Lorsque le voyage commence, le trajet est inconnu. Cependant, la destination est tout aussi obscure... Comment faire, que faut-il faire pour retourner à son monde primaire ? Elle ne sais pas, elle ne sait rien, depuis tout ce temps elle erre ! Ô si au moins ce cauchemar sans fin pouvait avoir un terme, elle pourrait alors retrouver ceux qui lui sont chers... Mais leurs silhouettes s’évanouissant ce jour là, sont gravées dans ses yeux, elle veux les écraser, ses horreurs n'auront donc jamais de cesse à la tourmenter ! Dans la continuité de ce cauchemar, ne pouvant point le fuir, ni l'échappé... se trouve une triste et pitoyable personne qui fût laissée derrière. Elle ne pouvait ni retourné en arrière tout comme elle était incapable d'avancé... face à elle se dressait celui qui sème le doute ou l’effroi dans le cœur de tout mortel "l'inconnu".
Une ville ne lui disant rien, un journal qui s’abat sur son visage et obstrue sa vue... Le gros titre de celui-ci parle d'un cirque, mais le cœur de la chroniqueuse n'avait point envie de rire. Il saignait... il pleurait... il hurlait. Ce cœur mutilé... transpercer... frapper par des mots trop durs à supporter. Et pourtant au creux des pages d'un journal dont elle ne connaissait point l'éditeur, la démone vit quelque chose de familier, une photographie terne et délavée. Ancien vestige de jours heureux passer... vestige d'un temps où ont était bien heureux de en point connaitre les horreurs que le futur avait bien put réserver. L'image qui était un repas de noël entre famille et amis lui fit arracher une larme. Une larme précieuse car elle était l'inverse de ce que tous en ce monde s’imaginait d'un démon...
Son regard fut attiré par une photographie tout à fait similaire virevoltant dans les airs, inconsciemment, elle se mit sur les traces de ses photos mystérieuses provenant de son passé. Elles étaient telles des braises chaudes auxquelles ont venait se réchauffer. Ce n'était que de bels et heureux souvenirs après tout, mais sans se méfier. La démone venait de pénétré au seins d'une forêt sinistre et épaisse. Nul rayon de lumière ne parvenait à percer le feuillage... nul cris d’animaux se faisait entendre. Au final, elle était incapable de dire par où rebrousser chemin, car ce qui l'avait conduit jusqu’à ici, elle l'avait récolté dans ses mains tremblantes de froid. Les rayons chaleureux du soleil n'étaient plus présents, et les quelques photographies amassées ne dégageaient aucune chaleurs malgré la symboliques qu'elles avaient...
Ainsi mélangées elles n'étaient que fouillis. Dans ses mains tremblantes elles c'étaient froissées... dans ses mains tremblantes elles étaient humides... Nuls chaleurs ne se dégageaient de ces images, car elle se faisait que remonter la froideur de quelques mauvais souvenirs. Leurs existences ne faisait que souligner l'absence des personnes présences dessus. Elles étaient tels des ronces qu'on aurait amasser en bouquet dans la mains... la seule chaleur que l'on pouvant attendre de ces photographie, n'était que la chaleurs du sang coulant de plaies que l'on viendrait d'ouvrir.
En cherchant son chemin autour d'elle, le souffle fort et la respiration accélérer... elle ne pue s'empêcher de voir que la forêts semblaient regorgé de photographie familières qui avaient été éparpiller par ci par là dans les environs. Quel était donc cette sinistre plaisanterie ? Et pourtant, malgré l'obscurité, la démone continuât. Quitte à plonger ses mains dans des ronces, où à se risquer à monter dans certains arbres à l'allure terrifiantes pour rassembler les photos. "Retrouve-nous..." Ces deux mots ne cessaient de résonner en tête dans l'esprit de la chroniqueuse qui était au final arrivé devant une vieille cabane à la porte grinçante.
L'espace d'un instant sa peur s'évanouit. Elle ouvrit la porte avec assurant, le regard traversé par une sombre lueur de folie. Persuader de pouvoir donner tord à l'inconnue. Elle avait parié au fond d'elle que d'autres photographie se trouverait dans la vieille résidence. Mais cependant... il n'y avait rien... rien d'autres qu'un album photos dénués de toutes celles que la chroniqueuse avait récolter jusque là... Un énorme vide.. Celui-ci était simplement posée à un bureau, grand ouvert... La demeure quand à elle dégageait une sinistre odeur de cadavre....
Un grondement de tonnerre se fit entendre, tandis que dehors il commençait à pleuvoir des cordes. La cabane qui était inconnue pour la chroniqueuse lui paraissait pourtant familière avec les quelques étagères de livre et le bureau qui lui faisait fasse. Seule l'odeur était dérangeante, mais pas assez pour qu'elle rebrousse chemin. Comme par mimétisme... elle s’installât au bureau, et essayât tant bien que mal de remettre chaque photographie à sa place. Cet à cet instant qu'elle eu l'occasion de les observer plus attentivement, de se remémorées des bons moments capturer dans chaque images mais également des mauvais moments... les moments horribles qui ne sont pas pris en photo mais qui même dans une scène de joie laisse des traces. Dans l'ordre chronologies les premières étaient agréables à contemplés. Des amis de travail, quelques membres de la famille réunit à une grande table pour fêtée une fête propre à son monde. Une fête un peu stupide où les héros et histoires d’antan était tourner en dérisions. Il y avait des costumes, des couleurs, des sourires...
Quelques unes étaient des photos où la démone était absente. Ne pas avoir le temps de se libéré... être trop obnubiler par le travail. Celle-ci commençait déjà à lui faire tiré quelques pincement de lèvre et grimace.
Le temps passait et semblaient longs... petit à petit.. sur chaque photographie, il commençait à y avoir quelques choses qui manque. Une personne... un sourire... Et certaines fêtent étaient de moins en moins présentent, quand bien même elles étaient censées revenir chaque années. La chroniqueuse marquât une longue pause en contemplant une photographie prise avec elle et Maniwa Chauve-Souris. Ce n'était pas une photographie vraiment familiale... mais pourtant elle était la plus fatale. La dernière fois qu'ils c'étaient prit en photo ensemble... c'étaient au moins quelques jours avant l'arrivées des héros dans leurs mondes. Depuis que les héros étaient arrivés, les choses avaient déraper c'étaient un fait... la date de leurs apparitions n'était point des plus clairs... pour ne pas dire "inconnue"... et lorsqu'ils sont apparus les deux amants n'eurent plus le temps de traînasser ensemble... surement à cause du poids des responsabilités. Un poids tellement lourd que au final, celui qu'elle chérissait était mort... mort en levant son épée au nom de la reine... mort en levant son épée au nom d'un parasite caché derrière le masque d'une reine...
Si seulement elle avait "sut"... si seulement elle avait décerné le mal chez Astrid. Si seulement... si seulement elle n'avait tout simplement pas échoué dans sa tâche. Etudier tant de livre et d'ouvrages... défier à chaque instant de sa vie l'inconnu et l'ignorance... recherchés la vérité des temps passés... tout cela pour quoi ? Pour rien... Les larmes se faisaient plus grosses, alors que son visage tremblait légèrement. Elle tentait tant bien que mal de s'empêcher de pleure,r mais finalement elle déglutit, posant simplement la photographie au hasard entre les pages pour... tourner la page... laissant places à d'autres feuilles vierges où elle pouvait coller les photographies où son bien-aimé n’apparaîtrait plus jamais. Et pourtant... elle avait l'impression de l'entre hurler dans le lointain "Sauve-Moi !!! Venge-Moi !!!"
Il était évident que les photographies qui quittèrent n'étaient guère joyeuse. En résumé la chroniqueuse ne saurait presque plus sur les photos les plus récentes. Même sur celle prise le jour où la nouvelle que le parasite était enfin abattue... elle ne souriait pas... à vrais-dire personne ne souriait sur cette photographie. De nombreuses maisons et vies étaient à reconstruire... et l'avenir était floue à partir de ce jour où Astrid n'était plus "l'immortelle". A partir du jour où Next Wave n'était plus cette terre miraculée... les protections des archipels avaient été détruite par les héros croyant... entraver ainsi le parasite. Mais c'était l'inverse qui c'était produit... et le peuple des natifs n'avaient plus aucune protection pour "l’inconnu" qui les attendais.
Finalement arrivât la dernière photo... refaire l'album c'était présenter plus ardu que prévu... la pluie c'était déjà arrêtés, tout comme le grondement du tonner et pourtant il y avait une photo dans cet album que la chroniqueuse avait oublier. Un instant qu'elle avait oubliée. La dernière fois qu'elle avait vue en chair et en os ses parents et grandes parents. C'était après avoir reçue cette fausse lettre d'Astrid, demandant à la chroniqueuse de se rendre sur une île mystérieuse nommée "Nocturne". Une petite fête avait été tant bien que mal organisée. Les aléas avec le parasite datait d'il y a deux ans à cette époques. Sur cette photographie... la démone avait tant bien que mal recommencée à sourire. Ses parents étaient le seul soutient morales qui lui restaient à ce moment là. Ils trouvaient que c'était une bonne chose que leur fille puisse prendre l'air... découvrir de nouvelle choses. S'ouvrir un peu plus à des choses nouvelles et surtout arrêter de chercher à tout prévoir. Oui ce voyage improviser avait rendue nerveuse la démone qui ne se sentais pas sur son terrain de confort. A bien y repenser.. l'inconnue lui avait toujours fait peur, quand bien même tous ceux qu'elle aimait avait tenter de chasser cette peur en elle...
Cette photographie oui... elle était laide... affreuse... hideuse... Elle rappelait au combien Unasarera n'avait pas pue dire au-revoir à ses proches comme il se doué. Après avoir quitter nocturne... les parasites avaient attaqués... ils étaient arrivés... et ses parents... ses parents... la seule chose qui lui restait. Ils avaient disparus. De nombreuses larmes coulaient sur son visage... la démone était incapable de dire ce qui était vraiment advenus d'eux. Suite à ces événements, elle c'était démener tel un diable pour lutter face aux aliens en espérant les retrouvés un jour... en vain...
Finalement l'odeur de cadavre se fit plus instance. Laissant germer dans l'esprit de la chroniqueuse la pire idée qui soit. Et si simplement... ils étaient morts ? Mais cette idée était insoutenable. Des cris résonnait en échos dans sa tête... "Retrouve-nous !!! Sauve-Nous !!!!"
Mais elle en était incapable ! Elle ne savait pas où ils étaient... elles avaient essayée sans jamais trouvée... elle c'était dresser dans aliens... contre héros... contre tout obstacle qui semblait lui barrer la route mais rien à faire. Ce qui était advenu d'eux restait un immense mystère sans solution. La réponse restait inconnue...
Folle de rage, elle saisissait l'album photo qu'elle c'était donner tant de mal à reconstituer et s’apprêtait à le jeté avec violence en direction de la vieille cheminée éteinte de la cabane. Mais une ultime photo l’arrêtât dans sa chute... une photographie encore chaude... comme si elle venait de sortir à l'instant d'un vieil appareil photo... l'image n'était même pas apparue... reposant le livre, la chroniqueuse secouât celle-ci... Celle-ci n'y vit que le reflet d'elle même. Une démon ailées et cornues... folle de rage... seule au milieux d'une maison délabrée. Un frisson d’effroi la parcourue le long de son dos, et en détournant un peu du regard, la chroniqueuse vit un Clown au sourire dérangeant et armé d'un appareil photo l'observer pour finalement fuir.
Savait-il quelque chose ? Pourquoi ces vieilles photos étaient ici... à cette époque... tellement de questions sans réponses.. des réponses encore inconnus... que seul potentiellement un clown pouvait détenir. La démone ne réfléchit pas, et s’emparant de l'album pour le plaquer contre elle... elle s’élançât à corps perdus à sa poursuite. Qu'importait le trajet lugubre qu'offrait cette sinistre forêt... qu'importait si la destination était un crique à la sinistre réputation... il y avait quelque chose chez la démone qui surpassait sa peur. Un sentiment puissant, fougueux et incontrôlable que l'on nomme colère.