humeur apparente par un problème d’écoute. Vous dormiez, je n’ai qu’à m’en prendre à moi-même si j’ai perdu mon temps… »
Je rigolais quelques instants puis repris :
- « Il semblerait que la météo soit plus clémente ce matin. Si nous nous dépêchons, nous pourrons même assister à un lever de soleil sur Hyrule et ses alentours depuis le haut de la citadelle. Nombre de personne affirment que ce sont les plus beau de ce monde. Cela vous dit-il ? »
Et sur ces mots je lui montrais la porte, que quelques rayons de soleil commençaient à éclairer.
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Invité | En voilà une surprise inattendue... parler par la pensée ? Quoique pouvait-elle être vraiment surprise maintenant ? Elle en voyait des vertes et des pas mûres. A chaque fois quelque chose d’inhabituel se produisait ces derniers temps... enfin depuis qu'elle avait changée d'époque. Toutes ses surprises et rebondissement étaient quelques peu désagréable mais il allait bien falloir qu'elle s'y fasse. Elle clignait encore un peu les yeux, les plissant légèrement en raison des premiers rayons du soleil qui pointaient le bout de leurs nez... visiblement ce n'était pas juste une simple sieste, elle c'était complètement endormie... c'était plutôt minable de sa part. Elle avait l'impression de revivre un de ses réveils à son époque.... une mâtiné où elle aurait eu la gueule de bois, se serait endormie toute habiller après avoir picoler toute la soirée. Certes ça n'arrivais que rarement, et ce n'était jamais dans des contexte festif mais plus dépressif mais là n'était pas la question. Certes c'était indéniable, elle avait l'impression de s'être prit un énorme coup de massue pour être tombée aussi facilement de sommeil. Mais dans le cas présent, c'était bel et bien de l'épuisement pur et dur qui avais eu raison d'elle, et non pas un quelconque abus d'alcool...
Au final, elle se redressât finalement, les avaient les cheveux tout ébouriffé, surement c'était-elle un peu tortiller dans plusieurs direction pendant son sommeil afin de trouver la meilleur position surement. C'était plutôt amusant à voir... toutes ses mèches et ses piques qui partent en boucles sur les côtés, on aurait dit un mouton un peu. Une tasse de thé pour se réveillée ne fut pas de refus. Tout en prenant une tasse entre ses mains, elle tendis légèrement ses jambes, puis ses ailes tout en prenant une gorgée du thé d'hier... Puis une fois la tasse reposée, elle étirât finalement ses bras, regardant un moment le dragon. Elle n'était plus vraiment d'humeur à vouloir s'énervé contre ce dernier. Enfin difficile de se mettre en colère dès le réveil. Elle regardât un moment sa tasse, pouvant constaté dans le reflet de la boisson chaude, ses cheveux qui partaient en épis de partout et de soupirer.
-Je n'ai aucune idée de ce qu'est le skooma.
Le dragon proposait bien de sortir dehors pour voir le soleil se levé, mais l'idée ne fit ni chaud ni froid à la démone qui était plutôt ravie d'être en intérieur. La brise matinal était peut-être fraîche en effet. Pourtant Orion semblait insister, en disant que les levers de soleil au sommet de la citadelle était les plus beau. Faiblement, la démone soufflât par le nez avec un léger air de dédain, tout en faisant glisser une main dans ses cheveux en arrière pour les réarrangé un peu. Elle n'était pas vraiment convaincue que le fait de regarder un lever de soleil l'aide à aller mieux.
-Pour être franche... j'ai peut-être écouter une partie de ce discours... même si l'idée que vous puisez trifouiller dans mes pensées me déplaît grandement. Je ne comprends pas.... où surement que je n'arrive pas encore à m'y faire. Vous n'êtes pas le seul à dire que vous avez tout essayer pour... sauver mon époque.... je présume. Mais si je devais choisir une personne à haïr ça ne serais pas vous... enfin je dis ça... C'est ridicule, je parle comme si je ne détestait personne... bien évidement que maintenant.... je....
Que dire ? Est-ce que ça valait vraiment la peine de continuer, elle levât un moment les yeux, regardant un moment par la fenêtre, pensive. Surement qu'elle aurait l'air d'une personne détestable... mais le dragon pouvait en paraître tout autant avec sa sinistre histoire. On pouvait comprendre à son expression que en effet, elle avait bel et bien l'entierté du discours du dragon. Les paroles se remettait en place et se reformait dans son esprit... elle s'en souvenait. Vider son sac ? Peut-être bien...
-J'ai... pas mal m'amertume c'est vrais, pour ne pas dire de la haine... d'habitude je ne suis pas du genre rancunière mais.... J'ai l'impression que je me suis laissée marcher sur les pieds. Où sois que à côté d'un... "héros" je ne suis qu'une personne dont l'avis ne compte pas. Mais tout va bien... ce n'est pas vous que j'ai décidé de haïr. Il y a surement bien pire que vous si vous y réfléchissez... Vous savez... vous avez dit avoir tout fait... surement est-ce le cas à votre échelle... j'ai essayée également.... surement ai-je trop espéré contrairement au reste. Celui qui vous à tous fait réunir au temple... lors de ce jour maudit. Je ne connaissais pas ces intentions... je le détestais déjà et pourtant... j'ai nourris à ce moment là l'espoir que enfin... enfin tous allaient œuvré ensemble et en même temps... et non pas chacun de son côté pour repousser les aliens... J'ai... j'ai vraiment espéré.... mais j'ai eu tord. Cet espoir là... il n'est apparue uniquement pour se briser et voler en éclat. Et c'est celui là même que je ne peux m'empêcher de haïr de tout mon être, Orion. C'est cet être de métal et sans âme, dont la couleur est aussi sinistre que celle du sang. Responsable de la mort de plusieurs soldats sur la grande place... et également le salaud qui à pondu cet idée de voyage temporel... Je crois bien que même si vous essayée de vous montré plus cruel que lui à mes yeux... vous n'y arriverez pas... Quand je pense à lui... je n'ai qu'une envie... le réduire en pièce détaché... mais le soucis c'est que... je ne peux pas. Je n'en ai pas la moindre chance même... Si je le pouvais... si je pouvais au moins lui donner le sentiment d'être rien de plus qu'un grain de poussière....
L'histoire était plus complexe et plus longue que ça... cela se ressentait... Derrière le timbre de sa voix, sur un ton froid et amer... il ne fallait pas être un génie pour deviner que Axem avait dut être responsable de la parte de certains êtres chers aux yeux de la démone. Le plus malheureux était surement le fait que... puisque aux yeux du Tyran l'ex-chroniqueuse n'était qu'un grain de sable, les jours de massacres devaient être tout aussi insignifiants. Le jour où Unasarera avait perdue sa moitié était le plus triste de sa vie, pour Axem... c'était un Jeudi. Enfin c'était surement ça où quelque chose du genre. Et que fait face à pareil individu ? Il était vrais que la démone se sentait plus qu'impuissante. Personne ne l'écoutait où ne se souciait vraiment d'elle car aux yeux de bon nombre de héros, elle était inutile. Fort heureusement, Orion ne la voyait pas vraiment ainsi, et cela mettait un peu de baume sur cette blessure qui avait encore un mal à cicatriser. Elle retenue quelques larmes, et essuyât instantanément celle qui parvinrent à perler sur son visage.
-C'est idiot... je vous parle de tout ça comme si vous étiez un ami. C'est franchement ridicule lorsqu'on sait que... vous aussi vous avez suivit l'idée de ce voyage temporel... Et pourtant... et pourtant je dois bien admettre que c'est... "agréable" de discuter avec... une connaissance. Qu'elle soit bonne ou mauvaise... Ca peut paraître égoïste voir narcissique de ma part... Mais être écouter, quand bien même je ne suis rien aux yeux de certain me fait du bien... Si vous voulez tant voir ce lever de soleil... surement pourrais-je fait un effort. C'est la moindre des choses après m'avoir laissée me reposer près de ce feu... |
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Orion Feuille de personnage Objet(s):
Pièces : 38337 Nombre de messages : 143 | Unasaera me livra un discours des plus touchant sur son ressentit vis-à-vis des évènements récents. Tel que la perte de son époque et de ceux qu’elle aimait, son arrivée dans son monde etc. Je pu néanmoins déduire de ces paroles qu’il existait un autre lien qui la liait elle et l’être rouge écarlate qui nous avait lâché ici, Axem si mes souvenirs étaient exacts. Mais soit, elle aussi devait avoir perdu bien plus qu’elle ne souhaitait le dire. Ce n’était pas forcément sa contrée et ses habitudes qui lui manquait le plus, mais les gens qui la peuplaient, et surement ceux-ci avaient déjà disparu avant la réunion dans ce temple. Nous étions donc tous les deux dans une période de reconstruction personnelle, plus ou moins aboutie. Cela nous faisait au moins un point commun en plus. Nous avions perdu tous les deux des êtres chers et notre mère patrie…
Elle me fit aussi la remarque, vis-à-vis de ma certaine intrusion dans ses pensées et esprit durant son sommeil, je lui dis alors, afin d’ôter tous malentendu :
- « Ne vous inquiétez pas, ou puis je vous tutoyer ? Unasaera, la télépathie se déroule comme une conversation de vive voix. Je n’ai rien reçu de ta part durant cet échange, car tu ne m’as tout simplement rien envoyé. Je t’ai envoyé mes pensées, et c’est toi qui as pris la décision de les écouter ou non. Je pourrais forcer l’esprit de quelqu’un, j’en ai les capacités, mais je m’y refuse catégoriquement… Chacun a besoin d’un endroit à lui, et l’esprit est l’endroit le plus privé de chacun. J’espère que ça t’a rassuré…
Ensuite, fait comme tu le souhaite, appelle notre relation comme tu l’entend, tout ce que je peux te dire vis-à-vis de mon ressentit est que nous sommes tout deux bénéfiques à l’autre, tu ne trouves pas ? Sache, que je ne le prendrais aucunement mal si tu me haïssais et que tu me mettais sur le dos tout tes malheurs. »
Puis je poursuivis l’air un peu gêné en triturant de mes mains l'ouvrage qui s'y trouvait, ainsi que bougeant nerveusement ma queue :
- « Et puis… Au sujet du lever de soleil, si la fraicheur matinale est la seule chose qui te rebute, sache que tu n’auras absolument pas froid. Je te le promets. C’est juste que ça me ferait grandement plaisir de montrer ce petit trésor à une autre personne. C’est… juste que… je pensais que ça t’aurait fait du bien de voir la beauté de ce monde avant que tu ne le haïsses définitivement. Alors marché conclus ? Je te laisse émerger encore quelques instants, rejoins-moi dehors quand tu te sentiras prête. »
Je commençai à me diriger vers la porte quand une information me revient à l’esprit :
- « Ah… Au fait, il y a une petite salle d’eau attenante à cette boutique, et si mes souvenirs sont bons il y a même de quoi se faire un petit brin de toilette. Tu peux l’utiliser si tu en sens le besoin. Je t’attends dehors… »
Et sur ces mots je sortis du café et fermis la porte derrière moi, les clochettes retentissant à mon passage à l’intérieur de la boutique quand je bougeai la porte. Je m’assis sur le porche et attendit la venue d’Unasaera. Les premiers rayons de soleil commençait doucement à venir lécher le bord de l’horizon. Cependant, Unasaera, avait bel et bien raison, il ne faisait pas bien chaud ce matin. La seule solution pour moi était de reprendre mon apparence originelle et de prier pour que les pierres de la place ne réchauffent mon corps… Quelle plait d’être un animal à sang froid…
C’est ainsi que je repris mon apparence et me roulais en boule sur la place, que je remplissais quasiment entièrement, la tête posée sur ma queue fixant l’entrée du café où se trouvait encore Unasaera.
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Invité | Enfin seule... quoique enfin était peut-être un trop grand mot. Ce n'était plus aussi agréable. Une cure de solitude fait du bien de temps en temps certes... mais cela faisait un moment que la "solitude" avait été la seule et unique compagnie de la démone. Alors la voici donc qui revient au galop... la solitude. Froide et amer... L'ex-chroniqueuse avait observé la porte se refermée, laissant s'échapper une légère brise matinale et glaciale. La démone voyait bien que la dragon tentait tant bien que mal de la convaincre de donner une chance à ce monde. Cette histoire de lever de soleil en était surement la preuve. Elle roulait légèrement des yeux, ne sachant pas trop quoi en penser encore, son regard s’arrêtât l'espace d'un instant sur le livre que le dragon feuilletait et triturait depuis hier, mais là vue de cet ouvrage la laissât pourtant de marbre. Encore une fois, l'ex-chroniqueuse fit un effort. Se levant du divan et se détachant un peu de la couverture qui la réchauffait tant. Elle se dirigeât vers la salle d'eau, puis, après un bref coup d’œil vers la porte qu'Orion avait emprunter, elle entrât. Faisait-elle cela pour le bon plaisir du dragon où pour elle ? La réponse s'arrêtais surement à la première option...
Les quelques centimètres d'un fragment de miroir brisé, percent à travers ses veines, brisant toute résistance.
Unasarera n'avait pas vraiment de rechange... ni vraiment le temps. Du moins elle n'avait pas pour habitude de faire attendre les gens. Surement qu'elle avait même une préférence pour être en avance. L'option la plus simple et rapide était de donner des coups de peignes passer à l'eau dans sa chevelure abîmé et de rapidement fait sa toilette à l'aide d'un gants de toilette pour retiré la crasse accumulé. Son reflet lui, était insupportable à ses yeux. Voyant le reflet de son corps à moitié dénudé, elle put constaté qu'impuissante qu'elle avait maigris, que la plaie au niveau de son torse laissât une hideuse plaie qui avait du mal à cicatriser. Elle grimaçât légèrement lorsqu'elle due nettoyer cette partie de son corps, mais il fallait bien qu'elle le fasse, une plaie infecté ne serait pas la bienvenue. La bandages de fortune qu'elle avait portée depuis son arrivèrent en ce monde jusqu’à aujourd'hui étaient salles et... répugnants... elle les jeta évidement... Elle se permis d'emprunter quelques bandes du placard à pharmacie qui était dans la pièce, en enroulât ses derniers autours de la plaie.
Pourtant, son reflet l’écœurait toujours autant. Le changement depuis qu'elle était arrivé n'était pas que physique... mentalement... et bien mentalement elle avait du mal à faire le point. Elle savait juste qu'elle avait changé. En bien où en mal difficile à dire. Elle se sentait surtout vide. Avait-elle toujours été ainsi ? Passer les autres avant son propre bien ? Se faire ridiculiser ? Dépendre des autres.
Quand bien même jadis elle n'arrivait point à quitter ses livres et les moults histoires du passés, désormais elles les haïssaient tout comme les aliens. Et elle qui se demandait, à l'époque, quelle histoire, quelle vérité, était la vraie ? Désormais elle le savait, aucune d'entre elles n'est la bonne... Pas un mot ne s'échappait de sa bouche, ses yeux étaient river sur son reflet, défiant presque celui-ci de lui répondre. Aujourd'hui, son histoire, son existence sans consistance : Elle ne manque pas de sommeil, "tout va bien" et elle en compagnie d'une connaissance. Ça pourrais être pire dirait certains... Mais pourquoi... Mais parfois... En fait non, tout le temps... La tristesse lui parle, la solitude est en larmes. Dans le miroir sa on visage sanglotant apparut, tendis qu'elle se questionnait elle-même sur des faits qui semblaient insignifiant. Suis-je capable de poser mes yeux sur un livre de nouveau ? Suis-capable de lire la cruauté des faux héros ?
Son cœur entier était repeint d'un noir morose. toutes ses larmes verser avait-elle rien de plus qu'une âme délaver de toute gaieté. Qu'est ce qui à causer cela ? Qui donc à fait ça ?! Puis-je oublier toute cette destruction ? Puis-je résoudre MON envie d'autodestruction ? Est-ce que tout ira bien si je ne me pose... tout simplement... plus aucune question ? Que dois-je faire... que dois-je faire en réalité...
Orion avait suggéré que la démone prenne soin d'elle, mais soigner son mental était bien plus compliqué que de soigné son propre corps. Depuis combien de temps suis-je entrain de divaguer devant ce miroir ? Devant ce miroir au reflet des plus noir... J’essaie de préservé un brin de fierté, mais la réalité... c'est que j'en suis incapable ! Pourquoi donc ce poids, celui qui me sert de cœur, dit qu'il veut s'enfuir... dit qu'il veut MOURIR ! Non... rien n'allait bien... rien ne pouvait vraiment lui faire oubliée tout ce qu'elle avait perdue en un claquement de doigt. A voir son reflet, elle croyait que le monde entier était contre elle. Son reflet... reflet qui se déformait et se brouillait dans ses yeux. Elle souhaitait revoir ce qu'elle était avant tout cela, elle souhaitait revoir comment elle était avant... sa vue se brouillait, et l'espace d'un instant, elle imaginait ce reflet cruel et moqueur lui susurré quelques mots : Peux-tu me réciter les mille ans d'histoire du monde que tu aimais tant ? Peux-tu me réciter les doux rêves de ton enfance ? Deux questions qui semblaient n'avoir rien avoir mais qui était tels les deux tranchants d'une lame d'un seul et même couteau. A qui et à quoi à t-elle donner sa vie ? Qu'est ce qui est toujours et trop passer en priorité ? Les gens n'aiment guère avoir la vérité en face, surtout de manière si violente. Cette vie qui ressemblait à une scène tragi-comique devant ce miroir commençait à insupporter. Mais le reflet, cruel et moqueur n'avait toujours pas finit de parler. Et tout ceux qui ont-été repeints du noir de ton engeance ? Qui donc à fait cela ? Je le sais déjà... c'est toi...
Ce reflet... il était si insupportable. Cet air de fierté qu'il avait, cet air de se donner si supérieur. La démone donnât un coup de poings dans la glace, si fort que celui-ci se fissurât. Ne peux tu pas, toi, devenir un héros enfin ?! Bon sang ! Qu'est ce que ça veux dire être un héros à la fin ?! Elle martelât le miroir avec fureur, son reflet redevenu à la normal et finalement, à force de le frapper, le miroir se brisât et volât en éclat, ne laissant plus que ses phalanges en sangs et sa mains couvertes de coupures. Elle serrât les dents tout en versant des larmes. Elle tenue son poignet, sa main tremblait. Elle retirât quelques éclats de verres et s’empressât d'enrouler celle-ci dans quelques bandages emprunter, tout en jurant à répétition. Au final... "héros"... était un mot qui ne voulait rien dire n'est-ce pas ? Mais ces questions aussi puériles soient-elles avaient du sens... nombres d'entre elles avait souligner que peut-être, la démone avait plus mis la reine et son entourage en avant sans penser vraiment à elle. Elle était plus capable de raconter avec exactitude l'histoire d'Horuna... il y avais d'autres priorité pour le moment... mais elle n'était pas pourtant autant capable de se rappeler avec exactitude de son enfance. Au final, qu'elle trace avait-elle laisser sur son monde en restant cloîtrer dans une bibliothèque ? Rien... elle n'avait fait que se laisser marcher dessus sans répliquer. La question était maintenant si elle se sentait vraiment capable de répondre d'un poing dans le figure de ceux qu'elle haïssait tant.
Sortant de la salle de bains après s’être empresser, de balayer les morceaux de verre et de les jeter, elle enfilât sa cape qui était toujours rester sur le porte-manteau. Elle en profitât pour dissimulé sa main enroulée dans des bandages à l'intérieur de celle-ci. Elle sortit donc à la rencontre du dragon qu'elle vit... et bien dans sa forme original. En refermant la porte, la démone lâchât un petit "merde" entre ses lèvres. Elle voudrait bien changer mais... à peine songeait-elle à être moins docile qu'elle passait le ballait derrière elle après avoir briser un miroir...
S'approchant du dragon doucement, elle l’observât. Un bref moment de silence ce fit sentir, comme si il l'observait attentivement. Peut-être qu'elle avait mis beaucoup trop de temps dans la salle de bains vis à vis de... la toilette qu'il pouvait voir. A moins qu'il fixait sa cape... a bien le regarder la démone voyait bien qu'il était rouler tout en boule. Celle-ci rappelat donc à Orion qu'elle l'avait pourtant bel et bien prévenu.
-Je l'avais dit... qu'il risquait de faire froid. Vous auriez pue attendre dans le salon pendant que j'étais dans la salle d'eau. |
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Orion Feuille de personnage Objet(s):
Pièces : 38337 Nombre de messages : 143 | Unaseara sortis quelques instants plus tard. L’air toujours aussi endormis, mais avec une mine légèrement plus radieuse. Même si elle avait l’air de s’en vouloir pour quelque chose… Etais ce elle qui était à l’origine du fracas que je cru entendre et qui provenait surement des bâtiments en face de moi ? Seule chose, que je pouvais, à part que ce petit brin de toilette semblait avoir fait du bien à son corps, était que l’odeur de moisissure, d’humidité et de poussière avait laissé place à une soudaine odeur de sang. Et malheureuses pas une odeur de sang ancienne et acre, mais plus une odeur nouvelle, jeune, volatile et cinglante. Il y avait deux explications rationnelles à cette soudaine odeur, soit elle s’était rouvert la plaie qu’elle s’était faite lors de la bataille avant notre petit voyage que j’avais tant bien que mal soigné, ou soit elle s’était énervée et/ou blessée avec un quelconque élément du café.
Plus elle approchait, et plus je tentais de déterminer d’où pouvais provenir cette odeur, et donc où elle s’était blessée. Je devais ressembler à un psychopathe, ou encore à un dégénérer à la fixer comme ça. Mais s’était pour son bien non. Si une cause est juste, pouvons-nous détourner la loi et les codes de nos sociétés afin de l’accomplir et la défendre ? C’était une bien bonne question, qui devra trouver une réponse dans le futur. Mais bref, plus elle approchait et plus je la fixais en humant avec force et vigueur l’air frais et matinal. Quand elle fut à une dizaine de mètre, je pus déterminer avec exactitude l’endroit de sa blessure. Je lui dis alors :
- « Vous savez, ce n’est pas en s’énervant contre les choses qu’on règle ses problèmes. On ne fait que les aggraver, comme peut en témoigner votre main. Je me trompe ? Etant donné l’odeur, vous ne devez pas avoir perdu tant de sang, et avez déjà dû désinfecter avec minutie votre blessure. Nous nous en occuperons plus en détail à notre retour. Maintenant, en selle mauvaise troupe ! »
Sur ces mots je me mis dans une position telle qu’elle puisse aisément monter à la jonction de mes omoplates. Plaçant mes sii de telles façons à ce qu’elles forment une sorte d’escalier menant à mon dos. Quand celle-ci se trouva entre mes omoplates, je lui fis signe de monter le long de mon cou. Elle se retrouva donc derrière ma tête, sur mon cou, cramponnée à mes cornes et griefs. Je lui demandais ensuite :
- « Vous êtes prêtes ? Si tel est le cas, nous sommes partis ! »
J’ouvris sur ces mots mes ailes, me recroquevillais sur moi-même, puis bondis subitement dans les airs, emportant Unasaera et moi-même au-dessus d’Hyrule. Le soleil pointait enfin le bout de son nez, ce n’étais que pour le moment qu’un léger trait à l’horizon, mais qui grossissait de minutes en minutes. La rosée, l’humidité et le froid matinal nous battaient le visage. Mais cela ne serait que temporaire. Plus nous montions en altitude, moins l’humidité était présente, jusqu’au moment où Hyrule n’était plus qu’un petit cercle en dessous de nous. Nous traversions ensuite les nuages et arrivèrent au-dessus de tout. Là où nul ne pouvait venir nous déranger, dans ce tête à tête entre nous et le soleil. Demi-disque rougeoyant à la lisière des nuages, qui nous inondait enfin, Unasaera et moi de sa douce et rassurante chaleur. Je me mis ensuite à planer, profitant des courants chauds que le soleil créait en réchauffant le sol et les nuages situés en dessous de nous. Le vol était si stable et doux qu’Unasaera pouvait aisément lâcher ses points d’accroches et d’ancrages et profiter pleinement de ce spectacle comme si elle volait de ses propres ailes.
Je lui dis alors, la laissant profiter de cet espace infini :
- « Tu vois, ce monde n’est pas entièrement à jeter. Il a tout de même quelques bons aspects. Je sais, nous ne sommes pas mots pour mots au sommet de la citadelle d’Hyrule, même si, cette dernière se trouve actuellement en dessous de nous.
Je pense… qu’il faudrait que tu arrives à t’ouvrir au monde. Ton travail de rat de bibliothèque était peut-être rassurant et captivant. Et qui est un travail fort respectable. Moi aussi à une époque j’avais favorisé les ouvrages, les connaissances, aux relations humaines. Et je peux te le dire d’expérience ça n’amène à rien de bon… Si vous le souhaitez, je peux vous emmener avec moi au fil de mes expéditions et explorations. J’ai pour habitude de tout consigner dans des cahiers, qui deviennent ensuite des ouvrages de sciences d’après certains. Une personne comme toi, avec tes talents d’écriture me serait fortement utile.
Cela te permettra de mettre un petit pied dans le grand et vaste monde de l’aventure et de l’héroïsme, tout en restant dans un univers « connus », avec des livres et ouvrages divers… Cela te dit tu ? »
Cela fait, je la laissais encore profiter du spectacle, planant de courant en courant. Jusqu’au moment où le soleil, enfin levé entièrement, nous inondait de sa chaleur et de sa divine et blanche lumière, indiquant qu’il était l’heure de rentrer. Avant de définitivement rentrer, je demandai brièvement à Unasaera de bien s’agripper, afin que je lui montre quelque chose. Cela fait, j’exécutais quelques figures de voltiges, tel que des tonneaux, des loopings, des vrilles, des cloches et j’en passe. Qu’est ce que cela faisait un bien fou ! Cela fait, je plongeai en piqué, la citadelle d’Hyrule dans mon viseur. Après un freinage progressif et sans à-coups, je me posai sur une butte dans l’un des jardins situés plus haut dans la citadelle, que le café où nous avions résidés. Je lui dis alors :
- « Cela t’a il plut ? Comme je te l’avais dit, ce monde regorge de merveille, et de plaisir tous simple, comme cette balade matinale, je te répète donc ma proposition, souhaite tu m’accompagner dans la découverte de toutes ces merveilles ? »
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Invité | -Peut-être que pour vous ce n'est pas en s'énervant... qu'on résous ses problèmes. Et bien laissez moi simplement vous répondre que c'est pas avec quelques mots tout en se laissant marcher dessus que les problèmes s'effacent pour autant ! Je sais bien que ce n'est pas raisonnable, mais réfléchissez-y avant de faire une constatation aussi idiote ! Et je préfère autant me défouler sur un objet inanimer plutôt que la seule personne qui daigne se soucier de mon état de santé. Maintenant... si vous voulez bien m'excusez, j'aimerais préservé le peu d'intimité que je puis avoir, et voir dans le calme ce lever de soleil...
Bon... surement n'était-elle pas matinale de base pour être de si mauvais poil. Sans parler des nerfs qui retombaient, et du fait que le dragon était beaucoup trop curieux... bref... si elle avait dissimuler son bras, c'éait bien pour s'éviter ce genre de remarque... Malgré ses ailes et les cours de vol donner par Lumina. L'ex-chroniqueuse avait probablement aucune chance d'être aussi habile qu'Orion. Et ne parlons même pas de la vitesse et hauteur de vol qui devait clairement différer en raison de son manque d'expérience. Et pur finir, seule et unique raison valable, mieux vallait éviter les efforts physiques inutiles. Ainsi donc, Unasarera grimpat tout en étant hésitante sur Orion. Quand bien même elle avait été plutôt crus dans ses paroles, ils étaient surement agréable de constater que la démone faisai son possible pour y aller doucement... histoire de ne pas froisser un muscle ou quoique ce sois au mastodonte qu'était Orion sous sa forme draconique. Ayant rabattue ses deux jambes sur le même côté , étant donner qu'elle se voyait mal être à cheval sur le coup de son bon samaritain, elle agrippa les cornes d'Orion, sans pour autant être des plus rassurée. Bon... ce n'était que le temps d'un aller sur le sommet de la citadelle... Surement qu'elle espérait qu'elle retrouverait rapidement le plancher des vaches... quelle terrible erreur... car voilà qu'Orion s’envolât et prit de la hauteur... beaucoup de hauteur. Paniquée, la démone serrat de plus dans plus fort les cornes d'Orion et son poult s'accélérat. Le sang circulant plus vite n'arrangeait pas vraiment l'état des blessures qu'elle c'étaient faites quelques minutes plus tôt. Au final, l'avant du corps de la démone avait finit par se colelr à la nuqye du dragon, tendis que l'une de ses jambes se repositionnât de sorte à être à cheval histoire de mieux se cramponnée. Elle fermât fortement les yeux, tremblant quelques peu. Le vent battait son visage et sa chevelure tout en faisant pression contre sa poitrine. Elle avait de plus en plus de mal à respiré
S'envoler dans les airs... la démone avait commencer à plus où moins s'y faire. Mais cette hauteur si... était vraiment trop exagéré. Les voilà rendus au dessus des nuages et il était clair que la destination n'était pas en réalité la Citadelle d'Hyrule... chose que la démone avait prit soin de faire remarquer à plusieurs reprise à Orion pendant le vol. Fort heureusement les choses se calmèrent légèrement, il y avait moins de turbulence dans les airs. Mais l'ex-chroniqueuse ne profitait pas tant que ça du rayon de soleil, son cœur battait à toute rompe. Et le fait que le vol sois plus calme ne lui fit pas lâcher prise pour autant. Elle écoutait Orion, tout en évitant de regarder en dessous d'elle. La chaleur du soleil était agréable, mais malgré cela et la beauté du décor qui pouvait y avoir au dessus des nuages, elle n'était pas des plus sereine. Puis franchement... un lever de soleil... ça lui semblait si banal, elle en voyait bien un tout à fait similaire dans son monde. Sa difficulté à pouvoir profiter de ce moment ne faisait que donner raison à Orion : Unasarera avait bel et bien quelques soucis pour s'ouvrir au monde. Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure... Sans parler de sa confiance en elle...
-J'ai aucun talent en écriture ! Je rangeais, réparait et rénovait surtout les vieux livres... Et franchement je n'ai aucune envie d'écrire quoique ce sois. Des bouquins... toute la sainte journée avec des livres recouverts de poussière... vous vous rendez compte à quel point ça peut être passionnant tout comme atrocement ennuyant ? Et je vous parle même pas des archives en langues mortes ! Je me laisserais bien convaincre par l'idée de... vous accompagnez un moment... Mais actuellement je n'ai pas le cœur à écrire ou rédigez quoique ce sois. Au fait... est-il possible que vous descendiez plus douce... quoi m’agripper ?
Orion avait prévenu qu'il fallait s’accrocher, en même temps que la démone suggérait à celui-ci d'y aller plus en douceur. Mais sa voix hésitante avait vite été étouffer par ses quelques mots qu'avait laisser échapper le dragon avant d'entamer quelques figures aérienne, alors que la démone criait de peur. Elle sentais ses mains petit à petit glisser, alors elle serrait formement des cuisses également pour ne pas être emportant par les courant d'air provoquer par ses figures. Une fois au sol... et ce en étant toujours sur le cou d'Orion par miracle, elle s’empressât de rejoindre la terre ferme, les jambes tremblantes avec l'impression que son cœur allait exploser dans sa poitrine.
-PLUS JAMAIS ! PLUS JAMAIS TU ME FAIT FAIRE UNE MERDE PAREIL ! PLUS JAMAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIISSSSSS !!! J'AI COMPRIS ! J'AIDERAIS POUR VOS CAHIERS ! PAS BESOIN DE ME SECOUER COMME UN PRUNIER RHO !!! Ho la vache... j'ai l'impression que... que mon cœur va me sortir par la bouche... erk...
Elle s’affaissât sur la pelouse, le cul dans l'herbe et ses deux mains sur le cœur. Elle riait nerveusement à cause de l'adrénaline... et respirait vite et fort. Un facteur que Orion avait peut-être oublier, plus on est haut dans airs, moins il y a d'oxygène. C'était un peu comme pour les montagnes... Unasarera haletait, respirant et expirant fort à plein poumons. Si ils avaient beaucoup en commun, il y a néanmoins une différence entre les deux. Orion d'après le récit qu'il avait conter dans l'esprit de la démone avait jadis était violent pour devenir plus calme sur Next Wave. L'ironie étant que pour l'ex-chroniqueuse, l'inverse semblait se produire, elle haussait la voix, se manifestait bien plus qu'avant, et à juger sa main, commençait à se laisser noyer par des accès de colère. Mais néanmoins, malgré ses remarques, elle semblait avoir plus ou moins accepter la proposition d'Orion, même si il y avais fort à douter vis à vis de si elle remonterait de si tôt sur les épaules du dragon.
-Ha... la... la prochaine fois... soyez plus clair... quand vous dite "depuis la citadelle".... haa... j'ai l'impression d'avoir fait un de ces tours de manèges tords-boyaux de FourSide... |
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Orion Feuille de personnage Objet(s):
Pièces : 38337 Nombre de messages : 143 | Unasaera, ressortis de cette petite promenade matinale, un peu… Déboussolée et rincée. C’est vrai que je n’y étais pas allé de main morte lors de notre descente. Elle semblait néanmoins tenir le coup. Elle avait tout de même la force de me crier des injures et des critiques au visage dès qu’elle posa le pieds à terre. Au moins, elle se portait bien, c’était le principal. Elle se posait ensuite sur la pelouse et s’y reposa quelques secondes, c’est vrai que cela avait dû être éprouvant pour elle. Son état n’était pas préoccupant, elle était juste sonnée et en légère hyperventilation, mais rien de bien dangereux pour elle. Je repris mon apparence humanoïde, m’assis à côté d’elle et lui dis alors :
- « Je m’excuse si cette promenade n’a pas été de ton gouts. J’espérais sincèrement que celle-ci puisse t’aider à t’approprier un peu plus ce monde. C’est compliqué, je le sais et le conçoit, comme je te l’ai dit précédemment. J’en ai déjà fait l’expérience à plusieurs reprises… Ce que je peux te conseiller, tu peux rejeter en bloc ou accepter ce conseil, tel est ta décision. Ouvre-toi à ce monde, et il s’ouvrira à toi, comme lorsque l’on commence une nouvelle lecture. Il y a toujours un sentiment d’appréhension quand on ouvre la couverture. Mais dès que ce sentiment est passé on peut facilement se laisser aller dans le coure de l’histoire qui nous est comptées. Je sais combien ça doit être dur et difficile pour toi à surmonter d’avoir perdu tous ces amis. Des personnes dans ce monde en sont peut-être responsable, cela n’empêche que ce monde a surement quelque chose à t’offrir, si au moins tu le laissais y rentrer. »
Je pris ensuite une petite poignée de brin d’herbe que je laissais filer entre mes doigts, et ceux-ci portés par le vent s’en allait au loin sous l’effet de la brise matinale. Je m’allongeais alors et me mis alors à contempler les nuages, et continua ma discussion avec Unasaera :
- « Ensuite j’ai entendu des rumeurs, de personnes qui aurait franchis le portail bien après la fin de notre affrontement avec cette fichue larve. Peut-être tes amis disparus en font partie… A toi de voir si cela te permet d’espérer, peut être en vain. Enfin, vis-à-vis des bourreaux de tes amis qui se trouvent dans ce monde, je ne suis pas partisan de la violence, mais essaye de devenir plus forte qu’eux et botte leur le derrière au nom de tes amis. Ce n’est pas car tu es trop faible aujourd’hui que tu ne seras pas forte demain…
J’espère que cela t’aidera… tout du moins je le souhaite du plus profond de mon âme. »
Cela dit, je me redressais et me remis sur mes jambes. Je dis alors à Unasaera en rigolant légèrement :
- « Et si je te proposais un bon petit déjeuner afin de me faire pardonner pour ce vol, quelque peu instable et retournant ? »
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Invité | -M'ouvrir au monde... peut-être le ferais-je que si il s'ouvrait réellement à moi... que si l'espace d'un instant il se déchirait, le temps de permettre à quelques natifs de fuir les aliens. Ce n'est qu'un horrible hasard le pourquoi j'étais avec vous ce jour là. D'autres n'ont pas eu cette chance... car ils ne savaient pas... ils ne savaient pas qu'ils avaient cette chance. Si seulement c'était aussi simple que d'ouvrir un livre pour y relier quelques pages manquantes...
Ces paroles étaient froide, sans la moindre once d'affection pour se monde visiblement. Son regard divaguais vers l'horizon alors qu'elle s'imaginais à quel point les choses seraient surement plus supportable, si d'autres que elles avaient pu fuir... si tout simplement les héros n'avaient pas été égoïste en se regroupant en petit comité pour fuir entre eux. La démone prit une profonde inspiration. Et sa vois se fit plus douce et calme...
-Je vais... être franche... Le ciel est d'un magnifique azur, nul invasion intergalactique ne semble troubler ses yeux... ce qui jadis étaient des ruines sont ici d'incroyable monument en parfait été qui rendrait émerveiller le plus passionner d'histoire des natifs... Un monde en plein âge d'or... Tendis qu'a une autre époque, des natifs sont laisser à eux même, mourant sous le règne d'un peuple extraterrestre. .. Tendis que leur seule chance de ne serais-ce de reconquérir leur terre... ou bien ne serais-ce de fuir pour un monde meilleur... s’effondre car les héros ont choisis de ne sauver que eux même... Ce monde serait surement magnifique si il avait accueillit des natifs... Ce monde aurait bien put être une sorte de refuge que tous aurait comparé aux terres d'or des vieilles légendes oubliées.... Mais ce n'est pas le cas... Ainsi donc... ce monde n'en ai que plus laid.
L'ex-chroniqueuse se relevât, puis croisant les bras, et remontant ses mains presque au bas de ses épaules. Ses mains se crispait légèrement à force de ressasser tout cela.
-J'espère que vous ne dites pas cela pour.... comme vous dites me faire espérer en vain... Et même... qui sait si natifs tout comme aliens peuvent emprunter ce portail si il est encore ouvert... Peut-être qu'un jour... qu'un jour je devrais retourner à ce temple infernal... vérifier par moi même vos dires. Mais c'est peut-être encore trop tôt... Je dois admettre que vous marquer un point... surement que cela n'a pas échapper à votre sens aigu de l’observation. Je suis une piètre combattante, et suis bien loin d'être magicienne. Peut-être que... si un jour il vous prenait l'envie de retourner à ce temple... je vous accompagnerais. Mais ces... monstres qu'il y avait là bas.... je serais à peine capable de me défendre.... Dites... hier soir... pendant que je dormais je crois.... vous parliez de m'apprendre à qui sait... peut-être dissimuler ce qui pourrais causer problème... à moins que l'endroit auquel vous songer pour le petit déjeuner est tout aussi... ouvert aux différences ?
Elle t'attait légèrement ses cornes, tout en balayant le sol de sa queue avant de finalement observé l'horizon de nouveau, comme si l'espace d'un instant, elle changeait d'avis sur ce monde.
-Je crois que... je commence à réaliser que, ce monde est à la fois l'époque de mes ancêtre... Serait-ce vraiment correcte que je cache cela ?
A ses mots, son ventre gronder... beaucoup trop de chose se bousculait dans sa tête, elle se posait surement trop de question, mais à la fois c'était inévitable dans sa situation. Le léger rire d'Orion suite à la proposition qu'il avait fait ne fit pas vraiment rire la démone, mais l'ex-chroniqueuse soufflât un peu du nez, esquissant un faible sourire sur son visage. Peut-être pouvait-elle vraiment restée un moment au côté du Dragon malgré les quelques différents. Ce n'était pas comme si elle avait mieux à faire de toute façon. |
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Orion Feuille de personnage Objet(s):
Pièces : 38337 Nombre de messages : 143 | Una accepta ma proposition mais craignait que le lieu où nous nous rendions pour petit déjeuner après cette petite excursion matinale n'accepte pas les gens comme elle et moi, les gens différents, atypiques, étranges, effrayants et j'en passe. Elle aborda ensuite le sujet d'une proposition que je lui avait faite plus tôt : L'aider à faire disparaître ses attributs afin qu'elle puisse voyager et se promener dans ce monde tel qu'elle le souhaitait, sans avoir à faire face à tous ce racisme hypocrite et sanglant. Je lui dis alors :
- « Ne t'inquiète pas, nous retournons simplement au café d'où nous somme partis. Si j'en crois la course du soleil, la propriétaire devrait déjà être aux fourneaux. Il n'y aura donc aucun racisme ou discrimination à nôtre égard. De plus, je souhaiterais pouvoir jeter un petit coup d'œil à toutes tes blessures. Car, si nous devons partir à l'aventure ensemble, je ne souhaite prendre le risque que tu tombe malade des suites de l'infection de l'une de ces vilaines plaies. Enfin, si tu le souhaite, je pourrais, comme je te l'ai promis, commencer à t’enseigner l'art de la transformation physique afin de camoufler tes attributs. Je te préviens juste que cet enseignement risque d'être long et douloureux. Ce n’est pas quelque chose à prendre à la légère. Nous pourrons essayer durant ce repas si tu le souhaite. »
Et sur ces mots je pris la direction du café duquel nous étions partis. Nous marchions ainsi quelques temps au beau milieu des rues et ruelles d’Hyrule. La fraicheur matinale laissait doucement place à la douce et rassurante chaleur des rayons de soleil, les commerçant commençaient à ouvrir leurs échoppent, les habitants à ouvrir leurs volets, la vie tout entière de cette ville commençait tout doucement à sortir de sa torpeur matinale. Nous marchions ainsi quelques instants, observant la vie qui se réappropriait ses froides, humides et inhospitalière rue, apportant enfin une touche de chaleur et de réconfort dans ce monde matinal froid et repoussant. Puis nous arrivions devant la devanture du café, une douce odeur de pain et de viennoiserie chaudes, qui venaient surement de quitter le four, venait nous lécher les narines, nous invitant à rentrer au chaud dans le café. Je poussais ainsi la porte, suivis de Unasaera.
Je pus remarquer que la tenancière avait déjà bel et bien débuter la préparation de quelques mets pour les clients futur, dont certains étaient déjà présent. Je saluais ainsi les personnes présente dans le café d’un chaleureux bonjour avec un petit geste amical de la main. Au passage du comptoir j’y déposai quelques pièces pour le service que la tenancière m’avait fait, ainsi que pour payer les consommations futures et passées. Cela fait je fis signe à Una de s’assoir au même endroit où nous nous étions installés la veille. Les deux canapés face à face ainsi que la table eu centre était le lieu parfait pour un petit déjeuné ainsi que le début de l’enseignement de l’art de la transformation à Unasaera.
Quand nous furent assis, la tenancière nous servis des viennoiseries encore chaude et fumante ainsi qu’une bonne théière de thé, lui encore à la pêche et aux fruits rouges. Je laissais Una se restaurer sans la déranger, la laissant débattre et parler de ce quelle souhaitait, et moi je l’écoutais sans brancher. Le pain était, notons-le, à tomber par terre. Dès qu’elle eut fini son petit déjeuné, je lui dis :
- « Bien, maintenant que nous avons tous deux biens manger, je souhaiterais commencer à t’apprendre les techniques afin de cacher, voir faire totalement disparaitre tes quelques attributs démoniaques, qui de ton point de vue te pose tant de problème. Je te demande donc de penser mentalement à une image de toi mais sans tes cornes pour commencer. Je te conseil de fermer les yeux, ça aide à imaginer et à se représenter quelques choses de précis dans son esprit. Car plus tu seras précise plus il te sera simple d’effectuer ce sort. Dès que cela est fait, fait moi un petit signe de la main… »
J’attendis ainsi quelques instants avant de voir Una légèrement bouger son pouce, comme pour le lever, me montrant qu’elle avait pour elle réussis. Je lui dis ensuite :
- « Bien, maintenant que cela est fait, garde cette image, les yeux toujours fermés et tend moi ta main. La seule chose que tu auras à faire est de rester concentrer sur cette image, c’est moi qui insufflerais la magie nécessaire à ta transformation donc concentre toi sur la sensation et tous ce qui se passera en toi à ce moment. C’est crucial afin que tu puisses le reproduire plus tard par toi-même… Bien, je commencerais à trois… un … deux… et trois »
Et sur ces mots, je connectais mon esprit à celui d’Unasaera et réussis à capter l’image quelle se faisait d’elle sans ses attributs. Je ne changeais rien de cette image. Ce n’étais en aucun cas à moi de juger si elle avait modifié son physique ou sa beauté. Cela fait, je me mis dans le même état qu’elle. Les yeux fermés et mon esprit concentré sur cette image. Puis je commençais doucement à transmettre, par le contact de sa main contre la mienne, la magie nécessaire à sa transformation. Il faut imaginer ça comme des mains volantes qui viennent de l’intérieur de votre corps et qui se mettent à sculpter et remodeler votre corps comme un bloc d’argile mou, ou de la pâte à modeler. Par chance, il n’y avait pas à modifier chaque élément séparément comme ci on sculptait nous-même, mais juste leur fournir une image très précise du résultat souhaité, c’est pour cela que j’avais étudié aussi longtemps les humanoïdes.
Le sort se mis en action et après quelques minutes, de picotement et de légère tension dans ses attributs, maintenant disparu, Una pouvait faire face à sa nouvelle apparence.
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Invité | La magie... cela semble si anodin pour certains. Et pourtant lire des livres à ce sujet n'aide pas forcément à comprendre réellement comment sa marche. A regarder Orion et d'autres, on pouvait croire que c'était facile... Changer d'apparence et de forme comme si on changeait de chemise, comme si c'était inné. Pourtant, ça ne pouvait pas être aussi simple que cela. Certes, il existait très probablement des personnes ayant des dispositions pour mais cela signait-il donc que la magie n'est limité qu'a quelques individus avantager ? Ayant reçue comme dont de pratique celle-ci ? Qu'importe le nombre de livre il a pu exister à ce sujet, il était difficile de dire ce que la magie était réellement pour l'ex-chroniqueuse.
Des ouvrages à ce sujet dans son monde, il m'en manquait pas. Mais ils étaient en général écrit par des envieux, des personnes n'ayant aucun don et qui essayait de comprendre et de percer le mystère de la "magie". Et rare était les pratiquant qui couchait sur le papier ce qu'était la magie à leur yeux. Surement car c'était inné et pas très pertinent à leurs yeux. Un nombre incalculable de questions assaillait la mi-démone, mi-humaine. Certains pense que la magie se limite à quelques personnes, d'autres pense qu'elle est partout et en chaque être vivant, et d'autres encore que être vivant ou pas n'empêche pas quelque chose puisse être magique. C'était un véritable bordel à expliquer en vrais... car au final personne n'y connait grand chose. Et à force, la fameuse réplique du "Tas gueule c'est magique" est devenue une explication banale pour tout ce qui peut être considéré comme inexplicable. Trop de question ouvre l'appétit, et finalement, une fois installée, Unasarera se servit en croissant et en thé après quelques hésitations. Cela commençait à faire beaucoup... elle allait devoir être redevable auprès du dragon. Elle n'aimait pas avoir de dette à la base, c'était toujours un sentiment désagréable que de ce sentir dans l'urgence de faire quelque chose en retour. Ca l'était encore plus quand elle n'avait aucune idée de comment lui rendre la pareil.
Une fois le repas finit, Orion voulu aborder de suite le sujet sérieux qu'était la dissimulation de ses attributs. Plus tôt pourtant il parlait de vouloir vérifier les blessures de l-ex-chroniqueuse qui ne put s'empêcher de rire légèrement en voyant au combien Orion manquait un peu d'organisation. Surement était-ce pour cela que le dragon souhaitait tout confiner dans des livres. Mais sois... Unasarera se prettat donc à cet expérience tout en ne sachant pas à quoi s'attendre. Elle était inquiète à l'idée de faire un essai directement sur elle. Sa queue se balançait alors de gauche à droite, glissant et tapotant doucement le sol à rythme régulier, trahison légèrement le stress et l'appréhension qui montait en elle.
-Vraiment ? Là tout de suite ? Directement sur moi ?
Après avoir fermer les yeux, et imaginer une image sans la moindre excentricité d'elle même mais sans ses cornes... son esprit fut relier à celui d'Orion pendant un moment. Les minutes semblaient interminables pendant cette phase étrange... une sensation désagréable se manifestait au niveau de sa tête, à l'endroit de ces attributs. Elle avait beaucoup de mal à décrire ce qui se passait en elle. Concrètement elle ressentait quelque chose tout en étant incapable de placer un mot sur cette sensation qui montait à l'endroit qui devait être modifier. Elle se concentrât au maximum sur toutes les sensations qu'il y avait en elle mais... également autour d'elle. Puis finalement... le tout s’apaisât. Elle rouvrit les yeux en même temps que Orion. N'ayant pas de miroir sur elle, la démone ne put que constater que son interlocuteure semblait se retenir d'exploser de rire. Tout de suite, et prise par un état de panique, la démone demandait ce qu'il y avait, s'empressant de mettre ses mains au niveau du sommet de sa tête... Il fallait croire que ça n'avait pas marcher, il y avait toujours ce qui semblait être des cornes par leur forme... mais au toucher c'était... étrange ? C'était chaud... et moelleux...
-Quoi ?! Qu'est ce qui se passe ? Qu'est ce qu'il y a de si drôle ? Ca n'a pas marcher, elles sont toujours là... Mais qu'est ce qu'il y a de hilarant ?!
Orion qui avait rouvert les yeux ne pouvait que constater que une erreur c'était glisser dans ce premier essais. Où plutôt une odeur. L'ex-chroniqueuse avait commit l'erreur de se concentré également sur les sensations extérieurs en plus de ce qui se passait en elle. Et cela avait résulter que... par une malheureuse odeur de viennoiserie planant dans leurs... ses cornes c'étaient simplement transformer en deux énormes croissant surplombant sa tête... |
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Orion Feuille de personnage Objet(s):
Pièces : 38337 Nombre de messages : 143 | Una ne s’en sortis pas si mal au début, ses attributs avaient disparus, jusqu’au moments où elle eu la merveilleuse et comique idée de s’intéresser aux croissants sur la table. Cette action, ou plutôt cet intérêt soudain pour la nourriture eu la bien heureuse idée d’influencer sa transformation et l’image qu’elle avait d’elle-même. Ainsi, si on ajoutait une attention particulière sur des cornes à une odeur omniprésente de croissant, eh bien on obtenait des croissants à la place des cornes. En rouvrant les yeux et en constatant ce fait, je ne pus m’empêcher de rire, ou tout du moins d’essayer de le contenir. Unasarera ne compris malheureusement pas la raison de ce soudain rire et ce mis à paniquer. Je lui dis donc alors :
- « Comment te le dire… Tu as eu le malheur de porter ton attention sur les croissants durant ta transformation. Je te laisse donc deviner ce qui a remplacé tes cornes. C’est… atypique comme erreur mais, on sait au moins tous les deux que tu y arrive. Il faut simplement que tu arrives à maintenir ton attention. »
Sur ces mots, je souhaitais savoir si ce n’étais que des croissants posés là où s’ils avaient véritablement remplacé ses cornes. J’en saisis donc un et le tira. Et chose peu commune il me vient dans la main, comme si on coupait du pain. Et chose encore plus étrange, là où il restait une petite partie de ce croissant, un autre repoussa dans les instants qui suivirent. La situation en devenait de plus en plus risible et comique. Unasarera avait réussis durant sa transformation à transformer ses cornes en générateur à croissant. Au moins, si je n’arrivais pas à récupérer cette erreur, elle avait une carrière assurée dans le monde de la viennoiserie. Je lui dis alors :
- « Cela me semble moins grave que ça en à l’air. Donne-moi tes mains, je vais tenter d’arranger tout ça. »
Je pris ainsi ses mains et me mis à insuffler un peu de magie au travers, en me concentrant afin de tenter de lui faire retrouver ses cornes d’origines. Chose qui au bout de quelques minutes fut le cas. Nous avions donc abordé le sujet de la potentielle disparition de ses attributs, il ne restait maintenant que la question de ses multiples blessures. Je lui demandai donc de me montrer la blessure qu’elle s’était faite au bras précédemment dans la salle d’eau. D’après ce que j’avais pu sentir quand elle était sortie, elle avait perdu assez de sang pour que ça soit une plaie, bien que simple à guérir, mais relativement profonde. Elle me tendit ainsi son bras, et retira son bandage primitif, et chose étrange, la plaie n’étais plus du tout présente. Il n’y en avait même pas une trace de cicatrisation, comme si elle n’avait jamais existé. Il y avait peut-être des explications à cette situation, mais elles me semblaient toutes deux assez étranges. Soit elle possédait des dons de guérisons spontanées, ce qui n’avais pas été le cas pour sa blessure ventrale, ou du fait de sa transformation elle s’était inconsciemment guérie, ce qui étais là encore très complexe, voire impossible. Puis vient aussi le tour de sa plaie ventrale. La plaie elle était encore là et commençait doucement à cicatriser par endroit. Elle était moche du fait de l’absence qu’Una lui avait fait égard. Mais il n’y avait aucune infection à l’horizon, heureusement pour elle. Je lui refis dans le doute un nouveau pansement sur sa plaie ventrale et un sur la plaie au niveau de son bras dans le doute. Je lui dis enfin :
- « Bien, tes plaies sont soignées. Tout du moins, j’ai changé tes pansements. Il faudra que toi aussi tu le refasses dans le futur afin d’éviter de potentielles infections. »
Je repris alors ma tasse de thé et commençais à reprendre mon petit déjeuner. Je continuais donc :
- « Sur ce, as-tu des idées de lieux à visiter en premier ? Souhaite tu aller dans un endroit en particulier ? »
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Invité | Cet incident était inattendue, mais il avait été rapide pour Orion de rendre sa forme original aux cornes de la native. Apparemment le dragon n'était pas inquiet vis à vis de cela, il semblait même trouver le résultat positif : Elle y arrivait au moins... Durant tous ses processus, Orion touchaient souvent les mains de Unasarera qui, non-habitué au contact physique direct, n'était pas des plus à l'aise. On lui disait souvent qu'elle était tendue, c'était probablement vrais encore. Son esprit dérivât, elle cherchait dans le creux de sa mémoire le visage d'une personne avec qui elle avait pue être suffisamment à l'aise pour ne serais-ce ne pas se sentir gênée par une simple poignée de main. Dont le fond elle était persuadée qu'il y avais quelqu'un mais subitement... elle incapable de mettre un nom où un visage à cette dite personne... Un trou de mémoire surement... rien de plus banal... il y avais de quoi oublier certaines choses importantes de sa vie avec toute cette folie qui l'entoure dans ce monde qu'elle connaissait à peine. Mais à la fois, son visage affichât une expression d'inquiétude... Oublier quelque chose était banal c'est vrais... mais oublier une personne aussi important, d'autant plus qu'on est censé avoir une bonne mémoire avec le métier qu'elle avait... ça à avait quelque chose d'inquiétant. Le plus raisonnable était surement de se dire que c'était dut à la fatigue. C'était un peu son excuse pour pas mal de chose en ce moment...
Arrivât le moment où Orion voulus s'intéressé à ses blessures. Unasarera avait donc retroussée l'une de ses manches.. -enfin si on peu dire que son vêtement en a encore- et retira petit à petit le bandages qui avaient encore quelques tâches écarlates à cause du sang. Elle présentât ainsi son bras, le tout en affichant la même expression de surprise qu'Orion. En effet à la surprise des deux, sous les fines bandelettes il y avait.. et bien absolument rien. Aucune blessures ni cicatrice ni quoique ce sois.... étonnée l'ex-chroniqueuse eu pour réflexe de relever son autre manche pour voir son autre bras, histoire de savoir si dans la précipitation elle n'avait pas fait les choses à l’envers, mais aucun des deux n'avaient de trace d'une quelconque blessure, par même les phalanges de ses mains. C'était le comble de l'incompréhension pour elle, elle n'avait aucune idée de ce qui avait bien pu se passer entre-temps. Sa logique à elle était incapable de se rapprocher de près où de loin de ce qui venait de sa produire... quoique si... il en était capable, elle l'avait démontré lorsque les héros ont voulus faire leur voyage temporel... mais actuellement elle ne s'imaginait pas que cela pouvait avoir un lien avec l'idée que sur la ligne du temps, il était technique impossible qu'elle existe réellement....
Mais bon... c'était au final tant mieux non ? Que cette blessure n’existe pas ? Si seulement on pouvait dire de même de l'autre. Il arrivait assez régulièrement qu'elle ai mal à cet endroit là. Orion émettait son avis comme quoi la démone n'y faisait pas assez attention... mais pourquoi elle essayait. Mais il fallait dire qu'elle arrivait pas à s'en occupée autant qu'elle le souhaiterais ce monde si n'était pas le sien. Les produits de soin, bandages, eau stérilisé et j'en passe c'était pas à la porter du premier venu. A vivre dans un monde où les soins étaient en général facile d'accès, ici c'était tout l'inverse... Bref... Orion proposât aimablement de faire des bandages, chose que Unasarera laissât faire tout en baissant la tête pour observé cette vilaine plaine qui elle, semblait avoir bien du mal à disparaître. Qu'importe le temps qui passe, la démone avait toujours l'impression en l'observant qu'elle était récente. Elle se noyât dans ses pensées songeant finalement à cette brute de native qui lui avait fait cela.
-Non pas... que je suis inquiète pour cette personne. Mais celle qui à fais ça... où est-elle maintenant ? C'est peut-être la seule autre native à avoir passer ce portail. plusieurs émotion me vienne à l'esprit en m'imaginant la revoir un jour : Dégout, Soulagement, Haine, Joie.... Je n'aimerais pas être en face d'une personne m’ayant empalé mais être aux côtés d'une autre native aurait un semblant de réconfort... Non pas que je cherche à être amie avec... je me sens simplement... à la dérive. Une tâche dans le décor....
Elle laissât finalement Orion bander son bras par simple soucis de sûreté. Le mystère sur la disparition de cette blessure restait entier tendis qu'enfant ils purent reprendre leurs petits déjeuner. Le dragon soulevât une question qui ne manquât pas d'embêter Unasarera; Concrètement elle n'avait pas vrais d'idée d'endroit de où aller. Pourtant il y en avais des lieux et des ruines potentielle à visité. Le désert Gerudo ? Les terres du Roi Koopa ? L'océan tout simplement ? Il y avais des lieux qui n’existaient plus dans le monde qu'elle avait toujours connue et qu'elle avait maintenant l’occasion de découvrir ici. Mais elle n'avait aucune préférence finalement son choix s’abattant plutôt sur quelque chose de plus simple. Qui s'apparentait plus à une recherche de sois et de ce qu'il reste de son monde plutôt qu'a une simple visite touristique.
-Je... et bien plus tôt... tu as dis avoir entendus des rumeurs. Peut-être que... l'on pourrait jeter à oeil aux dit endroit où tu pense qu'il y aurais des survivants... |
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