Je n'avais jamais été aussi détruit par un énième voyage à travers le temps. Cherchant à retourner vers le passé afin de retrouver mes compagnons de guilde, mon partenaire d'équipe et mes connaissances du monde, je perdais espoir jour après jour, pistes après piste. Bien que personne ne m'ait maltraité dans ce monde, quelque personnes m'ayant même très bien accueillie, je me sentais toujours de plus en plus triste... Car je refuse encore de comprendre que retourner vers le passé m'est impossible, car les dieux et la magie temporelle n'existe plus.
J'étais allé à la région du nippon popur comprendre tout de même comment fonctionne le monde, de même pour le Temple du Temps, sans succès. Il faut dire que jamais je n'aurai du m'endormir en plein milieu de l'exploration, la jeune demoiselle m'ayant portée tout le long me déposa finalement en dehors du temple dans un lieu un peu caché pour éviter que je ne me fasse attaquer. Je n'ai revu personne depuis, pas même Tiengen. J'étais donc là, sans personne, assis ssur un banc de granit dans un parc à côté de la capitale, dans un état de tristesse et d'une absence de mouvement totale, on pourrais croire que je suis mort. Mes yeux humides étaient sur le point de laisser couler leurs larmes et moi de me morfondre... J'ignore ce qui me retenait mais cela m'était très difficile à supporter... Je ne veux pas faire une croix sur mes amis... Car je ne les ai pas oublié, eux.
C'est la fin de l'après-midi. Était-il ensoleiller ou pluvieux ? Je n'en savais rien je n'étais pas sortie dehors ni n'avais jeter de coup d’œil à al fenêtre. J'étais occuper a scanner quelques livres afin d'en faire des versions numériques, histoire de mettre tout ce bazars à jour et de contourner une éventuelle perte d'information si jamais un incendie se déclarait. J'avais donc passer ma journée à scanner des livres.... et par conséquent mes oreilles bourdonnaient légèrement, le scanner faisait un de ses bruits insupportable !! Quittant le palais à une heure assez tardive, j'emportait avec moi quelques livres à retranscrire qui, bien évidement, n'était pas d'une importance capitale, sinon j'en aurais rien fait. Je comptait me rendre chez moi à pied, attendre un taxi serait bien trop long, surtout avec mon apparence, et quand bien même j'en trouverais un on me ferait payer plein pot, ainsi je prit le chemin le plus court pour quitter la ville, en coupant par le parc mais ne pue m'empêcher de voir une silhouette quelque peu anormal poser sur un banc. Enfin silhouette... au début je devais bien avouer avoir confondue ceci avec un adorable sac pour enfant, mais j'avais vite conclue que ça ne pouvais point être ça en raison de l'absence de gens dans le parc, je m’approchât donc et vit ce que je pensais être une peluche. Mais quand cette chose clignât des yeux, je sursautât légèrement réalisant que cette chose était en vie.
Hey.... hey ? Est-ce que ça va ?
Intrigué je secouait légèrement ma main devant les yeux de la créature qui me rappelait vaguement quelque chose. Mais je n'arrivais pas à mettre le doigt sur quoi? Ca ressemblait vaguement à une créature issue de la fondation Aether. Oui c'est ça... c'ets surement pour ça que c'était une peluche ou un sac à dos, il vende des goodies du genre dans ce parc pour les enfants. Mais.... que fait cette bestiole ici ? On dirait qu'elle est triste qu'elle va pleurer...
Tu t'es perdu ?
Quelle irresponsable je fais, je devrais peut-être m'en méfier plutôt si cette chose c’est vraiment échapper ?! Mais... il n'a pas vraiment l'air agressif...
Contemplant le vide, je n'avais même pas vu une main passer devant moi. Il aura fallu qu'une personne me parle pour que je me rende compte que j'étais resté longtemps comme ça.
Hey.... hey ? Est-ce que ça va ? Elle repassa sa main devant moi, et je tournais ma grosse tête dans la direction d'où venait la main. Je vis une jeune femme vêtue de gris avec une cravate aussi rouge que ses pupilles. Cependant, ceci n'était pas le plus impressionant: ses cornes étaient de loin ce qui pouvait être le plus inquiétant, ce qui me fit sursauter, d'ailleurs. Cependant, elle me regardait avec un sentiment d'inquiétude... Est-ce qu'elle sent que je suis complètement désemparé ? En même temps ce ne serait pas étonnant, je ne cherchais même pas à cacher ce qui me passait à travers l'esprit. Je secouait la tête, tout de même, pour vérifier que ce n'était pas une hallucination, mais même après cela je la voyait qui continuait à me parler. - Tu t'es perdu ?
- ... Non...
Elle me confondais surement avec un pingouin enfant qui aurait perdu sa mère dans ce monde, ce qui n'était pas complètement faux: j'avais perdu ma famille, et cela me rappelait avec douleur une nouvelle fois, d'être loin des miens. Tournant la tête de l'autre côté afin qu'elle ne me voit pas prendre un visage cramoisi, je me retenais de pleurer, ne voulant pas passer pour quelqu'un dans le besoin... En principe c'est même moi qui vient aider les gens avec mes amis... Alors pourquoi... Qu'est ce que je fais là !
Enfin, je n'allais pas m'énerver qlors que quelqu'un de manifestement sympathique vient me parler et me pose une question touchante. Je reprit une nouvelle fois mes esprits avant de lui répondre.
J'avais bien vus la réaction du... petit pingouin ?... lorsqu'il m’aperçut, un sursaut, de la crainte, dès l'instant ou il remarquât mes cornes sur ma tête et mes yeux rouges. Ce genre de réaction, c'était pas la première fois que j'avais à subir ça, je voulais éviter de faire la moue, cela serait mal placer mais on pouvait malgré tout apercevoir un léger rictus sur mon visage montrant que j'étais quelque peu... gêné par ce genre de réaction. Je ne savais pas vraiment quoi répondre ni quoi faire pour lancer la discussion. A vrais dire j'étais aussi habile qu'un manche en matière de discussion, je n'avais idée de sujet à aborder, surtout face à l'état de tristesse de la petite créature. Finalement, pour prouver ma bonne foie et le fait que j'étais loin d'être un monstre j'ouvris mon sac à bandoulière cherchant entre les livres quelque chose de bien précis que j'avais oublier de prendre durant la journée en raison de la trop grand quantité de livre a scanner. Je sortie alors de l’une d'une porche de mon sac quelque chose que je tendit au pingouin sans trop savoir si en fait, il pourrait la manger. Je lui propose une barre de chocolat extra cookie de la marque Granochoco. Je restat alors là à lui tendre et eu un sursaut et la ramenat vers moi.
Ha mince ! Suis-je bête ! L'emballage !!!!
Je n'avais pas fait attention aux faits qu'il n'avait pas de doigts ! Je me retrouvat alors à ouvrir l'emballage que... que j'arrivais pas à ouvrir ? Bon sang que je hais les ouverture facile ! Je m'en souviesn maintenant de pourquoi je ne l'ai pas manger cette fichue barre ! J'arrivais pas à enlever l'emballage ! C'était bien ma veine... Bon après quelques secondes je reussit enfin à l'enlever tendant de nouveau la barre chocolater au pingouin et disant quelque chose d'absolument ridicule qui, je doute, sois vrais...
Il... il parait que le chocolat sa redonne le moral... enfin... j'en sais rien...
Puis finalement, je réalise quelque chose de juste débile. Tout à l'heure j'avais poser des questions mais... mais j'attendais pas forcément une réponse. Attendez... ce pingouin, il me parle ?! Je parle à un pingouin ? Que ?! Quoi ?!! J'ai juste du imaginé, je crois... a moins que c’est vraiment un jouet mais mécanique. Je devrais peut-être rentré chez moi et dormir. Oui c’est ça... j'ai mal à la tête et du coup je commence à m'imaginer des choses pas du tout réaliste.
La jeune demoiselle sorti quelque chose de son sac un sorte de bâton emballé, avant de me le tendre, pour finalement le reprendre afin de l'ouvrir en y mettant beaucoup du sien. je me demandais ce qu'elle voulait, aussi j'étais plus attentif à elle, laissant légèrement de côté ma peine et laissant place à la curiosité. Finalement, elle parvint à l'ouvrir, et me retendit à nouveau le contenu, à savoir une barre chocolaté. Elle était sacrément gentille pour m'offrir quelque chose, bien que cela devait plus être de la pitié qu'autre chose. Il... il parait que le chocolat sa redonne le moral... enfin... j'en sais rien...
C'est surtout que ce genre de chose donne faim, même à moi qui sent mon estomac crier famine. Je n'avais pas beaucoup mangé depuis de nombreuses heures, et quiconque connait mon appétit sait que même le sentiment le plus triste ne m'empêcherai pas d'avoir faim. Je saisis le bâton, le regardant fixement avant de regarder la demoiselle à corne.
- .. Merci .
Je cassais la barre en deux avant de commencer à grignoter l'un des bouts. Le goût était vraiment bon, au point même de complètement m'absorber dans une activité gastronomique. Prenant mon temps pour savourer le tout, je regardais de nouveau la fille, avant de lui tendre le deuxième bout de chocolat. Après tout, c'est bien à elle, non ? J'ignore la tête que je devais avoir face à elle, sachant que j'avais déjà le bec plein. Après avoir fini de mastiquer et d'avaler, je me sentis mieux dans mon ventre, quand l'appétit va, tout va !
- C'était vraiment bon, merci !
Lui dis-je en souriant, les yeux fermés montrant que j'étais satisfait et que ça allait bien mieux. J'eu d'ailleurs une petite étincelle dans mon regard, avant de fouiller dans mon sac pour y trouver une pomme. Pas une pomme parfaite, car j'avais déjà épuiisé le stock, mais une pomme mure, bien sucrée comme il faut. Je lui tendis le fruit en remerciement, avant de me redresser et de poursuivre la discussion. - Je m'appelle Tiplouf, ou du moins, mes amis m'appelaient comme ça. Et toi ?
M'exclamais-je ne voyant le dénommer Tiplouf sourire. Je l'écoutais intriguer, tout en étant rassurer de voir qu'il était capable d'un sourire. On aurait dit une peluche à prendre dans les bras et son appétit semblait ne jamais pouvoir se tarir. Je fis un léger signe de la main pour lui expliquer qu'il pouvait garder la barre en entier, quand bien même il insistât pour que je prenne une pomme que j’acceptai par politesse.
-Ha.. Merci !
Je me mis alors à mon tour à sourire et me permis de doucement m’asseoir sur le banc, quand bien même il risquerait de faire nuit, quand je rentrerais au village, si je m’attardais trop longtemps. Si je savais voler au pire, peut-être que ça serait plus rapide, mais je n'ai jamais été capable de battre des ailes de manière très coordonner.
Je croquât finalement dans sa pomme, douce et sucré, j'en avais rarement goûté d'aussi bonne. Elle était savoureuse et on aurait crus que chaque bouchée fondait dans la bouche.
Elle est vraiment bonne !
Quand le petit être évoquât ses amis au passé, je crus comprendre quel était la source de sa tristesse. la solitude, pour qu'il laisse échapper ce genre de détail c’est que c'était surement ça qui le rongeait. Mais l'idée que la fondation Aether aurait pu laisser s'échapper ce petit Tiplouf, et le fait qu'il parlait m'interrogeait qu'au final je me demandais si il n'était pas...
Appelaient ? Viendrais-tu alors... hmm... de l'ancien monde ? Sortirais-tu de la Pandorica ? Excuse moi pour cette question...
Nous étions tout deux à manger ce que l'un a offert à l'autre. Elle venait de refuser de reprendre le chocolat, prenant la pomme à la place, dont elle trouva le goût tout sucré et raffraichissant, ça se voyait sur son visage. Sa phrase ne fit que confirmer ce que je sentais, ce qui n'est pas pour me déplaire !
La nuit commençait à tomber, mais au moins je n'était pas seul, bien que cette personne ne doive surement rentrer chez elle bientôt. Je n'allais pas faire la remarque, après tout elle n'a pas l'air pressée, et puis j'avoue que ça me fait du bien de partager un bon moment avec quelqu'un. Quelques instants plus tard, après avoir fini notre petite collation, la jeune femme - dont je ne remarque les ailes que depuis qu'elle s'est assise auprès de moi - me posa une question pour le moins assez déroutante.
- Appelaient ? Viendrais-tu alors... hmm... de l'ancien monde ? Sortirais-tu de la Pandorica ? Excuse moi pour cette question...
Ah, elle avait fait mouche. En même temps moi-même je ne connaissais pas mon nom, ayant perdu ma mémoire il y a de nombreuses années sans compter mes voyages temporels. Elle n'avait pas à s'excuser, le fait de pouvoir discuter de ça avec quelqu'un me rassurait, tout garder pour soi... Cela devient trop lourd à force.
- Il n'y a pas de mal à poser cette question, et oui. Je viens de Nintendo World, plus précisément de Bourg-Trésor, une ville entièrement peuplée de Pokémon. C'est pour ça que je ne suis plus avec mes amis, car j'ai été balladé pour la deuxième fois vers le futur, ça commencer à faire beaucoup... Sans possibilité de retourner en arrière, cette fois. Pour ça que je fais un petit tour de ce monde, trouver des informations sur la Pandorica et les raisons de mon voyage... Et je n'ai pas eu d'indices concluants.
En effet, la seule information que j'avais, c'était que certaines personnes étaient peut-être passées par la Pandorica pour accéder à ce monde, mais toutes ont du partir, comme par hasard. Peut-être devrais-je me poser un peu afin de prendre un peu plus de recul et éviter de me retrouver avec des problèmes d'installation dans ce monde. Aussi, à cause du physique de mon interlocutrice, je posait à mon tour ma petite question.
- Et toi, tu viens de la Pandorica ou tu es née ici ?
Ha voilà donc ce que c'était ! Un Pokémon... rien d'étonnant à ce qui ressemble aux créatures du centre de recherche Aether. Mais dans ce monde qui le notre. Les pokémons avaient à l'origine... disparu. J’évitai alors de mentionner cela, me contentant seulement d'écouter tout en m'efforcer de garder de côté ma rancœur pour les héros. Cette rancœur oui... depuis la mort de Maniwa j'en voulais presque au monde entier, mais je pouvais pas en vouloir au dénommer Tiplouf, il ne faisait pas partit des meurtriers ayant arracher la vie de nombreuses personnes sur la grande place le jour de l’exécution. Cependant, sa question était drôle, il vallait mieux en rire plutôt qu'en être vexé. Il me prenait, ainsi donc, lui aussi pour une héroïne, je rait légèrement, secouant la tête et la main en même temps.
Moi ? Ho non pas du tout ! Je ne sais pas faire de magie et je me défend comme un manche, ça risque pas ! Je suis, juste née comme je suis.
En voyant le ciel devenir de plus en plus sombre, je reprit mon sérieux, regardant le pokémon du coin de l’œil tout en soupirant.
Tu compte rester là ? C'est que je dois bientôt rentré, il commence à se faire tard... et je devrais déjà être sur le chemin depuis le temps...
Moi ? Ho non pas du tout ! Je ne sais pas faire de magie et je me défend comme un manche, ça risque pas ! Je suis, juste née comme je suis. - Ah euh... Désolé, je n'ai pas vraiment l'habitude de ce monde, je ne croisais presque que des humains normaux ou des héros... C'est intéressant !
Basculant ma tête vers l'arrière histoire de me coller au banc et voir le ciel, je m'aperçu qu'il s'était passé pas mal de temps entre mon arrivée et le moment présent. Il commençait à faire bien sombre, ce que Unasarera remarqua elle aussi avant de m'en parler. Tu compte rester là ? C'est que je dois bientôt rentré, il commence à se faire tard... et je devrais déjà être sur le chemin depuis le temps...
- Non pas vraiment, mais vu que je n'ai rien à faire, je peux t'accompagner si tu veux ! Je ne sais pas trop où elle va, mais quitte à faire quelque chose, autant que ce soit avec quelqu'un de gentil et qui vient de m'aider, et puis si jamais on veut se revoir, que je n'ait pas à galérer pour retrouver mon chemin ! Descendant du banc, je faisait d'un coup bien plus petit par rapport à elle.... Vraiment plus petit... Dire que j'ai été humain avant, je ne me rappelle plus de ce que c'est !
m'exclamais-je en souriant. L'attention et la proposition était fort sympathique c'est vrais mais dès qu'il descendit, je me rendit compte à quel point il était "petit". Durant un cours instant, j'eu de la peine, me disant à qu'elle point il devait se sentir si seul dans un monde inconnu, qui, depuis son point de vus devait lui sembler tellement vaste. Il était facilement de hair les héros perturbateur tout comme il l'était encore plus de se sentir désolé pour ceux qui, impuissant et mal vus était perdu en ce monde. C'était comme moi dans le fond, j'étais perdue depuis la perte de celui que j'aimais, et nul d'autre que certains devait être couper de ceux qu'ils aimaient.
Doucement, je m'accroupissais, tendant les bras vers lui, et l'invitant ainsi à monter pour ne pas qu'il soit derrière lorsque nous marcherons sur le chemin vers ma maison. Le laisser au sol me semblait mal placer, il aurait surement du mal à suivre alors je me disais que je n'étais plus à un sac près et que je pourrais bien porter Tiplouf dans mes bras tout en gardant mon sac en utilisant simplement la bandoulière pour le porter sur mon épaule.
Si tu veux... tu peux venir dans mes bras ? Ca... ca ne me dérange pas et puis comme ça... tu n'as pas à te forcer à marcher à mon rythme...
Et puis oui c'était vrais, je risquais surement de marcher vite malgré moi, j'étais pressée d'être chez moi, de me faire à manger et de dîner. Et puis le temps commençait à se rafraîchir. Quand enfin il s’incrustât dans mes bras, je me relevât, commençant déjà à marcher.
Ca va ? Ce n'est pas trop inconfortable ? Du moins... je ne serre pas trop fort ?
Peut-être que j'en faisais trop, mais en raison de certains ouvrages anciens que je devais manipuler, j'avais cette manie à toujours faire très attention à ce que je faisais et prenait dans les mains. Certaines pages de certains livres sont si fragiles avec le temps qu'elle patterait presque en lambeau dans les mains. Néanmoins, dans mes bras on aurait vraiment dit que c'était une peluche. Et au moins, j'avais de la compagnie le temps de la route jusqu’à chez moi.
Si tu veux... tu peux venir dans mes bras ? Ca... ca ne me dérange pas et puis comme ça... tu n'as pas à te forcer à marcher à mon rythme...
Elle venait de remarquer elle aussi le petit grand problème de taille. C'est alors qu'elle me proposa de rentrer dans ses bras afin qu'elle me porte, histoire d'éviter de me fatiguer et d'aller à une bonne vitesse. J'acceptais sans hésiter, me jetant littéralement dans ses bras, collant ma tête sur son avant-bras ma foi très confortable... Et tout chaud.... ah.... Je ne regrette pas ce choix ^w^ ! Unasarera se mit donc en marche avec un petit pokémon pingouin, nul autre que moi. Elle me demanda si elle n'était pas trop inconfortable ou si elle ne me serrai pas trop fort, je lui répondit que c'était par-fait. Sauf que cette fois je n'allait pas piquer un somme, j'allais plutôt observer dehors depuis un meilleur point de vue que du béton.
Bercé par la marche, sa gentillesse et sa douceur à mon égard, je me demandais aussi comment je pourrais la remercier autrement qu'en disant "merci", après tout j'ai l'impression de profiter un peu... Mais c'est si bon ses bras.... Enfin bref. Au bout de quelque instants, je reprit la discussion, tournant ma tête vers la sienne.
- Au fait, je suis explorateur, et toi ? Tu as une occupation ou un travail ? Ce monde m'a l'air si organisé et j'ai même l'impression que presque tout est déjà connu... Cette question que je posais assez naturellement était aussi une réflexion que je me faisais sur ce monde... Ils n'ont pas l'air d'avoir de guilde d'explorateurs, ni de donjons à visiter... On dirait vraiment qu'ils connaissent presque tout sur tout, c'est fascinant... Et je me demande qu'est-ce que je vais pouvoir faire si je ne peut pas miser sur mon travail habituel...
Ha mon travail... Voilà quelque chose d'asse embêtant. Je ne savais pas si il était vraiment bon de dire quel était mon travail au dénommé Tiplouf, il sortait de la Pandorica après tout. Peut-être que savoir ce que je faisais tous les jours lui déplairais, pensive, tout en continuant de marcher je réfléchissais à une réponse, mais il fallait que je réponde vite, sinon il risquait d'être un peu trop intriguer. Mais comment pouvais-je répondre à cette question ?
-Ha... ce que je fait dans ma vie de tous les jours... hmm.. et bien... disons que je m'intéresse aux vieux livres... et également à l'histoire. J'ai la chance de faire un métier qui me convient parfaitement mais.... je n'ai pas pour autant envie d'ne parler. J'ai... j'ai eu une mauvaise journée. Du moins... enfin ce n'est pas une très bonne période en ce moment là ou je "travaille". Excuse moi de ne pas en vouloir dire plus....
Plutôt que de rien dire ou de réfléchir trop longtemps, je répondit finalement à la question, vaguement bien évidement et ce volontairement. Et puis... malgré tout il y avait une part de vérité dans mes paroles. Avec l'accident de l’exécution, tout était fade, froid et sans saveur. La gaieté avait quitter les couloirs de la grande bibliothèque d'Horuna pour ne laisser place qu'a un silence des plus glacials.
Le paysage changeait petit à petit, devenant moins urbain alors qu'on entamait déjà quelques routes de campagne, au loin se dessinait petit à petit un village qui semblait isoler. Il y avait malgré tout des poteaux téléphonique sur la route et un peu de bitume, mais les grattes ciels, les écrans lumineux, et le nuage de la pollution des voitures ne faisait déjà plus parti du décor.
Ha... ce que je fait dans ma vie de tous les jours... hmm.. et bien... disons que je m'intéresse aux vieux livres... et également à l'histoire. J'ai la chance de faire un métier qui me convient parfaitement mais.... je n'ai pas pour autant envie d'ne parler. J'ai... j'ai eu une mauvaise journée. Du moins... enfin ce n'est pas une très bonne période en ce moment là ou je "travaille". Excuse moi de ne pas en vouloir dire plus....
Je vois, j'imagine que ça ne doit pas être trépidant tous les jours. Si ça peut te remonter le moral, dans le mien non plus ce n'est pas toujours la joie, mais il y a parfois de grande récompense, comme un paysage magnifique ou des trésors somptueux... Peut-être qu'il y a des récits de ma guilde dans ce monde.
Cela pourrait en effet être intéressant si j'avais l'accès à une bibliothèque quelconque renfermant éventuellement des légendes à notre sujet, à moins qu'elle ne soit un peu trop loin de la réalité. En tout cas, j'étais content de quitter la ville, son béton, le bruit et les odeurs gênantes pour une route bien plus calme et paisible, toujours dans les bras de ma nouvelle amie. J'en profitait donc pour observer les alentours, admirant ce que la nature était devenue depuis le dernier millénaire passé, bien que quelque structures natives aient pas mal détériorée la surface... Enfin, je suppose que c'est parce que les besoins ne sont pas les mêmes et que la période d'exploration n'est plus. Me blottissant un peu plus dans ses bras, j'observais le village qui approchait lentement mais surement. Il avait l'air bien plus calme et relaxant que les grandes villes auxquelles je suis confronté en grande partie... C'est peut-être mieux ainsi, cela m'évitera de me faire piétiner en permanence... Et je serai à deux pas de la forêt pour aller me chercher des baies, parfait !
Peut-être... il y a beaucoup de récits, concernant de nombreux héros, certains sont faux et d'autres sont peut-être vrais...
Alors que je continuais à avancer, il faisait d eplus en plus sombre, mais la lumière des premiers lampadaire d ela ville éclairait le chemin, ainsi je n'étais plus très loin. Personne n'était dehors à cette heure ci, et d'un autre côté "heureusement". Ce petit village était assez remonter envers les héros alors si on me voyait arriver avec le dénommé "Tiplouf" dans mes bras. D'ailleurs, je me demandais si c'était une bonne idée de le condurie jusque ici. Peut-être qu'il valait mieux le prévenir de suite de la situation.
On dirait que personne n'est dehors à cette heure-ci. Hmmm... Je dois t'avouer quelque chose. Les... les héros ne sont pas très bien vus dans mon village... peut-être n'es tu pas au courant, mais certains ont attaquer la grande place de la grande cité. Mais.... bien évidement je suis sure et certaine que tu ne fait pas parti de ces derniers mais.... juste je tenais à t'en informer...
J’apercevais ma maison au loin. Elle était assez petite, en même temps, j'y vivais seule alors avoir une maison trop grande me serait d’aucune utilité, mais elle était malgré tout d’une taille assez raisonnable. J'essayais de saisir mes clefs dans mon sac en tendant les doigts mais avec Tiplouf dans mes bras j'étais bien encombrer, alors que j'étais au seuil de ma porte je baissat la tête un moment, l'observant et m'interrogeant sur une chose.
Les historiens de ce monde sont donc eux aussi en proie aux incertitudes sur nous... Interessant mais cela ne m'aidera pas forcément donc. Je peux toujours y jeter un coup d'oeil si c'est possible... et dans de meilleures circonstances car nous sommes mal vu depuis quelque chose... Ce fut après quelques minutes encore que l'éclairage des lampadaires contrastèrent enfin avec la nuit qui tombe. Je pouvais sentir d'ailleurs Unasarera se sentir un peu mieux. A l'entrée du village, ma foi assez simple, ma nouvelle amie s'arrêta de marcher avant de me parler sur un ton qui se voulait être rassurant et préventif à la fois.
On dirait que personne n'est dehors à cette heure-ci. Hmmm... Je dois t'avouer quelque chose. Les... les héros ne sont pas très bien vus dans mon village... peut-être n'es tu pas au courant, mais certains ont attaquer la grande place de la grande cité. Mais.... bien évidement je suis sure et certaine que tu ne fait pas parti de ces derniers mais.... juste je tenais à t'en informer... Des héros ont attaqués la cité ? Mais... Mais qui ? Combien ? Pourquoi ? C'est complètement stupide ! Pourquoi attaquer notre nouveau monde, même si celui-ci n'est pas ce que l'on aurait voulu ? Même si vous perdez vos amis pendant plus ou moins longtemps et que vous y perdez vos repères ? Je... Je ne comprends pas. Sont-ils plutôt de mauvais "héros" ? Peut-être que les livres m'apporteront la réponse par rapport à leurs actions passées. Je veux en avoir le coeur net. Me tournant vers le haut, je l'observais un peu avant de répondre en hochant la tête. - Je comprends. Je serai prudent et je ne causerai aucun problème, ce n'est pas dans mes habitudes !
Nous arrivions finalement devant chez elle. Vu qu'elle avait du mal à fouiller dans mon sac, je me laissais tomber au sol légèrement sur le ventre avant de me relever sans mal. Je regardais la maison, puis la forêt à côté. Je pense qu'il est temps d'aller lui souhaiter une bonne nuit et d'aller faire dodo sur l'arb..-
As-tu un endroit ou aller ?
Mmmmh, oui, je vois la petite forêt à quelque dizaine de metres, je pense aller dormir sur ce chêne. Luis répondis-je en pointant celui-ci de mon aile.
- On se revoit demain ? En tout cas je suis cotent de t'avoir rencontré !