J'arrivai à nouveau dans une ville. Je pestai. Encore des humains. Partout. Je vous hais. Tous. Je me dis qu'avec une fille si petite, peut-être qu'il me serait plus simple d'éliminer une cible ou deux. Certes, ce serait plus notifiable que dans une grande ville, moins il y a de gens plus c'est remarquable quand quelqu'un manque, mais il serait impossible dans une métropole de tuer quelqu'un de façon complètement furtive ... Mes instincts de tueuse me titillaient et voilà un moment que je n'avais plus tuer quelqu'un. Je n'aimais pas ça. Mais j'avais été programmé pour le faire. Formater. Depuis que je suis petite. C'était devenu comme une drogue. Non ... C'était une drogue.
Je me mis à me faufiler le long des ruelles. Ma morphologie me permettait de devenir une ombre. Mes cheveux se fondaient dans l'obscurité tandis que mon corps frêle me rendait agile et invisible. Je scrutai attentivement les alentours. A la recherche de quelqu'un. De ma proie. Je saurais me montrer patiente. J'attendrais le temps qu'il faut. Mon coeur battait fort. Mes mains tremblaient. Mon souffle s'accélérait. Je me sentais nerveuse. Et excitée. Mais il ne fallait pas que je trahisse ma position. Jamais. J'effaçai ma position au plus possible. Des pores de ma main se mit à sortir du sang. Il se cristallisa en quelques instants en une arme. Un genre de petit poignard. Un coup bien placé suffirait. Dans la trachée. Ou peut-être la carotide. J'attendais patiemment.
L'heure tournait. Le soir commençait à faire son apparition. Je n'avais toujours pas bougé de cette ruelle sombre. Derrière moi, une poubelle si jamais je voulais me cacher. Je voyais même un tuyau accroché au mur qui me permettrai de fuir par les toits. J'avais prévu mon coup à la perfection. C'est alors que je le vis. Ce garçon. L'air frêle. Des cheveux blancs. L'air vaguement perdu. C'était la cible parfaite. Mon corps se mit à trembler. Uniquement d'excitation cette fois. Je m'attrapai nerveusement une mèche. Rapproche-toi me disais-je sans cesse. Il s'approchait. Mon coeur battait fort. Il s'approchait. L'étreinte sur ma lame se renforçait. Il était tout proche. Un léger sourire malsain se dessinait sur mon visage. Pourtant, un sentiment étrange s'empara de moi. J'avais l'impression ... qu'il m'avait vu.
Je me mis à me faufiler le long des ruelles. Ma morphologie me permettait de devenir une ombre. Mes cheveux se fondaient dans l'obscurité tandis que mon corps frêle me rendait agile et invisible. Je scrutai attentivement les alentours. A la recherche de quelqu'un. De ma proie. Je saurais me montrer patiente. J'attendrais le temps qu'il faut. Mon coeur battait fort. Mes mains tremblaient. Mon souffle s'accélérait. Je me sentais nerveuse. Et excitée. Mais il ne fallait pas que je trahisse ma position. Jamais. J'effaçai ma position au plus possible. Des pores de ma main se mit à sortir du sang. Il se cristallisa en quelques instants en une arme. Un genre de petit poignard. Un coup bien placé suffirait. Dans la trachée. Ou peut-être la carotide. J'attendais patiemment.
L'heure tournait. Le soir commençait à faire son apparition. Je n'avais toujours pas bougé de cette ruelle sombre. Derrière moi, une poubelle si jamais je voulais me cacher. Je voyais même un tuyau accroché au mur qui me permettrai de fuir par les toits. J'avais prévu mon coup à la perfection. C'est alors que je le vis. Ce garçon. L'air frêle. Des cheveux blancs. L'air vaguement perdu. C'était la cible parfaite. Mon corps se mit à trembler. Uniquement d'excitation cette fois. Je m'attrapai nerveusement une mèche. Rapproche-toi me disais-je sans cesse. Il s'approchait. Mon coeur battait fort. Il s'approchait. L'étreinte sur ma lame se renforçait. Il était tout proche. Un léger sourire malsain se dessinait sur mon visage. Pourtant, un sentiment étrange s'empara de moi. J'avais l'impression ... qu'il m'avait vu.