Pour tuez le temps, la vampire prenait tout son temps. Planant dans les airs au ras du sol, elle comptait les pancartes qui interdisait à quiconque d'entrée dans la forêt qui était dite maudite. Chaque panneau mettait en garde chaque personne qui verrait ces lignes inscrites sur ces pancartes. Mais la vampire n'en avait que faire des règles, bien au contraire l'idée de ce rendre dans un endroit dit dangereux semblait beaucoup l'amuser. Elle se demandais bien ce que pouvais bien lui vouloir le misérable hérisson noir très peu partageur, mais elle était quelque peux amuser de l'endroit choisis pas ses soins. Il lui avait demander d'être ici, dans cette forêt, mais à quelle heure ? Ca la vampire ne s'ne rappelais pas; En retard ou en avance ? Qu'importe si elle était en retard, elle trouverais bien une excuse tout droit sortie de son imagination d'enfant.
S'enfonçant chaque minute un peu plus, la vampire s'arrêtat et sursautat d'excitation. Des os ! Un crâne ! Un cadavre ! Tout plein de squelette dénuer de toute chaire ! Amusée, la gamine aux ailes prismatiques ne pue s'empêcher de saisir l'un des cadavres et d'aller se balader avec. Allez savoir pourquoi, mais dans ses yeux, ses choses macabres semblaient être semblable à d'adorable petite peluche. Alors qu'elle continuait de se ballader dans la forêt maudite sans croiser l'ombre d'âme qui vive, la vampire tentait de tuer le temps en parlant à son nouvelle ami, car bien évidement, à cette profondeur de forêt, personne n'avait oser mettre une pancarte après le nombre incroyable d'avertissement qu'il y avait avant de réellement entré en ces lieux maudit. Déjà datiguer par sa marche. La vampire décidat de s'assoir sur un rocher, le petit cadavre de ce qui semblait être un enfant qui c'était perdu dans ses bois sur ces genoux.
-Hey ! Hey ! Tu sais quelle heure il est toi ? Tu n'aurais pas croiser un hérisson noir ?
La vampire débutât alors un petit monologue et s’arrêtât brusquement, ses yeux s'assombrissant, pourquoi elle faisait ça ? Ce misérable tas d'os comme tout les autres n'allaient jamais lui répondre. Ce n'était pas une question d'être mort ou vivant pour la vampire. Non... la gamine voyait plus ça comme un fait général que tout les squelettes et cadavre était fort malpoli et fort silencieux. Sinon, à quoi bon servirait le dicton "Les morts de mente pas" Si il ne mente pas, ils savent parler non ?
Dégoutté de ne point avoir de réponse, la vampire jetât le cadavre contre un arbre et le regardât voler en éclat, tout les os se brisèrent sauf le crane qui roulât jusqu’à ces pieds et que la vampire ne pue s'empêcher de prendre à nouveau pour le caresser.
-Rho... je sais.... mais faut pas me faire ces yeux là.... c'est pas ma faute après tout si tu es malpolit... allez chante, je veux que tu chante !
Le prince des cauchemars marchait, inlassablement et sans s’arreter, la main gauche dans sa poche de jean noir alors que sa veste légèrement arracher flottait doucement sous la brise du vent macabre, ses grandes bottes foulait le sol boueux de la foret squelette, l'aura cauchemardesque du hérisson noir semblait laisser une traînée noir derrière lui, une sensation de mal être voir de peur se dégageait autours de lui qui ne cessait malgré tout de marcher.
Habituer a ses voix, a ses cris, a ses murmure cauchemardesque qui se mêlaient a la psychose de Nightmare, ce dernier ressentait une pointe de tristesse en ce moment, sans vraiment savoir pourquoi sa le prenait maintenant, ses pas devenait de plus en plus lourd, s’arrêtant un court moment en se posant contre une souche morte, plus le temps passait et plus c’était dur pour lui, cette psychose qui le tourmentait, ces cauchemars qui le hantait, bien que Prince et maître de ces dernier il n’empêche que c’était un réel supplice pour lui de vivre ainsi, prisonnier depuis des décennies dans une prison psychologique infinie, une torture éternel sans réel raison ni justice, son monde mental était écrouler depuis bien longtemps et toutes ces tentative pour se reconstruire c’était solder par un échec et une retomber plus intense. Se redressant tant bien que mal, Nightmare continua d'avancer, il avait convoqué Flandre ici pour une raison particulière.
Continuant d'avancer il finit par la trouver, devant un crane cette dernière lui parlait de manière tout a fait innocente... innocente...son cœur lui faisait souffrir, les murmures se répétaient encore et encore, sous entendant des idée malsaine et lugubre dans un fond sonore macabre qui avait commencer il y a tellement longtemps que le hérisson noirs ne se rappelait même plus de ce que c'etait que vivre normalement sans être posséder par ces sentiments cruel et malsain. Quand Flandre se retourna pour fixer le hérisson ce dernier finit par craquer, tombant a genou contre le sol boueux, Nightmare laissa ses larmes coulé inlassablement le long de ses poils noirs, lui qui était si fort, qui se battait encore et toujours pour voir un jours le monde idéal dominé par ses pouvoirs afin d'affirmé un monde vraiment parfait, le hérisson noir avait toujours sut tenir en particulier grâce a Snow, pourtant la il était trop dur de continuer. Pendant de longue minute Night resta la, a verser ses larmes contre le sol puis une fois calmé il s'asseya par terre, levant la tête pour fixer le ciel couvert par les arbres et annonça.
-"Co...Comment fait tu Flandre ? J'ai découvert ce qu'il t'es arrivé il y a des centaines d'année de cela... ton enfermement... toutes ces années de solitudes et d'exils... comment fait tu pour malgré tout gardé cette innocence et ce coté bon enfant....Cela vas bientot faire 60 ans que je suis enfermer... 60 ans ou je suis prisonnier de moi même, de ces voix qui me hante et me consume petit a petit... pourtant quand je voit comment tu est je ne peut que me demander... comment tient tu ?"
Elle avait doucement tourner la tête en direction du hérisson qui était au sol et dont le regard était river vers le ciel. Les yeux de la vampire cependant semblait soudainement être devenus dénuer de toute sentiment, de toute expression, de toute étincelle de vie. Ce n'était guère un sujet de conversation à parler avec elle. Il s'agissait même d'un sujet extrêmement délicat et qui pouvait vite tourner au drame. Son rien dire de plus elle fixa un certain moment le hérisson comme si elle avait été vexer par ses paroles, ou comme si elle se demandait quoi répondre à pareil question qu'on ne lui avait jamais poser avant. Du moins, personne n'avait oser réellement lui poser ses questions de face, et jamais il ne lui était arriver d'avoir une conversation aussi sérieuse.
-Je... je n'ai pas envie d'en parler...
Il avait suffit d'un rien pour que le sourie de la vampire sois effacer. Baissant lentement la tête et ramenant le crane contre sa poitrine et ses jambes vers elle, elle fermât lentement les yeux en serrant très fort contre elle l'objet entre ses mains qui commençait doucement à se craqueler. Le hérisson noir devait être fort égoïste pour croire que la vampire n'était point tourmenter par ses souvenirs, d'autant plus que ces paroles soudaines avaient totalement chambouler la vampire qui se posait des centaines de questions à propos de comment le hérisson avait-il put être au courant de ce fragment de son passé. Alors qu'elle restait dans sa position, semblant ne pas vouloir réagir plus que ça tout en continuant à ce montrer froide face à l'hérisson malgré les larmes qu'il avait verser, elle décidât finalement de briser le silence.
-Si Flandre sourit... c'est car Flandre est contente de pouvoir jouer dehors. Si Flandre est triste... c'est car elle ne peux pas voler, c’est car elle est enchaîner elle aussi. Des meurtres, des naissances, des disparitions, des tremblements... il se passe tellement de chose. Tellement de temps perdu. On m'a dit que c'était pour mon bien, mais un murmure à l'oreille me dit bien souvent que tout cela n'est que mensonge. Tout au fond.. tout au fond de moi résonne en écho ma colère, un hurlement qui me pousse à la détester. Pourtant Flandre aime Onee-sama, car si Flandre se mettait à la détester, qui aimerait Flandre ? Pourtant sois-disant ces douces paroles sont un mensonge... mais j'ose espéré que tout ce qu'elle me dit est vrais. Pourtant.... elle n'est pas là Onee-sama... non.... elle est jamais la....
Restant dans sa position, le crâne continuait de craquer, comme si la tension de la vampire ne faisait que monter à petit feu. Doucement, une lame germât de ses yeux et dégoulinât sur sa joue, camouflée derrière ses cheveux blond comme le blé, qui eux tombaient sur son visage baisser en direction du sol.
-Je... je crois en quelqu'un, je crois en Onee-sama.... je l'aime... et je la déteste.... Flandre ne sait pas pourquoi elle est comme ça. Flandre est juste comme ça et c'est tout... Si c'était vraiment pour mon bien... j je ne devrais pas la détester... non il ne faut pas...
Doucement, la vampire relevât la tête, essuyant rapidement les quelques larmes qui avait commencer à couler d'un geste vif et à la fois frêle de la main. Elle posât de nouveau son regard rouge sang sur le hérisson noir, le regardant droit dans les yeux alors qu'il avait contempler le ciel étoilé.
-Je retire ce que j'ai dit... tes yeux ils brillent... ils brillent du même éclat que la lune.... le rouge est agréable à voir... mais la lune... elle l'est bien plus encore... Mais... pourquoi Nightmare pleure alors que quelqu'un l'aime .... alors que quelqu'un est prêt à être à ses côtés... Onee-sama ma toujours laisser seule elle....
Nightmare s’était donc tromper, voyant la réaction de Flandre quand le Prince des Cauchemars lui rappela son enferment cette dernière perdit toute sa joie pour s'enfoncer dans une profonde mélancolie, serrant fortement le crane dans ses mains tout en lançant des regards noirs a l'Avatar des Cauchemars. Expliquant de manière assez mystérieuse pourquoi elle était ainsi, Night compris rapidement qu'elle se sentait profondément seul et que même sa sœur envers qui elle avait beaucoup d'estime semblait être également le source de ses fléaux, ressentant par conséquent un mélange d'haine et d'amour pour cette fameuse sœur, petit a petit le regard chargé de haine de Flandre s’adoucissa, ne réussissant pas a voir ses larmes a cause de son handicap visuel, Nightmare écouta la question de cette derniere, ainsi tout deux enviait l'autre en pensant qu'il possédait ce qu'il leurs manquait, Flandre voulait être aimé comme Nightmare et Nightmare voulant être aussi fort que Flandre, tout deux n'imaginait pas la douleurs et le traumatisme de l'autre.
-"C'est vrais...Snow m'aime... Pourtant il est trop tard, moi aussi le monde m'a abandonné, moi aussi j'ai était enfermer pendant des année, certes pas pendant des centaine d'année mais pendant plus d'un demie siècle j'ai était enfermer, torturé, manipulé, oublié.... Avant j'était une belle et jeune hérissonne et maintenant.... regarde moi, je ne suis même plus l'ombre de moi-même. Mon esprit est malade, mon corp et corrompue, ses voix me hante sans cesse et ces cauchemars bien que puissant me torture sans cesse.... c'est vrais je suis aimé, c'est vrais je ne suis pas seul.... et justement... ils sont trop nombreux en moi a hurler, a pleurer, a me reprocher leurs vie, a me rappeler mes pire secondes, mes pires moments." Prenant une courte pause, Night fixait le visage de Flandre, ne voyant plus que deux orifice blanc au dessus d'une bouche maculéé servant de lumière dans l'ombre vampirique de son interlocutrice, reprenant son souffle troublé par ses sentiments et ses larmes récentes, Le Prince des cauchemars termina son monologue.
-"J'ai servit d’expérience a un fou furieux qui voulait crée un être parfait, on m'a voler ma sexualité, je suis passer de femme a hermaphrodite, on a ouvert mon corps et fait vivre des supplice au nom de la science et pourtant ce n’était pas suffisant, on m'a voler ma raison, on a voler mon équilibre mental, on a même voler mon âme pour la donner a un cadavre, ces yeux brillant trahisse la perte de mon âme, de mes sentiments, de tout ce qui me faisait vivre autrefois, je ne suis qu'un corps maintenant en vie que par mes pouvoirs, et comme si ce n’était pas assez j'ai perdu la vue, je suis condamnée a vivre dans le royaume des ombres, c'est trés dur a expliquer ces paroles que j'entend, le mieux c'est de le vivre pour le comprendre, Snow m'aime.... mais moi je ne peut pas l'aimer, je le voudrais mais pourtant mon coeur n'arrive pas a ressentir de sentiment pour elle... "
S'approchant de Flandre il posa doucement sa main sur son épaule, sans désir de lui faire du mal, les cauchemars l’enveloppèrent et quasi-immédiatement des voix l'assaillirent, des cris, des pleures, des lamentation, des voix qui la suppliait de l'aider et derriere tout sa une voix froide et cruel s'amusait a lui rappelais sa douleurs durant les 100 ans d'enfermement de Scarlet, lui donnant des flashback et lui disant que sa peine était mérité, Nightmare se dépécha de retirer sa main pour ne pas lui faire endurer son supplice plus longtemps.
Une peine méritée... Des paroles cruelles et qui trompaient sur tout les angles. Le nombre d'années, la raison de cette souffrance, le commencement de cet enfer. Alors que l'hérisson noir retirait sa main, la vampire hurlât, levant le visage au ciel et le crâne entre ses mains explosant instantanément, les éclats volant dans les airs et les broussailles.
-C'EST FAUX !! C’EST UN MENSONGE ! C'EST PAS VRAIS CE N'EST PAS MA FAUTE !!! CE N'EST PAS MA FAUTE !!!
Lentement la vampire baissât la tête, les mains crisper et tremblante qui tenaient dorénavant plus aucun objet. Doucement, ses mains se posèrent sur ses bras où elle commençait à s'y enfoncer ses ongles, comme si elle se griffait elle même. Malgré que la vampire avait toujours vécue dans un mensonge, dans les mensonges de sa sœur, dans les mensonges de tout le monde, elle savait néanmoins que les voix qui l'avaient frapper, à l'instant où l'être cauchemardesque l'avait toucher, mentaient. Elles mentaient toute sans exception à moins qu'en réalité c'était la vampire qui se mentait elle même. Mais même si c'était le cas, elle s'en rendait probablement pas compte.
-Ce n'est pas... ma faute... ce n'est pas ma faute si je suis née vampire.... Sa me rend folle... tout comme vous ils sont venus ces infâmes, ils m'ont détruit, ils nous ont attaquer moi et ma sœur en décrétant que c'était au nom du bien, au nom de la lumière... CE N'EST PAS MA FAUTE C'EST LA LEUR !!!! Ton monde est fait de mensonge ! Elles mentent, elles ont tord ! Ce.. ce n'est pas... ma faute....
Petit à petit, la vampire repris ses esprit et se calmât doucement réfléchissant à ce qu'avait dit l'hérisson. "moi je ne peut pas l'aimer". Doucement, la vampire regardât les grand yeux vide de l'hérisson noir.
-Flandre se met facilement en colère... mais si je suis extrêmement en colère c'est à cause de ma soeur. Si Snow te faisait du mal... toi aussi tu ne serais pas simplement en colère... tu serait furieusement en colère.... parce que comme moi... c'est car tu l'aime. Onee-sama je la déteste parce que je l'aime... Du coup, Flandre se dit que même si son coeur lui fait mal, il marche encore, car sans lui je ne pourrais pas la déteste autant, je ne pourrais pas l'aimer autant... J'aime pas sœur sans le savoir... mais je suis sure que je l'aime.. sinon je ne serais pas aussi furieuse que ça pour ce qu'elle m'a fait pas vrais ? La seule chose qui nous différencie.. c'est que toi... Snow elle t'aime....
Doucement la vampire baissat la tête, affichant un sourire quelque peu étrange. C'était pas un sourrire heureux, on aurait plutôt dit qu'elle était triste malgré tout.
-J'en serais presque jalouse... j'aurais aimer passer juste 60ans dans ma cave plutôt que 495années... j'aurais aimé trouver quelqu'un qui m'apprécier et me ressemble.... J'aurais aimer pouvoir me rappeler aussi bien que toi de ce qui m'est arriver à moi... Je sais juste que c'est de la faute des humains... Avoir oublier ou tout le temps s'en rappeler, qu'est ce qui est mieux...
Doucement, le sourire triste de la vampire semblait s'emplir d'une joie malsaine. Elle éclatât alors de rire sans aucune réelle raison évidente des larmes aux yeux mais une immense joie semblant parcourir son visage.
-Mais Flandre est dehors maintenant ! Flandre est dehors ! Pourquoi parler du passer Kyahahaha ! Je peux faire ce que je veux maintenant ! Je peux jouer autant que je veux !~ Je suis heureuse ! Je ne peux pas être triste ! Je suis heureuse, je peus voler là où je veux ! Je peux faire ce que je veux ! Je ne suis plus enfermée ! Je ne suis plus attachée ! Pourquoi ! Pourquoi tu ne sourrirais pas avec moi ? Toi aussi tu es dehors ! Il fait si beau dehors ! La brise de la liberté ! Mais Flandre sera plus que contente le jour où elle verra son premier arc-en-ciel ! Il fait noir pour toi, mais sens donc ce courant d'air si agréable ! Cette brise qui apporte les parfums morbide et macabre de cette forêt ! La mort, le sang, les fleurs, les pommes et le miel !!!
Flandre voletat dans les airs, riant de joies, elle semblait avoir céder mentalement à cette discussion qui dans le fond devait surement lui faire du mal. Elle riait au éclat faisant semblant de ne pas être tourmenter, expriment à sa manière sa joie d'être en liberté. Elle voulait voir un arc-en-ciel.. elle voulait créer un arc-en-ciel... elle voulait peindre un arc-en-ciel à sept teinte de rouge différent...
Les cauchemars... Issue de la peur de tout les êtres vivants les cauchemars vivent au travers les sentiments sombre de chaqu'un, trouvant leurs destinée non seulement dans la peu mais aussi dans l'angoisse, dans la colère, dans le regrets, et bien plus encore, véritable spectre de chaqu'un, les cauchemars vous hante quand vous les rejetez et vous absorbe quand vous perdez pied avec cette réalité dont vous êtes tant attacher, dansant sur une symphonie morbide, les cauchemars tournoie autours de leurs maîtres inlassable et imperturbable, ces dernier bien qu'avoir attaquer la vampire, semblent désormais reposer et satisfait de leurs exploit pourtant peu inhabituel. Le Seigneurs noirs quand a lui, le visage perturbée, ne sachant pourquoi ce monde sombre et tortueux lui fut apporté, ne pouvait qu'écouter les hurlements de rage et de tristesse de son interlocutrice écarlate. Ne pouvant acquiescer les termes pourtant si paradoxal de Flandre, le cauchemar incarnée ne put que soupirer, non pas de lassitude bien au contraire ! Un soupire de mépris vis a vis de ses créature indocile qui ne semblait plus vouloirs rester a leurs places. Décidément bien que le hérisson souhaitait juste faire entrevoir son monde a ce compagnon voila que ces derniers étaient aller trop loins la poussant jusque dans les méandre de ses propres conflit intérieur comme pour seul désir de détruire une psychologie inconnue.
-"Nos mondes et nos vie sont différente, je réalise maintenant que quand bien même tu est joyeuse, tu traverse une vie et des épreuve complètement différente de la mienne mais dont le fond reste tout aussi infernal, je n'arrive pas a comprendre ta manière de vivre, cette manière que tu a de faire abstraction de ta vie, sur quelque point certe, en revanche je devine que toi non plus tu ne dois pas comprendre ma raison d'agir ainsi et comment je fait pour me comporter de cette manière, nous somme semblable je m'en rend compte mais nous restons tout deux un mystère pour l'autre. Je t'avais mal jugée et je m'en rend compte désormais, tu n'est pas si inutil que sa, pour tout te dire je comptait me debarasser de toi un jours, j'ai pourtant revue mon choix..."
"Quand bien même tu es joyeuse..." ... Un exécrable mensonge vous ne trouvez pas ? On ne pouvais guère parler de joie chez la vampire... du moins pas une joie enfantine mais plutôt une joie malsaine. Couverte de séquelles qui probablement ne guériront presque jamais, les 495années d'isolement et d'enfermement l'avais repousser au fin fond de ses instinct primaire. Un instinct de bête, d'animal.... Elle semblait n’éprouver du plaisir que quand elle tuait une proie et c'était probablement pour cela qu'elle employait le mot "jouer" pour ce genre d'acte cruel et plein de monstruosité. Des sequelles tellement profonde qu'elle en était aveugler et que cette vision bestiale des choses lui paraissait presque normale. Pourtant, elle était déchirer par un semblant d'humanité, la volonté d'être libre, de s'envoler et de rire. Mais pouvons nous réellement parler d'humanité ? Un oiseau quand il est enfermé, après tout son seul et unique désir c'est d'être libéré non ? Il fallait donc croire que la demoiselle aux ailes prismatiques avait perdue très tôt le peu d'humanité qu'elle pouvait avoir. Riant de la souffrance, jouant avec la mort et fuyant les chaînes, elle était simplement sur le Monde de Nintendo World pour profiter de cette liberté nouvelle. Continuant de rire quelques peux nerveusement la vampire déclarât suite aux paroles du hérisson noir d'un ton tout à fait naturel.
-Ho mais... si tu AURAIS essayer de te débarasser de moi, je t'aurais fait embrasser la mort, et dans ce cas là tu n'aurais pas eu le choix~ Mais... tu ne le ferras pas, donc les choses resterons comme elle le sont là~ Kyufufufu
S'élevant doucement dans les airs et tournant le dos à l'être des ténèbres, elle semblait s'apprêter à partir. Mais avant d'agir elle lâchât un dernier rire, provocateur ou juste naturel dut à sa folie ? Qui pouvais le savoir, son esprit semblait être trop tordu pour dire quelque chose de censé.
-De toute façon... la perfection, cela n’existe pas. La seule chose de parfaite qui éxiste n'est rien de plus que le néant en lui même. Ne contenant rien du tout et aucune pensée, là dedans rien ne peux être contradictoire à autre chose, car tout simplement le vide est néant et le néant est vide. Hihihi... J'ai lue ça dans un livre à Patchouli~ Pour faire un monde parfait, il faudrait donc tout détruire, Flan peut détruire n'importe quoi elle... Alors Flan, même si elle est imparfaite, elle peux faire la perfection ? Onee-sama souhaite devenir parfaite, mais Flandre aime Onee-sama, elle ne veux pas détruire Onee-sama pour que cette dernière devienne parfaite. Alors Que devrais-je faire ? ....
Le monologue continuât durant de longue minute autour de cette question très abstraite de la perfection aux yeux de la vampire. Une question dont les réponses qu'elle donnait démontrait à quel point son esprit semblait réduit à anéantissement. Mais, qui sait si le hérisson noir ne pensais pas un peu pareil ? Lui... qui voulait créer un monde parfait. Alors que le silence commençât à s'installer suite à ce monologue sombre et plein d'idées malsaine, la vampire dépliât ses ailes et traversât le feuillage de la forêt en éclatant de rire. Sans prévenir, sans rien dire, elle s'en allât en riant à cœur joie. Brisant quelques branches qui tombèrent au sol, une vue du ciel fut visible depuis le point de la forêt ou se trouvaient les deux antagonistes. Et même si le hérisson ne pouvait voir la lune qui se dressait dans ce ciel étoiler, il pouvait néanmoins ressentir que cette dernière annonçait le début de ce qui allait être un chemin vers la destruction et l’anéantissement total de toute chose qui existe en ce monde pour la vampire. A partir de cette nuit, elle partait avec comme idée en tête que tout méritait de mourir, de souffrir et d'être détruit tout comme son esprit à trop longtemps souffert.
(sorry je met fin au rp ici :/ mais n'hésiste pas à répondre pour dire ce dont pense Nightmare de cette psychologie tordue (que j'ai inventé car en sois je savais pas du tout quoi répondre pour ça que je met fin au rp ici car j'ai un peu ramé pour trouver une idée :/ ) )