L'arrivé de cette Marionette dans cette vallée c'est faite de main en main. Tout commença à Bourg Claucher. La dénommer Marion était dans les bras d'un groupe de petite fille qui l'avait trouver et prise pour un jouet tout à fait normal. C'était avant le déjeuner. Les gamines étaient émerveiller par ce jouet si soudainement trouver comme tomber du ciel. La bande de fillettes jouèrent longtemps avec elle avant de la laisser sur le terrain de jeu pour aller chez elles manger le déjeuner. Épuiser de cette partie de rigolade, de coiffure et de maquillage. La marionnette décida de pas prêter attention à son entourage et s'endormit sans que personne ne sache que elle avait la capacité de penser et encore moins de dormir.
Mais la vie d'une marionnette était beaucoup plus dure qu'on en pouvait le croire. Marion s'estimait cependant assez heureuse de ne pas être tomber sur des idiots de casseur de marionnette et de jouet. Alors qu'elle s’endormit inanimer dans l'herbe du terrain de jeu sous le soleil. Sans qu'elle ne le sache quelque l'observait depuis un petit moment déjà. Puis quand le parc fut désert de toute personne, un voleur sortit d'un coin d'ombre, derrière le toboggan de pierre. Il regarda la marionnette avec attention cherchant si elle avait une quelconque valeur. Et après ses longues minutes à réfléchir la salle fripouille se saisie du jouet endormit par ses fils, et l’enfouie dans son sac, pour partir en courant comme un lapin, hors de la cité, et allé à son repaire où il y déposait moult objets dérobé.
Voilà la vie de Marion. Voilà la vie d'une marionnette sans domicile fixe /PAN/. Se faisant emporter de droit et à gauche et ce s'en le savoir et sans jamais le vouloir. C'était une situation que la marionnette n'aimait pas. Surtout que aujourd'hui on était vendredi. Un jour où la marionnette animé aimait particulièrement être tranquille à dormir sans qu'un crétin de voleur ou un idiot d'enfant viens la faire chier. Elle pouvait bien dormir quand on jouait doucement avec elle. Après tout elle était de bois et ne ressentait pas beaucoup les contact physique. Mais une coup de batte d'un gamin qui veut vous défoncer la gueule sa par contre c'est moins cool. Mais bref passons. Pour le moment Marion n'avait pas encore subit se genre de tourment dans sa journée.
Après un moment passer au fond du sac du voleur, elle finit par se réveiller quand elle se sentie jeter comme une poupée de chiffon pour atterrir comme une merde au sol. Ne voyant rien du tout dans le sac mais sachant très bien quel genre de couille il lui était encore arriver, elle sortie une aiguille à coudre de l'une des poches de sa robes et tailla le sac pour en sortir. Le voleur lui était déjà partit on ne sait trop où. Rangeant son arme des plus ridicule dans sa poche la marionnette regarda autour d'elle. Du sable et beaucoup de poussière. Un lieux désert et très sec. Et par ailleurs elle avait déjà plein de poussière sur elle. Elle se dépoussiéra alors en prenant soin de ne pas s’emmêler dans ses fils et décida de sortir du repaire du voleur debout sur ses deux jambes et de son propre gré.
Après être sortie elle ne tarda pas à voir son ravisseur. Celui-ci était en bas du canyon qui se trouvait devant la grotte qui lui servait de repaire. Il devait surement s'hydrater après avoir fait une pareil course. Celui-ci était chauve, très mal habiller et avait une tête de russe mélange avec celle du chinois avec un air de tête à claque. Il fallait dire que la marionnette était bien tanter de lui en décoller une pour l'avoir trimballer jusque ici. Il n'y avait vraiment rien à faire en ces lieux plein de poussière. Il n'y avait personne avec qui jouer et personne à aimer. Enfin si il y avait quelqu'un. Ce clodo de voleur mais pour Marion hors de question de lui faire grâce d’indulgence.
~Quel répugnant personnage. Il inspire la pauvreté tout comme il inspire le ridicule et la débiliter profonde marquer sur son visage.~
Le sourire niait et tout joyeux du voleur énervait fortement la marionnette. Il chantait un air débile. Un air sancer être le champ de sa victoire pour la petite trouvaille du jour qu'il avait faite. C'est à dire elle. Marion n'appréciait guère cette situation et retourna dans la grotte du voleur ses cordes et ses ficelles trainante créant ainsi un fin nuage de poussière derrière elle. Puis son visage s'illumina quand elle passa à causer du sac dans lequel elle était. Des bombes ! Plein de bombes et des allumettes ! La marionnette se rappela des sages paroles de Manon . "Les bombes c'ets comme les pétard au 14 juillet ! Ça s'allume et sa fait boum !" Et bien entendue Marion savait exactement comment on fait pour allumer des pétard avec une boite d'allumette. Manon l'avait fait juste devant elle autrefois !
La marionnette décida alors qu'il était le moment de jouer avec la seule personne présente sur les lieux. Se saisissant du sac de bombe et des allumettes. Elle retourna dehors en haut de la corniche de falaise, au dessus du voleur qui buvait l'eau fraiche de la rivière. Marion était très presser de tenter cette nouvelle expérience. Elle avait envie de jouer un mauvais tour à se voleur en le vessant peur. Le sons d'un pétard qui explose à côté de sois ça effraie toujours alors Marion pensa que les bombes c'étaient pareil. La marionnette prit alors une bombe dans ses mains. Elle sortie la plus grosse du sac en se disant que ainsi ça allait faire plus de bruit et encore plus effrayer le voleur. La jeune marionette alluma alors le paquet cadeaux avec les allumettes et laissa tomber le paquet cadeaux d'en eaux de la falaise sous les pieds du voleur. Marion put entendre se dernier crier
-HO PUTAIN DE ME... *BOUM*
Le voleur n’eut même pas le temps de finir sa phrase que la bombe explosa. Elle explosa même très fort. C'était au dessus des attente de Marion il fallait dire. Celle-ci ne s'attendait pas à autant de bruit. Un gros nuage de fumée et un cratère se trouvait là où se trouvait le voleur. Marion finie par descendre alors en se demandant où il était passer. Elle regarda à droite et à gaucher. Rien, à part un liquide rouge encore inconnue pour Marion qui tachait les parois et colorait la rivière cristalline. En étudiant les faits Marion s'exclama.
-Mon dieu mais c'est.... C'est.... DES PETARDS MAGIQUE !!! IL A DISPARUE COMME DANS UN TOUR DE MAGIE !!!
Revenant de la tours du Trident Mephiles avais put découvrir les protagoniste de ce monde qui était nouveau au yeux du démon cristallin. De nombreuse personne n’était que vermine a ses yeux pourtant il était ravie. Ravie d'avoir put croisé une personne au pouvoir colossale qui lui avais redonner l'envie de tous dominer, un univers faible n’était pas l’intérêt de Mephy mais plutôt un univers doté de puissance hors du commun qui lui donnerais des frissons de plaisir de le détruire afin d'imposé sa domination dans le vide quantique. Le temps s'écoulais tranquillement et une silhouette se dressait seul devant ce nouveau paysage désert et poussiéreux, admirant les alentours un petit rictus se dressa sur son visage sans présence de bouche. Ce serais dans ce paysage vide et remplit de rocher qu'allait se poursuivre sa quête antique qui avait jadis faillit a cause du hérisson bleu, mais cette fois ci il ne commettrais plus les même erreurs et serais d'autant plus vil que part le passer.
Mephiles continuer sa marche sereine en continuant de réfléchir au événement du passer mais aussi au événement du futur en mêlant connaissance et hypothèse, et dans ce paysage désert il aperçut une forme cubique se dresser non loin de lui, un petit ruisseau s'écoulait en face et alors qu'il s'approchait il put distinguer la forme qui était en faite une petite maison avec un étrange engin musical de couleur doré qui trônait sur le toit. Fixant ce bâtiment pendant quelque minute il finit par continuer sa route sans y prêter a nouveau attention, cette maisonnette ne lui sera guère utile, les habitants ne pourrais pas l'aider au contraire ils n’était que parasite a ses yeux et les parasite on ne souhaite pas les rencontré. Malgré les événement qui c’était passer dans la tours du Trident le démon cristallin avait put découvrir des cas vraiment intéressant, que ce soit le mage égocentrique, l’anthropomorphe télépathe ou encore l’androïde surpuissant ! Cette rencontre avec tout les individus lui avait fait comprendre que dans ce nouveau monde ne résidait plus que de simple hérisson inutile mais des créature au pouvoir et au histoire épatante. D'ailleurs même si il n'avait pas prit le pouvoir de Mephiles au sérieux cela le rendait encore plus content . Le temps continuer sa marche lente en synchronisation avec la marge légère de Mephiles, et alors que le calme présent depuis longtemps était toujours a son pleins , celui ci fut briser par une explosion brutal dont la créature vil put apercevoir le champignons mortel qui se formais dans le ciel. Se dirigeant vers le lieux de l'explosion il arriva tranquillement devant une marre de sang et non loin figurais une marionnette au regard d'enfant. D'un simple regard il sentit qu'elle était animé grâce a un flux magique important qui avait doté la marionnette d'une conscience propre. Parlant d'une voix monotone il prononça:
Marionnette, est tu celle qui a ôte la vie de la vermine dont le sang s'écoule ici ?
Le regard perçant il attendait que la Marionnette s'anime de nouveau et lui réponde
Alors que dans la vallée, un nuage de fumée inquiétant c'était lever. La marionnette regarda le sang qui tapissait le sol et les parois rocheuse et également la rivière silencieuse et zigzagante dans le canyon. En regardant le liquide écarlate que la marionnette voyait pour la première fois. Elle se demanda de quoi il pouvait bien s'agir. Coulis à la cerise ? Coulis à la fraise ? Coulis au fruit rouge ? Colorant à pâtisserie ? Que des ingrédient utiliser pour faire des gâteaux et moult gourmandises passaient dans son esprit en voyant ce liquide.
Contrairement à la poupée que l'inconnu qui s'approchait d'ici avait croiser, Marion n'avait aucune idée solide à ce faire du monde. Elle était en pleine découverte de tout et n'importe quoi. Elle ne savait même pas qu'elle venait de tuer le voleur. Au yeux de Marion elle avait juste déclencher un tour de magie avec ces bombes qu'elle appela "pétards magique". La marionnette attendit alors. Elle attendit là deuxième partie du tour du magie qui viendra jamais. La réapparition. Dans les tours des magiciens les gens réapparaisse tout le temps. Mais dans sa magie à elle, qui s'avérait être un meurtre, plus jamais le voleur allait à nouveaux apparaître. Marion ne comprenait pas pourquoi le voleur ne revenait pas. Elle émit alors une hypothèse encore lier à un simple tour de passe passe.
-Ho mais non ! Ce n’est pas un tour de disparition ! Mais un tour de transformation ! Ho! Il c’est transformer en coulis de fraise !!! Mais... c’est nul... car on peut pas le manger alors ? Ça sert à quoi si on peut pas le manger ?
La marionnette était déçue. En croyant que le voleur était transformer en se liquide écarlate qui tapissait les parois rocheuse, Marion se disait que ça servait à rien de se transformer en ça puisque on ne pourrais pas le manger. Vous imaginer que vous manger ce voleur transformer ainsi et qu'il se retransforme dans votre ventre ? Vous explosez ma parole ! Quelques minutes s'écoulèrent et la Marionnette finie par entendre quelqu'un s'approcher. Quoi donc ? Elle ne le savait pas, mais elle s'empressa de cesser tout mouvement et de se laisser tomber au sol tel un jouet in-animer avec lequel on avait fini de jouer. Plus aucun mouvement émanait d'elle. Juste ses cordes et ses ficelles était légèrement tremblant à cause du vent léger qui soufflait et emportait le nuage de l'explosion. Ne pouvant uniquement que se contenter de regarder ce qui se passait devant elle, elle regarda. Un être étrange apparut. Un hérisson de cristal. Il avait les bras et les jambes démembrer qui flottaient autour de lui et aucune bouche. Marion n'avait jamais vue pareil chose.
~Ho quel étrange marionnette ! Que j'aimerais être moi aussi en cristal plutôt que en bois. Mais où sont ses fils ? Où est sa bouche ? Où sont les articulations pour relier ses membres? Il n'en à pas ? Quel malheureux ! Mais pourquoi est-il dans un endroit aussi isoler ? Et puis à quoi ça sert une marionnette qui ressemble à un hérisson ? J'en est jamais vu des comme ça ! Il est bizarre... pour un jouet. A moins que ce n'est pas un jouet ! Mais... c'est quoi alors ?~ Elle se mit alors à réfléchir sur le sol ensanglanter sur lequel elle était allonger, puisque elle ne pouvait pas répondre toute seule à ses première questions ~Hmm.... c'est étrange ce liquide. On ne dirait pas la même substance que le coulis à la fraise. Et d'ailleurs où est la délicieuse odeur de pâtisserie ? Si c'est du coulis à la fraise pourquoi je ne sens pas la délicieuse odeur de sucrerie ?
Que de questions se bousculaient dans l'esprit de Marion qui se contentait que de regarder. Puis ses réflexions se stoppèrent quand l'inconnu s'adressa à elle comme si il savait que elle pouvait l'entendre... Marion fut étonner de cette capacité d'avoir deviner qu'elle était maître d'elle même. Mais elle fut également embrumer par les parole du nouvel arrivant.
~Sang ? Ôter la Vie ? Que veut t-il dire ? Que sont ces mots ?~
Étant intriguer mais voyant bien que rester immobile comme une conne servait à rien elle s'anima. Une lueur violette et livide brilla dans ses yeux et se propagea à travers ses fils qui bougèrent et flottèrent tout seuls dans les airs alors qu'elle se releva porter par les cordes et les ficelles qui sortaient de ses articulations. Elle fit une toute petite révérence très polie à l'inconnut et gardant le même sourire enfantin et innocent qui ornementait à n'importe quel circonstance son visage. Elle se présentant d'abord avant d'expliquer la situation.
-Je me nomme Marion. Et de quoi parler vous ? J'ai juste fais un tour de magie. Voyez vous je suis tomber sur un sac de pétards magique que j'ai tester. Et la personne qui était là avant c'est transformer en cette substance. En faite je me demande si c’est pas du coulis de fraise mais je ne pense pas. En faite j'en ai aucune idée. Ho et vous vous appelez comment Monsieur de Cristale ?
Marion mourrait d'envie de poser plein de question à cet être étrange et intriguant comme pourquoi il avait pas de bouche. Comment il faisait pour parler. Comment il faisait pour bouger sans articulation. Comment il avait devinez qu'elle était animer. Mais par simple politesse elle n'alla pas tout de suite harceler le nouvel arriver de tant de question. Pour commencer demander son nom était déjà assez suffisant à ses yeux.
Ainsi cette être non-organique animé de part une énergie surement magique possédait comme prénom: Marion. Réfléchissant au multiple capacité que pourrais lui offrir cette être surnaturel, il prit comme décision d'attendre un peu tout en ne négligeant pas certain potentiel pouvant lui échapper, d’après tout les dernière personne qu'il avais croisé possédait une force bien supérieur que cachait a la fois leur passé et leur futur mais aussi leur enveloppe charnel. Pourtant Mephiles ne devais pas non plus s’intéresser a toute les créature spécial seulement a cause de cette petites aventure, au contraire il comptait jouer le rôles qu'il interprétait le plus souvent cela étant bien sur le rôle d'observateur. Ce vaste univers était vraiment intéressant, et plus cela l’intéressait et plus il avais envie de devenir le maître. Pourtant la patience est la clés de la réussite, il ne faut pas que le démon ambitieux cèdent comme autrefois, ce serais intolérable qu'un dieu tri-temporel comme lui se fassent battre encore une fois. Mettant ces pensé de coté il fixa la jeune créature fait de bois, celle si était vraiment enfantine, c'est pourquoi il comptait jouer dans son jeu et en savoir plus sur elle, non pas sur sa ligne temporel mais plutôt sur ses capacité interne.
Mon nom est Mephiles The Dark, tu m'a l'air d’être une magicienne remplit de talent, me montrera tu la diversité de tes talents ?
Alors que Mephiles attendait en souriant intérieurement il sentit des être humains se rapprocher, l'onde de choc perpétré par l'explosion les avais attiré vers ce lieux, un soupire s’échappa de ses lèvres cristallines et levant le pied doucement, du point de vue de la marionnette il ne se passait rien étant donner que la scène se passait trop loin, en effet le lieux ou se situer l'imposant groupe d'humain qui devais être environs une vingtaine eut une mauvaise surprise, la zone de leur groupe fut atteins d'une inversion de gravité, tout les humains fut poussé dans le ciel et une fois qu'il eu atteint une hauteur proche d'une vingtaine de mettre Mephiles posa son pied violemment doublant ainsi la gravité du lieu ou se tenait le groupe maintenant devenue aériens. Ce nouveau changement gravitationnel les poussas vers le sol deux fois plus rapidement que la normal. Le résultat fut évident le groupe se brisa contre le sol, les os sortir de leur chair que certain d'entre eux reçut dans leur corps, certain membre fut expulsé et une masse sanguinolente qui était autrefois vivante et animé par l’étincelle de vie résidait sur l'ancien lieu de ce groupe d'explorateur. Un Massacre rapide, facile et discret. Et alors que la jeune marionnette était toujours aussi calme et enfantine, Mephiles savourais intérieurement la mise a mort de ces inconnues.
Marion regarda inlassablement le dénommer Mephiles. Ce posant plusieurs question encore. Ressentant comme une faible jalousie pour cet être étrange. Cet être ne semblait pas se laisser submerger par les sentiments. Mais Marion elle avait toujours un seul sentiment de fixer sur son visage. La joie. La Marionnette ce demanda ce qu'était tout les sentiments. Car après tout une marionnette était pas censé en avoir. Calmement elle répondit au dénommer Mephiles.
-Je ne suis pas une magicienne. Mais si c'est ce que voulez que je sois pourquoi pas... Je suis une marionnette après tout... je suis utiliser pour imiter moult chose insensé... Et vous, vous êtes magicien ? ... Êtes vous aussi une marionnette pour ne pas avoir d'expression sur votre visage ?
La marionnette avait enfin osez posez une de ses questions. Lentement elle regarda où l'hérisson de cristal regardait. Ils n'y avaient rien à l'horizon... A part un nuage de poussière. Mais loin en ses lieux elle voyait bien elle aussi. Des humains furent soulever dans les airs pour s'écraser soudainement au sol. Des os et du sang volaient dans tout les sens en ce lieux désert où elle n'était pas là. Alors comment faisait-elle pour voir ça? L'explication était qu'elle voyait à travers les yeux des autres jouets quand elle le voulait. Les jouets endormit, abandonner délaisser. Comme elle autrefois, il y a bien longtemps. Voir également leurs souvenirs avant leur abandon. Ce fut à travers les yeux d'une peluche abandonner qu'elle voyait. Elle était à moitié momifier et son histoire était que c'était le jouet de l'enfant qui habitait dans la maison pas très loin d'elle. Marion fixa à nouveaux sont interlocuteur qui semblait être impassible et retourna regarder la scène les yeux vides. Ne sachant pas vraiment quoi dire de ce massacre. Elle réalisa que cela ressemblait fort au pétard magique. Mais là il n'y en avait pas dans le tour de magie. Alors seulement c'était vraiment un tour de magie ?
-... Est ce que c’est ça ? Est- ce que c'est ça ôter la vie ? Est ce que ce liquide c'est du sang comme vous l'avez dit ? Et puis... pourquoi faire ça ? Comment faire ça ?
Elle se tourna vers l'hérisson de cristal ses ficelles et ses cordes flottantes dans les airs et s'approcha de lui et le regarda avec ses grand yeux violets.
-Comment vous faites ça ? Comment vous faite ça avec ce visage sans sentiment ?
Mais Marion n'attendit pas les raiponces à ses questions. Elle se retourna et marcha vers l'horizon en direction des lieux du drame comme si elle savait exactement que c'était là. Mais pour quoi faire? En tout cas elle s'éloigna lentement de l'hérisson de cristal en le laissant seul avec les questions qu'elle avait poser et la vue de son comportement étrange. En s’éloignât alors elle lâcha une dernière phrase avant de reprendre la marche plus intrépidement.
[Ho putain. Va falloir que vous m'appreniez a faire des trucs aussi joli.]
C'est le vent qui avait amené ici le vagabond.
Personne ne sait vraiment ou il va. Pour tout mortel, tout être pensant, l'avenir est logiquement invisible. A peine si l'on peux voir le passé, même immédiat, avec précision, alors le futur? Rien n'est plus compliqué. On peux toutefois tendre vers une prévision, avec un minimum d'effort et beaucoup de patience: planifier, prévoir, statistique, manipulation, sont autant de moyens d'influencer ce qui va nous arriver; si tant est qu'on ne soit pas sujet au syndrome de Murphy. Le syndrome de murphy est peu connu dans le Nintendo World, et pour cause: dans ce monde, la logique et le cheminement logique des choses n'ont pas leurs places. Toutefois, si l'on part du principe que les événements s’enchaînent dans un certains ordre rationnel, le syndrome de Murphy fait qu'on applique systématique la Loi dudit Murphy. Loi qui dit que rien, absolument rien, ne se passe jamais comme prévu. En connaissance de cause, Kokiri avait depuis longtemps, ou pour ainsi dire jamais prévu quoi que ce soit.
Aussi, il préférait suivre le vent; lui au moins, on pouvait lui faire confiance. Il amenait toujours vers la chaleur d'une taverne, le charme d'un village ou la saveur de la douce aventure d'un soir. Le vent étais un ami de confiance, en toute circonstance, se disait le jeune homme masqué: il ne l'avait jamais trahis d'aucune façon, et l'avait toujours guidé vers la sécurité et la chance, à défaut de l'accompagner véritablement. Certes, il y avait eu une ou deux bagarres de tavernes, un ou deux zombies, une ou deux bières légèrement sucrée, une ou deux MST plus bêtes que méchantes; mais après tout, pourquoi pas?
Aussi, quand le vent l'avait amené dans une vallée rocheuse, hostile, inhospitalière, Kokiri s'était légitimement posé quelques questions.
Dans l'ordre:
-Ou est la taverne? -Attend, mais ou est le village? -C'est quoi ce bordel? -Mais putain ou je suis? -Pourquoi le vent s'est foutu de moi? -Pourquoi il y a du sable dans mes chaussures? -Ou on peux manger? -Pourquoi yah des gens qui volent?
Des gens qui volent, justement. Encore un phénomène totalement illogique. Un phénomène qui laissa Kokiri indécis, la bouche grande ouverte d'admiration sous son masque, les bras tombant le long du corps. Stupidement, il regarda le groupe d'humain tomber brutalement. S'écraser violemment contre le sol rocheux. Il entendit les os se craquer, le sang claquer contre le sable.
Le vent fit se soulever une petite masse de sable devant Kokiri.
Putain mais c'est quoi ce bordel de merde???
Logiquement, Kokiri fut porté par sa curiosité, ce qui le poussa, lentement mais surement, à aller voir les corps. Un coup d’œil rapide lui fit constater qu'il n'y avait aucun survivant. Hommes, femmes, enfants, tous avaient étés exterminés sans concessions par quelques choses. Ou bien quelqu'un. Non... Pas quelqu'un. C'étais une pensée idiote. Ce n'étais tout bonnement pas possible.
A moins que...
Une voix; instinctivement, l'épée de Kokiri apparut entre ses mains. Se penchant au milieu des corps, le jeune homme masqué guetta. Une grotte. D’où sortit une forme humaine.
Une petite fille? Non...
Une marionnette.
Qui marchait toute seule.
... C'est pas normal, ça, non...?
Kokiri avait pris l'habitude de parler à son épée. C'étais presque devenu un réflexe: elle était, avec le vent, sa seule alliée. Il l'empoigna plus fermement, rampant jusqu'à la marionnette.
Trébucha sur un cadavre.
Se ramassa.
Au pied du petit jouet de bois.
Kokiri leva la tête vers les yeux violets troublants d'humanités et d'innocences. Se releva prestement. Alla se coller contre le mur, épée en avant. Il tremblait comme une feuille.
Bien que l'idée était ingénieuse le fait de jouer dans le jeu de la marionnette n'avais pas aboutie a ce qu'il souhaiter, au lieu de voir les compétence de la créature faite de bois celle çi avait répondue avec la naïveté et l'innocence d'un enfant qu'elle n’était pas magicienne mais une simple marionnette pourtant un détail attira son attention, en effet elle avait ajouté qu'elle était utilisé pour accomplit des actes les plus insensé qu'il soit, cette "capacité" pourrais s'avéré utile si elle était utilisé avec ingéniosité . Pourtant alors que Mephy réfléchissait a divers méthode dans laquelle elle pourrait être utile celle ci lui posa une question puis une autre et encore une autre jusqu’à l’écraser de question Chance pour elle ces question intéressait le démon cristallin qui calmement se mit a lui répondre.
Du calme, ne t'empresse pas avec toute ces question ! Sachent que je ne suis pas une marionnette comme toi, mon expression facial est la car j'existe ainsi. Pour ce qui est de ôté la vie je vais te donner un exemple.
Ayant remarqué un petit lapin qui sautillais joyeusement a quelque pas de eux Mephiles qui était quand même doté d'une grande vitesse il attrapa le lapin et revint devant la marionnette en le posant au sol tout en l'enfermant dans une "cage" dont les limites etait juste une inversion de gravité qui empêchait la jeune lapine de fuir .
Vois tu Marion, cette jeune créature est animé par une étincelle appeler vie, la même étincelle qui te fait parler, bouger et rire. Cette jeune créature possède cette même étincelle que toi et que moi maintenant admire.
Fermant sa main le lapin fut broyer par la gravité qui venait de se troubler la ou se trouver la pauvre bête, son corps explosa littéralement et du sang se déversa non seulement a terre mais aussi sur les deux protagoniste.
Maintenant que j'ai annihilé son étincelle de vie, pour elle c'est le vide, le Néant ! Un peu comme un sommeil éternel dont tous ses souvenir on était déchiré, quand au liquide rouge il s'agit du sang, un fluide vital qui coule dans la plupart des veine des être organique, par exemple toi et moi ne possèdent pas ce liquide. Le fait de détruire une vie est quelque chose de si simple, tuer n'a rien de sentimental c'est juste une manière de faire le ménage.
Alors que la jeune marionnette se retourna et s’éloigna elle avoua qu'elle avais tout vue, elle parlait surement du massacre que le démon avais causé. La suivant doucement Mephy sentit une nouvelle personne arrivé, et alors que ce dernier venait de tomber sur la poupée. Cela l’étonnais un peu car il avais réchapper au massacre, serais ce donc lui aussi une personne doté de puissant pouvoir ? Seul le temps nous le dira. Pendant que l'humain était terrifié par la poupée, Mephiles qui était maintenant derrière lui, posa sa main sur l'épaule de l'homme et prononça.
Pourquoi a tu peur ? Serais ce le sang, la visions de dizaine de corps réduit a l’était de viande sanguinolente qui te fait cette effet ? Ou serais-ce du a un manque de confiance aggraver par de la paranoïa ?
La voix du démon cristallin était toujours aussi dur et brutal, et avec la pression que sa main exercé sur l'épaule de l'homme celui çi aurais forcement peur, le principe était de voir sa réaction, soit il attaquerais par pur instinct de survit,soit il se pisserais dessus telle une fille découvrant pour la première fois les désavantage que lui apporte le sexe féminin.
Edit Mephy: On vas dire que Mephiles de part son corps de roche c'est incrusté dans le mur pour être derrière Kokiri XD
La marionnette marchait à travers la vallée déserte. Il n'y avait rien. Rien du tout. A part de la poussière et l'aura de quelques âmes tourmenter. Puis finalement le décor changea légèrement. Il y avait du rouge. Il y avait du sang. Beaucoup de sang et des cadavres. Des êtres morts. Marion réalisa que l'étincelle de vie en eux existait plus dans leurs yeux en voyant l’amas de cadavres. Elle compara légèrement ces êtres fait de chair et de sang à des marionnettes casser.
~Ils sont démembrer de partout, ils sont casser, du coup il ne peuvent plus bouger... Leurs fils sortent de leur corps en une teinture sanglante. Leurs fils doivent être déchiqueter et briser, rendant la marionnette inutilisable. Mais... ce n'est pas des marionnettes. C'est des êtres organique. Car sang dégouliner sur le sol...~
Intriguer, Marion s'approcha des cadavres d'hommes, de femmes et d'enfant. Elle s’accroupit devant l’immense quantité de sang et se laissa tenter pour laisser sa main se poser dans le liquide sanglant. Elle ne ressentit point la chaleur du liquide avec ses mains de bois. Elle ne ressentit aucune sensation de dégout envers ce liquide qui se trouva sur sa main. Elle finit par la retirer et se lever. Elle regarda alors sa main recouverte de la teinture sanglante. Elle n'avait qu'une chose pour savoir reconnaitre le liquide. C'est rouge comme les roses et c'est très liquide. Très glissant entre les mains. Mais sa tâche facilement. Effectivement la teinture rougeâtre avait du mal à quitter la main de la marionnette. La secouant légèrement pour retirer le liquide en le faisant gicler dans les airs quelque chose s'écrasa soudainement à ses pieds. Elle jeta alors un coup d’œil en dessous d'elle, mais aussi vif que l'éclair la chose qui était là était plus là. Cette chose était partie se coller à un mur. Alors Marion se retourna pour voir de quoi il en s'agissait. Elle vit alors un humain sans expression facial étrangement. Et il tenait quelque chose dans ses mains qu'il pointait vers elle. Marion ne savait pas de quoi il s'agissait.
Elle regarda l'inconnu intriguer. Quelque chose était sur son visage. Quelque chose sans expression de sentiment. C'était un masque. Marion le savait car des masques on en voit plein à Halloween. C'est comme les bonbons à vrai dire pensa Marion. Il n'y a pas de masque sans bonbons. Ce jeune homme à t-il des bonbons sur lui? Puis elle vit l'hérisson cristallin apparaitre derrière le jeune homme malgré le fait qu'il avait le dos contre le mur. Il posa sa pain dure comme de la pierre sur son épaule et il dit des paroles que Marion ne savait pas vraiment comprendre. Mais en tout cas la marionnette avait à nouveau une question. Intriguer elle demanda sans laisser l'inconnu répondre à l'hérisson de cristal.
-C'est quoi la peur ? C'est un sentiment ? Çà se voit entre les jambes ? Ça se voit sur le visage ?
Dit-elle en pointant du doigt sans propre visage qui affichait une mine d'incompréhension. Puis elle pointa son doigt vers le masque de l'inconnu. L'idée lui vient en tête alors de retirer son masque pour voir quel sentiment était dessiner sur son visage . Comme ça le grand gourou Mephiles saura si il à peur ou pas et il sera content pensa t-elle. Elle apprendra encore un truc et elle aussi sera contente. Marion sourie à cette idée et marcha vers l'étranger les bras tendue vers son masque en souriant. Se rapprochant dangereusement pour aller le retirer elle s'arrêta net et brusquement. Quelque chose attira son attention et sembla brusquement la couper de tout ce qui l'entoure.
A quelques mètres, une petite silhouette blanche se faisait voir. La forme de la silhouette interpela la marionnette qui sentit comme une voix dans sa tête clamant de l'aide. Elle laissa alors tomber ses bras le long de son corps en regardant en direction de la chose blanche qui se trouvait au loin. Ses yeux semblait comme plonger dans le vide et elle s'en alla pas trop loin du duo voir de quoi il en s'agissait. Pour ne pas trop s'éloigner elle préféra amener l'objet vers elle avec ses fils , ses cordes et ses ficelles. C'était une peluche. Un ours en peluche momifier avec des bandelettes. Prenant alors le jouet dans ses bras pour le regarder de plus près le dos tourner au duo. Elle regarda nostalgiquement l'ours en peluche et retira les bandelettes qui voilaient son apparence. Une fois cela fait, Marion laissa tomber l'ours en peluche qui était défigurer, déchiqueter, avec un œil pendant au bout d'un fil et au torse éventrer et presque vide. Il était tout simplement difforme et semblait être abandonner. Il semblait avoir été malmener avant d'être délaisser. Elle finie alors par dire faiblement.
-Et si ça m'arrivait... encore une fois.....
Perdue dans les pensées du passer encore sombre et brumeux. Elle se souvenue des bons moments passer avec Manon. De la joie qu'elle avait quand elle était à ses côtés. Des jeux qu'elle faisaient ensembles. Des rires et des sourires toujours présent jusqu’à leur séparation. Jusqu’à ce que le destin en décide autrement. Marion se demanda alors si Manon pensait toujours à elle. Si elle l'aimait et l'appréciait toujours. Elle se demanda pourquoi avant que Manon la trouve elle était dans une poubelle. Elle se demanda pourquoi un jour on finit tous dans une poubelle... Pourquoi les choses heureusement avait toujours une fin tragique...
Marion sortit soudainement de ses pensées mélancolique et regarda l'ours en peluche défigurer. Dans sa tête elle entendit une voix hurler. Une voix hurlant de le venger. Était-ce juste une illusion? Ou est-ce que se jouait réclamait vengeance à ce qu'on lui avait fait subir dans la tête de la marionnette ? Marion ne savait pas, elle ramassa les bandelettes sur le sol qui couvrait l'ours en peluche et les rangea dans une sorte de petite tiroir dans son avant bras qui contenaient également une grand quantité de fils. Ne pouvant pas tout mettre elle en fit de même avec son autre avant bras jusqu’à ce que les bandelettes sois ranger. Puis sans se gêner sur l’apparence de l'ours en peluche, elle prit le nounours difforme dans ses bras et retourna auprès du duo attendant réponse à sa question. Mais dans sa tête une réclamation de vengeance résonnait encore et des souvenir du pauvre jouet défilait dans sa tête sans qu'elle n'en ai vraiment envie. Elle voyait ce qu'on lui avait fait subir à ce pauvre nounours. Elle voyait qu'on l'avait laisser au fond d'une armoire pendant des années et que sans raison on y avait mit avec une drôle de créature qui l'avait momifier. La marionnette en pouvait plus. Elle ne savait pas ce que voulait dire vengeance. Alors comment faire pour obéir. Elle lâcha alors une deuxième question en pensant à voix haute.
-C'est quoi... la vengeance ?
Elle leva la tête vers Mephiles et l'inconnu et regarda Mephiles en particulier. Celui-ci lui apprenait tant de chose en si peux de temps. Alors elle s'attendait à une réponse de sa part sur ce mot là. Elle avait en tout cas ignorer l'inconnu en oubliant de se présenter. Elle était tellement submerger par les questions. Pas les souvenirs du passer. Par les incompréhension... Et par la question horrible de si Manon l'aimait encore ou pas...
Une main attrapa son épaule sans vergogne, l'agrippant fortement. Pendant quelques millisecondes, le cerveau de Kokiri déconna comme il n'avait jamais déconné: c'étais bien de la roche qui agrippait, non? Mais attends voir, ma fidèle épée, les falaises, ça ne parle pas? N'est ce pas que ça ne parle pas? Je suis donc bien en train d’halluciner... Kokiri, par à coup, se retourna. Quand il vit les grands yeux rouges de Mephiles le fixer, d'un coup, un jet de flamme vertes jaillis de tout son corps, le libérant de l'emprise de l'étrange bête de cristal. Encore une fois, il atterrit au pied de Marion, sur les fesses. Les flammes, froides, avaient légèrement brûlés la main de l'étrange bestiole. Kokiri suait à grosse goute. Il se releva petit à petit.
Houla... Sans déconner, mon gars, désolé, mais, sérieux, Fiou, sérieux, fait plus jamais des trucs pareils hein, plus jamais... Hey, il fait tout le temps ça?
Essoufflé, il s'appuya sur la poupée, d'ont il avait déjà oublié le coté surnaturel. La regarda. Son expression étais pleine d'innocence, d'une sorte de pureté purement enfantine. Même si elle en avait le pouvoir, jamais elle n'aurai exterminé volontairement une vingtaine de personnes sans aucune raison apparente. Alors ça ne pouvais être que l'autre.
S'époussetant, il fixait Mephiles pendant que la poupée effectuais une série d'action mignonne, qui la conduisit à demander ce qu'étais la peur. Kokiri, incrédule, fixa le petit pantin de bois. Elle était si inculte et innocente que ça? Il tenta d'expliquer.
Alors, la peur... Si tu veux, C'est un sentiment et ça se vois au corps, tu vois? C'est quand tu as, tu vois, une boule au ventre, que tu es dérangé, un peu... C'est pas très agréable, et ça te fais faire des trucs complètement stupide, du genre sauter partout, ou pas bouger du tout. Quand t'as peur, c'est généralement quand un truc a la possibilité de te tuer ou de te faire du mal, mais des fois, ça viens sans aucune raison valable... Hey attend, tu fais quoi là?
La petite poupée, sans aucun motif valable, se mit à s'approcher de lui, voulant lui enlever son masque. Il se recula petit à petit, avant qu'encore une fois il ne se retrouve dos au mur. A deux doigts de lui retirer son masque, elle s’arrêta, et alla voir ailleurs. Kokiri souffla. Non pas que retirer son masque serait particulièrement nocif pour lui, mais il y tenait, et n'aimait pas trop qu'on le lui prenne sans permission. Bon, évidemment, au cours d'un effeuillage particulièrement torride, pourquoi pas, mais là, il n'étais même pas question de ça...
Regardant Mephiles, il le salua d'un signe de main, l'air un peu stupide. Ce type pouvait le tuer comme il le voulait s'il en avait envie... Effrayant. Mais pas de quoi chiez dans son froc. Kokiri, en l'état actuel des choses, se fichait un peu de mourir. Sa vie était vide de sens et il n'avait rien à perdre, après tout. Devant le manque de conversation du bonhomme, il reporta son attention vers la gamine, qui posa une question à Mephiles.
La vengeance...
L'instinct de Kokiri, même s'il était peu développé, était tout de même relativement fonctionnel; il lui disait cette fois que Mephiles n'étais pas le mieux placé pour répondre à cette question et ainsi corrompre la petite demoiselle. Il se racla donc la gorge pour mieux attirer la tension, et marcha vers la poupée.
La vengeance, c'est comme quand on t'as piqué ton gâteau et que tu veux rendre la pareille, en pire. Par exemple, en piquant deux gâteaux. C'est une action profondément complètement conne et qui ne résous rien, mais que la plupart des gens veulent accomplir pour se sentir mieux dans leurs vies. Crois moi, il y en a beaucoup des comme ça.
Il s'accroupit une fois à coté d'elle.
Crois moi, petite poupée, tu ferais mieux de pas te prendre la tête avec ces choses là, ça sert à rien. Par contre, je connais un super bar, pas loin d'ici, qui fait du très bon lait. Ça te dis que je te payes un verre?
Il valait mieux, se disais Kokiri, éloigner la petite de ce monstre tueur de sang froid. Et puis, qui sait... Peut être ne serait-il plus seul après ça.
La Réaction du jeune homme masqué avait plut au démon cristallin, en effet celui ci avait eu un certain courage pour ne pas s’être mit a supplier le divin ou a courir comme un lapin, celui çi avait utilisé une magie étrange sur la main rocailleuse de Mephiles. Regardant les flamme verte qui causé des sortes de gelure sur sa main il avait apprit que ce jeune individu était assez original dans le type de ses attaques, et pourtant cela n'avais été qu'un réflexe. Exprimant des sortes d'excuses mélangé avec une sorte d'intonation comique, quand a Manon celle ci semblait s’être éloigné a quelque pas puis était revenue avec une étrange peluche défiguré. Manon souhaitais connaitre le mot Peur et Vengeance, mais avant que Mephiles ne puissent répondre ce fut au jeune humanoïde que revint ce privilège. Celui ci avais expliquer sa propre définition qui était nettement différente pour le démon de cristal pourtant il ne voyais pas l’intérêt d'expliquer sa version, en effet la peur est une émotions qui diffère chez tout les individus il en est pratiquement de même pour la vengeance. Le Divin Tri-temporel se décida d'explorer la Ligne du Temps du jeune individus il souhaiter en apprendre plus sur son passer mais aussi les nombreuse aboutissement qu'elle comportait. La surprise fut grande quand il aperçut la taille gigantesque de celle ci, en effet non seulement elle s’étendait très loin dans le passé mais elle était aussi lié a d'autre vie, chose que Mephiles n'avais pas encore vue. En temps normal le dieu n'est pas capable de voir les vies antérieur tout simplement car a la mort des personnes, l’âme fait une remise a zéro appeler "Case Départ afin de commencer une nouvelle histoire et ainsi elle envoie sa Ligne Du Temps dans le néant pourtant celle de cette individus n'a pas fait sa Case Départ comme si elle avais souhaité rester lié a toutes ses ancienne vie et ses ancienne destiné . Pourtant cela n’était pas le seul détail passionnant en effet dans une de ces ancienne vie ce jeune freluquet avait étais un dieu a part entière tout comme Mephiles, Le dieu de L’orgueil ? Tel avait été son rôle. A la connaissance de cela, Mephiles aurais directement corrompue cette personne afin de l'avoir dans son équipe . Pourtant il avait aussi vue que Kokiri n'avais plus que les brides de cette ancien pouvoirs et dans l'embrochement qu'est le futur de sa ligne du temps, Mephiles n'avais aperçut que trois terminaison qui menais au renouveau de son titre de Dieu, autant dire que il y avais très peu de chance que Kokiri redeviennent aussi puissant que dans le passé de plus il y avais de nombreuse terminaison qui le rendait inutile. Se mettant a soupiré il exclue la possibilité de le faire tomber dans son camps a moins que ce dernier se dirige vers une voie qui lui apporte le pouvoir et la victoire. Par contre un détail attira son attention, la lame qu'il tenait entre ces main avais des antécédent divin, une lame au nom des Vices pourrait être utile entre les main du Dieu Tri-Temporel, et il comptait se l'approprié quand l'occasion se présentera.
Dit moi Kokiri, cette lame que tu tient, t'est t'elle lié ? Ou l'a tu simplement trouvé ?
A cause de la longueur trop importante de sa Ligne Temporel, Mephiles n'avais put voir les détails du moment ou il put obtenir cette lame. Autant savoir si sa réquisition n'apporterais pas des dommages trop important.
Marion écouta l'inconnu quand celui-ci prit la parole à la place de manière. Elle aimait beaucoup la façon de s'exprimer de celui-ci. Et elle comprenais beaucoup plus facilement avec l'exemple de gâteau. Cela lui donna par ailleurs un peu faim et soif. Regardant l'inconnu à côté d'elle lui proposer d'aller en un lieu qu'elle ne connaissais point boire du lait. La marionette souria et répondit avec joie et gaité.
-Oui! Oui! Oui! Boire du lait et apprendre quoi être bar! Je veux tout savoir !! =3 Merci monsieur ....
Marion s'arrêta brusquement. Elle ne savait pas comment il s'appelait et ne savait pas comment l'appeler. C'est alors que Mephiles intervenu et interpela l'inconnu en l'appelant "Kokiri". C'était donc son nom? Du coup si Mephi connaissait son nom ça veut dire qu'il se connaissait et qu'il était peut-être ami? Marion repris alors le court de sa phrase avec toute innocence en croyant que Mephiles et Kokiri se connaissais déjà avant.
-Merci monsieur Kokiri!! Votre ami Mephiles viens aussi ? =3 Hé hé ! Mephi !! T'avais pas dit que tu le connaissais pour connaître son nom ! Tu aurait pu le présenter ! =(
La marionnette se colla alors brusquement à Kokiri et le câlina avec tendresse. Décidément Marion n'avait aucune notion de à qui on pouvait faire ça et quand. Pour elle c'était juste un geste gentil et mignon qu'elle faisait là sans plus. La marionnette en tout cas semblait tout exciter d'aller quelques part avec ces personnes qu'elle venait de rencontré au milieux de nul part.