Ce devais être une journée comme les autres pour certaines personnes. Une journée banale, sans ce petit piment de la vie appelé "aventure", ennuyante quoi. Ce devais être une journée banale surtout si on vivait sur la planète Terre. Or là nous sommes sur Nintendo World, l'univers de tout les dangers, où tout est possible, pas loin de la cité d'Hyrule plongée dans la nuit éternelle pour être plus précis. Un jeune garcon dont l'âge devait avoisiner la douzaine d'années était là, allongé au sol. Le garçonnet, qui répondait au nom de Pit, se démarquait des autres garçons a cause de ses deux appendices couvertes de plumes appelées plus communément "ailes". Oui, Pit était un ange. Le garçons ouvrit successivement ses paupières, dévoilant des yeux dont la couleur bleue renvoyait au ciel. Il venais de se réveiller d'un long sommeil, il était encore un peu sonné. Ses membres étaient engourdis et il avait du mal à bien se mouvoir. Pit tenta de se lever, sans succès, aussitôt il retomba sur les fesses. Se fut au bout de sa seconde tentative qu'il parvint à se tenir correctement debout. L'ange épousseta d'un coup de main sa toge qui, autrefois si blanche, avait prit la poussière. Ensuite il écarquilla ses grands yeux bleu pour observer le monde qui l'entourait. Il y avait quelques plumes blanches au sol qui devaient être sûrement celles de l'angelot.
*Dame Palutena va encore me dire que je fais de la calvitie des ailes* songea-t-il*A ce propos, où est-t-elle?!*
Pit se mit à s'inquiéter, il décrivait des cercles tout en marchant. Il était vrai que la déesse de la lumière avait toujours été là pour le guider. Sans elle, Pit se retrouvait déboussolé. Il se mit alors à crier et à l'implorer, en espérant qu'elle entende sa prière.
-Dame Palutena! Écoute ton humble serviteur! Viens me chercher!
L'angelot attendit, le bras levé vers le ciel noir, dans l'espoir d'une réponse. Rien ne se produisit mis à part le fait qu'il avait l'air complètement ridicule dans sa pose et qu'il avait sûrement réveillé tout être vivant dans un rayon d'un kilomètre . Il prit alors un air songeur.
*Allons mon bon vieux Pit, tu as déjà connus ce genre de situation, et encore tu as déjà de la chance de ne pas être à nouveau enfermé dans un anneau*
L'ange continuait ce dialogue avec son "lui intérieur" pour se rassurer. C'est alors qu'il se figea sur place comme si il s'était fait congeler instantanément.
*Et si c'était le sorcier du Chaos qui était revenus?...Non, c'est impossible, Pitwo et moi l'avions éliminé...*
Il se remémora de l'épisode où, grâce à son jumeau maléfique, ils avaient eradiqué une sorte de bestiole qui avait pris possession du corps de Palutena. C'est alors qu'il aperçut au loin ce qui lui semblait être les lumières d'une ville. À vrai dire, le garçon ne voyait rien a part ces lumières à l'horizon.
*Je devrais aller voir ce qu'il y a là-bas, avec un peu de chance je trouverais à manger*
L'angelot qui était réputé pour son appétit d'ogre avait grand faim, il avait l'impression que son dernier repas datait d'une éternité. Malgré cela il se mit en marche vers cette ville.Oui, en marche et non à tire l'aile comme l'aurais fait n'importe quel ange, car Pit avait perdu sa capacité de voler. Pourtant il avait appris à vivre avec cet handicap, et parvenais parfois à voler grâce au don de vol que lui donnait la déesse de la lumière quand il partais en mission. Bien que ses ailes étaient plus décoratives qu'autres choses, il en prenait grand soin et les gardaient rarement repliées contre lui, car ça lui permettais de garder un certain équilibre. Il continuait à marcher dans l'obscurité jusqu'à venir aux murailles de la ville.
[HS: je suis désolée que ce soit un peu court, j'ai tapé entièrement ce rp sur i-pod, un exploit je pense]
Je réapparu dans un cité, elle était visiblement à l'abandon, les portes était ouvert, les fenêtre brisé, les rideaux s'agitaient avec le vent, il allait pleuvoir, je repensa alors subitement a mes acolytes, ou étaient-ils ? Kairi et Argai, je me mis alors à courir dans les ruelles mais je ne les trouvas pas.
~ Zut, on a été séparé, bon, il va bientôt pleuvoir, autant ce mettre à l'abri... ~
Je me dirigea alors vers une maison délabré, j'entras alors dans un salon dons le sol était couvert de poussière et des toiles d’araignées jonchaient les murs au bois moisie par l'humidité, je décidas alors de monter à l'étage, je fis le tour des deux chambres, il y avait dans chacune d'elles deux lits, un poêle, une armoire et encore d'autre chose, des jouets traînait parterre dans l'une d'elle, c'était triste à voir, avant l'arrivé de cette maudite poudre, une famille devait vivre heureux ici, essuyant les larmes qui commençaient à perlées au coin de mes yeux, je me dirigea vers le fond du couloir, il y avait une trappe au plafond, je dégaina ma Keyblade et l'ouvris facilement, je pris une chaise en bois qui était dans l'une des chambres et m'en servie pour pénétrer dans le Grenier, il y avait des meubles, un lit et le conduit de cheminé du salon, la pluie avait déjà commencer à tomber, je redescendis au salon, j'ouvris la porte en fonte du poêle, un gros tas de charbon était poser au fond de celui ci, je tendis alors doucement la main vers le tas de combustible
- Brasier
Murmurais-je, une petite flamme apparus alors au milieu du charbon, je remontas au grenier satisfais, la chaleur se fit vite sentir à travers le conduit en brique, j'ouvris alors une armoire, des vieux vêtements pour la plupart usée et troué y était entreposé, parmi eux, une cape bleu nuit en cuire attira mon attentions, je la pris et m'en vêtu, elle m'allait comme un gant, je tendis alors l'oreille dehors, un groupe d'habitant en colère brandissait des fourche et des torches, cette cape allait m'être utile pour ne ps me faire repérer, je leva alors les yeux, fixant le clocher de l'église dont le toit était à moitié arraché.
^Je venais d'arriver. Je regardais autour de moi à la recherche de Ventus et Argai. Je voyais Argai allongé au sol un peux plus loin. Je me dirigeais vers lui et le relevais en passant son bras sur mon cou. Je cherchais un endroit ou aller, et aperçus un village un peu plus loin. Je me mis en route pour se village. Une fois arrivé je sentais la pluie tomber et entrais dans une maison. Une fois à l'intérieur j'allongeais Argai au sol et cherchais une couverture. Une fois celle-ci trouvé, je recouvris Argai avec pour qu'il n'ait pas trop froid. C'est le maximum dont j'étais capable.
- Ou est Ventus ? Et ou sommes-nous ?
Je soupirais, et posais mon regard sur Argai. Celui-ci dormait profondément. Je fini par m'endormir quelques minutes, pour être réveillé par un bruit qui se trouvait dehors. Je regardais par la fenêtre et observais des habitants. Et de plus, ces habitants étaient en colère. Mais contre quoi ? Je regardais Argai en pensant. Je me levais, je portais Argai l'emener à l'étage. Une fois à l'étage je l'allongeais au sol et remis la couverture au dessus de lui.
- Désolé Argai, mais je vais te laisser ici. Au moin tu es en sécurité.
Je retournais en bas, et quittais la maison. Je me dirigeais vers le groupe d'habitants. Prenant mon souffle je me mis à parler.
- Que se passe t-il ?
Je restais planté sur place. Ils s'approchèrent de moi. Je savais bien qu'ils allaient me capturer. Mais si en me laissant faire, je pouvais réussir à protéger Argai pour qu'il ne fouille pas la maison de laqu'elle je viens. C'était mieux ainsi. Je me laissais donc faire en soupirant ne sachant pas ce qui allait m'arriver.
Faust était au galop. Son familier resta dans son sac. L'Hypotrempe ne savait pas où son maître irait. Le bouc trouva un village au loin. Il tira le harnais de son cheval "emprunté" pour l'arrêter. Il contempla le paysage puis ordonna à sa monture de se diriger sur le village.
Une fois arrivé au village, près d'une église, Faust s'arrêta pour observer la scène. Des personnes en colère devant l'église ; c'est ce qu'il voyait. Cette foule se retourna vers le bouc à cheval. Ils crièrent d'indignement et pensèrent que c'était un sorcier avec son apparence. Un des hommes hurla "qu'on le brûle."
*-Je suis mal barré. Hue !*
Le cheval de Faust recula et fuyait la troupe. L'hypotrempe commença à gigoter dans le sac pris par la panique. Le juge essaya de calmer son familier et essaya de trouver un moyen de diversion au galop. Le seul moyen qu'il retrouve était assez risque mais il n'avait pas le choix. Il essaya de se retourner en restant assis. Mais le cheval partait à une grande vitesse qu'il était difficile de retourner. Faust faillit perdre l'équilibre. Il aperçut la foule à sa poursuite. Certes loin mais il ne fallait pas qu'elle le suive. Le bouc pointa sa paume en l'air et invoqua une fumée violette séparant Faust et les habitants. Faust était maintenant rassuré. Il essaya à nouveau de se retourner pour retrouver sa position initiale. Il ordonna à son cheval de marcher maintenant qu'il était loin des poursuivants.
Faust prit froid et sommeil. Il devrait trouver un abri. Le bouc vit une lueur. Le juge descendit du cheval et frappa à la porte. Faust attendit mais aucune réponse.
*-Bon, je ne devrais pas faire cela mais il me faut un abri à tout prix.*
Faust ouvrit la porte discrètement. Il n'y avait personne au rez-de-chaussée qu'il monta à l'étage. Il aperçut un lion allongé contre le mur avec une couverture. Faust s'approcha doucement. Son sac recommença à gigoter. -Vas-tu te calmer oui ?!.
Il mettait ses deux mains sur son sac pour empêcher tout mouvement. Après, il se connecta à l'esprit du lion.
-Excusez-moi. Cette maison est à vous ? ... Monsieur ?
Cette personne semblait respirer légèrement. Faust pris le pouls de cet inconnu. Il était très faible. -Oh non... Attendez. Laissez-moi vous soigner.
Il enleva la couverture. Faust se rendit compte que ce n'était pas un paysan. Jamais un pauvre ne pouvait s'habiller en prince. Le bouc toucha le torse du prince et dégagea une lueur blanche. Son iris devint également argenté. Plus tard, il enleva sa main et redevint comme avant. Le juge attendit une réaction.
[J'avoue que c'est anodin de jouer deux persos dans un même RP mais je fais en sorte qu'ils soient comme deux comptes "différents". Je ne vais pas m'amuser à faire Faust/Argaï/Faust/Argaï/... ce qui est "anti-communautaire"]
Argaï resta dans son profond sommeil, toujours affecté par le poison du lac mais il était dans un état moins grave avec l'antidote de Gozen. Si il n'avait pas eu cet antidote, il ne verrait ni Angèle ni son enfant. Il ne sentit plus aucun mouvement. Il était fiévreux. Argaï ne savait pas où il se trouvait. C'est comme si on lui avait enlevé son sens de repère. Le lion entendit des petites voix.
Plus tard, il sentit un apaisement dans son corps. On lui redonnait un second souffle. Le poison était peut-être parti. Argaï ouvrit les yeux et vit flou. Peu après, il vit un bouc devant son nez. Ce bouc portait des vêtements. Le prince observa le décor. Il se retrouvait dans une salle comme on verrait au Moyen-Age. Il parla à voix basse.
-Suis-je revenu à Tirloch ? Cette maison vous appartient ?
Argaï se releva brutalement mais ressentit les mêmes douleurs. Faust l'a certes redonné un second souffle mais il n'avait pas soigné le poison. Il s'écroula vers le bouc.
-Encore ce ... poison ... J'espère ne pas mourir. S'il-vous-plaît, aidez-moi !
Pit venait juste d'arriver à la forteresse. Il avait perdu beaucoup de temps à trouver l'entrée, c'était dans ces cas comme ça qu'il aurait voulus voler pour entrer facilement dans la ville. Ce qui l'étonnait le plus c'était l'architecture de cette ville, qui ne renvoyait en aucun cas à la Grèce antique d'où provenait le petit ange. Les portes d'entrées étaient immenses et le manque de lumière leur donnait un aspect menaçant qui faisait penser à une bouche d'ogre aux dents pointues,ce qui ne rassuraient guère le jeune garçon ailé. L'entrée étaient bien évidemment gardée mais les gardes s'étaient absentés. Non loin il y avait un panneau.
*Ce doit être le nom de la ville, je me demandait justement où je me trouvait...*
Il s'approcha de l'écriteau pour déchiffrer ce qu'il y avait marqué...Mais se souvenant qu'il ne savait pas lire, il fit volte-face en direction de la citée. Pit ne pus s'empêcher de lever la tête pour voir si Palutena ne lui avait pas laissé un signe ou quelque chose de ce genre. Tout ce qu'il voyait était un ciel noir encre dépourvus d'étoiles et de lune, sa première hypothèse était que c'était les nuages qui masquaient les corps célestes. Trêve de flâneries, Pit entra dans la ville. La ville lui paraissait tout aussi étonnante que les remparts, l'architecture ne se rapprochaient en rien d'une citée grecque.
*Où ais-je donc atterris?!*
Pit était un peu bouleversé. Il lui fallait absolument demander son chemin, même à un humain si il le faut. Il continua à errer dans les rues sombres, tel un fantôme en toge. Des voix se firent entendre, l'angelot se mit soudainement à courir vers la source de ces bruits. Au milieu d'une rue il y avait un regroupement d'humains qui paraissaient en colère. Le garçon ailé s’approcha doucement du groupe et tenta de garder un attitude calme et détendue. Comme c'était un ange, il lui paraissait évident que ces humains allaient se calmer et le prendre pour un "envoyeur de paix" ou une autre niaiserie de ce genre.
-Excusez-moi, auriez-vous l'amabilité de me dire quel est cette ville?
Tout le monde se tu et se mit à le dévisager avec de grand yeux étonnés. Un gros moustachu se poussa, dévoilant une jeune fille aux cheveux bruns qui était maintenue par deux villageois très musclé. Le moustachu s'écria d'une voix forte en pointant l'ange avec son doigt:
-Qu'on se saisisse de lui !
Le groupe d'humains se divisa en deux, l'un gardant la jeune fille, l'autre à la poursuite de l'angelot handicapé des ailes. La réaction de ce dernier ne se fit pas attendre, il se mit à courir aussi vite que ses jambes lui permettaient. A gauche, puis à droite, à droite, puis impasse...
-Impasse?!
Pit s'arrêta brusquement. Il lui fallait trouver une issue et vite. Il pouvait déjà voir la lueur de leurs torches au coin de la rue et entendre leurs cris de colère. Il n'osait pas faire du mal à ces villageois car il était évident que Dame Palutena lui en voudrait. Il voulus escalader le mur, sans succès. Deux humains vinrent se saisir de lui et le menèrent au reste du groupe, où se trouvait la jeune fille. Ils n'hésitaient pas à écraser les ailes du pauvre ange prisonnier.
Le groupe de villageois étant partit je ne sais ou, je redescendis au rez de chaussé et je quittas la maison, me dirigeants vers la place de l'église, je marchais sous une pluie battante, je ne tardas pas à me faire repérer par la horde de villageois.
- VOUS !
- Moi ?
- OUI VOUS !!! VOUS ETES EN ETAT D'ARRESTATION !
- Vous croyez ? Et pourquoi donc ?
- NE POSE PAS DE QUESTION STUPIDE, SAISISSEZ LE !
- Si vous voulez.
Il se saisie alors de moi et m'emmenèrent vers le château, deux autre groupe de villageois nous rejoignit, l'un de avais comme prisonnier un Ange en toge blanche avec des sandales , dans l'autre groupe je pus apercevoir Kairi.
- KAIRIIIIIIII !!!!!!!!!!
Hurlais-je, je me défis de l’éteinte et me dirigea en courant vers Kairi, je fus vite rattrapé et plaqué au sol, je voulais me rebeller mais je n'étais pas en position de force, je me laissas donc faire, nous fûmes amené tous les trois au château et on nous jetâmes tous ensemble dans la même geôle, quelque os traînaient parterre et une odeur de mort flottait dans l'air, je dirigea alors mon regarde vers l'ange.
Je me laissais attraper. Je ne pensais plus à rien, quand j'entendis quelqu'un dérière nous, je tournais alors mon visage. -Excusez-moi, auriez-vous l'amabilité de me dire quel est cette ville?
Qui était ce garçon ? Je l'observais un peux plus et découvris une paire de petites ailes dans son dos. Les habitants se divisèrent. Une partir avec moi, et l'autre partie essayait de l'attraper. Je soupirais me disant que c'était terminée. Il c'était lui aussi fait attraper. Je me laissais emporter jusqu'a arriver devant un chateau. J'étais dans mes pensées. Quand j'entendis une voie famillière.
- KAIRIIIIIIII !!!!!!!!!!
C'était Ventus. Je me retournais, j'essayais de me libérer pour le rejoindre.
-VENTUS !!!!
Impossible, il me serrait trop fort. Je ne pouvais me libérer. Ventus venait de se faire plaquer au sol. J'avais toujours le regard posait sur lui.
-Ventus !!
Après sa ils nou jetèrent dans une geole. L'odeur était insuportable, je me bouchais le nez. Je me dirigeais vers Ventus pour le prendre dans mes bras, et me mettre à pleurer à cause de la peur accumulée depuis notre arrivée dans cette ville. Je ne bougeais plus, je ne voulais plus bouger.
Le lion se releva brutalement mais s'écroula ensuite. Faust savait qu'il avait soigné partiellement. Il a donné la vivacité mais pas l'antidote.
-Faites attention à vous. Le moindre geste brusque pourrait aggraver le poison. Je vous ai juste redonné un peu d'énergie mais je ne vous ai pas encore sortit de ce poison. Malheureusement, ce n'est pas ma demeure. De plus, qu'est-ce Tirloch ? Je ne connais pas cette ville. Ah oui. J'ai oublié de me présenter. Mon nom est Faust.
L'Hypotrempe sortit du sac et observa le lion de travers.
-Et lui, c'est mon petit familier que j'ai retrouvé. Je n'ai aucune idée du nom de cet espèce. Sinon, pouvez-vous me présenter ?
Faust écouta sa présentation. Plus tard, il entendit une foule en colère. La nuit sera longue pour Faust. Il pensait se reposer mais l'atmosphère ne le permettait pas.
-Aïe. Il ne vaut mieux pas traîner. Il est trop tard pour passer par la porte. Le mieux est de traverser par la fenêtre. Laissez-vous guider.
Faust alla à une pièce pour éviter de se faire remarquer. Il aida en même temps Argaï à se déplacer. Le pokémon les suivirent en flottant dans les airs. Ils descendirent de l'étage. Le bouc ouvrit la fenêtre qui menait à une ruelle discrète. Ils sortirent de la maison à tant que la foule défonçait la porte et procéder aux recherches. En marchant dans les ruelles, le bouc et le lion entendirent des pas qu'ils se cachèrent derrière un mur. C'était des habitants emportant trois prisonniers.
Argaï tint compte l'avertissement du bouc. Il s'appelait donc Faust. Le prince n'était pas à Tirloch. Dans ce cas, il était où ? Un petit animal sortit du sac du magicien. C'était un petit hippocampe qui nageait dans les airs en lui regardant avec méfiance. Faust le rassura. Au moment de se présenter, Argaï se releva mais doucement cette-fois ci. Il ne sentit même pas les douleurs du poison en bougeant lentement.
-Je me nomme Argaï, prince du royaume de Tirloch.
Il faisait sa révérence au ralenti. Un brouhaha retentit dehors. Faust observa par la fenêtre et présageait une mauvaise nouvelle. Il obéissait ce que disait le bouc vu qu'il n'avait pas le choix. Il se "laissa guider" par Faust. Sortir par la fenêtre serait difficile pour Argaï avec le poison qu'il l'avait. Heureusement, qu'ils sortirent par la fenêtre du rez-de-chaussée et que Faust encadrait le prince. Ils marchèrent sur une ruelle quand des pas résonnèrent. Faust et Argaï se cachèrent.
Le lion observa les trois prisonniers et reconnut de suite Kairi et Ventus. Ils étaient accompagné d'un cupidon. Normalement, ce dernier devrait savoir voler mais Argaï ne se posa pas la question.
-Faust. Je reconnais ces deux prisonniers. Ils ont besoin d'aide. Si tu veux, suis-moi.
Argaï décida de prendre la troupe en filature en restant discret.
Pit faisait crisser ses sandales sur le sol pavé de pierres noires de rues. Il essaya de se débattre pour fuir à nouveau mais tout se qu'il obtint fut un coup de coude dans les côtes qui lui coupa le souffle. Il s'en voulait vraiment de s'être fais attraper aussi facilement, il lui aurait simplement pu voler si il n'était pas handicapé. Les humains en colère les menaient dans le château de la citadelle. En réalité l'angelot ignorait complètement c; e que ce bâtiment était, ce n'était sûrement pas un club de vacances mais ça l'intriguait car là où il venait, les châteaux médiévaux n'existaient pas encore.
*C'est...un temple? On vas nous offrir en sacrifice?*
Tant d'interrogations bourdonnaient dans sa tête, des questions dont il avait absolument besoin de réponses. Un second groupe vint se joindre à celui où étaient retenus la jeune fille et l'angelot. Cette fois ci c'était un jeune homme qui était captif; ce dernier, à la vue de l'humaine prisonnière se mit à crier: - KAIRIIIIIIII !!!!!!!!!!
-VENTUS !!!!
"Kairi" devais être le nom de la fille et "Ventus" le nom du garçon. Il tenta de se rebeller et se fit plaquer aussitôt au sol. "Kairi" aussi se débattit, sans succès. Ils continuèrent leur marche en silence, ils arrivèrent à la geôle où ils entrèrent dedans un par un. Au moment où Pit devais y aller, il rassembla ses forces pour un ultime assaut. Il se mit soudainement à se débattre pour se défaire de l'étreinte. Instinctivement, il se mit à battre des ailes, il en avait vraiment besoin. C'était comme poursuivre un espoir perdus d'avance. Comme le garçon ailé s'y attendait, il ne décolla pas. Tout ce qu'il eu fut un nouveau coup de coude dans le ventre qui le plia en deux et un superbe vol plané dans la cellule où il se fit jeter. Il atterris durement sur le sol.L'ange se releva d'un bond puis se jeta sur la porte qui était verrouillée pour taper frénétiquement dessus.
-Laissez-nous sortir!
Il n’eus pas de réponse. Voyant que tout effort était inutile, il se retourna et vint s'appuyer contre le mur. Au passage il remarqua qu'il y avait encore laissé des plumes et il ramassa sa couronne de lauriers en or qui était tombé sous l'agitation. Il vt que l'humain la dévisageait.
*Que me veut-il? Il n'a jamais vu d'ange?*
- Sinon, tu t'appelle comment l'angelot ?
-Tu as le choix, je suis: a)un steak bien saignant, b)un don du ciel, c)Pit, général de la garde de Dame Palutena...
Certes, le moment était mal choisi pour ce genre de blagues, mais l'ange faisait ça uniquement pour détendre l'atmosphère, dès qu'il vu l'humaine se mettre à pleurer. Il contempla longuement sa couronne de laurier, plongé par ses pensée et se moquant de la mauvaise odeur, avant de se la remettre sur la tête. Un maigre rayon de lumière filtrait à travers des barreaux inaccessibles à cause de leur hauteur.
- Tu as le choix, je suis: a)un steak bien saignant, b)un don du ciel, c)Pit, général de la garde de Dame Palutena... d- Heu...... moi fois, je ne sais pas qui est "Palutena" mais j'opterais pour la C.
Je n'u pas le temps de fini que Kairi me serra dans ses bras en pleurant, je mis mes bras autour d'elle pour la rassurer et la consoler.
- Ne t'inquiète pas, on s'en sortira.
A peine ai-je fini ma phrase qu'une personne habillé telle un juge arriva entre deux soldats.
- Vous serez brûler sur le bûcher pour Hérésie et Sorcellerie, cela vous apprendra à obscurcir le ciel et à masquer le soleil, vous serez brûler à l'aube, d'ici là, profiter de vos dernière heure sur terre pour prier les trois déesse sacré et ainsi accéder à l'éventuelle salut de vos âme, je vous souhaite une bonne nuit et à demain.
L'homme partis toujours entouré d'un groupe de garde et quatre garde ainsi qu'un homme avec un sac en tissu noir sur la tête arrivèrent et nous emmenèrent dans une salle qui semblait être une salle de torture.
~ tien, ils vont nous torturer, ils peuvent toujours essayer, ile prendront cher et très cher si ils s'en prennent à Kairi.... ~
Le bourreau pris alors la parole.
Alors le quels d'entre vous va commencer ?
Je m'avança, j'étais sûr de moi, il me mis sur une table verticale, il m'attacha avec des sangle, je sus tous de suite ce qu'il allait me faire, alors que je fermas les yeux pour ne pas sentir la douleur, le bourreau commença à tourner une roue, je sentis que l'on tirait sur mes membres encore un peu handicap du combat livré au lac.
- vous m'faite mal...... lâcher moi sale brute !
Je n'us que comme seul réponse un coup de fouet et le bourreau tourna la roue de plus belle, je ne pouvais rien faire sinon résister à la torture, Kairi et Pit assistaient impuissant à mon supplice , et encore, se n'était pas le pire, dans quelque heure nous saurons envoyer sur le bûcher, je priais pour que Argai arrive à temps....
Je restais dans les bras de Ventus le temps de me calmer. Peu de temps à après nous fument emener dans une salle. Je compris tout de suite leurs intentions. Alors demain ils veulent nous bruler, et la ils vont nous torturer. Je soupirais.
-Alors le quels d'entre vous va commencer ?
Ventus s'avança directement. Non je ne voulais pas, mais je ne pouvais rien faire. Je restais planté la, serrant mes poings retenant l'envie d'invoquer ma keyblade.
- vous m'faite mal...... lâcher moi sale brute !
Mon envie était encore plus forte. Je réagis d'un coup. Mais oui ! Ma keyblade !
-Appel du destin...
Je levais mes mains invoquant ma keyblade. Je courrais vers la table ou se trouvait Ventus pour couper les liens et le libérer. Après sa je restais devant Ventus, destabilisé, je ne savais plus quoi faire. Mais je venais de faire quoi ? Moi utiliser ma keyblade ? Sa n'était jamais arrivé. Je regardais Ventus, puis le petit ange. Et restais sur place sans rien faire.
Faust écouta Argaï. Il affirmait qu'il reconnaissait deux des trois prisonniers. Le bouc accepta d'aider Argaï. Faust suivait le lion. Le duo se retrouvait devant un grand château. Le problème serait comment accéder. Faust se connecta à l'esprit d'Argaï : -Hm... On pourrait passer par l'entrée mais pas très discret pour entrer. J'ai déjà une idée où passer mais je suis pas sûr que vous allez me suivre. Je vous confie mon familier car il aurait dû mal également. On se rejoint à l'intérieur du château. Ah oui, je vais encore vous le répéter, évitez les gestes brusques.
Faust s'éloigna du prince et observa si personne ne lui regardait. Plus tard, il serra son pendentif et commença à léviter. Il devint brillant puis commença à se décomposer en poudre magique. La poudre magique devint des pixels formant l'alter-ego de Faust : Métal.
Métal recula pour prendre de l'élan. Il courut droit vers le mur et commença à sauter. Sa gravité changea. Il avait les pieds sur les murs. Le bouc continua à courir sur les murs verticalement jusqu'à atteindre le sommet du château. Métal vit un garde qu'il le faisait taire rapidement en lui sautant dessus et lui faisant tourner sa tête à 360 degrés. Métal atterrit en s’accroupissant. Il entra par la porte la plus proche.
L'alter-ego de Faust se retrouva désormais face à un grand labyrinthe. Il entendit soudain des voix criant de détresse. Il essaya de trouver l'origine de ces voix. Le bouc entra discrètement dans la salle de torture. Une jeune femme portait une grosse clé. Derrière elle se trouva un homme avec une planche clouée pour la frapper. Métal écarquillait ses yeux et se connecta à l'esprit de la femme :
-Attention !
Métal courut vers Kairi et la poussa. L'homme armé commença à frapper. Mais sa cible n'était pas Kairi mais Métal. Ce dernier s’effondre par terre et se releva péniblement. Il avait le crâne ouvert. L'homme avec la planche de bois ne comprit pas ce qui s'était passé. Après des secondes de réflexion, il était au courant que Métal voulait délivrer les prisonniers. Il commença à s'approcher du bouc pour porter un coup fatal.
Argaï suivait la troupe emmenant les prisonniers. Faust l'accompagna. Ils se retrouvèrent devant un grand château. -Hm... On pourrait passer par l'entrée mais pas très discret pour entrer. J'ai déjà une idée où passer mais je suis pas sûr que vous allez me suivre. Je vous confie mon familier car il aurait dû mal également. On se rejoint à l'intérieur du château. Ah oui, je vais encore vous le répéter, évitez les gestes brusques. -Revenez, par où puis-je passer de mon côté ?
Faust était déjà parti. Argaï avait maintenant l'Hypotrempe du bouc. Peut-être qu'il serait utile. Le prince se dirigea vers l'entrée qui était la seule manière d'entrer possible. Argaï chuchota au pokémon qu'il devrait faire diversion. Le familier exécuta l'ordre. Il volait comme une mouche devant les gardes se trouvant à l'entrée. Le lion s'approcha discrètement derrière les gardes et utilisa le pommeau de son épée pour les assommer.
-Je te dois toute ma gratitude.
Il caressa le hippocampe flottant et entra dans le château. Lui aussi était perdu mais les bruits le guidèrent. Argaï arriva à la salle de torture. Un homme avec une planche clouée se dirigeait vers un bouc. Argaï croyant que c'était Faust avec sa tête se dirigea vers l'ennemi en marchant et perça son dos lentement. L'homme vit une lame rouge dans son ventre. Argaï déplaça sa lame du ventre jusqu'à ses poumons pour le tuer à coup sûr. Il essaya de déplacer sa lame le plus vite que possible sans être trop rapide à cause du poison. Peu après, le prince retira son épée. L'ennemi s'écroula au sol devant les yeux du bouc.
Mais il avait une tenue un peu spéciale. Le bouc ressemblait à Faust mais ce n'était pas lui. Il portait des piercings et une coupe en pique. Intrigué, Argaï posa la question :
-Je ne vous ai jamais vu ici. Peut-être que vous êtes aussi prisonnier. Etes-vous le frère jumeau de Faust ?
Pit failli s'étouffer quand l'humain lui dit qu'il ne connaissait pas Palutena. Où avait-il donc atterris? Dans son monde, la déesse de la lumière était l'une des plus grandes divinités. Si ça se trouvait il était en train de rêver, mais c'était un rêve trop réaliste à son goût, il voulait tellement se réveiller. Un cliquetis de clé résonna dans la prison. D'autres humains vêtu bizarrement vint a leur rencontre, dont l'un était le stéréotype parfait d'un bourreau. Ce n'était sûrement pas pour les libérer qu'ils venaient.
- Vous serez brûler sur le bûcher pour Hérésie et Sorcellerie, cela vous apprendra à obscurcir le ciel et à masquer le soleil, vous serez brûler à l'aube, d'ici là, profiter de vos dernière heure sur terre pour prier les trois déesse sacré et ainsi accéder à l'éventuelle salut de vos âme, je vous souhaite une bonne nuit et à demain.
Eux?! Brûlés?! Pour hérésie?! L'angelot ne comprenais pas pourquoi le jour ne se levait plus, il avait surement raté un épisode. C'est alors qu'une hypothèse terrifiante lui vint à l'esprit.
*Et si Dame Palutena avait perdu la raison? Si elle refusait de donner la lumière aux humains? Ce serait sûrement pour ça que ce monde serais plongé dans une nuit éternelle. Combien de temps ai-je dormis?De plus, qui sont ces trois personnes qu'il viennent de citer?Mieux vaut-il que je ne me présente pas, car si Palutena est vraiment devenue folle, je passerais un mauvais quart d'heure*
Les trois prisonniers changèrent de salle, toujours tenus par des gros bras. Malheureusement, la faim tiraillait le ventre de l'ange, il n'avait plus la force d'essayer de fuir.
*C'est tellement bête, il m'aurait suffis de m'envoler...*
Ils entrèrent dans la salle des tortures, salle toujours inconnue à l'ange grec. À quoi servaient toutes ces machines? On pouvait sentir une vague odeur de sang mêlée à l'odeur de moisissure et de poussière. Il était évident que cette salle avait servis pour de sombres choses que Pit ne voulais pas imaginer. Quand ils appelèrent pour savoir qui voulais se faire torturer le premier, l'ange voulus s'avancer mais le premier détenus fut plus rapide que lui. Par-ci et là on pouvait voir des sarcophages à piques, des scies, des machines à écartèlement, des limes pour les poignets et d'autres horreurs de ce genre. Ventus s'était fait attaché à une sorte de planche à pain. Grace à un système d'engrenage, ses membres étaient tiraillé de toute part.
-vous m'faite mal...... lâcher moi sale brute !
L'humaine aux côtés de Pit ne put se retenir, elle murmura une sorte d'invocation, les bras levés au ciel, pour faire apparaître une clé géante, l'angelot en resta perplexe, tellement surpris qu'il en resta muet. Néanmoins, il ne se résolvait toujours pas a utiliser ses armes, ses griffes de tigres, après tout ces humains étaient tout simplement idiots et il ne voulais toujours pas leur faire de mal. Il se mit à hésiter longuement. Palutena lui avait toujours dit qu'il ne fallait jamais lever la main sur les humains malgré leur égoïsme car c'était la forme de vie qui se rapprochait le plus des dieux.
*Sortir les griffes ou pas?*
C'était la question qu'il se répétait en boucle dans sa tête. C'est alors que par la fenêtre entra illégalement un...bouc-ninja? Toute cette histoire devenait de plus en plus incompréhensible aux yeux de l'ange. Il commençait à se dire qu'il aurait consommé une substance illicite et qu'il était en train de délirer. Ce fut beaucoup moins drôle quand l'animal anthropomorphe se prit une planche à clou pour s'effondrer ensuite. Ce n'était pas fini. Une pointe transperça l'aggresseur qui se figea.
-Attendez, ne le tuez...
Trop tard, l'épée qui transperçait l'humain se mit à monter comme animée par de la magie, qui s'avérait être la main d'un lion anthropomorphe. L'humain tomba sur le sol froid, mort sûrement.
-...pas...
Le sol prit une couleur vermeille sous le regard horrifié de l'angelot. En effet, jamais il n'avait assisté à ce genre de scène. Les ennemis qu'il tuait étaient différents, uno: ils n'étaient pas dotés d'une vraie conscience, l'armée des enfers était une ruche géante en quelque sorte...secundo: dès qu'il "tuait" un monstre à un endroit, il réapparaissait dans les enfers, tercero: les sbires de l'armée des enfers ne saignaient pas, dès qu'il trépassaient il se noircissaient avant de tomber en poussière. Pit était un ange, il pouvais voir ce qui était invisible aux yeux des Hommes, y compris les âmes, dont celle de l'homme qui venait de mourir s'envoler par la fenêtre. Le garçon ailé était comme paralysé. C'est uniquement sous un mouvement de lucidité qu'il comprit ce qui allait se passer. Jetant un regard noir au lion, il se dirigea vers la porte de sortie avant de faire volte-face en direction des autres.
-Quelqu'un va sûrement venir voir pour savoir où ils en sont pour la torture avant de remarquer le beau remue-ménage qu'on a causé. Je penses qu'il serais préférable pour nous de partir.
N'attendant même pas qu'on lui réponde, il ouvrit la porte pour commencer la descente. Il y faisait sombre et Pit, n'étant pas nycthalope ne voyait rien. Au bout de quelques mètres il se stoppa pour attendre les autres.
alors que j'étais étiré de tous le coté, Kairi invoqua sa Keyblade et me regarda d'un air subjugué, Pit lui me regardait étrangement quand soudain un bouc anthropomorphe entra par discrètement par une fenêtre, Argai ne tarda pas à venir lui aussi, s’ensuivit un bref combat entre un garde et Argai.
- Vous arrivez pile au bon moment mais, qui êtes vous donc ?
Je posas cette Question au bouc, Pit le coupa d'ailleurs dans sa réponse :
- Quelqu'un va sûrement venir voir pour savoir où ils en sont pour la torture avant de remarquer le beau remue-ménage qu'on a causé. Je penses qu'il serais préférable pour nous de partir.
Il quitta alors la pièce en passant par une porte en bois qui devait mener au donjon.
- Pit ! non, il est préférable de passer par le to....
Trop tard, il était déjà partit.
- Bon ben, suivons le.
Je quittas alors moi aussi la pièce et je vis Pit au bas de l'escalier, je ne pouvais n’empêcher de réfléchir d'ou pouvait-il bien venir quand un grincement de porte se fit entendre, une foule de garde sortir de nul part près à se saisir de pit, je sautas alors contre un mur et pris un impulsion, pendant mon "envol" j'invoqua mes Keyblade et bouscula les gardes qui s'évanouir à cause du choque, d'autre garde arrivèrent en renfort, je demandas alors à Pit.
Un bouc étrange, ainsi que Argai était arrivé. J'étais soulagé de voir que Argai allait bien.
-Je vois que tu vas mieux, quand je t'ai laisser seul dans cette maison je n'étais pas très rassuré.
Pit enchaina juste après.
- Quelqu'un va sûrement venir voir pour savoir où ils en sont pour la torture avant de remarquer le beau remue-ménage qu'on a causé. Je penses qu'il serais préférable pour nous de partir.
Non il ne fallait pas partir par la. Mais Pit était déjà partit. Je fis disparaitre ma keyblade, Ventus avança pour rejoindre Pit. Je restais sur place pendant quelques minutes. Puis me mis en route pour rejoindre Ventus et Pit. Une fois la porte passait, je vis Ventus mettre à terre plusieurs garde. Un autre groupe arrivé, je m'approcha de Pit.
-J'espère pour toi que tu sais te battre, sinon on sera jamais sortit d'ici puisque tu n'as pensé à passer par le toit.
Je regardais le nouveau arriver. Je leva à nouveau mes mains.
-Appel du destin...
Ma keyblade apparut dans mes mains. Je regardais Ventus du coin de l'oeil.
-Prêt ? Je n'aime pas me battre, mais on à pas le choix si on veut sortir d'ici vivant.
Mon corps tremblait, l'idée de me battre me faisait toujours aussi peur. J'ai toujours détester me battre, voila pourquoi je ne comprend comment j'ai obtenue cette keyblade. Mais aujourd'hui je n'avais pas le choix. Je devais me battre quoi qu'il en coute. Quelques mètres plus loins, j'aperçus un garçon. Il ressemblait à Ventus. Je ne savais pas qui il était, mais il ressemblait énormément à Ventus, et je voyais bien qu'il était lui aussi prisonnié.
-Attend moi, Ventus, ce garçon à besoin d'aide, occupe-toi des gardes, moi je m'occupe de lui.
Je me mis à courir dans sa direction et envoyant de la foudre sur les gardes qui le retenait. Après sa je m'adresse au jeune blond.
-Qui es-tu ?
J'étais troublé par sa ressemblance avec Ventus. Mais notre sécurité à tous passer en priorité. Je relevais le garçon et continuais à descendre pour sortir d'ici, tout en attendant Ventus. Je continuais de faire attention au blondinet qui se trouvait avec moi.
L'homme avec sa planche clouée s'écroula devant Métal. Il reconnut Argaï qui était arrivé à temps mais pour l'instant, le prince ne savait pas que Métal était Faust lui-même. Il demanda si c'était le frère jumeau de Faust ? L'alter-ego ne dit plus aucun mot quand l'ange se mettait à paniquer.
-Quelqu'un va sûrement venir voir pour savoir où ils en sont pour la torture avant de remarquer le beau remue-ménage qu'on a causé. Je penses qu'il serais préférable pour nous de partir.
Pit partit directement après avoir parlé. Métal le trouvait vraiment paniqué peut-être trop. Le bouc se releva et mettant une de ses mains sur son front pour empêcher son sang de couler. Ensuite, il suivit l'ange puis il s'arrêta. Avant de combattre, il se connecta à l'esprit de Pit pour se moquer de lui :
-Dis donc p'tit cupidon. Tu ne serais pas peureux par hasard ? T'es tout crispé. Si tu veux t'enfuir car tu n'as l'air de ne pas être fait pour le combat, t'as des ailes pour t'envoler. C'est pas fait pour faire joli à moins que t'aimes te déguiser.
Métal se mettait à ricaner discrètement puis fonça dans le combat pour aider Ventus. Il sauta sur l'un des gardes en renfort pour donner trois coups pieds successives sur la tête. Puis, il balaya sa main sur un autre garde qui était derrière comme si il coupait un fruit avec sa main. A chaque coup, des sons retentirent. D'autres gardes arrivèrent.
Les gardes me retenaient, je ne savais que faire. Soudain, j'aperçus un garçon et une fille courir. Je les regardais en essayant de me débattre des gardes qui me retenaient. La fille se retourna et lança de la foudre sur les gardes.
-Qui es-tu ? me demanda la fille
-Je.. je m'appelle Roxas
La fille semblait troublée. Elle me releva et me prit par la main, nous descendons les escaliers. Je ne me fis pas prier. Comme j'étais blessé à l'épaule, je n'avançais pas vite. J'essayais tout de même de la suivre. Des gardes nous suivait, mais je lançait une boule de feu pour m'en débarrasser.
-Au fait, comment t'appelles-tu ? demandais-je à la fille
Elle ne me répondit pas à l'instant. Elle suivait un homme blond qui me ressemblait.
(Cet homme.. il me ressemble...)
Nous étions les seuls ici, sans eux, je serai mort à l'heure qu'il est... Ma seule chance de rester en vie est de m'allier avec eux... Du moins.. pour l'instant.
Argaï fixa Pit qui semblait être très énervé. D'un côté, il n'avait pas tort dans la mesure où il avait tué un simple homme. Le Hypotrempe qu'il avait se dirigea vers Métal qui semblait le reconnaître quand il l'avait vu pour la première fois. Le lion s'expliqua en même temps que l'ange partit :
-Ne vous en faites pas. J'irai me confesser dans une église pour me faire pardonner.
Argaï suivit le groupe en marchant. Il avait toujours dans sa tête l'avertissement de Faust. Le moindre geste brusque pourrait aggraver le poison. Des gardes arrivèrent. Le frère jumeau de Faust et Ventus se luttèrent face aux gardes. Mais le premier était immobile en fixant l'ange avec un air bête avant d'entrer dans le combat.
Argaï hésita à se battre. Le rythme allait trop vite pour lui. L'épée à la main, Argaï marcha vers le combat quand un garde l'assomma en lâchant son épée. Le prince se releva sonné et se retourna. Il aperçut son ennemi qui s'approchait de lui et son épée au-dessous de lui. Il eut le réflexe de ramper doucement et de reprendre son épée. Involontairement, la pointe de son épée perça la partie de l'ennemi lui faisant encastrer mortellement. Le lion ouvrit ses yeux et retira son épée. L'adversaire s'écroula au sol. Le prince suait à grosses gouttes en espérant que ses actes seraient pardonnés.
Dès que Ventus lui cria de ne pas passer par là, Pit se rendit compte de son erreur, trop tard. Il avait l'impression d'être un poids pour l'équipe en n'osant pas toucher à un seul cheveux de ces stupides humains aveuglés par la colère. Dès qu'il vu la lueur des torches, il voulus fuir mais deux humains l'empoignèrent. Ventus fit un bond prodigieux en prenant pour appuis le mur avant d'invoquer une sorte de grosse clé pour voler à la rescousse de l'ange.
-Dis donc p'tit cupidon. Tu ne serais pas peureux par hasard ? T'es tout crispé. Si tu veux t'enfuir car tu n'as l'air de ne pas être fait pour le combat, t'as des ailes pour t'envoler. C'est pas fait pour faire joli à moins que t'aimes te déguiser.
C'était la chèvre-ninja, comme le garçon ailé l'appelait ainsi, qui venait de lui parler télépathiquement. Chose courante que Pit faisait avec Dame Palutena, mais le seul gros défaut pour lui, c'est qu'il devait parler à voix haute pour envoyer son message. L'ange paraissait calme mais en réalité il bouillonnait à l'intérieur, c'était bien par son courage et sa bravoure qu'il avait été promus général de l'armée des anges. Il réussit à lui adresser un sourire calme mais la colère se lisait dans ses yeux.
-C'est pas beau de se moquer des handicapés!
- Tu as des armes ? Il avait mal écouté ou quoi? Que serait un général sans armes?! Il était évident qu'il avait ses armes sur lui. Il ouvrit les mains et une lumière blanche sorti de ses paumes pour les recouvrir. La lumière prit peu à peu une forme de son arme avant de s'évaporer pour laisser place à une paires de griffes de tigres acérées. Ceci fait il se mit en position de combat. Le but étant de vaincre ces dégénérés sans leur faire trop mal et sans les achever. L'angelot jeta un coup d’œil vite fait à Ventus:
-Bien sûr, tu me prend pour qui?!
Il ne comptait pas utiliser les griffes pour tuer, elle lui augmentaient surtout son esquive. Imitant l'humain aux cheveux blonds, il prit appuis au mur pour donner un superbe coup de boule en vrille, en utilisant ses ailes. La sortie était bloquée apparemment. Un nouveau plan vint à la tête de l'ange.
-Vous autres, commencez à sortir par la fenêtre, je vais essayer de les retenir, je vous rejoins...
Sur ce, il tendit les mains et chuchota:
-Activation du don: Barrière-miroir
Une sorte de mur transparent se forma devant lui. Quiconque tentait de le briser se prenait ses propres coups, cela devait les retenir un petit moment.
Pit sauta alors au mur, pris une impulsion et sauta sur le tas de garde, Kairi me demanda alors de continué à combattre les garde et les retenir pendant qu'elle s'occuperais d'un jeune homme qui me ressemblait énormément, cette ressemblance était troublante, mais je ne me laissas pas déstabiliser et envoya une rafale d'éclair sur un groupe de soldat qui furent projeté dans les douves en contre bas, un autre groupe foncèrent sur Kairi et l’inconnu au cheveux blond, ce dernier les bombardas de boule de feu. Une horde d'environs 20 soldat accompagné d'un gros baraqué armée jusqu'au dents se présenta à nous.
-Chouette, c'est du lourd, on va pouvoir s'amuser un peu.
Le gros baraqué dégaina une lourde épée et donna un coup, je sentis comme un décharge électrique au niveau de ma main gauche, je regardas et je vis que je saignais, je levas mes yeux et le fusilla du regard, pit arriva soudainement entre nous et activa une sorte de barrière réfléchissante et nous "ordonna" de nous enfuir par la fenêtre :
-Hors de question de te laisser seul face à ses brutes, tu ne tiendras jamais, surtout si tu ne leurs fais aucun mal !
Je saisie alors Pit par le bras.
-Ont sautent, on tiendra jamais, ils sont trop nombreux.
Je lança alors une boule de feu sur les barreaux d'une fenêtre, je mis engouffras et sauta pour atterrir dans l'eau boueuse des douves du château rougie par le sang des quelque soldats envoyé par dessus le bord.
Je ne répondais pas à sa question, la cause se trouvait en face de moi. Je voyais le groupe arriver, le plus gros me faisait peur. Je ne devais pas le montrer. Je regardais Roxas qui était blessé.
-Kairi, je m'appelle comme sa. J'espère que tu me fais confiance ?
Je regardais la fenêtre, Ventus venait de sauter par celle-ci. Je serrais donc Roxas contre et sauter aussi par la fenêtre avec lui. On venait de plonger dans l'eau boueuse. Je remontais à la surface, tenant Roxas. Je nageais jusqu'au bord et nous sortais de l'eau.
-Tu vas bien ?
Je le regardais, toujours aussi troublé pour sa ressemblance avec Ventus.
-Toi aussi, tu as une keyblade..?
Qui sais, peut-être qu'il était comme nous. M'enfin je préfère poser la question. Je regardais dans l'eau. Je cherchais après Ventus, pourquoi il ne remontait pas ? Je commençais à m'inquieter mais, je lui fis confiance et j'attendis. Puis je me tournais à nouveau vers Roxas, je pris un mouchoir dans ma poche et le déposais sur son épaule pour compresser sa blessure.
-Si je te fais mal, dis le moi..
Je ne le regardais pas. Et continuais de soigner la blessure.
Métal continuait à combattre les gardes. Mais ils devenaient trop nombreux. Le cupidon ordonna de fuir.
*-Ma foi, il n'a pas tort. Ils deviennent trop nombreux.*
Il aperçut Argaï accroupi. Ce dernier ne devrait pas trop bouger à cause du poison. Métal s'approcha de lui et prit l'épaule du lion et marcha.
-Argaï. Accroche-toi à moi.
Il devrait me faire confiance pour éviter le pire. Le bouc commença à être au bord des fenêtres et sauta depuis une grande hauteur. Métal regarda en bas avec le lion dans les bras. Il avait le corps positionné comme un parachutiste. L'alter-ego essaya de mettre les pieds sur les murs. Au contact des murs, Métal courut verticalement ayant changé sa gravité. Il essaya de ralentir la vitesse. Une fois la vitesse ralenti, il marcha tranquillement sur les murs vers la terre ferme. Une fois sur la terre ferme, Métal sauta par dessus les douves pour rechanger sa gravité. Il arriva intact avec Argaï. Le bouc le posa à côté d'un arbre et attendait l'ange.